Le personnage de roman du XVIIè à nos jours
Deux activités ont été proposées aux élèves: il s'agissait de proposer une critique de roman ou de proposer une micro-fiction avec une réécriture (reprises, variations, pastiche...) de L'Étranger. Des élèves ont souhaité illustrer leurs critiques: elles sont donc présentées sous la forme de .pdf à ouvrir.
Il est à noter que Britany C. et Mateo R. ont proposé des critiques d'oeuvres pour le blog de Gallica.
Le travail de Mateo R. est accessible ici.
Le travail de Britany C. et celui de Julie A. ne sont pas encore mis en ligne.
Il est à noter que Britany C. et Mateo R. ont proposé des critiques d'oeuvres pour le blog de Gallica.
Le travail de Mateo R. est accessible ici.
Le travail de Britany C. et celui de Julie A. ne sont pas encore mis en ligne.
Mélanie A.
melanie_a_critique_de_roman.pdf | |
File Size: | 32 kb |
File Type: |
Christian A.
christian_critique_de_roman.pdf | |
File Size: | 65 kb |
File Type: |
Julie A.
La face cachée de Margo
C’est l’histoire d’un adolescent banal vivant en Amerique. Il est amoureux et fasciné par une jeune fille de son quartier qu’il connait depuis toujours et se prénommant Margo Spiegelman.
Un soir, elle rentre dans sa chambre et lui propose de venir avec lui. Quentin, l’adolescent ne sait pas à cette instant précis que la fille de ses rêves va le faire sortir de sa petite vie tranquille et lui fera faire les quatres cents coups durant cette nuit.
Après ce moment inoubliable, Margo ne donne plus aucun signe de vie. Le jeune homme va donc la chercher grace à des indices que celle-ci à laisser et le mèneront dans de bien étranges endroits.
On peut constater beaucoup d’intrigue dans ce livre donnant envie de savoir la suite. Il melange intrigue, amour, et la quete de soi de l’adolescence où l’on s'interroge sur qui nous sommes, et quelle est notre place dans le monde. J’ai aussi beaucoup apprécié l’humour et le second degré qui permettent de se rendre compte qu’on est bien « face » à des lycéens, qui prennent peut-être trop à la légère la vie, et les conséquences de leurs paroles ou actes.
Gaëtan B.
Avant de commencer cette critique, il me parait clair de préciser que ce roman ne plaira pas aux personnes qui n'aiment pas la poésie, bien que la courte durée de lecture du livre permette de ne pas s'ennuyer.
Neige est un roman écrit par Maxence Fermine, édité en 1999.
Peut-être que le problème est là, le roman est beaucoup trop court, pas assez consistant. On n'a clairement pas le temps de s'attacher aux personnages. Ceux-là d'ailleurs, nous imposent plusieurs moments niais, vus et revus, assez étrange, par exemple lorsque Yuko, le protagoniste, tombe amoureux de trois femmes différentes en un peu de temps, simplement en regardant celles-ci ! Le roman contient des passages assez malsains dont on aurait bien pû se passer, référence au moment où Yuko observe pendant plusieurs heures et tombe amoureux d'un cadavre prisonnier des glaces bien que les mots chosis rendaient la lecture agréable.
Cependant le roman a le mérite d'être beau et c'est ça qui fonctionne. Les poèmes sont magnifiques, constitués de métaphores nous faisant rêver. Fermine nous explique qu'il faut croire en ses rêves et c'est très réussi pour cette partie du roman.
Malgrès ces défauts, on ne peut qu'apprécier ce roman tant il est beau.
"Écrire c'est avancer mot à mot sur un fil de beauté"
Neige est un roman écrit par Maxence Fermine, édité en 1999.
Peut-être que le problème est là, le roman est beaucoup trop court, pas assez consistant. On n'a clairement pas le temps de s'attacher aux personnages. Ceux-là d'ailleurs, nous imposent plusieurs moments niais, vus et revus, assez étrange, par exemple lorsque Yuko, le protagoniste, tombe amoureux de trois femmes différentes en un peu de temps, simplement en regardant celles-ci ! Le roman contient des passages assez malsains dont on aurait bien pû se passer, référence au moment où Yuko observe pendant plusieurs heures et tombe amoureux d'un cadavre prisonnier des glaces bien que les mots chosis rendaient la lecture agréable.
