Rencontre avec l'Autre
Consignes données aux élèves:
Vous écrirez ou réaliserez en vidéo la première rencontre entre les humains et une race d'extra-terrestres. Cette rencontre devra mettre en avant ce qui fait la particularité des êtres humains dans leur rencontre avec l'Autre.
Vous pourrez vous inspirer de l'extrait de Voltaire, tiré de Micromégas.
Les textes des élèves n'ont pas été modifiés par le professeur.
Vous écrirez ou réaliserez en vidéo la première rencontre entre les humains et une race d'extra-terrestres. Cette rencontre devra mettre en avant ce qui fait la particularité des êtres humains dans leur rencontre avec l'Autre.
Vous pourrez vous inspirer de l'extrait de Voltaire, tiré de Micromégas.
Les textes des élèves n'ont pas été modifiés par le professeur.
Chaïma K. et Sara B.
Par une nuit de pleine lune, Charles, 25 ans, se promenait dans la forêt canadienne. Aidé d'une lampe torche, il admirait la vue magnifique qu'offrait ce paysage. Lorsque soudain il entendit des bruits effrayants venant du ciel, étant prit dans un brouillard il ne distinguait plus où il mettait les pieds. Les bruits devenaient de plus en plus forts, il fut prit d'une peur qui le tétanisa. Quand il aperçut des lumières inquiétantes. Mais en homme courageux il se persuada d'aller voir cet étrange phénomène. Au bout de quelques minutes de marche périlleuse il tomba nez à nez avec un vaisseau spatial, il n'en crut pas ses yeux. Une porte s'ouvrit et une fumée épaisse s'en dégagea. Après quelques secondes de troubles interminables il vit une silhouette difforme sortir du vaisseau. Prit d'effroi, Charles se mit à hurler, l'extraterrestre le fixa de ses yeux noirs et globuleux. Pris d'horreur, l'extraterrestre change de couleurs, il passa du gris foncé au vert pour se fondre dans la forêt afin d'être invisible aux yeux de Charles. Ce dernier se rendant compte que l'extraterrestre était aussi terrifié que lui, il comprit que la situation était ridicule. Charles fait comprendre à l'extraterrestre qu'il ne lui veut aucun mal. Les deux individus commencèrent à se rapprocher l'un de l'autre prudemment. L'Alien reprend sa couleur et parle à son tour mais Charles ne le comprend de même que l'alien ne l'a pas comprit. Ils décidèrent de s'approcher l'un de l'autre de manière pacifique mais Charles en voulant chasser une abeille qui lui tournait autour il fit un mouvement brusque et l'Alien crut qu'il voulait l'attaquer et donc il lui sauta dessus et lui arracha la tête. La morale de cette histoire est que la différence et l’incompréhension peuvent pousser un individu quel qu'il soit à la barbarie.
Fanny B., Coralie T. et Julia V.
Mathilde Kingston est une scientifique envoyée par la NASA pour explorer de nouvelles terres sur l'Extra-Planète. Dans son journal de bord elle écrit :
Lorsque je fis mon premier pas sur cette planète, je sentis l’excitation s'emparer de moi.
Je regardais autour de moi et découvrais pour la première fois cette terre dont j'avais tant rêvé.
Une odeur de souffre m'envahis alors les narines ce qui attira mon attention vers des cratères débordants de lave. La chaleur était suffocante je la sentais même à travers la combinaison thermique qui me protégeait.
Rien sur cette planète ne m'était familier et encore moins cet être étrange que je n'avais pas vu venir vers moi. Il n'arrivait pas plus haut que mes jambes, mais était sûrement deux fois plus large que moi. Son corps était recouvert d'une sorte de peau plutôt foncée, qui paraissait très épaisse, et il avait de grands yeux violets. Je fut surprise en le voyant mais il me suffit de garder mon calme et de l'analyser pour comprendre ce qu'il se passait. La créature portait autour de la taille, un pagne d'une matière qui m'était inconnue en guise de seul vêtement.
Après notre brève rencontre, l’extraterrestre me fit un signe de l’orteil afin de le suivre.
Nous nous dirigeâmes vers un des nombreux cratères qui nous entouraient. J’étais à la fois étonnée et apeurée à l’idée de ce que je pourrais bien y découvrir. C’est alors que j’aperçus un village qui n’avait rien de semblable à ceux que l’on peut trouver sur la planète Terre.
