Janvier - mars 2012
Prenant la suite du projet initié par C. Congiu, l'entrée choisie "Regards sur l'autre et l'ailleurs" portait spécifiquement sur les Touaregs. J'ai alors proposé aux élèves d'écrire un carnet de voyage imaginaire en pays Touareg.
Les étapes imposées étaient les suivantes :
- à l'aéroport, les attentes du voyageur et ses préjugés ;
- un problème de communication entre les Touaregs et le voyageur, dont l'interpète a disparu ;
- un texte polémique contre les préjugés sur les Touaregs ;
- le retour à l'aéroport et les ennuis mécaniques pour y parvenir.
Ci-dessous, les groupes présentent non seulement leur travail de fiction, mais aussi des synthèses des séances, voire des créations picturales.
Les étapes imposées étaient les suivantes :
- à l'aéroport, les attentes du voyageur et ses préjugés ;
- un problème de communication entre les Touaregs et le voyageur, dont l'interpète a disparu ;
- un texte polémique contre les préjugés sur les Touaregs ;
- le retour à l'aéroport et les ennuis mécaniques pour y parvenir.
Ci-dessous, les groupes présentent non seulement leur travail de fiction, mais aussi des synthèses des séances, voire des créations picturales.
Laurie D. , Emeline L., Rehane D. Louisa B.
Tardif et Juin
On part au Souk !
Une femme part marchander des objets au Souk. Elle veut des babouches mais elle ne parle pas la langue locale, elle a donc un interprète à ses côtés. Dans la foule, elle perd son traducteur. Elle cherche pendant une bonne heure. En marchant, elle trouve la paire de babouches qu'elle désirait tant. Elle tente de marchander mais elle est perdue, elle ne comprend pas la langue du commerçant.
Soudain, l'idée de mimer lui vînt à l'esprit. Elle prit les babouches dans sa main gauche et l'argent dans sa main droite puis elle fît un mouvement de balance. Ces mimes dont les sens multiples peuvent être interprétés sont très vite compris par le marchand, elle réussit à obtenir ses babouches et peut enfin partir du Souk, avec la satisfaction d'avoir parler avec un étranger. En ressortant du Souk, elle croisa son traducteur à un stand d'épices.
Soudain, l'idée de mimer lui vînt à l'esprit. Elle prit les babouches dans sa main gauche et l'argent dans sa main droite puis elle fît un mouvement de balance. Ces mimes dont les sens multiples peuvent être interprétés sont très vite compris par le marchand, elle réussit à obtenir ses babouches et peut enfin partir du Souk, avec la satisfaction d'avoir parler avec un étranger. En ressortant du Souk, elle croisa son traducteur à un stand d'épices.
Laura M. et Eloïse L.
Laura, une femme ambitieuse aimant voyager va faire une excursion dans les pays d'Afrique chez les Touaregs. En se promenant dans la ville la pauvre du Mali, elle eut une envie pressante d'aller aux toilettes. Le problème c'est qu'elle ne parle pas le Berbère. Ne sachant pas quelle langue utiliser pour demander où se trouvait les toilettes, elle essaya de mimer ses besoins à la patronne d'un bar. Etant donné que c'est une femme, elles arrivent à se comprendre et celle-ci lui indique où aller. Laura la remercie en lui faisant un sourire et un signe de remerciement. Quand elle arriva dans les toilettes, elle admira le papier peint des toilettes, elle admira le papuier peint des toilettes et fit son besoin. Quand elle sortit, elle retrouva sa démarche habituelle. Avant de satisfaire son besoin, Laura se sentait ballonée et il fallait qu'elle s'extériorise. Après son besoin, Laura se sentit comme libre, vide, légère, et elle avait l'impression d'avoir perdu 1kg.
Texte de : Toilettes anonymes
Texte de : Toilettes anonymes
Le voyage d'un chevalier
par Julien, Robin et Mathis
Nous sommes en l'an de grâce 1204 , siècle de connaissance découvertes et de mélange des cultures mais aussi le siècle de reconquête des croisades. Philippe de Montagnant chevalier templier doit se rendre en terre sainte avec Herve le pouilleux , pour effectuer son pèlerinage et combattre les sarrasins. Philippe et Herve partent de Grenade, à destination de st-jean d'acre.