Cependant le roman a le mérite d'être beau et c'est ça qui fonctionne. Les poèmes sont magnifiques, constitués de métaphores nous faisant rêver. Fermine nous explique qu'il faut croire en ses rêves et c'est très réussi pour cette partie du roman.
Malgrès ces défauts, on ne peut qu'apprécier ce roman tant il est beau.
"Écrire c'est avancer mot à mot sur un fil de beauté"
Gersende B.
Il y'a de nombreuses raisons pour lesquelles, il est intéressant de lire La vie a coté de Mariapia Veladino. En effet, ce roman est bouleversant a la fois parce qu'il nous amène a ressentir toute sorte de sentiments extrêmes ( colère, soulagement ou indignation ) mais aussi parce qu'il nous invite a nous remettre en questionet a reconsiderer nos regards sur la societe actuelle et les dictas de beaute qu'elle nous impose.
La vie a coté raconte l'histoire d'une fillette jusqu'à l'âge adulte.
Mais elle est laide, extrêmement laide, et pour cela, elle est victime du rejet des enfants mais aussi des adultes. Elle ne devra son salut qu'au piano qui la mènera jusqu'au sommet de la gloire.
L'héroïne, Rebecca est interessante dans sa lutte interier a la fois pour et contre elle même.
La simplicité narratique émeut d'autant plus que c'est Rebecca, elle même qui raconte son histoire, qui s'observa et se scrute.
Egalement, si l'héroïne semble passive, au premier abord, et subir tout ce qui lui arrive, nous comprenons plus tard que c'est ce qui la forge.
La recherche de ses origines est abordée et même brillamment illustrée par l'écrivaine.
Enfin, il est évident que l'autrice, de sa plume très légère et très sensible, réussi a maintenir une atmosphère d'intrigue autour de laquelle toute l'histoire tourne.
Quant a la fin? je me contenterais simplement de dire que la résolution finale est inattendue, assez brève mais clôt avec beauté cette histoire.
La vie a coté raconte l'histoire d'une fillette jusqu'à l'âge adulte.
Mais elle est laide, extrêmement laide, et pour cela, elle est victime du rejet des enfants mais aussi des adultes. Elle ne devra son salut qu'au piano qui la mènera jusqu'au sommet de la gloire.
L'héroïne, Rebecca est interessante dans sa lutte interier a la fois pour et contre elle même.
La simplicité narratique émeut d'autant plus que c'est Rebecca, elle même qui raconte son histoire, qui s'observa et se scrute.
Egalement, si l'héroïne semble passive, au premier abord, et subir tout ce qui lui arrive, nous comprenons plus tard que c'est ce qui la forge.
La recherche de ses origines est abordée et même brillamment illustrée par l'écrivaine.
Enfin, il est évident que l'autrice, de sa plume très légère et très sensible, réussi a maintenir une atmosphère d'intrigue autour de laquelle toute l'histoire tourne.
Quant a la fin? je me contenterais simplement de dire que la résolution finale est inattendue, assez brève mais clôt avec beauté cette histoire.
Ines B.
Ce qui nous lie est un roman de Samantha Bailly, une autrice qui écrit de la fantasy contemporaine.
Dans Ce qui nous lie, nous rencontrons une jeune femme, Alicia, qui a une qualité très spéciale: elle est capable de voir les liens de chaque individu par des fils lumineux. Elle commence à travailler dans une entreprise, percevant tous les liens de ses nouveaux collègues. Mais un n'apparaît pas: celui de Raphaël, un chasseur de têtes.
Alicia est un personnage à la personnalité un peu stéréotypée, mais elle est malgré tout intéressante car elle est décrite comme réfléchie, sincère et sentimentale. Son duo avec Raphäel devient plein de surprise. Raphaël, quant à lui, apparaît comme assez narcissique, un peu joueur, mais il dissimule ses véritables états d'âmes.
L'intrigue début simplement, mais elle se complexifie rapidement et offre de nombreux rebondissements, avec un rythme soutenu.
C'est une oeuvre que je recommande tout particulièrement.
Dans Ce qui nous lie, nous rencontrons une jeune femme, Alicia, qui a une qualité très spéciale: elle est capable de voir les liens de chaque individu par des fils lumineux. Elle commence à travailler dans une entreprise, percevant tous les liens de ses nouveaux collègues. Mais un n'apparaît pas: celui de Raphaël, un chasseur de têtes.