Ils vivaient en communauté au cœur du cratère d’un volcan endormi. Leurs lieux d’habitations étaient d’une particularité qu’aucune langue humaine ne pourrait décrire. Il tenta alors vainement de m’expliquer quelques-uns de ses passe-temps, en accompagnant ses gestes brusques d’une sorte de balle octogonale. Ensuite, il me guida vers un sentier où je pus alors admirer la beauté resplendissante de leur nature. A la fois si douce et si sauvage. En se baissant, il ramassa un insecte visqueux et jaunâtre. Il le pressa alors dans ses doigts et en fit sortir un liquide épais qu’il versa dans une feuille qu’un autre recourber dans ses mains. Lorsqu’il finit de le boire, il prit la feuille et commença à se frotter les mains. La feuille se décomposa alors tout en créant une mousse compacte. Je compris qu’ils vivaient ainsi en alchimie avec leur nature
À force de les observer, je sentais une fascination grandissante pour ce peuple.
Leur communauté ne ressemblait à aucune civilisation humaine.
Ils n’étaient pas unis par les mêmes liens que nous, les notions de famille, d'amis, ou d’ennemis leur semblaient étrangères. Seul le Monde autour d'eux, trouvait grâce à leurs yeux. Il y avait quelque chose de singulier à les voir rendre ainsi hommage à la terre qui les avait crée. Leur monde n'était pas régit par les même lois que nous, peu leur importaient les biens matériels qui nous contrôlent.
Mais ce qui me frappa aussi fut les relations qu'ils entretenaient entre-eux. Il n'y avait chez eux aucune prédominance des forts sur le faibles, tous semblait égaux, identiques même. Les différences de sexe, d'âge n'étaient pas perceptibles si bien que chacun était parfaitement intégré à la communauté. Ensemble ils formaient un tout.
Et mon arrivé parmi eux ne semblait pas les perturber le moins du monde. On aurait pu supposer que l'apparition d'une étrangère les effraie, ou au moins qu'elle suscite leur curiosité, mais non !
Chacun continuait de vaquer à ses occupations, et de temps en temps certains me regardaient et clignaient quatre fois leurs grands yeux, comme pour me saluer. Bien décidée à m’intégrer parmi eux je les imitait alors.
Ils me paraissaient animés par un volonté de fer qui guidait tous leurs gestes. Je ne lisais aucun doute, aucune crainte sur leurs visages mais plutôt de la sagesse. Ce peuple que je commençais tout juste à découvrir m'apparût alors comme infiniment plus expérimenté que moi, comme si ils avaient conscience de choses que j'ignorais.
Lorsque je fis mon premier pas sur cette planète, je sentis l’excitation s'emparer de moi.
Je regardais autour de moi et découvrais pour la première fois cette terre dont j'avais tant rêvé.
Une odeur de souffre m'envahis alors les narines ce qui attira mon attention vers des cratères débordants de lave. La chaleur était suffocante je la sentais même à travers la combinaison thermique qui me protégeait.
Rien sur cette planète ne m'était familier et encore moins cet être étrange que je n'avais pas vu venir vers moi. Il n'arrivait pas plus haut que mes jambes, mais était sûrement deux fois plus large que moi. Son corps était recouvert d'une sorte de peau plutôt foncée, qui paraissait très épaisse, et il avait de grands yeux violets. Je fut surprise en le voyant mais il me suffit de garder mon calme et de l'analyser pour comprendre ce qu'il se passait. La créature portait autour de la taille, un pagne d'une matière qui m'était inconnue en guise de seul vêtement.
Après notre brève rencontre, l’extraterrestre me fit un signe de l’orteil afin de le suivre.
Nous nous dirigeâmes vers un des nombreux cratères qui nous entouraient. J’étais à la fois étonnée et apeurée à l’idée de ce que je pourrais bien y découvrir. C’est alors que j’aperçus un village qui n’avait rien de semblable à ceux que l’on peut trouver sur la planète Terre.