Malheureusement lors de la traversée, une violente tempête frappe le navire et le fait sombrer au fond des mers. Le chevalier templier perdit connaissance et par la grâce de dieu se retrouva saint et sauf sur un rivage désert, seul et sans équipements. Herve le pouilleux et le reste de l'équipage sont portés disparus, l'écuyer devait servir de traducteur en terre sainte.
Philippe perdu et désemparé récupéra son épée et ses bottes mouillées et marcha vers le désert à la recherche d'une civilisation et surtout d'un point d'eau sinon son expédition risquait de vite tourner au cauchemar.
Après plusieurs heures d'errance dans le désert sans fin, assoiffé et épuisé Philippe s'écroula dans le sable, désespéré et alors qu'il sentit sa fin proche, il vit au loin une ombre qui semblait bouger.
Enhardi par la force du désespoir, il courut de toutes ses forces vers l'ombre mystérieuse. Et à moins d'une centaine de mettre, il reconnut avec joie une caravane marchande.
Le chevalier s'approcha prudemment et s'adressa à l'homme du désert et comprit
vite qu'il était incompris et essaya de s'exprimer explicitement avec des gestes. Après plusieurs minutes d'essais le nomade compris Philippe et le fit monter dans sa caravane. Pour finalement l'emmener vers la destination de la caravane, un port de méditerranée.
Après des jours de voyages en caravane, Philippe arriva finalement à un port qui put l'amener sans encombre en Terre Sainte. Le templier se souviendra longtemps de ce périple mémorable.
Mathis Garcia, Julien Tardy et Robin Cortes
Tous droits réservés 2012
Thays, Manon, Emma, Sandy
Deux jours s'étaient écoulés depuis mon arrivée chez les touaregs. Je venais mon interprète, surement trop occupé à admirer les dunes. Cependant, j'allais devoir expliquer à la tribu que leur voisins leur déclarait la guerre, afin de prendre possession de leur caravanes et de leurs armes. Ils me faisaient tous face d'un silence oppressant. J'invitai le chef à s'asseoir d'un léger signe de la main vers le bas. Le la,guage des signes ne serait pas une option. a mon grand soulagement, il s'exécuta, je designai l'ensemble de la tribu avec d'amples gestes, mimant un guerrier furieux et montrant l'est, territoire voisin, du doigt. Leurs visages dubitatifs m'apprirent que mes tentatives étaient vaines. Je décidai pourtant de persévérer. Mon regard se porta alors sur les chameaux, encore chargés de leurs effets. Je m’avançai vers les animaux et simulai un vole, le chef fronça les sourcils, visiblement l'idée ne lui plaisait guère. Un cri de stupeur s'échappa du reste du groupe et les hommes serrèrent leurs armes contre eux. Affolé, je répétai de nombreuses fois "N-non" avec une voix aigu, pitoyable. Au bout d'une minute qui me parut infiniment longue je me fis violence et parvenais à crier le nom de la tribu voisine. Enfin, ils comprirent. Le chef, en riant, vint me taper dans le dos, et demanda aux hommes de lever le camps
Voyage chez les Touaregs
par Anaïs, Solina, Margaux et Malvina
Le mercredi treize juin j'arrive à l'aéroport .
Mon deuxième jour, le jeudi quatorze juin j'arrive au village . Alors que j'étais dans le désert avec les Touaregs, et que je parlais avec une très gentille femme, son mari commença à s'énerver. Je ne comprenais pas la raison de son énervement. Je cherchai désespérément mon traducteur pour expliquer à cet homme que je cherchais uniquement à trouver de la nourriture car j'avais très faim, mais il avait disparus depuis quelques heures et le réseau ne captait pas ...
Mon deuxième jour, le jeudi quatorze juin j'arrive au village . Alors que j'étais dans le désert avec les Touaregs, et que je parlais avec une très gentille femme, son mari commença à s'énerver. Je ne comprenais pas la raison de son énervement. Je cherchai désespérément mon traducteur pour expliquer à cet homme que je cherchais uniquement à trouver de la nourriture car j'avais très faim, mais il avait disparus depuis quelques heures et le réseau ne captait pas ...
Puis le mercredi vingt juin ce fut l'heure de mon départ . Cette semaine a été très chargée, je n'ai pas eu le temps de remplir ce carnet . Une fois dans l'avion, je prends le temps d'écrire ces dernières lignes .