Alicia est un personnage à la personnalité un peu stéréotypée, mais elle est malgré tout intéressante car elle est décrite comme réfléchie, sincère et sentimentale. Son duo avec Raphäel devient plein de surprise. Raphaël, quant à lui, apparaît comme assez narcissique, un peu joueur, mais il dissimule ses véritables états d'âmes.
L'intrigue début simplement, mais elle se complexifie rapidement et offre de nombreux rebondissements, avec un rythme soutenu.
C'est une oeuvre que je recommande tout particulièrement.
Syrine C.
Si vous aimez les livres du en rapport à la Seconde Guerre mondiale ce livre vous plaira certainement. Le livre que j’ai lu est L’Ami retrouvé de Fred Uhlman. Ce roman est assez beau, émouvant, dans certains extraits on peut ressentir chaque personnage principal. Il y a une belle histoire d’amitié entre les deux personnages du roman, qu’elle soit sincère, triste ou même tragique ce roman nous transporte. L’histoire se passe au temps du nazisme et je trouve que cela donne un aspect plus intéressant à l’histoire, du coup on comprend encore mieux la relation des deux amis.je trouve aussi que le rythme du roman est assez platonique, il manque quelques rebondissements, mais cela ne m’empêche pas de trouver ce livre vraiment bien. Le fait que l’histoire est basée sur une amitié rendue impossible par un contexte historique, tragique et terrifiant donne à l’histoire tout son intérêt. On arrive à voir que F. Uhlman a voulu dénoncer l’horreur du nazisme dans cette belle, sincère et tragique amitié. Au final ce roman est bien pour tout le monde, peut être confus pour certains mais sera toujours agréable et fluide à lire.
Eloïse C.
Jean-Paul Nozière est connu grâce à ses polars destinés à la jeunesse. « Souviens-toi de Titus » est un de ses grands succès, particulièrement auprès des jeunes lecteurs, publié chez Rageot Editeur en 1989, réédité en 1994 puis en 2004. Il a reçu comme récompenses « Le Prix Gavroche » et « Le Prix Polar Jeunes ».
Dans une petite ville plutôt calme, un mystérieux meurtrier revendique ses crimes par des citations littéraires. Par la suite Iossip Martin, un jeune journaliste décide d’enquêter sur ces évènements et de mettre la main sur « Le fou aux citations ». Les victimes partagent des choses dont un passé assez intrigant. Iossip Martin sera accompagné de ses amis et résoudra ce mystère.
Je l’ai lu par contrainte et finalement, je me suis laissée embarquer par le suspense de l’histoire. Il y a vraiment des rebondissements jusqu’à la fin du livre. On a accès au plan du meurtrier, avec en plus des références littéraires ! Cela permet bien saisir ses motivations. Et donc que la lecture soit fluide. La lecture est également plutôt simple mais l’intrigue reste énigmatique. Ce qui veut dire que le roman peut-être autant apprécié par les adultes que par les jeunes.
Dans une petite ville plutôt calme, un mystérieux meurtrier revendique ses crimes par des citations littéraires. Par la suite Iossip Martin, un jeune journaliste décide d’enquêter sur ces évènements et de mettre la main sur « Le fou aux citations ». Les victimes partagent des choses dont un passé assez intrigant. Iossip Martin sera accompagné de ses amis et résoudra ce mystère.
Je l’ai lu par contrainte et finalement, je me suis laissée embarquer par le suspense de l’histoire. Il y a vraiment des rebondissements jusqu’à la fin du livre. On a accès au plan du meurtrier, avec en plus des références littéraires ! Cela permet bien saisir ses motivations. Et donc que la lecture soit fluide. La lecture est également plutôt simple mais l’intrigue reste énigmatique. Ce qui veut dire que le roman peut-être autant apprécié par les adultes que par les jeunes.
Emma L. R.
Le livre A la folie de Birgitt Lorentzen m’a tout d’abord attiré de par sa couverture, c’est ensuite le style fantaisiste du bouquin qui m’a donné envie d’en savoir plus.
Luisa se réveille chaque nuit a cause d’un fantôme qui lui rend visite et l’appelle a l’aide. Thomas, un garçon du lycée voit aussi le fantôme... qui est-ce ? Pourquoi cet esprit suit-il Luisa partout où elle va ? Des liens vont se créer entre Thomas et Luisa qui vont s’aider pour élucider ce mystère surnaturel.
