Le personnage de roman, du XVIIè à nos jours
Ecriture d'une micronouvelle
Consignes de l'activité données aux élèves
Vous écrirez une micro-nouvelle. Cette micro-nouvelle comportera entre 6 et 120 mots maximum. Elle s'inspirera d'une des six phrases suivantes tirées de L'Etranger :
– « Aujourd'hui, Maman est morte. » (ch. 1)
– « C'est un frôlement qui m'a réveillé. » (ch. 1)
– « Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. » (ch. 6)
– « Déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. » (ch. 1, 2ème partie)
– « Toute la question était de tuer le temps. » (ch. 2, 2ème partie)
– « Comme si les chemins familiers tracés dans les ciels d'été pouvaient mener aussi bien aux prisons qu'aux sommeils innocents. » (ch. 3, 2ème partie)
Vous accompagnerez votre micro-nouvelle de quelques lignes dans lesquelles vous expliquerez vos choix. Votre travail sera à rendre en .odt par e-mail, le 15 novembre.
Définition de la micronouvelle :
La micronouvelle (parfois aussi appelée microroman) est un récit imaginaire, suggestif, parfois caustique, rédigé en un nombre extrêmement restreint de mots. C'est la forme la plus concise de récit littéraire prosaïque, parfois proche du poème par le rythme qu'il imprime.
La rédaction d'une micronouvelle est un art qui dispose de ses caractéristiques propres,
totalement diférentes de celles qui régissent la rédaction d'une nouvelle et même d'une nouvelle brève. En efet, dans une micronouvelle, l'histoire et les personnages, imaginaires, contrairement à d'autres formes de fragments, sont suggérés ou simplement croqués d'un trait plutôt que décrits. Parfois proche de l'aphorisme, souvent incisive, la micronouvelle aime jouer sur les mots, détourner les expressions courantes et faire appel à la culture générale du lecteur. Elle est particulièrement bien adaptée à l'humour noir.
La micronouvelle guide l'imagination du lecteur de façon à ce qu'il puisse lui-même retrouver les diférents composants du récit.
Le terme micronouvelle est parfois employé, dans un sens large, comme synonyme de nouvelle brève, ce qui peut être source de confusion. Dans ce cas, il désigne un texte qui revêt les caractéristiques de la nouvelle et non pas celles qui lui sont propres et qui sont évoquées ci-dessus. L'auteur Jacques Fuentealba relève, entre autres, trois formes de micronouvelles : le Hemingway (6 mots), le Fénéon (3 phrases ou lignes maximum) et le Pépin (300 signes maximum avec le titre). L'écrivain canadien Laurent Berthiaume élargit la micronouvelle à une centaine de mots maximum.
Source : Wikipédia, octobre 2013.
Vous écrirez une micro-nouvelle. Cette micro-nouvelle comportera entre 6 et 120 mots maximum. Elle s'inspirera d'une des six phrases suivantes tirées de L'Etranger :
– « Aujourd'hui, Maman est morte. » (ch. 1)
– « C'est un frôlement qui m'a réveillé. » (ch. 1)
– « Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. » (ch. 6)
– « Déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. » (ch. 1, 2ème partie)
– « Toute la question était de tuer le temps. » (ch. 2, 2ème partie)
– « Comme si les chemins familiers tracés dans les ciels d'été pouvaient mener aussi bien aux prisons qu'aux sommeils innocents. » (ch. 3, 2ème partie)
Vous accompagnerez votre micro-nouvelle de quelques lignes dans lesquelles vous expliquerez vos choix. Votre travail sera à rendre en .odt par e-mail, le 15 novembre.
Définition de la micronouvelle :
La micronouvelle (parfois aussi appelée microroman) est un récit imaginaire, suggestif, parfois caustique, rédigé en un nombre extrêmement restreint de mots. C'est la forme la plus concise de récit littéraire prosaïque, parfois proche du poème par le rythme qu'il imprime.
La rédaction d'une micronouvelle est un art qui dispose de ses caractéristiques propres,
totalement diférentes de celles qui régissent la rédaction d'une nouvelle et même d'une nouvelle brève. En efet, dans une micronouvelle, l'histoire et les personnages, imaginaires, contrairement à d'autres formes de fragments, sont suggérés ou simplement croqués d'un trait plutôt que décrits. Parfois proche de l'aphorisme, souvent incisive, la micronouvelle aime jouer sur les mots, détourner les expressions courantes et faire appel à la culture générale du lecteur. Elle est particulièrement bien adaptée à l'humour noir.
La micronouvelle guide l'imagination du lecteur de façon à ce qu'il puisse lui-même retrouver les diférents composants du récit.
Le terme micronouvelle est parfois employé, dans un sens large, comme synonyme de nouvelle brève, ce qui peut être source de confusion. Dans ce cas, il désigne un texte qui revêt les caractéristiques de la nouvelle et non pas celles qui lui sont propres et qui sont évoquées ci-dessus. L'auteur Jacques Fuentealba relève, entre autres, trois formes de micronouvelles : le Hemingway (6 mots), le Fénéon (3 phrases ou lignes maximum) et le Pépin (300 signes maximum avec le titre). L'écrivain canadien Laurent Berthiaume élargit la micronouvelle à une centaine de mots maximum.