Ils vivaient en communauté au cœur du cratère d’un volcan endormi. Leurs lieux d’habitations étaient d’une particularité qu’aucune langue humaine ne pourrait décrire. Il tenta alors vainement de m’expliquer quelques-uns de ses passe-temps, en accompagnant ses gestes brusques d’une sorte de balle octogonale. Ensuite, il me guida vers un sentier où je pus alors admirer la beauté resplendissante de leur nature. A la fois si douce et si sauvage. En se baissant, il ramassa un insecte visqueux et jaunâtre. Il le pressa alors dans ses doigts et en fit sortir un liquide épais qu’il versa dans une feuille qu’un autre recourber dans ses mains. Lorsqu’il finit de le boire, il prit la feuille et commença à se frotter les mains. La feuille se décomposa alors tout en créant une mousse compacte. Je compris qu’ils vivaient ainsi en alchimie avec leur nature
À force de les observer, je sentais une fascination grandissante pour ce peuple.
Leur communauté ne ressemblait à aucune civilisation humaine.
Ils n’étaient pas unis par les mêmes liens que nous, les notions de famille, d'amis, ou d’ennemis leur semblaient étrangères. Seul le Monde autour d'eux, trouvait grâce à leurs yeux. Il y avait quelque chose de singulier à les voir rendre ainsi hommage à la terre qui les avait crée. Leur monde n'était pas régit par les même lois que nous, peu leur importaient les biens matériels qui nous contrôlent.
Mais ce qui me frappa aussi fut les relations qu'ils entretenaient entre-eux. Il n'y avait chez eux aucune prédominance des forts sur le faibles, tous semblait égaux, identiques même. Les différences de sexe, d'âge n'étaient pas perceptibles si bien que chacun était parfaitement intégré à la communauté. Ensemble ils formaient un tout.
Et mon arrivé parmi eux ne semblait pas les perturber le moins du monde. On aurait pu supposer que l'apparition d'une étrangère les effraie, ou au moins qu'elle suscite leur curiosité, mais non !
Chacun continuait de vaquer à ses occupations, et de temps en temps certains me regardaient et clignaient quatre fois leurs grands yeux, comme pour me saluer. Bien décidée à m’intégrer parmi eux je les imitait alors.
Ils me paraissaient animés par un volonté de fer qui guidait tous leurs gestes. Je ne lisais aucun doute, aucune crainte sur leurs visages mais plutôt de la sagesse. Ce peuple que je commençais tout juste à découvrir m'apparût alors comme infiniment plus expérimenté que moi, comme si ils avaient conscience de choses que j'ignorais.
Fany D. et Océane LG.
C'était un week-end de Juin, nous étions un groupe d'amis, et nous avions décidé d'aller faire du camping sauvage. Après une bonne heure de voiture et 3O minutes de marche, nous avons trouvé une prairie. Nous décidâmes alors d'y installer nos tentes.
J'étais partie chercher du bois un peu plus loin dans la forêt quand soudain, un bruit sourd me fit sursauter.
La seconde d'après, d'étranges lumières apparaissent au loin. Elles se rapprochent de plus en plus jusqu'à ce que je puisse distinguer leur origine. Je suis horrifiée, tétanisée. Devant moi, un vaisseau spatial se pose à quelques mètres et une énorme porte s'ouvre. Une lumière aveuglante m'éblouit. Je reste là quelques secondes sans bouger, le temps que ma vision s'adapte à cette lumière si intense. Deux silhouettes difformes jaillissent dans l'ouverture.
A ce moment, Mathieu et Mégane me rejoignent, alertés par le bruit.
Un des extraterrestres, s'approche de nous. Il commence à parler dans un langage incompréhensible pour mon cerveau de terrien. Malgré le fait que je ne connaisse pas cette étrange langue j'ai l'impression de le comprendre. Je suis comme hypnotisée, je n'arrive plus à bouger.
Je me retourne : Mégane est déjà partie, elle a dû fuir. Quant à Mathieu, je le vois se diriger en direction d'un extraterrestre une lourde pierre à la main. Il n'est plus qu'à un mètre de l'un des d'eux quand quelque chose l’arrête. C'est assez étrange, il semble comme pétrifié, le bras toujours en l'air.
Le second extraterrestre s'approche de plus en plus de moi. Je m'effondre, commence à paniquer et une larme roule sur ma joue mais je ne sais pas pourquoi. Il n'est plus qu'à quelques centimètres de moi, sa main se tend dans ma direction. Mon instinct me dit de reculer, mais quelque chose me pousse à attraper cette affreuse main inhumaine et répugnante.