J'étais dans le désert avec ma camionnette que j'avais louée pour retourner à l’aéroport , et tout d'un coup, j'entendis le moteur flancher. Malgré plusieurs tentatives de réparations, mon équipe et moi avons décidés d'aller au village qui se trouvait à un kilomètre de l'endroit où on a eu notre panne pour chercher de l'aide . Un paysan nous a prêté des chameaux et nous a guidés jusqu'à l'aéroport. Durant la route, je repensais à mon voyage, a tout ce qui c'était passé . J'ai versé une larme, en pensant les avoir abandonnés. C'était un long moment silencieux et mélancolique pour tout le monde .
Antoine et Valentin
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Je parlais à des Touaregs à l’aide de mon interprète. Ils me racontaient leur histoire mais aussi comment leur langage était apparu. Mon interprète était tranquillement en train de me traduire une de leur explication quand son portable sonna ; il devait partir de toute urgence. Peu après, des Touaregs Libyens arrivèrent. Seul moi les avaient remarqués. Je me demandais ce qu’ils faisaient a prendre tout ses gros sac assez lourds. L’espace d’un instant pour me poser une question. Etait-ce bien des sac de sel qu’ils étaient en train de dérober ? oui ! Je devais prévenir mes amis Touaregs qui me racontaient leur histoire ! Il y avait un inconvénient… je ne parlais pas leur langue et mon interpretes était parti. Je leur faisait des signes mais ils ne comprenaient pas. Aussi vite que je ne puisse essayer de les prévenir, Les Touaregs Libyens étaient déjà parti.
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Nous étions dans le désert, munit de notre vieux 4x4 Nissan. Il était dur de rouler vite dans le sable car les cailloux et les creux endommageaient les roues. Nous étions sans cesse en panne. C’était d’ailleurs pour rentre que j’emprunter leur 4x4. Mon voyage était fini. Il y eu beaucoup d’émotion et pleins de découvertes. C’est ainsi que se finit mon périple.
Les Touaregs
par Stella, Sergui, Simon et Boris
Je suis à Orly, pourtant une de mes sacoches en bandoulière et l'autre a la main. Je me vois déjà dans mon hôtel 4 étoiles grand luxe avec piscine au rez de chaussée, et les dunes en arrière plan. Les promenades sur la plage, frôlant les tops models allongées sur le sable chaud ou jouant au volley-ball. Les longues routes parcourues en décapotable rouge, fumant un cigare et une chemise a fleur le long de ces interminables rangées de palmiers. Mais je laisse tout cela de côté pendant le vol car l'enregistrement commence.
J'arive a 13h30 avec 1h de retard en raison de turbulences durant le vol. A l'aéroport , Aziz , mon interprète m'attend et vient à ma rencontre, nous prîmes quelques apéritifs dans un bar voisin. Après une bonne heure il s'éclipse en raison d'une course importante et précise son retour vers 18 heures . J'attendis , puis la faim me guettant je passe dans le commerce juxtaposant le bar . Je pris une pomme dans la main et allais la payer quand ,le vendeur déboula et me gueulant dessus. Son interprète, j'étais dans de beaux draps. Ne comprenant rien je décide, au bout d'une minute, je sorti mon portefeuille pour montrer que je ne veux rien de mal, je tends les billets et je me sort ainsi de cette posture avec ma pomme
Les deux semaines se terminent, j'ai pu miraculeusement réaliser mes rêves, sauf qu'il n'y avait pas de décapotable rouge, j'ai donc pris une bleue pour le dernier jour. Aziz décida de m'emmener dans les vallées adjacentes à la ville, j'accepte. G race a lui, je découvrit beaucoup de choses , mais en retournant a l'aéroport, le 4x4 tomba en panne. Voyant qu'il n'y avait rien a faire nous décidons de rejoindre la ville à pied,heureusement nous rencontrâmes un Touareg qui s'appelait Mouloud. Ce dernier, avait un chameau supplémentaire, nous permis contre compensation de rejoindre l'aéroport avec ce dernier,il accepta. Durant la route le chameau s'arrête, comme ça, sans doute pour se reposer. Il repart, après 10 minutes et nous continuons le trajet. Cependant , le soleil commence à tomber et nous comprenons qu'il faut faire vite, mais une fois de plus, nous sommes privés de notre moyen de locomotion. La ville étant à portée de vue, nous finissons a pied. Malgré la fraicheur de la nuit venue et la dizaine de kilomètres qui nous séparent de la ville, nous parvenons à rentrer.
Je me souviendrais de ce voyage.