Source : Wikipédia, octobre 2013.
Créations des élèves
Les textes des élèves n'ont pas été modifiés par le professeur.
A. Nicolas
J'ai appelé les pompes-funebres pour organiser l'enterrement .
A partir de Aujourd'hui maman est morte , donc le narrateur va preparer l'enterrement de sa mère .
A. Salomé
« Recherche aide ménagère ou aide a domicile »
Inspiré de "Aujourd'hui, Maman est morte."
B. Fanny
J'ai su que tu mentais dès que tu as ouvert la bouche. Les morts ne parlent pas, je n'ai donc pas dû frapper assez fort.
Pour cette micro-nouvelle je me suis inspirée de l'extrait « Aujourd'hui Maman est morte ».
En effet cette phrase m'a paru, au premier abord, révoltante à cause du manque d'importance que donnait le personnage au décès de sa mère. Il m'a paru aussi froid et calculateur qu'un assassin. J'ai donc choisi de le représenter comme tel.
J'ai utilisé le pronom personnel « tu » pour montrer la proximité entre le meurtrier et sa victime.
Le verbe « mentais » exprime ici un sentiment de reproche.
Le terme « les morts » est très impersonnel, malgré le fait que sa mère fera bientôt partie de cet ensemble. De plus le présent de vérité générale donne une vision de la mort banalisée comme si cette observation était une évidence.
Le verbe « frapper » implique un meurtre par contact physique avec la victime, ce qui renforce la notion de crime inhumain. Enfin, l'adverbe « assez » montre ici la volonté de fer qui anime ce crime, sans la moindre trace de remords.
B. Sara
Un sourire, une âme, une lumière claire et bienveillante dans le regard puis tout a coup il fait sombre il n'y a plus de sourire, plus d’âme, plus de lumière. Il ne reste plus que la froideur de la mort.
Dans cette micro-nouvelle j'ai choisi de laisser parler les sentiments à travers les souvenirs heureux qui contraste avec le malheur qui vient de se produire, le personnage en deuil préfère se souvenir de la personne heureuse mais il est réaliste il sait qu'il ne verra jamais plus ce sourire.
C. Maxime
C'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur, quatre coups qui m'apportaient le sort funeste que j'avais inconsciemment cherché.
Chaque coup de feu m'éloignait de mon destin tragique et me rapprochait d'une destiné que j'avais provoqué, que j'avais choisi. Après avoir décidé à quatre reprise quel serait mon destin, le silence revint et je sentis au dessus de moi les nuages qui venaient chasser la chaleur insoutenable de la scène. J'étais seul avec ma destinée à mes pieds, inerte, et je savais que s'en était fini. Je suis mort, Meursault est mort.
J'ai choisi cette phrase car je trouvais le thème assez explicite. Cette phrase désigne le moment où Meursault va changer et prendre sa vie en main, grâce à cette phrase on pouvait expliquer ce que représentait ces quatres coups de feu, le corps sans-vie de l'arabe, la lumière et la chaleur qui influençaient la vie de Meursault.
C. Marion
Maman partait en vacances je reçus un appel d'elle alors qu'elle était dans le train. Elle me disait qui pleuvait et que la tempête l’inquiétait, j’essayai de la rassurer malgrès la peur dans ma voix. Mais d'un coup j'ai entendu un étonnant bruit, et d'un coup plus rien ! Juste un grésillement incessant...
J'ai choisis de laisser en suspend la fin même s'il est facile de deviner qu'il y a eu un accident de train. Mais on ne sait pas vraiment si la mère est morte ou pas. J'ai fais part de mes sentiments pour que le lecteur puisse s'identifier au personnage.
C. Angélique
Elle s'est éteinte. J'ai perdu mes repères, je me déplace à l'aveugle, c'est si sombre que j'en ai peur. Déposant les fleurs sur ton toit je pense à toi qui est partit la bague au doigts.
"elle s'est etteinte" représente cette femme qui est décédé , "j'ai perdu mes repère" quelle était celle qui le guidé dans le droit chemin, "je me déplace a l'aveugle" représente le fait qu'il ne sait plus ou aller maintenant qu'elle n'est plus la "c'est si sombre que j'en ai peur" que maintenant il a peur de vivre sans elle. "Déposant les fleurs sur ton toit" le "toi" qui représente son cercueil et "je pense a toi qui est partit la bague au doigts" la bague qui représente la bague de fiançailles et qui nous permet de comprendre qu'il s'agissait de sa femme.
J'ai voulu faire référence au début de ma micro nouvelle a la lumière qui s’éteint pour démontrer que le mari suite a la mort de sa femme ne crois plus au divin (représenté par la lumière) qui lui a pris sa femme, mais aussi au corps de cette femme décédé.
D. Fany
Cela faisait maintenant plus d'une heure que les cris à l'étage n'avaient pas cessés, ils étaient de plus en plus forts. Je ne savais pas si je devais intervenir, mon voisin était loin d'être un honnête homme. Finalement je suis monté, j'ai sonné puis j'ai ouvert la porte.
J'ai choisis cette micro nouvelle car elle laisse beaucoup de suspense sur ce qu'il s'est passé avant les cris et surtout on ne sait pas ce qu'il va arriver au personnage et à ce qu'il va trouver dans l'appartement au moment où il va rentrer.