Je la saisis. Ma vision se trouble, des images se bousculent dans ma tête. Je vois une planète assez semblable à la nôtre, et cela me trouble. J’aperçois d'autres extraterrestres semblables à ceux que je viens de rencontrer. Leur mode de vie ne me semble pas si différent du nôtre, bien au contraire il parait même plus évolué que nous. Soudain la vision d'une armée d'extraterrestres me glace le sang.
Je rouvre les yeux, terrorisée. Tout a disparu, plus aucune trace de leur passage.
Et si ces visions étaient le seul moyen qu'ils avaient trouvé pour nous prévenir du danger qui pesait sur la Terre ?
J'étais partie chercher du bois un peu plus loin dans la forêt quand soudain, un bruit sourd me fit sursauter.
La seconde d'après, d'étranges lumières apparaissent au loin. Elles se rapprochent de plus en plus jusqu'à ce que je puisse distinguer leur origine. Je suis horrifiée, tétanisée. Devant moi, un vaisseau spatial se pose à quelques mètres et une énorme porte s'ouvre. Une lumière aveuglante m'éblouit. Je reste là quelques secondes sans bouger, le temps que ma vision s'adapte à cette lumière si intense. Deux silhouettes difformes jaillissent dans l'ouverture.
A ce moment, Mathieu et Mégane me rejoignent, alertés par le bruit.
Un des extraterrestres, s'approche de nous. Il commence à parler dans un langage incompréhensible pour mon cerveau de terrien. Malgré le fait que je ne connaisse pas cette étrange langue j'ai l'impression de le comprendre. Je suis comme hypnotisée, je n'arrive plus à bouger.
Je me retourne : Mégane est déjà partie, elle a dû fuir. Quant à Mathieu, je le vois se diriger en direction d'un extraterrestre une lourde pierre à la main. Il n'est plus qu'à un mètre de l'un des d'eux quand quelque chose l’arrête. C'est assez étrange, il semble comme pétrifié, le bras toujours en l'air.
Le second extraterrestre s'approche de plus en plus de moi. Je m'effondre, commence à paniquer et une larme roule sur ma joue mais je ne sais pas pourquoi. Il n'est plus qu'à quelques centimètres de moi, sa main se tend dans ma direction. Mon instinct me dit de reculer, mais quelque chose me pousse à attraper cette affreuse main inhumaine et répugnante.
Je la saisis. Ma vision se trouble, des images se bousculent dans ma tête. Je vois une planète assez semblable à la nôtre, et cela me trouble. J’aperçois d'autres extraterrestres semblables à ceux que je viens de rencontrer. Leur mode de vie ne me semble pas si différent du nôtre, bien au contraire il parait même plus évolué que nous. Soudain la vision d'une armée d'extraterrestres me glace le sang.
Je rouvre les yeux, terrorisée. Tout a disparu, plus aucune trace de leur passage.
Et si ces visions étaient le seul moyen qu'ils avaient trouvé pour nous prévenir du danger qui pesait sur la Terre ?
Radija D. et Marion C.
En 2057 la NASA ordonne l'envoie d'un vaisseau spatial sur la planète Zorg pour conquérir de nouvelles terres. Dès notre arrivée nous furent choyés par les habitants de cette planète, nous découvrîmes une nouvelle culture et un mode de vie particulier et sauvage pour les humains. Se rendant compte de la naïveté et de la vulnérabilité de ces derniers nous n'avions même pas eu recours à la force ou aux négociations, il nous suffisait juste de leur promettre l'instruction des nouvelles technologies pour s'emparer de leur territoire. Nous avons donc planté des drapeaux pour attribuer à chaque pays des terres. Prenant conscience de ce qu'ils leur arrivait les habitants se révoltèrent. Nous fîmes donc recours à la force ! Après un massacre sanglant les zorgiens se rendirent compte qu'ils ne faisaient pas le poids et cédèrent à la pression.
Quelques mois plus tard nous rentrâmes sur la planète Terre et informâmes les terriens de la brutalité des habitants de la planète Zorg ainsi que de leur sous-culture irrespectueuse. Pour finir le gouvernement prit la décision de ramener ces extra-terrestres sur la Terre et de les réduire en esclavage.
Quelques mois plus tard nous rentrâmes sur la planète Terre et informâmes les terriens de la brutalité des habitants de la planète Zorg ainsi que de leur sous-culture irrespectueuse. Pour finir le gouvernement prit la décision de ramener ces extra-terrestres sur la Terre et de les réduire en esclavage.
Pierre D. et Angélique C.