Un livre parfois un peu maladroit mais tout de même bien imaginer. Le personnage de Luisa n’est pas des plus intéressant, nous connaissons l’intégralité de sa vie, alors que le personnage de Thomas est bien plus énigmatique. Il est difficile de le cerner. Malheureusement, nous ne saurons jamais pourquoi Luisa a été choisi pour être hantée.
A la folie est un livre qui correspond plus aux critères de lecture d’un adolescent bien qu’il soit accessible a tous
Luisa se réveille chaque nuit a cause d’un fantôme qui lui rend visite et l’appelle a l’aide. Thomas, un garçon du lycée voit aussi le fantôme... qui est-ce ? Pourquoi cet esprit suit-il Luisa partout où elle va ? Des liens vont se créer entre Thomas et Luisa qui vont s’aider pour élucider ce mystère surnaturel.
Un livre parfois un peu maladroit mais tout de même bien imaginer. Le personnage de Luisa n’est pas des plus intéressant, nous connaissons l’intégralité de sa vie, alors que le personnage de Thomas est bien plus énigmatique. Il est difficile de le cerner. Malheureusement, nous ne saurons jamais pourquoi Luisa a été choisi pour être hantée.
A la folie est un livre qui correspond plus aux critères de lecture d’un adolescent bien qu’il soit accessible a tous
Valéria M.
Je vais vous présenter un livre qui m'a beaucoup plus, il s'agit de The Bad Angel de Marina Molineris. Cette nouvelle autrice âgée de seulement treize ans et demi vient de publier son premier livre aux éditions Amathée.
Le roman est divisé en plusieurs tomes. Nous allons nous concentrer sur le Tome 1. Celui-ci fait commencer l'histoire dans le village d'Angeleïa. Tout au long de l'histoire, nous suivons une jeune femme prénommée Constance qui va voir sa vie basculé le jour où elle rencontre Neven. Un jeune homme mystérieux qui cache bien des secrets.
Le jour où le plus gros secret de Neven éclate, la vie de Constance elle aussi se chamboule. Elle va se retrouver dans une guerre entre la frontière du bien et du mal mais aussi contre elle-même.
Pourchassée par la mort, elle devra plonger dans les ténèbres pour tenter de sauver son amour.
Pendant ma lecture, j'ai observé que beaucoup de personnages étaient stéréotypés. Les personnages ont des caractéristiques très connues comme les cheveux noirs et les yeux rouges quand ils sont méchants. De plus, cette vision continue dans le livre car la perfection est représentée par un homme blond aux yeux bleus. Pourquoi faire une vision aussi banale et utiliser des codes classiques et qui rendent l'histoire plate et cela casse le rythme de l'histoire car nous voyons souvent cette vision d'une personne "pure" qui a les attributs que l'autrice donne à son personnage dans le roman. Mais comment peut-on mettre dans des cases des personnes selon leur physique ? Est ce que c'est une position de l'auteur qui est choisie selon ses idées ou seulement une question esthétique ? On peut alors pousser la réflexion avec les caractéristiques traditionnelles des nazis représentés par les yeux bleus et les cheveux blond. Mais cela emmène une réflexion contraire au personnage qui représente la pureté dans le livre, sauf si on peut poser l'hypothèse que pour l'autrice, les nazis représentent la pureté ? Mais n'est ce pas catégorique de dire que tous les nazis étaient blonds aux yeux bleus. Nous pourrions aller loin en pensant ainsi mais ce n'est pas le but ici.
Malgré cela, la lecture est très agréable et palpitante, l'intrigue de l'histoire est assez simple, on pourrait penser donc que cela aller être ennuyeux mais le suspens qu'arrive à créer l'autrice permet une tension dramatique qui donne envie de lire la suite, de dévorer chaque mots et d'aller toujours plus loin dans l'univers fantastique qu'elle a crée.
Cependant, certains passages du livre sont un peu confus, la lecture est plus difficile et donc moins agréable. On le constate surtout quand nous sommes emportées dans l'histoire et que tout à coup, les images qui se déroule en même temps que notre lecture sont alors chamboulées. Alors, nous sommes obligées de reprendre le passage et cela casse le rythme de lecture que nous avions entrepris.