Je me suis inspiré du passage dans l'étranger d'Albert Camus où Meursault et Marie entendent leur voisin du dessus se disputer avec sa femme (p57-58).
D. Pierre
Aujourd'hui, elle est calme.
Je ne me lasse pas de la regarder. Je me noie souvent dans son immensité bleu marine. J'écoute son doux murmure et cela m'apaise. Puis d'un seul coup, elle se déchaîne. Elle devient furieuse, s'emballe et hurle comme le vent. Je reste à l'observer, fasciné. Je profite à jamais de sa présence.
Mais aujourd'hui, maman est morte.
Je voulais faire une comparaison entre la mère maternelle et la mer, qui sont des mots qui se ressemble, non seulement dans leurs compositions mais aussi dans leurs définitions. Alors j'ai fais ce texte poétique pour exprimer leurs ressemblance en faisant partir le lecteur sur une idée ( mer ) et à la finalité du texte qu'il comprenne qu'il avait fait fausse route
D. Radija
La jeune étudiante rentra exténuée chez elle, la besace remplie de documents. En sortant de l'ascenseur qui lui facilitait la tâche, elle découvrit sa porte entrouverte. L'angoisse lui monta à la gorge. La jeune bachelière poussa la porte les mains tremblantes. Puis, elle vit, un grand et effrayant homme appuyé contre le mur, il luit souriait de toutes ses forces de façon sadique. L'étranger s'approcha d'elle en faisant des pas qui, à les entendre, donnaient des frissons... »
J'ai décidé de choisir ce sujet car reflète à lui seul les type de films, livres que j'apprécie (horreur et suspense). Je trouve que la phrase choisie a sa place dans le texte vu le contexte de cette histoire.
G. Antonin
Je n’y croyais plus, tellement les années qui passaient était interminables. Son visage me fit garder espoir durant ces nuit impitoyables. Le jour fut enfin arrivé.
J’ai choisi cette phrase car c’est celle qui m’a accroché dès le début. J’ai tout de suite pensé à une femme qui attendait son mari derrière la grille d’une prison le jour de sa remise en liberté, c’est pour cela que j’ai écris ces quelques phrases à ce sujet.
G. Jhana
Aujourd'hui maman est morte, ou plutôt elle l'était. La nuit du lendemain, dans un mauvais rêve qui est devenu réalité, elle me dévorait, car elle n'était plus la même, les ténèbres l'avaient rongée jusqu' au plus profond de son âme.
J'ai fini la dernière saison d'une célèbre série de zombie dont je ne citerai pas le nom. Comme cela m'inspirait j'ai donc choisi le « maman est morte » parce qu'il me fallait une relation avec la mort.
G. Calvin
En cette période de guerre avant de rejoindre le front la mort frappa à la porte et c'est a ce moment la que j'ai su que je n'avais plus beaucoup de temps a vivre.
J'ai choisi ce sujet car en histoire nous sommes entrain de traiter la première guerre mondiale, je me suis inspiré d'une des phrases exemple.
H. Ayoub
En cette nuit du 2 novembre, sous le soleil couché j'ai vu les morts se réveiller. Ainsi, c'est a ce moment que j'ai su que c’était dernière la nuit de ma vie.
Une invasion de zombie.
K. Chaïma
Pour toi maman, nous sommes tous vêtus de noir aujourd'hui.
J'ai choisis le thème : « Aujourd'hui maman est morte » car grâce a lui on peut exprimer une grande émotion et toucher le lecteur.
L. G. Océane
Fuir :
Je m'enfonce dans la forêt dense et humide. Je cours et parfois je tombe mais je me relève. Je regarde dernière moi. Je trébuche et m'écrase au sol. Ma tête heurte quelque chose de dure, sans doute une pierre. Un dernier bruit, un dernier hurlement, un dernier regard. Puis plus rien, plus un sons, plus une image …
Cette micro-nouvelle met en scène une jeune fille qui s'enfuit dans une forêt comme si elle fuyait quelqu'un. Jusqu'à se qu'elle tombe et qu'elle perde connaissance. On peut supposer que la personne qui la poursuivait la rattraper. A vous d’imaginer la suite …
J'ai choisi cette micro-nouvelle car ce thème laisse beaucoup de possibilité pour la suite de l'hitoire. Il y a aussi du suspense car on se demande qu'est ce que va devenir la jeune fille.
M. Swann
Je marchais sous la pluie, dont les gouttes s'évaporait au contact mon crâne incandescent, ravagé par cette dernière nouvelle.
Phrase choisie : « Aujourd'hui, Maman est morte. » J'ai choisi cette phrase afin de montrer l'amour qu'il a pour sa mère.
M. Chloé
Un acte , un seul, et ma vie s’effondre. Regret, jalousie, impulsion me voilà meurtrier. Féroce, incontrôlable, j'étais tel un lion rugissant de sa cage sans que je puisse y comprendre quelque chose.