Nouvelle rebellion touaregs
Mercredi 18 janvier 2012, les rebelles ont lancé une offensive à Aguelhok et Tessalit, deux villes proches de la frontière algérienne au nord du Mali. La veille, ils avaient déjà tenté de prendre Menaka, près de la frontière du Niger, avant d’être repoussés par les forces de sécurité maliennes. Des attaques revendiquées par la rébellion qui ont fait 47 morts, selon le gouvernement malien, dont deux victimes au sein de l’armée malienne.
Si les affrontements entre communautés touaregs et pouvoir malien n’ont rien d’inédit – le bras de fer entre Bamako et les "hommes bleus" remonte à l’indépendance du pays en 1960 ces nouvelles attaques qui interviennent à quatre mois de la présidentielle. Pour l’armée malienne, pas de doute : la réouverture du dossier touareg est liée au conflit libyen et au retour d’anciens mercenaires touaregs qui avaient été enrôlés au sein de la Légion islamique de Mouammar Kadhafi.
par Stella, Sergui, Simon et Boris
Je suis à Orly, pourtant une de mes sacoches en bandoulière et l'autre a la main. Je me vois déjà dans mon hôtel 4 étoiles grand luxe avec piscine au rez de chaussée, et les dunes en arrière plan. Les promenades sur la plage, frôlant les tops models allongées sur le sable chaud ou jouant au volley-ball. Les longues routes parcourues en décapotable rouge, fumant un cigare et une chemise a fleur le long de ces interminables rangées de palmiers. Mais je laisse tout cela de côté pendant le vol car l'enregistrement commence.
J'arive a 13h30 avec 1h de retard en raison de turbulences durant le vol. A l'aéroport , Aziz , mon interprète m'attend et vient à ma rencontre, nous prîmes quelques apéritifs dans un bar voisin. Après une bonne heure il s'éclipse en raison d'une course importante et précise son retour vers 18 heures . J'attendis , puis la faim me guettant je passe dans le commerce juxtaposant le bar . Je pris une pomme dans la main et allais la payer quand ,le vendeur déboula et me gueulant dessus. Son interprète, j'étais dans de beaux draps. Ne comprenant rien je décide, au bout d'une minute, je sorti mon portefeuille pour montrer que je ne veux rien de mal, je tends les billets et je me sort ainsi de cette posture avec ma pomme
Les deux semaines se terminent, j'ai pu miraculeusement réaliser mes rêves, sauf qu'il n'y avait pas de décapotable rouge, j'ai donc pris une bleue pour le dernier jour. Aziz décida de m'emmener dans les vallées adjacentes à la ville, j'accepte. G race a lui, je découvrit beaucoup de choses , mais en retournant a l'aéroport, le 4x4 tomba en panne. Voyant qu'il n'y avait rien a faire nous décidons de rejoindre la ville à pied,heureusement nous rencontrâmes un Touareg qui s'appelait Mouloud. Ce dernier, avait un chameau supplémentaire, nous permis contre compensation de rejoindre l'aéroport avec ce dernier,il accepta. Durant la route le chameau s'arrête, comme ça, sans doute pour se reposer. Il repart, après 10 minutes et nous continuons le trajet. Cependant , le soleil commence à tomber et nous comprenons qu'il faut faire vite, mais une fois de plus, nous sommes privés de notre moyen de locomotion. La ville étant à portée de vue, nous finissons a pied. Malgré la fraicheur de la nuit venue et la dizaine de kilomètres qui nous séparent de la ville, nous parvenons à rentrer.
Je me souviendrais de ce voyage.
Nouvelle rebellion touaregs
Mercredi 18 janvier 2012, les rebelles ont lancé une offensive à Aguelhok et Tessalit, deux villes proches de la frontière algérienne au nord du Mali. La veille, ils avaient déjà tenté de prendre Menaka, près de la frontière du Niger, avant d’être repoussés par les forces de sécurité maliennes. Des attaques revendiquées par la rébellion qui ont fait 47 morts, selon le gouvernement malien, dont deux victimes au sein de l’armée malienne.
Si les affrontements entre communautés touaregs et pouvoir malien n’ont rien d’inédit – le bras de fer entre Bamako et les "hommes bleus" remonte à l’indépendance du pays en 1960 ces nouvelles attaques qui interviennent à quatre mois de la présidentielle. Pour l’armée malienne, pas de doute : la réouverture du dossier touareg est liée au conflit libyen et au retour d’anciens mercenaires touaregs qui avaient été enrôlés au sein de la Légion islamique de Mouammar Kadhafi.