Pour conclure, on peut dire que The Bad Angel est un livre qui nous porte dans un univers qui permet de nous échapper de la réalité durant un instant. Le livre est captivant malgré quelques détails qui peuvent emmener une réflexion à contre sens avec l'idée de l'autrice comme la représentation de ce qui serait la pureté. On peut dire que c'est un livre que l'on peut recommander aux amatrices de lecture.
Le roman est divisé en plusieurs tomes. Nous allons nous concentrer sur le Tome 1. Celui-ci fait commencer l'histoire dans le village d'Angeleïa. Tout au long de l'histoire, nous suivons une jeune femme prénommée Constance qui va voir sa vie basculé le jour où elle rencontre Neven. Un jeune homme mystérieux qui cache bien des secrets.
Le jour où le plus gros secret de Neven éclate, la vie de Constance elle aussi se chamboule. Elle va se retrouver dans une guerre entre la frontière du bien et du mal mais aussi contre elle-même.
Pourchassée par la mort, elle devra plonger dans les ténèbres pour tenter de sauver son amour.
Pendant ma lecture, j'ai observé que beaucoup de personnages étaient stéréotypés. Les personnages ont des caractéristiques très connues comme les cheveux noirs et les yeux rouges quand ils sont méchants. De plus, cette vision continue dans le livre car la perfection est représentée par un homme blond aux yeux bleus. Pourquoi faire une vision aussi banale et utiliser des codes classiques et qui rendent l'histoire plate et cela casse le rythme de l'histoire car nous voyons souvent cette vision d'une personne "pure" qui a les attributs que l'autrice donne à son personnage dans le roman. Mais comment peut-on mettre dans des cases des personnes selon leur physique ? Est ce que c'est une position de l'auteur qui est choisie selon ses idées ou seulement une question esthétique ? On peut alors pousser la réflexion avec les caractéristiques traditionnelles des nazis représentés par les yeux bleus et les cheveux blond. Mais cela emmène une réflexion contraire au personnage qui représente la pureté dans le livre, sauf si on peut poser l'hypothèse que pour l'autrice, les nazis représentent la pureté ? Mais n'est ce pas catégorique de dire que tous les nazis étaient blonds aux yeux bleus. Nous pourrions aller loin en pensant ainsi mais ce n'est pas le but ici.
Malgré cela, la lecture est très agréable et palpitante, l'intrigue de l'histoire est assez simple, on pourrait penser donc que cela aller être ennuyeux mais le suspens qu'arrive à créer l'autrice permet une tension dramatique qui donne envie de lire la suite, de dévorer chaque mots et d'aller toujours plus loin dans l'univers fantastique qu'elle a crée.
Cependant, certains passages du livre sont un peu confus, la lecture est plus difficile et donc moins agréable. On le constate surtout quand nous sommes emportées dans l'histoire et que tout à coup, les images qui se déroule en même temps que notre lecture sont alors chamboulées. Alors, nous sommes obligées de reprendre le passage et cela casse le rythme de lecture que nous avions entrepris.
Pour conclure, on peut dire que The Bad Angel est un livre qui nous porte dans un univers qui permet de nous échapper de la réalité durant un instant. Le livre est captivant malgré quelques détails qui peuvent emmener une réflexion à contre sens avec l'idée de l'autrice comme la représentation de ce qui serait la pureté. On peut dire que c'est un livre que l'on peut recommander aux amatrices de lecture.
Jules N.
Bilbo, le Hobbit, de John Ronald Reuel Tolkien est un roman de fantasy qui a été publié pour la première fois à Londres le 21 septembre 1937. Et est paru en France, traduit, en 1969.
Ce livre raconte l’histoire de Bilbo, un jeune garçon appartenant à une espèce de semi-homme, très calme avec une vie paisible et dépourvue d’aventures, appelée “Hobbit”. Ce jeune Hobbit, donc, sera alors contraint de rejoindre une compagnie de treize Nains accompagné par Gandalf, le magicien gris, afin d’atteindre la “Montagne Solitaire” ; lieu où est caché un trésor inestimable. Ils débuteront alors un long voyage périlleux.
Les thèmes abordés sont nombreux dans ce récit, en effet, les personnages sont constamment en mouvement et voyagent à travers toute l’étendue de la “Terre du Milieu”, offrant alors une large possibilité de thème à voir en fonction des destinations. On peut citer les plus marquants ; comme la solitude et la cupidité. Thèmes énormément présents dans l’intrigue, on peut les observer à travers beaucoup de personnages rencontré au cours de l’aventure. Les exemples pourraient être des personnages comme Gollum, Smaug, Thorin, Thrór, etc.