Je me suis inspiré pour cette micro-nouvelle de la phrase « Toute la question était de tuer le temps. »(ch2,2ème partie)
-féroce , incontrôlable référence au caractéristique du lion
-notion de meurtre avec « meurtrier »
-notion de temps avec « sans que je puisse y comprendre quelque chose »
- « tuer le temps » car je prend l'initiative de mélanger le passé et le présent
La dernière phrase « sans que je puisse y comprendre quelque chose » montre bien que le personnage est dépassé , que le temps passe trop vite. Du coté du lecteur il ne comprend pas le sens et l'ordre des phrases qui ne sont pas chronologiques.
M. Théo
Je me baladais au bord de la mer, quand soudain j'ai vu les gens s'enfuir. J'ai regardé en direction de la plage, j'ai alors compris que cette vague serait la dernière que je verrai.
Dans le livre « L'Etranger » de Camus, la plage est la scène où Meursault va commettre le crime. J'ai alors choisis une micro-nouvelle avec comme lieu une plage et le décès du personnage.
M. Vincent
Après avoir dit adieu a ses proches, prier longuement. Il était enfin prêt, il se dirigea vers ce qu'il savait être le couloir de la mort. Il est finalement face a son destin, il est l'heure...
L'heure du cours de Français.
N. Chloé
Je regarde par la fenêtre, le mauvais temps, la noirceur du ciel, ce fut la première fois que je le remarquais. Maman est le soleil de ma vie. Aujourd'hui, il a disparu.
J'ai choisis cette phrase car c'est un thème touchant, et il m'a inspiré. De plus, j'aime beaucoup les histoires émouvantes alors j'ai choisis de créer une micro-nouvelle qui donne de l'émotion.
O. Maëva
Un album, une chaise et des photos en pagaille dans sa mémoire. Tout lui semblait présent mais rien n’était concret. Les heures défilaient.
Une photo de son être aimé et tout s’écroula.
« Une chaise »: solitude= le temps passe moins vite car on s’ennuie.
« Pagaille » : bazar= tout est flou.
Qui ? = est-ce un enfant, un adulte ?
À propos de quelle personne ? Un membre de sa famille ? Un ami/une amie ?
« S’écroula » : Un manque d’une personne ? Un deuil pas encore accomplie ?
Ma micro-nouvelle a aussi un rapport personnel, ma famille maternelle habite loin et je ne l’ai pas vue depuis très longtemps.
R. Fabien
Je la laisse seule, condamnée a passer le reste de ma vie dans cellule
En rapport avec la phrase exemple 4 , il se rend compte qu'il laisse sa compagne seule car il est emprisonné.
R. Morgane
Prisonnier, derrière les barreaux, il tournait en rond, seul. Chaque seconde qui passait lui rappelait le regret, le regret qu’il avait eu après avoir appuyé sur la gâchette.
Je me suis inspirée de la phrase : "Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur." mais aussi du meutre de Mersault sauf vis à vis du regret, car Mersault n'a pas de sentiments et ne regrette donc pas son crime.
S. Thomas
Tuer le temps, le rêve de plus d'un homme.Mais tuer le temps est impossible et complètement irrationnel. Céleste, restaurateur dans une petite ville au sud de la France, lui rêverait de tuer le temps.
Céleste qui chaque jour se voit vieillir ne souhaite qu'une chose : rester jeune , profiter de la vie. Il voudrait simplement vivre sans avoir à se soucier du précieux Temps.
Céleste n'est pas différents du reste des hommes, comme tout le monde il veut vivre le plus longtemps possible.
Seulement chaque matin dés qu'il voit un cheveux blanc qui a poussé pendant le nuit il ne peut s’empêcher de penser qu'il est déjà vieux.
Céleste ne vit que dans le futur et non dans le présent voilà pourquoi Céleste n'arrive pas a profiter de la vie.
S. Kelly
Chocolat, stress, insomnie, angoisse, bref la dépression. Pourquoi ?
4 médicaments et le trou noir.
Le « chocolat », le « stress », l'« insomnie » et l'« angoisse » « 4 médicament » renvoient au « quatre coup bref » de la phrase d'inspiration.
« Le malheur » correspond au « trou noir » et aux 3 états avec le « chocolat » et le mot « dépression ».
On peut se demander également que signifie le « trou noir ». Est-ce la mort ? La perte de connaissance ? Ou encore le manque d'envie, d'initiative ?
T. Jodie
Mise à mort moderne.
Jack attendait cette fête. Depuis des années. Il avait toujours rêvé de participer à une soirée, une de ces soirées où tout le lycée est invité. Il allait enfin découvrir ce monde de débauche qui lui était inconnu... Mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il allait droit à la potence. Il était le clou du spectacle. Le roi des fous. Mais il ne le savait pas. Et c'est pour cela que d'un pas pressé, il se dirigeait vers la maison, le cœur gros de joie et d'appréhension. Il le regrettera toute sa vie par la suite. Mais, il ne le savait pas. Et c'était comme 4 coups brefs qu'il frappait sur la porte du malheur.
J'ai choisi le thème de mon histoire après avoir couru 3x500 mètres, au moment où notre cerveau décroche après l'effort. J'avais vu une série avec un lycée américain dedans, ce qui m'a inspiré. Puis j'ai choisi la phrase proposée qui pourrait entrer le plus facilement dans mon sujet.