Comprendre les Touaregs, à travers
… le regard des artistes
1°) D'après moi, ces images ont été créées pour inciter les occidentaux à partir dans les pays du Sahara. En effet, ces photographies et ces peintures représentent la vie des Touaregs et leurs traditions. On y voit certaines de leurs pratiques culturelles, ainsi que l'originalité de leur art.
Par ailleurs, les photographies de Raymond Depardon ne montrent pas du tout la même réalité: on voit la misère, la pauvreté, la sécheresse de l'Algérie( 1974 ). Ces photographies montrent la souffrance qu'ont endurées les Touaregs pendant cette période de sécheresse ( enfants morts et images bouleversantes ).
2°)
On a Choisi cette image car elle nous montre bien la pauvreté des touaregs
… le regard des artistes
1°) D'après moi, ces images ont été créées pour inciter les occidentaux à partir dans les pays du Sahara. En effet, ces photographies et ces peintures représentent la vie des Touaregs et leurs traditions. On y voit certaines de leurs pratiques culturelles, ainsi que l'originalité de leur art.
Par ailleurs, les photographies de Raymond Depardon ne montrent pas du tout la même réalité: on voit la misère, la pauvreté, la sécheresse de l'Algérie( 1974 ). Ces photographies montrent la souffrance qu'ont endurées les Touaregs pendant cette période de sécheresse ( enfants morts et images bouleversantes ).
2°)
On a Choisi cette image car elle nous montre bien la pauvreté des touaregs
Le Voyage de Marina.
par Mathieu, Lucie, Prisca et Elodie
L'appréhension..
10/01/12
Je suis dans l'avion, dans 30 minutes, je serai sur la terre ferme. J'appréhende mon voyage au Sahara. Comment les Touaregs vont me voir ? Seront-ils accueillants ? C'est comment le Sahara, est-ce aussi chaud qu'on le dit ? Je suis impatiente de savoir, étant ma première expérience dans le désert. Faut dire que ça me fait peur que et que je suis anxieuse, j'espère que tout ira bien.
Un coup de fil à 3 millions..
15/01/12
5eme jour dans le Sahara; je suis dans une tente, il est 8h du matin. Dans la nuit du 12 au 13 j'ai reçu un coup de fil de mon notaire m'annonçant la mort de mon père, lui qui fut trop absent dans ma vie. Je suis sans peine, mais je suis surprise car il m'a cédé tous les biens de son entreprise de pétrole, pour un total de 3millions d'euros. Je n'ai pas besoin de cet argent, ce que j'ai me suffit. Mais pourquoi pas en garder pour ma famille, et faire don du reste aux touaregs qui en ont plus besoin que moi ? Je leur annoncerai dans l'après midi, ces gens me touche énormément.
Annonce et disparition
16/01/12
6eme jour dans le Sahara,je suis devant la tente et il est 9h du matin.
hier j'ai annoncé aux Touaregs que je leur donnais mon argent. Seulement, ça ne s'est pas déroulé comme prévu.Quand Manel est parti manger , il n' est pas revenu. On l' a tous cherché pendant 3 heures, en chameau, en cheval. On a eu vraiment peur. En réalité, il s' était perdu avec sa gamelle.
Fin de voyage..... Pour de bon
29/01/12
J' étais sensé retourné a l' aéroport en 4*4, mais au bout de 20 min de route, il est tombé en panne. Le moteur a pris trop de sable et nous somme restés là 15 min en essayant de le redémarrer. Je ne peu pas attendre plus longtemps, le moteur a plus de problèmes qu' on le pensait. Alors il a fallut qu' on prennent les dromadaires, mais pour cela on a du retournés au campement à 10min de marche pour les récupérés. Le trajet aurait du prendre 45min, mais il nous a fallut 1h30, et à quelques minutes près, je ratais mon avion.
10/01/12
Je suis dans l'avion, dans 30 minutes, je serai sur la terre ferme. J'appréhende mon voyage au Sahara. Comment les Touaregs vont me voir ? Seront-ils accueillants ? C'est comment le Sahara, est-ce aussi chaud qu'on le dit ? Je suis impatiente de savoir, étant ma première expérience dans le désert. Faut dire que ça me fait peur que et que je suis anxieuse, j'espère que tout ira bien.
Un coup de fil à 3 millions..
