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La « genèse » de l'oeuvre avec les échanges entre les participants est visible sur :
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De la mer à la terre
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Les enfants de demain aux yeux plein de mirages,
Portés par leur noble courage, front haut, cœur pur,
Feront fi de leurs peurs, tenteront l'aventure.
Nous nous embarquions donc vers de nouveaux voyages
Afin de découvrir nombre de paysages.
Tranquilles, nous rêvassions sur le pont,
Voulant toujours aller plus loin que l'horizon.
Montant doucement, ce vent gonflait là nos voiles,
Nous naviguions alors, bercés par les étoiles.
A l'aube, nous sommes partis dès le matin
Tout en voguant en direction d'un beau chemin.
De l'horizon, nous observons les oisillons.
Du soleil ! Nous nous réchaufons d'un doux rayon.
L'un d'entre nous dort, il est en train de rêver,
Et là un autre rit, apprend à espérer,
Dans l'espoir d'une arrivée tranquille et paisible
Et d'une fin des plus agréables possibles.
Le rêve ne pouvant pas se réaliser,
Nous nous devions de continuer l'épopée,
Dans le vent, le froid, nous devions persévérer.
L'entraide nous sera la meilleure alliée
Pour qu'à la fin plus grande soit la renommée.
Nuit et jour nous rêvions de mondes ignorés,
Et des îles gorgées de couleurs scintillantes
Qui nous empliraient d'émotions débordantes.
Tel un roman notre destin était écrit.
Pourtant le voyage était loin d'être fini.
Mais le commencement semblait si loin de nous,
Alors que nous pensions être proches de tout,
Pour former tous ensemble un être unique : Nous.
Sur l'île des rêves nous arrivons enfin.
Pieds sur terre, tendons la main vers le destin.
Dans ce même rêve nous étions unis,
Face au nouveau monde, notre joie infinie
Ne cesse de grandir. Un rayon lumineux
Provenant du soleil vient traverser nos yeux.
Cette île aussi belle que le divin Jardin,
Où nous mettions en route ce futur destin,
Qui nous paraît idyllique et sans limite,
Voyant les montagnes pleines d'apatite,
Cristaux sublimes aux mille éclats, nous prîmes
Le parti de monter jusqu'aux plus hautes cimes.
Le paysage éblouissant réchaufait
Nos cœurs épuisés par ce fatigant trajet.
Malheureusement il fallut se reposer
Car notre humanité nous avait rattrapés.
Réveillés par l'étrange aurore boréale
Et par le cri assourdissant d'un animal,
Crocs tranchants, regard dévorant, souffle puissant,
Nous étions pétrifiés par cet être terrifiant.
Nous devions nous en sortir ou sinon périr.
Après cette aventure, on ne peut pas mourir.
Face au courage dégagé, il prit la fuite.
Pour ne pas qu'il revienne nous nous abritons vite.
Nous étions tous cachés, à l'abri du danger.
Agressive de par la peur qui la rongeait,
Cette nature il fallait l'aider et l'apaiser,
La calmer et la soigner pour l'éternité.
Cela fait il ne restait plus qu'à espérer.
Allions-nous mourir ou vivre ? La peur nous prenait.
Là, il fallait en finir à tout prix,
Oublier et ne plus penser à tout ceci.
Puis soudain un cri retentit. Mais qu'était-ce ?
C'est l'appel d'une île que le Bien délaisse.
Notre monde était censé être si parfait,
Mais sans innocence, c'est un peuple défait.
Des adultes, voilà le vrai fond du problème,
L'innocence des enfants, voilà ce que l'on aime.
L'avions-nous perdue ou était-elle toujours là ?
Présente en notre âme, dans ce monde, ici-bas,
Cachée au fond de notre être, qui se perdait,
Epuisés, par la quête de la liberté.
Cependant toute âme peut être purifiée,
C'est l'absolution qu'il fallait réaliser.
Par notre unité nous apportâmes la paix.
Ainsi l'île connut enfin la liberté,
Grâce à notre courage et notre volonté,
La joie et les sourires furent retrouvés.
Au fond, nous savions que ça n'allait pas durer.
Nous sentions que quelque chose allait arriver.
Il était proche et il allait tout changer.
Soudain, un son répétitif et assez fort
Nous fit ouvrir les yeux et réveilla nos corps
Nous venions de sortir du ventre maternel.
Poètes : classe de 2°16 – Anaïs Salavouras, Victor Grandau, Jessica Torzuoli, Thien-Anne Sananikone, Tifany Debergue, Aurélia Ajdérian, Karen Bavré, Ester Lossi, Laure Pelissero, Theos Mariani, Thibault Boudoux, Kelly Rolfo, Aniss Karman, Syrin Bouhajeb, Mohamed Ben Hadj Sghaier, Alexandra Counille, Amani Chaabane, Alexia Claverie, Aymeric Balossi, Guillaume Lambert, Anaïs Béchu, Térence Elles, Nicolas Honquert, Stéphanie Exposito, Azer Rabah ; Michèle Caine ; Delphine Regnard ; A. Fleury, ; Amélie; Carine Ossard ; Delphine Imbert ; Pascale Pérez... et Alphonse de Lamartine.