T. Coralie
La pièce était étroite. L’humidité, la faim, et l’obscurité nous emparaient. Notre existence se résumait à être cacher de tout, surtout de tous. Je ne savais pas comment l’expliquer à ma fille. J’ai essayé de lui cacher la réalité de cette atrocité en amenant à la dérision tout ce qui pouvait lui apporter une souffrance. Malgré nos efforts, ils nous ont retrouvés. Lorsqu’ils nous ont séparés, je lui ai crié que nous avions perdu. J’ai alors aperçu son petit corps maigre tourné vers la grille, les mains sur la tête. Elle souriait et comptait pensant que le jeu n’était pas terminé, que c’était leur tour de se cacher.
Pour cette micro-nouvelle, j’ai choisi l’extrait « déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces » car il m’a rappelé le temps de la seconde Guerre Mondiale. Je trouve l’histoire du film « La vie est belle » de Roberto Benigni remarquable, c’est pourquoi je m’en suis aussi inspirée. La ponctuation régulière accentue l’hésitation et la peur du personnage. J’ai sélectionné cette période car je n’ai encore jamais lu de plus belles histoires que celles que ce conflit de guerre a engendrées.
U. Léa
j'aimerai te dire que tout va bien, que je suis forte et que j'arriverai à surmonter ça sans toi. J'aimerai te dire que les larmes que j'ai essuyé hier soir n'étaient rien.
Pour cette micro-nouvelle, je me suis inspirée de "Aujourd'hui, maman est morte" car je peux exprimer un sentiment et une émotion.
On peut comprendre que quelqu'un de proche est décédé.
V. Anna
Je marchais lentement, j'avais au fond de moi la peur de tous les réveiller même si cela était impossible. Je ne voulais pas tomber sur lui, le découvrir au milieu de tous ces autres. Ce serait pour moi comme un couteau planté dans mon cœur. J'ai traversé l'allée, et soudain, sur celle devant moi, je vis écris Jean Viglino ». J'ai compris alors que mon grand père était partit lui aussi avec tous ceux a coté de lui, pour rejoindre un autre monde, et me laisser seule ici.
Je me suis inspirée de la phrase « Aujourd'hui, Maman est morte » parce que mon grand père est décédé il y a 3 ans et j'y pense tout le temps parce qu'il comptait énormément pour moi.De plus, nous avons regardé un film en histoire sur les tranchées, qui m'a beaucoup touché.
V. Julia
Enfermée chez moi, pleine d'ennui et de souffrance, ne pensant qu'a lui, le temps paraissait long, mon seul réconfort était mes macarons.
La phrase que j'ai choisis est "Toute la question était de tuer le temps", j'ai décidé de prendre cette phrase car quand je suis seul chez moi je me ressasse sans cesse mes souvenirs en mangeant des macarons pour "tuer le temps".
J'ai appelé les pompes-funebres pour organiser l'enterrement .
A partir de Aujourd'hui maman est morte , donc le narrateur va preparer l'enterrement de sa mère .
A. Salomé
« Recherche aide ménagère ou aide a domicile »
Inspiré de "Aujourd'hui, Maman est morte."
B. Fanny
J'ai su que tu mentais dès que tu as ouvert la bouche. Les morts ne parlent pas, je n'ai donc pas dû frapper assez fort.
Pour cette micro-nouvelle je me suis inspirée de l'extrait « Aujourd'hui Maman est morte ».
En effet cette phrase m'a paru, au premier abord, révoltante à cause du manque d'importance que donnait le personnage au décès de sa mère. Il m'a paru aussi froid et calculateur qu'un assassin. J'ai donc choisi de le représenter comme tel.
J'ai utilisé le pronom personnel « tu » pour montrer la proximité entre le meurtrier et sa victime.
Le verbe « mentais » exprime ici un sentiment de reproche.
Le terme « les morts » est très impersonnel, malgré le fait que sa mère fera bientôt partie de cet ensemble. De plus le présent de vérité générale donne une vision de la mort banalisée comme si cette observation était une évidence.
Le verbe « frapper » implique un meurtre par contact physique avec la victime, ce qui renforce la notion de crime inhumain. Enfin, l'adverbe « assez » montre ici la volonté de fer qui anime ce crime, sans la moindre trace de remords.
B. Sara
Un sourire, une âme, une lumière claire et bienveillante dans le regard puis tout a coup il fait sombre il n'y a plus de sourire, plus d’âme, plus de lumière. Il ne reste plus que la froideur de la mort.
Dans cette micro-nouvelle j'ai choisi de laisser parler les sentiments à travers les souvenirs heureux qui contraste avec le malheur qui vient de se produire, le personnage en deuil préfère se souvenir de la personne heureuse mais il est réaliste il sait qu'il ne verra jamais plus ce sourire.
C. Maxime
C'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur, quatre coups qui m'apportaient le sort funeste que j'avais inconsciemment cherché.
Chaque coup de feu m'éloignait de mon destin tragique et me rapprochait d'une destiné que j'avais provoqué, que j'avais choisi. Après avoir décidé à quatre reprise quel serait mon destin, le silence revint et je sentis au dessus de moi les nuages qui venaient chasser la chaleur insoutenable de la scène. J'étais seul avec ma destinée à mes pieds, inerte, et je savais que s'en était fini. Je suis mort, Meursault est mort.