15/01/12
5eme jour dans le Sahara; je suis dans une tente, il est 8h du matin. Dans la nuit du 12 au 13 j'ai reçu un coup de fil de mon notaire m'annonçant la mort de mon père, lui qui fut trop absent dans ma vie. Je suis sans peine, mais je suis surprise car il m'a cédé tous les biens de son entreprise de pétrole, pour un total de 3millions d'euros. Je n'ai pas besoin de cet argent, ce que j'ai me suffit. Mais pourquoi pas en garder pour ma famille, et faire don du reste aux touaregs qui en ont plus besoin que moi ? Je leur annoncerai dans l'après midi, ces gens me touche énormément.
Annonce et disparition
16/01/12
6eme jour dans le Sahara,je suis devant la tente et il est 9h du matin.
hier j'ai annoncé aux Touaregs que je leur donnais mon argent. Seulement, ça ne s'est pas déroulé comme prévu.Quand Manel est parti manger , il n' est pas revenu. On l' a tous cherché pendant 3 heures, en chameau, en cheval. On a eu vraiment peur. En réalité, il s' était perdu avec sa gamelle.
Fin de voyage..... Pour de bon
29/01/12
J' étais sensé retourné a l' aéroport en 4*4, mais au bout de 20 min de route, il est tombé en panne. Le moteur a pris trop de sable et nous somme restés là 15 min en essayant de le redémarrer. Je ne peu pas attendre plus longtemps, le moteur a plus de problèmes qu' on le pensait. Alors il a fallut qu' on prennent les dromadaires, mais pour cela on a du retournés au campement à 10min de marche pour les récupérés. Le trajet aurait du prendre 45min, mais il nous a fallut 1h30, et à quelques minutes près, je ratais mon avion.
Voyage chez les Touaregs
par Eryl, Marvyn et Lilia
Lundi 03 Août 2011
Assis dans l'aéroport, je contemplais les passants avec impatience. Je me projetais déjà un plein désert du Sahara, le sable fin glissant entre mes mains. Je ne pouvais attendre ce moment plus longtemps. Je me levais, ronger par la nervosité et vérifiai une énième foi le tableau des horaires. Il avait 2 heures de retard ! Ce n'est pas grave, mon rêve aurait grandi d'ici là. Je fermai les yeux et m'imaginai déjà le regard de ce peuple riche en culture qui m'intriguait tellement. Tant leur indépendance forgeait une force entre eux qu'ils m'attiraient et me donnait envie de les découvrir. Je voyais ces hommes; paisibles sur leurs chameaux, vêtues de toiles et de "toges". Peut-être un targui m’accueillera t-il sur son animal ? J'aurais voulu loger dans une de ces tentes, m'isolant du froid glacial qui traversait le désert chaque nuit.
Mardi 18 Août 2011
Voilà maintenant 2 semaines que je vis en compagnie des touaregs. Mon interprète et moi parcourons les terres de ce vaste pays en quête de savoir et de découverte.
Ce matin-là, je fus réveillé par des cris incessants. Un de ces paisibles nomades était grièvement blessé au niveau du pied. Je conclus à la vue d'une pierre ensanglantée qu'elle était à l'origine de l'accident.
Je paniquai. Où était mon interprète ? Aucune trace depuis hier soir. Il avait disparu. Comment allai-je prévenir le chef et surtout aider le blessé sans aucune notion de leur langage ?
Une idée me vint à l'esprit lorsque j'aperçus un bâton non loin de la victime. Je parcourus le sable du bout de mon bâton et dessinai des formes susceptibles de correspondre à la scène que je vis auparavant et que le chef pourrait comprendre. Quelques instants plus tard, ce dernier, isolé dans sa tente, semblait avoir compris mes allusions. Ainsi le problème fût rapidement résolu grâce à multiples méthodes de soins et de guérison propres à leurs pratiques. Je notai à moi-même de réutiliser ce système d'écriture sur le sable en cas d'urgence comme celle-ci.
Samedi 22 septembre 2011 - Aéroport...
Ca y est. C'est le jour du départ et je suis excité. Cependant, j'éprouve un petit pincement au cœur pendant que je range mes affaires dans le coffre de la voiture. Cet environnement allait bel et bien me manquer.
Après avoir embarqué dans le véhicule, nous parcourûmes quelques kilomètres dans le désert. Soudain, le 4x4 ralentit progressivement jusqu'à immobilisation complète. Je suivis les autres passagers dehors afin de constater l'ampleur des dégats. Nous remarquâmes rapidement qu'une masse importante de sable était coincée dans le pot d'échappement ainsi que le moteur.
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