Vacances en Eldorado
Lors de notre séquence sur Candide (objet d'étude "Genres et formes de l'argumentation au XVIIè et au XVIIIè"), les élèves de 2°16 ont été invités à réaliser une présentation visuelle. Il s'agissait de mettre en valeur les atouts de l'Eldorado pour des voyages touristiques.
Idée "piquée" sur Weblettres.
Idée "piquée" sur Weblettres.
Stéphanie E. et Kelly R.
Ester L. et Laure P.
Guillaume L., Nicolas H., Alexis G.
Les élèves pouvaient aussi...
... écrire leur propre utopie s'ils le souhaitaient. Voici le texte écrit par Thien-Anne S. et Jessica T. :
Il y avait quelque part dans le célèbre triangle des Bermudes, une île perdue, inconnue de la civilisation. Elle avait à première vue, l'apparence quelconque d'une île ordinaire. On appercevait depuis les plages seulement d'inombrables arbres d'une hauteur démeusurée, tous parfaitement identiques. Ceux-ci formaient en réalité un immense cercle entourant toute l'île. Une fois ce cercle franchi, un autre monde s'ouvrait...
S'étendait alors une gigantesque vallée décorée d'un unique bâtiment, celui-ci abritant de nombreux personnages. On découvrait en effet une nouvelle civilisation, ni moyen âgeuse, ni futuriste, juste intemporelle. Un monde parrallèle. Le premier détail frappant fut la parfaite géométrie avec laquelle était construite cette « maison ». Une sorte d'immeuble circulaire, s'élevant en spirale et atteignant la même hauteur que les immenses arbres qui le cachaient. L'édifice était d'une extrème simplicité. Il n'avait ni porte ni fenêtres, car c'est en réalité à l'intérieur que se trouvait la ville et ses occupants. Tout ce que l'on pouvait percevoir de l'extérieur était un bâtiment orné de gravures symétriques et de lierre. Un bâtiment parfait, qui n'avait semble-t-il jamais subi de dommages, seulement traversé le temps. Autour de la Maison, règnaient des jardins et des potagers soigneusement entretenus. Pas une trace de mauvaise herbe. Les pommes avaient toutes la même taille et la même couleur vive, et les pommiers avaient tous ce parfait feuillage taillé en rond.
Puis, à l'intérieur de la Maison, on découvrait de petites habitations, toutes identiques et fort charmante. On pouvait également se trouver émerveillé en levant les yeux au ciel, lorsque que l'on découvrait les lumières qui décoraient les ruelles, semblables aux décorations de Noël. Ensuite, il y avait les habitants de la Maison. Tous se connaissaient. Ils étaient très chaleureux entre eux, et il y avait bizarrement une ressemblance physique assez marquante entre tous les individus. Il s'avère que ce petit peuple n'avait pas de dirigeant. C'était une société libre et autonome. De plus, chacun avec le même statut social. Pas un ne cherchait à dépasser l'autre, il n'y avait aucun esprit de compétition entre eux. Ces personnages n'avaient pas besoin de gagner leur vie, puisqu'ils avaient pour philosophie de s'entraider et de servir son prochain. Ainsi, il n'existait aucune monnaie dans cette île mystérieuse. Chacun vivait et se servait selon ses besoins, et s'offraient à un mode de vie plus que trop simple. Ils ne connaissaient ni maladie, ni guerre. Faisaient-ils seulement la différence entre bonheur et tristesse ? Etait-il possible de connaître un tel sentiment si désagréable dans une société si parfaite et si bien dictée ?
Cette utopie reflète un monde parrallèle que jamais il ne sera possible de connaître, où règne bienveillance et fraternité, ce dont beaucoup de personnes rêvent, mais qui malheureusement est à l'inverse de l'image de notre société. En effet, l'absence totale de l'égoïsme est ce qui éloigne le plus cette utopie de notre société.
Il y avait quelque part dans le célèbre triangle des Bermudes, une île perdue, inconnue de la civilisation. Elle avait à première vue, l'apparence quelconque d'une île ordinaire. On appercevait depuis les plages seulement d'inombrables arbres d'une hauteur démeusurée, tous parfaitement identiques. Ceux-ci formaient en réalité un immense cercle entourant toute l'île. Une fois ce cercle franchi, un autre monde s'ouvrait...
S'étendait alors une gigantesque vallée décorée d'un unique bâtiment, celui-ci abritant de nombreux personnages. On découvrait en effet une nouvelle civilisation, ni moyen âgeuse, ni futuriste, juste intemporelle. Un monde parrallèle. Le premier détail frappant fut la parfaite géométrie avec laquelle était construite cette « maison ». Une sorte d'immeuble circulaire, s'élevant en spirale et atteignant la même hauteur que les immenses arbres qui le cachaient. L'édifice était d'une extrème simplicité. Il n'avait ni porte ni fenêtres, car c'est en réalité à l'intérieur que se trouvait la ville et ses occupants. Tout ce que l'on pouvait percevoir de l'extérieur était un bâtiment orné de gravures symétriques et de lierre. Un bâtiment parfait, qui n'avait semble-t-il jamais subi de dommages, seulement traversé le temps. Autour de la Maison, règnaient des jardins et des potagers soigneusement entretenus. Pas une trace de mauvaise herbe. Les pommes avaient toutes la même taille et la même couleur vive, et les pommiers avaient tous ce parfait feuillage taillé en rond.
Puis, à l'intérieur de la Maison, on découvrait de petites habitations, toutes identiques et fort charmante. On pouvait également se trouver émerveillé en levant les yeux au ciel, lorsque que l'on découvrait les lumières qui décoraient les ruelles, semblables aux décorations de Noël. Ensuite, il y avait les habitants de la Maison. Tous se connaissaient. Ils étaient très chaleureux entre eux, et il y avait bizarrement une ressemblance physique assez marquante entre tous les individus. Il s'avère que ce petit peuple n'avait pas de dirigeant. C'était une société libre et autonome. De plus, chacun avec le même statut social. Pas un ne cherchait à dépasser l'autre, il n'y avait aucun esprit de compétition entre eux. Ces personnages n'avaient pas besoin de gagner leur vie, puisqu'ils avaient pour philosophie de s'entraider et de servir son prochain. Ainsi, il n'existait aucune monnaie dans cette île mystérieuse. Chacun vivait et se servait selon ses besoins, et s'offraient à un mode de vie plus que trop simple. Ils ne connaissaient ni maladie, ni guerre. Faisaient-ils seulement la différence entre bonheur et tristesse ? Etait-il possible de connaître un tel sentiment si désagréable dans une société si parfaite et si bien dictée ?
Cette utopie reflète un monde parrallèle que jamais il ne sera possible de connaître, où règne bienveillance et fraternité, ce dont beaucoup de personnes rêvent, mais qui malheureusement est à l'inverse de l'image de notre société. En effet, l'absence totale de l'égoïsme est ce qui éloigne le plus cette utopie de notre société.