J'ai choisi cette phrase car je trouvais le thème assez explicite. Cette phrase désigne le moment où Meursault va changer et prendre sa vie en main, grâce à cette phrase on pouvait expliquer ce que représentait ces quatres coups de feu, le corps sans-vie de l'arabe, la lumière et la chaleur qui influençaient la vie de Meursault.
C. Marion
Maman partait en vacances je reçus un appel d'elle alors qu'elle était dans le train. Elle me disait qui pleuvait et que la tempête l’inquiétait, j’essayai de la rassurer malgrès la peur dans ma voix. Mais d'un coup j'ai entendu un étonnant bruit, et d'un coup plus rien ! Juste un grésillement incessant...
J'ai choisis de laisser en suspend la fin même s'il est facile de deviner qu'il y a eu un accident de train. Mais on ne sait pas vraiment si la mère est morte ou pas. J'ai fais part de mes sentiments pour que le lecteur puisse s'identifier au personnage.
C. Angélique
Elle s'est éteinte. J'ai perdu mes repères, je me déplace à l'aveugle, c'est si sombre que j'en ai peur. Déposant les fleurs sur ton toit je pense à toi qui est partit la bague au doigts.
"elle s'est etteinte" représente cette femme qui est décédé , "j'ai perdu mes repère" quelle était celle qui le guidé dans le droit chemin, "je me déplace a l'aveugle" représente le fait qu'il ne sait plus ou aller maintenant qu'elle n'est plus la "c'est si sombre que j'en ai peur" que maintenant il a peur de vivre sans elle. "Déposant les fleurs sur ton toit" le "toi" qui représente son cercueil et "je pense a toi qui est partit la bague au doigts" la bague qui représente la bague de fiançailles et qui nous permet de comprendre qu'il s'agissait de sa femme.
J'ai voulu faire référence au début de ma micro nouvelle a la lumière qui s’éteint pour démontrer que le mari suite a la mort de sa femme ne crois plus au divin (représenté par la lumière) qui lui a pris sa femme, mais aussi au corps de cette femme décédé.
D. Fany
Cela faisait maintenant plus d'une heure que les cris à l'étage n'avaient pas cessés, ils étaient de plus en plus forts. Je ne savais pas si je devais intervenir, mon voisin était loin d'être un honnête homme. Finalement je suis monté, j'ai sonné puis j'ai ouvert la porte.
J'ai choisis cette micro nouvelle car elle laisse beaucoup de suspense sur ce qu'il s'est passé avant les cris et surtout on ne sait pas ce qu'il va arriver au personnage et à ce qu'il va trouver dans l'appartement au moment où il va rentrer.
Je me suis inspiré du passage dans l'étranger d'Albert Camus où Meursault et Marie entendent leur voisin du dessus se disputer avec sa femme (p57-58).
D. Pierre
Aujourd'hui, elle est calme.
Je ne me lasse pas de la regarder. Je me noie souvent dans son immensité bleu marine. J'écoute son doux murmure et cela m'apaise. Puis d'un seul coup, elle se déchaîne. Elle devient furieuse, s'emballe et hurle comme le vent. Je reste à l'observer, fasciné. Je profite à jamais de sa présence.
Mais aujourd'hui, maman est morte.
Je voulais faire une comparaison entre la mère maternelle et la mer, qui sont des mots qui se ressemble, non seulement dans leurs compositions mais aussi dans leurs définitions. Alors j'ai fais ce texte poétique pour exprimer leurs ressemblance en faisant partir le lecteur sur une idée ( mer ) et à la finalité du texte qu'il comprenne qu'il avait fait fausse route
D. Radija
La jeune étudiante rentra exténuée chez elle, la besace remplie de documents. En sortant de l'ascenseur qui lui facilitait la tâche, elle découvrit sa porte entrouverte. L'angoisse lui monta à la gorge. La jeune bachelière poussa la porte les mains tremblantes. Puis, elle vit, un grand et effrayant homme appuyé contre le mur, il luit souriait de toutes ses forces de façon sadique. L'étranger s'approcha d'elle en faisant des pas qui, à les entendre, donnaient des frissons... »
J'ai décidé de choisir ce sujet car reflète à lui seul les type de films, livres que j'apprécie (horreur et suspense). Je trouve que la phrase choisie a sa place dans le texte vu le contexte de cette histoire.
G. Antonin
Je n’y croyais plus, tellement les années qui passaient était interminables. Son visage me fit garder espoir durant ces nuit impitoyables. Le jour fut enfin arrivé.
J’ai choisi cette phrase car c’est celle qui m’a accroché dès le début. J’ai tout de suite pensé à une femme qui attendait son mari derrière la grille d’une prison le jour de sa remise en liberté, c’est pour cela que j’ai écris ces quelques phrases à ce sujet.
G. Jhana
Aujourd'hui maman est morte, ou plutôt elle l'était. La nuit du lendemain, dans un mauvais rêve qui est devenu réalité, elle me dévorait, car elle n'était plus la même, les ténèbres l'avaient rongée jusqu' au plus profond de son âme.
J'ai fini la dernière saison d'une célèbre série de zombie dont je ne citerai pas le nom. Comme cela m'inspirait j'ai donc choisi le « maman est morte » parce qu'il me fallait une relation avec la mort.