Jhana G. et Thomas S.
Jean est un humain quelconque, vivant à Nice. C'est un pecheur et à une petite famille et n'est pas très malin. Il a un nez diforme mais un visage plutôt correct dans l'ensemble. Il est plutôt fort de nature.
Lors de l'une de ses sorties hebdomadaires pour aller pêcher, il vit une forme légérement cubique a l'horizon, elle brillait et on aurait dit un vaisseaux, elle semblait faire rougir la terre et transformer l'eau.
Jean est reputé pour etre trés curieux, alla sans hesitations voir cette chose lointaine. En se rapprochant, il cru distinguer une quelqu'onque forme de vie car elle se déplaçait lentement mais surement vers lui, Jean s'avanca doucement lui aussi.
De plus en plus proche il voit l'etre vivant qu'il avait distinguer auparavant grossir et prenants des formes et posture completement étonnante qu'aucun etre humain aurait pu realiser.
Il se demanda alors si une nouvelle forme de vie avait pu éclore sur sa tendre planète si dieu avait pu creer une nouvelle espece, cependant lorqu'il fut face à la forme , il distingua seulement une grosse masse veulue protégé a certains endroits d'une carapace, elle ressemblait à un monstre dans un film avec ses tentacules, à ce moment là elle toucha et recouvra l'intégralité du crâne de l'humain, à ce moment là les deux savaient tout sur l'autre. Ils se semblaient s'etre connus depuis toujours.
Seulement leurs proximité et leurs amitié ne pu durer en raison des enormes diffenrences qu'ils avaient.
Jean eut de l'hésitation, il ne savait pas si il devait les cacher ou les faire découvrir au monde entier, car ils ne sont que des explorateurs, mais le passé de l'humanité sur la découverte d'autres peuple ne pourrait que rendre méfiant d'autres humains.
l'extraterrestre pouvait désormais guidé Jean, lui partageait ses pensées, Jean se demandait si la gloire d'une telle découverte le tuerait, ce serait un boulversement pour l'humanité, elle qui n'est jamais aller plus loin que la lune, qui a déjà était remis en question, les religions seraient alors discrédibiliser, car dieu n'a creer que l'homme à son image et il est censé n'être que la seul espece intelligente.
Cependant, jean sentait autre chose que la communication de l'alien en lui, il sentait comme un picotement, des visions comme si il voyait depuis l'alien, il avait l'impression d'être relié physiquement et psychologiquement.
Jean éprouva la peur, il ne pouvaient pas imaginer qu'un être venu d'ailleurs pouvait prendre possesion de son corps, cependant le processus pouvait être inversé et le cours des choses différent, Jean pris sa décision en pensant sauver l'humanité à lui tout seul, il força l'extraterrestre a lui donner des informations et le faire retourner dans son vaissaux, avec lui, il alla sur sa planète, le voyage fut très rapide.
A son arrivé il découvrit un peuple gouverné par un seul être, c'est à ce moment la que jean fut pris sous le contrôle de la chose qui l'enmenna devant une forme d'authorité.
il fit comprendre alors a jean que son heure avait sonné et que son comportement prouvait le danger que représenterait les humains dans les siècles à venir, une menace qu'il fallait éliminé.
Jean ressentait une douleur innimaginable, ses articulations se plier, son corps se faisait transpercé, il ne pouvait plus repirer, une odeur affreuse emplissait son nez ses membres était sur le poitn de s'arracher.
Lors de l'une de ses sorties hebdomadaires pour aller pêcher, il vit une forme légérement cubique a l'horizon, elle brillait et on aurait dit un vaisseaux, elle semblait faire rougir la terre et transformer l'eau.
Jean est reputé pour etre trés curieux, alla sans hesitations voir cette chose lointaine. En se rapprochant, il cru distinguer une quelqu'onque forme de vie car elle se déplaçait lentement mais surement vers lui, Jean s'avanca doucement lui aussi.
De plus en plus proche il voit l'etre vivant qu'il avait distinguer auparavant grossir et prenants des formes et posture completement étonnante qu'aucun etre humain aurait pu realiser.
Il se demanda alors si une nouvelle forme de vie avait pu éclore sur sa tendre planète si dieu avait pu creer une nouvelle espece, cependant lorqu'il fut face à la forme , il distingua seulement une grosse masse veulue protégé a certains endroits d'une carapace, elle ressemblait à un monstre dans un film avec ses tentacules, à ce moment là elle toucha et recouvra l'intégralité du crâne de l'humain, à ce moment là les deux savaient tout sur l'autre. Ils se semblaient s'etre connus depuis toujours.