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De la mer à la terre
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Les enfants de demain aux yeux plein de mirages,
Portés par leur noble courage, front haut, cœur pur,
Feront fi de leurs peurs, tenteront l'aventure.
Nous nous embarquions donc vers de nouveaux voyages
Afin de découvrir nombre de paysages.
Tranquilles, nous rêvassions sur le pont,
Voulant toujours aller plus loin que l'horizon.
Montant doucement, ce vent gonflait là nos voiles,
Nous naviguions alors, bercés par les étoiles.
A l'aube, nous sommes partis dès le matin
Tout en voguant en direction d'un beau chemin.
De l'horizon, nous observons les oisillons.
Du soleil ! Nous nous réchaufons d'un doux rayon.
L'un d'entre nous dort, il est en train de rêver,
Et là un autre rit, apprend à espérer,
Dans l'espoir d'une arrivée tranquille et paisible
Et d'une fin des plus agréables possibles.
Le rêve ne pouvant pas se réaliser,
Nous nous devions de continuer l'épopée,
Dans le vent, le froid, nous devions persévérer.
L'entraide nous sera la meilleure alliée
Pour qu'à la fin plus grande soit la renommée.
Nuit et jour nous rêvions de mondes ignorés,
Et des îles gorgées de couleurs scintillantes
Qui nous empliraient d'émotions débordantes.
Tel un roman notre destin était écrit.
Pourtant le voyage était loin d'être fini.
Mais le commencement semblait si loin de nous,
Alors que nous pensions être proches de tout,
Pour former tous ensemble un être unique : Nous.
Sur l'île des rêves nous arrivons enfin.
Pieds sur terre, tendons la main vers le destin.
Dans ce même rêve nous étions unis,
Face au nouveau monde, notre joie infinie
Ne cesse de grandir. Un rayon lumineux
Provenant du soleil vient traverser nos yeux.
Cette île aussi belle que le divin Jardin,
Où nous mettions en route ce futur destin,
Qui nous paraît idyllique et sans limite,
Voyant les montagnes pleines d'apatite,
Cristaux sublimes aux mille éclats, nous prîmes
Le parti de monter jusqu'aux plus hautes cimes.
Le paysage éblouissant réchaufait
Nos cœurs épuisés par ce fatigant trajet.
Malheureusement il fallut se reposer
Car notre humanité nous avait rattrapés.
Réveillés par l'étrange aurore boréale
Et par le cri assourdissant d'un animal,
Crocs tranchants, regard dévorant, souffle puissant,
Nous étions pétrifiés par cet être terrifiant.
Nous devions nous en sortir ou sinon périr.
Après cette aventure, on ne peut pas mourir.
Face au courage dégagé, il prit la fuite.
Pour ne pas qu'il revienne nous nous abritons vite.
Nous étions tous cachés, à l'abri du danger.
Agressive de par la peur qui la rongeait,
Cette nature il fallait l'aider et l'apaiser,
La calmer et la soigner pour l'éternité.
Cela fait il ne restait plus qu'à espérer.
Allions-nous mourir ou vivre ? La peur nous prenait.
Là, il fallait en finir à tout prix,
Oublier et ne plus penser à tout ceci.
Puis soudain un cri retentit. Mais qu'était-ce ?
C'est l'appel d'une île que le Bien délaisse.
Notre monde était censé être si parfait,
Mais sans innocence, c'est un peuple défait.
Des adultes, voilà le vrai fond du problème,
L'innocence des enfants, voilà ce que l'on aime.
L'avions-nous perdue ou était-elle toujours là ?
Présente en notre âme, dans ce monde, ici-bas,
Cachée au fond de notre être, qui se perdait,
Epuisés, par la quête de la liberté.
Cependant toute âme peut être purifiée,
C'est l'absolution qu'il fallait réaliser.
Par notre unité nous apportâmes la paix.
Ainsi l'île connut enfin la liberté,
Grâce à notre courage et notre volonté,
La joie et les sourires furent retrouvés.
Au fond, nous savions que ça n'allait pas durer.
Nous sentions que quelque chose allait arriver.
Il était proche et il allait tout changer.
Soudain, un son répétitif et assez fort
Nous fit ouvrir les yeux et réveilla nos corps
Nous venions de sortir du ventre maternel.
Poètes : classe de 2°16 – Anaïs Salavouras, Victor Grandau, Jessica Torzuoli, Thien-Anne Sananikone, Tifany Debergue, Aurélia Ajdérian, Karen Bavré, Ester Lossi, Laure Pelissero, Theos Mariani, Thibault Boudoux, Kelly Rolfo, Aniss Karman, Syrin Bouhajeb, Mohamed Ben Hadj Sghaier, Alexandra Counille, Amani Chaabane, Alexia Claverie, Aymeric Balossi, Guillaume Lambert, Anaïs Béchu, Térence Elles, Nicolas Honquert, Stéphanie Exposito, Azer Rabah ; Michèle Caine ; Delphine Regnard ; A. Fleury, ; Amélie; Carine Ossard ; Delphine Imbert ; Pascale Pérez... et Alphonse de Lamartine.