G. Calvin
En cette période de guerre avant de rejoindre le front la mort frappa à la porte et c'est a ce moment la que j'ai su que je n'avais plus beaucoup de temps a vivre.
J'ai choisi ce sujet car en histoire nous sommes entrain de traiter la première guerre mondiale, je me suis inspiré d'une des phrases exemple.
H. Ayoub
En cette nuit du 2 novembre, sous le soleil couché j'ai vu les morts se réveiller. Ainsi, c'est a ce moment que j'ai su que c’était dernière la nuit de ma vie.
Une invasion de zombie.
K. Chaïma
Pour toi maman, nous sommes tous vêtus de noir aujourd'hui.
J'ai choisis le thème : « Aujourd'hui maman est morte » car grâce a lui on peut exprimer une grande émotion et toucher le lecteur.
L. G. Océane
Fuir :
Je m'enfonce dans la forêt dense et humide. Je cours et parfois je tombe mais je me relève. Je regarde dernière moi. Je trébuche et m'écrase au sol. Ma tête heurte quelque chose de dure, sans doute une pierre. Un dernier bruit, un dernier hurlement, un dernier regard. Puis plus rien, plus un sons, plus une image …
Cette micro-nouvelle met en scène une jeune fille qui s'enfuit dans une forêt comme si elle fuyait quelqu'un. Jusqu'à se qu'elle tombe et qu'elle perde connaissance. On peut supposer que la personne qui la poursuivait la rattraper. A vous d’imaginer la suite …
J'ai choisi cette micro-nouvelle car ce thème laisse beaucoup de possibilité pour la suite de l'hitoire. Il y a aussi du suspense car on se demande qu'est ce que va devenir la jeune fille.
M. Swann
Je marchais sous la pluie, dont les gouttes s'évaporait au contact mon crâne incandescent, ravagé par cette dernière nouvelle.
Phrase choisie : « Aujourd'hui, Maman est morte. » J'ai choisi cette phrase afin de montrer l'amour qu'il a pour sa mère.
M. Chloé
Un acte , un seul, et ma vie s’effondre. Regret, jalousie, impulsion me voilà meurtrier. Féroce, incontrôlable, j'étais tel un lion rugissant de sa cage sans que je puisse y comprendre quelque chose.
Je me suis inspiré pour cette micro-nouvelle de la phrase « Toute la question était de tuer le temps. »(ch2,2ème partie)
-féroce , incontrôlable référence au caractéristique du lion
-notion de meurtre avec « meurtrier »
-notion de temps avec « sans que je puisse y comprendre quelque chose »
- « tuer le temps » car je prend l'initiative de mélanger le passé et le présent
La dernière phrase « sans que je puisse y comprendre quelque chose » montre bien que le personnage est dépassé , que le temps passe trop vite. Du coté du lecteur il ne comprend pas le sens et l'ordre des phrases qui ne sont pas chronologiques.
M. Théo
Je me baladais au bord de la mer, quand soudain j'ai vu les gens s'enfuir. J'ai regardé en direction de la plage, j'ai alors compris que cette vague serait la dernière que je verrai.
Dans le livre « L'Etranger » de Camus, la plage est la scène où Meursault va commettre le crime. J'ai alors choisis une micro-nouvelle avec comme lieu une plage et le décès du personnage.
M. Vincent
Après avoir dit adieu a ses proches, prier longuement. Il était enfin prêt, il se dirigea vers ce qu'il savait être le couloir de la mort. Il est finalement face a son destin, il est l'heure...
L'heure du cours de Français.
N. Chloé
Je regarde par la fenêtre, le mauvais temps, la noirceur du ciel, ce fut la première fois que je le remarquais. Maman est le soleil de ma vie. Aujourd'hui, il a disparu.
J'ai choisis cette phrase car c'est un thème touchant, et il m'a inspiré. De plus, j'aime beaucoup les histoires émouvantes alors j'ai choisis de créer une micro-nouvelle qui donne de l'émotion.
O. Maëva
Un album, une chaise et des photos en pagaille dans sa mémoire. Tout lui semblait présent mais rien n’était concret. Les heures défilaient.
Une photo de son être aimé et tout s’écroula.
« Une chaise »: solitude= le temps passe moins vite car on s’ennuie.
« Pagaille » : bazar= tout est flou.
Qui ? = est-ce un enfant, un adulte ?
À propos de quelle personne ? Un membre de sa famille ? Un ami/une amie ?
« S’écroula » : Un manque d’une personne ? Un deuil pas encore accomplie ?
Ma micro-nouvelle a aussi un rapport personnel, ma famille maternelle habite loin et je ne l’ai pas vue depuis très longtemps.
R. Fabien
Je la laisse seule, condamnée a passer le reste de ma vie dans cellule
En rapport avec la phrase exemple 4 , il se rend compte qu'il laisse sa compagne seule car il est emprisonné.
R. Morgane
Prisonnier, derrière les barreaux, il tournait en rond, seul. Chaque seconde qui passait lui rappelait le regret, le regret qu’il avait eu après avoir appuyé sur la gâchette.
Je me suis inspirée de la phrase : "Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur." mais aussi du meutre de Mersault sauf vis à vis du regret, car Mersault n'a pas de sentiments et ne regrette donc pas son crime.