Seulement leurs proximité et leurs amitié ne pu durer en raison des enormes diffenrences qu'ils avaient.
Jean eut de l'hésitation, il ne savait pas si il devait les cacher ou les faire découvrir au monde entier, car ils ne sont que des explorateurs, mais le passé de l'humanité sur la découverte d'autres peuple ne pourrait que rendre méfiant d'autres humains.
l'extraterrestre pouvait désormais guidé Jean, lui partageait ses pensées, Jean se demandait si la gloire d'une telle découverte le tuerait, ce serait un boulversement pour l'humanité, elle qui n'est jamais aller plus loin que la lune, qui a déjà était remis en question, les religions seraient alors discrédibiliser, car dieu n'a creer que l'homme à son image et il est censé n'être que la seul espece intelligente.
Cependant, jean sentait autre chose que la communication de l'alien en lui, il sentait comme un picotement, des visions comme si il voyait depuis l'alien, il avait l'impression d'être relié physiquement et psychologiquement.
Jean éprouva la peur, il ne pouvaient pas imaginer qu'un être venu d'ailleurs pouvait prendre possesion de son corps, cependant le processus pouvait être inversé et le cours des choses différent, Jean pris sa décision en pensant sauver l'humanité à lui tout seul, il força l'extraterrestre a lui donner des informations et le faire retourner dans son vaissaux, avec lui, il alla sur sa planète, le voyage fut très rapide.
A son arrivé il découvrit un peuple gouverné par un seul être, c'est à ce moment la que jean fut pris sous le contrôle de la chose qui l'enmenna devant une forme d'authorité.
il fit comprendre alors a jean que son heure avait sonné et que son comportement prouvait le danger que représenterait les humains dans les siècles à venir, une menace qu'il fallait éliminé.
Jean ressentait une douleur innimaginable, ses articulations se plier, son corps se faisait transpercé, il ne pouvait plus repirer, une odeur affreuse emplissait son nez ses membres était sur le poitn de s'arracher.
Chloé M., Maëva O., Morgane R., Kelly S.
Dès l'aube, un vaisseau extraterrestre s'écrasa dans une ville du nom de Springfield. Un pécheur aperçu cet étrange ovni et trouvant cela curieux, décida d'aller voir ce qui se passait. Arrivé sur place il découvrit avec méfiance une créature.
Le pécheur et l'alien s'approchèrent pour se retrouver face a face. Ils se contemplèrent mutuellement, l'alien alors toucha le crâne de l'homme afin de pouvoir lire ses pensées et son passé. Alors l'alien surpris d'apprendre les atrocités que l'Homme pouvait accomplir sur sa Terre, il lui dit :
- J'ai vu vos actes passé. Ils vous paraissent banaux mais ils ont des répercutions au delà de ce que vous pouvez imaginer. A travers tes pensées j'ai ressentis de la violence, de la brutalité et la barbarie des guerres passées.
La race humaine se meure et la planète se dégrade.
Nous sommes descendu sur terre dans un but précis : cohabiter en harmonie avec vous.
Si nous avons quitté notre planète, ce n'est pas sans raison. A force de pollution, notre planète s'est dégradée et a finis par être inhabitable. La terre est encore viable, il faut préserver cet écosystème.
Le pécheur et l'alien s'approchèrent pour se retrouver face a face. Ils se contemplèrent mutuellement, l'alien alors toucha le crâne de l'homme afin de pouvoir lire ses pensées et son passé. Alors l'alien surpris d'apprendre les atrocités que l'Homme pouvait accomplir sur sa Terre, il lui dit :
- J'ai vu vos actes passé. Ils vous paraissent banaux mais ils ont des répercutions au delà de ce que vous pouvez imaginer. A travers tes pensées j'ai ressentis de la violence, de la brutalité et la barbarie des guerres passées.
La race humaine se meure et la planète se dégrade.
Nous sommes descendu sur terre dans un but précis : cohabiter en harmonie avec vous.
Si nous avons quitté notre planète, ce n'est pas sans raison. A force de pollution, notre planète s'est dégradée et a finis par être inhabitable. La terre est encore viable, il faut préserver cet écosystème.