S. Thomas
Tuer le temps, le rêve de plus d'un homme.Mais tuer le temps est impossible et complètement irrationnel. Céleste, restaurateur dans une petite ville au sud de la France, lui rêverait de tuer le temps.
Céleste qui chaque jour se voit vieillir ne souhaite qu'une chose : rester jeune , profiter de la vie. Il voudrait simplement vivre sans avoir à se soucier du précieux Temps.
Céleste n'est pas différents du reste des hommes, comme tout le monde il veut vivre le plus longtemps possible.
Seulement chaque matin dés qu'il voit un cheveux blanc qui a poussé pendant le nuit il ne peut s’empêcher de penser qu'il est déjà vieux.
Céleste ne vit que dans le futur et non dans le présent voilà pourquoi Céleste n'arrive pas a profiter de la vie.
S. Kelly
Chocolat, stress, insomnie, angoisse, bref la dépression. Pourquoi ?
4 médicaments et le trou noir.
Le « chocolat », le « stress », l'« insomnie » et l'« angoisse » « 4 médicament » renvoient au « quatre coup bref » de la phrase d'inspiration.
« Le malheur » correspond au « trou noir » et aux 3 états avec le « chocolat » et le mot « dépression ».
On peut se demander également que signifie le « trou noir ». Est-ce la mort ? La perte de connaissance ? Ou encore le manque d'envie, d'initiative ?
T. Jodie
Mise à mort moderne.
Jack attendait cette fête. Depuis des années. Il avait toujours rêvé de participer à une soirée, une de ces soirées où tout le lycée est invité. Il allait enfin découvrir ce monde de débauche qui lui était inconnu... Mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il allait droit à la potence. Il était le clou du spectacle. Le roi des fous. Mais il ne le savait pas. Et c'est pour cela que d'un pas pressé, il se dirigeait vers la maison, le cœur gros de joie et d'appréhension. Il le regrettera toute sa vie par la suite. Mais, il ne le savait pas. Et c'était comme 4 coups brefs qu'il frappait sur la porte du malheur.
J'ai choisi le thème de mon histoire après avoir couru 3x500 mètres, au moment où notre cerveau décroche après l'effort. J'avais vu une série avec un lycée américain dedans, ce qui m'a inspiré. Puis j'ai choisi la phrase proposée qui pourrait entrer le plus facilement dans mon sujet.
T. Coralie
La pièce était étroite. L’humidité, la faim, et l’obscurité nous emparaient. Notre existence se résumait à être cacher de tout, surtout de tous. Je ne savais pas comment l’expliquer à ma fille. J’ai essayé de lui cacher la réalité de cette atrocité en amenant à la dérision tout ce qui pouvait lui apporter une souffrance. Malgré nos efforts, ils nous ont retrouvés. Lorsqu’ils nous ont séparés, je lui ai crié que nous avions perdu. J’ai alors aperçu son petit corps maigre tourné vers la grille, les mains sur la tête. Elle souriait et comptait pensant que le jeu n’était pas terminé, que c’était leur tour de se cacher.
Pour cette micro-nouvelle, j’ai choisi l’extrait « déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces » car il m’a rappelé le temps de la seconde Guerre Mondiale. Je trouve l’histoire du film « La vie est belle » de Roberto Benigni remarquable, c’est pourquoi je m’en suis aussi inspirée. La ponctuation régulière accentue l’hésitation et la peur du personnage. J’ai sélectionné cette période car je n’ai encore jamais lu de plus belles histoires que celles que ce conflit de guerre a engendrées.
U. Léa
j'aimerai te dire que tout va bien, que je suis forte et que j'arriverai à surmonter ça sans toi. J'aimerai te dire que les larmes que j'ai essuyé hier soir n'étaient rien.
Pour cette micro-nouvelle, je me suis inspirée de "Aujourd'hui, maman est morte" car je peux exprimer un sentiment et une émotion.
On peut comprendre que quelqu'un de proche est décédé.
V. Anna
Je marchais lentement, j'avais au fond de moi la peur de tous les réveiller même si cela était impossible. Je ne voulais pas tomber sur lui, le découvrir au milieu de tous ces autres. Ce serait pour moi comme un couteau planté dans mon cœur. J'ai traversé l'allée, et soudain, sur celle devant moi, je vis écris Jean Viglino ». J'ai compris alors que mon grand père était partit lui aussi avec tous ceux a coté de lui, pour rejoindre un autre monde, et me laisser seule ici.
Je me suis inspirée de la phrase « Aujourd'hui, Maman est morte » parce que mon grand père est décédé il y a 3 ans et j'y pense tout le temps parce qu'il comptait énormément pour moi.De plus, nous avons regardé un film en histoire sur les tranchées, qui m'a beaucoup touché.
V. Julia
Enfermée chez moi, pleine d'ennui et de souffrance, ne pensant qu'a lui, le temps paraissait long, mon seul réconfort était mes macarons.
La phrase que j'ai choisis est "Toute la question était de tuer le temps", j'ai décidé de prendre cette phrase car quand je suis seul chez moi je me ressasse sans cesse mes souvenirs en mangeant des macarons pour "tuer le temps".