Ces deux thèmes, ainsi que tous les autres que l’on peut rencontrer à l’intérieur du récit, prennent au final une tournure pouvant moraliser le lecteur.trice et permettre une réflexion sur les caractères humain, à la manière d’un conte. À rappeler d’ailleurs que J.R.R. Tolkien était assez familiariser avec le conte.
La compagnie d’aventuriers étant composée de quinze membres, dont treize Nains, un Hobbit et un magicien, le lot de caractère différents à traiter est assez élevé pour un roman aussi “court”. Chaque personnage est attachant à sa manière, ce qui d’ailleurs, va permettre à la compagnie de devenir un seul et unique protagoniste. Cela n’empêche qu’au cours de l’aventure, il y ait certains différends entre chacun. Ces mêmes différends permettront alors de ressouder le groupe et de les voir se “relever”, d’avancer et de se reconstruire. Leurs relations évolueront de fil en aiguille, ce qui influera sur leur caractère.
Ce roman est le premier de ce cher Tolkien à parler de la “Terre du Milieu”, univers étendu dans lequel on retrouve plusieurs autres de ces œuvres : Le Seigneur des Anneaux ; Le Silmarillion ; Les Enfants de Húrin ; etc.
Il l’introduit assez bien tout en restant court et condensé (237 pages), ce qui le rend accessible à un large public. Les amateurs d’héroïc-fantasy seront assez bien servi, d’une histoire courte mais complète, possédant un rythme difficilement lassant. C’est ce même rythme qui permettra également aux néofits du genre d’accrocher à l’histoire et à l’univers de l’auteur. Il y a une sensation d’évasion lors de la lecture, ce qui en fait, au final, une parfaite petite histoire divertissante. À lire le soir, avant une bonne nuit de sommeil.
Ce livre raconte l’histoire de Bilbo, un jeune garçon appartenant à une espèce de semi-homme, très calme avec une vie paisible et dépourvue d’aventures, appelée “Hobbit”. Ce jeune Hobbit, donc, sera alors contraint de rejoindre une compagnie de treize Nains accompagné par Gandalf, le magicien gris, afin d’atteindre la “Montagne Solitaire” ; lieu où est caché un trésor inestimable. Ils débuteront alors un long voyage périlleux.
Les thèmes abordés sont nombreux dans ce récit, en effet, les personnages sont constamment en mouvement et voyagent à travers toute l’étendue de la “Terre du Milieu”, offrant alors une large possibilité de thème à voir en fonction des destinations. On peut citer les plus marquants ; comme la solitude et la cupidité. Thèmes énormément présents dans l’intrigue, on peut les observer à travers beaucoup de personnages rencontré au cours de l’aventure. Les exemples pourraient être des personnages comme Gollum, Smaug, Thorin, Thrór, etc.
Ces deux thèmes, ainsi que tous les autres que l’on peut rencontrer à l’intérieur du récit, prennent au final une tournure pouvant moraliser le lecteur.trice et permettre une réflexion sur les caractères humain, à la manière d’un conte. À rappeler d’ailleurs que J.R.R. Tolkien était assez familiariser avec le conte.
La compagnie d’aventuriers étant composée de quinze membres, dont treize Nains, un Hobbit et un magicien, le lot de caractère différents à traiter est assez élevé pour un roman aussi “court”. Chaque personnage est attachant à sa manière, ce qui d’ailleurs, va permettre à la compagnie de devenir un seul et unique protagoniste. Cela n’empêche qu’au cours de l’aventure, il y ait certains différends entre chacun. Ces mêmes différends permettront alors de ressouder le groupe et de les voir se “relever”, d’avancer et de se reconstruire. Leurs relations évolueront de fil en aiguille, ce qui influera sur leur caractère.
Ce roman est le premier de ce cher Tolkien à parler de la “Terre du Milieu”, univers étendu dans lequel on retrouve plusieurs autres de ces œuvres : Le Seigneur des Anneaux ; Le Silmarillion ; Les Enfants de Húrin ; etc.
Il l’introduit assez bien tout en restant court et condensé (237 pages), ce qui le rend accessible à un large public. Les amateurs d’héroïc-fantasy seront assez bien servi, d’une histoire courte mais complète, possédant un rythme difficilement lassant. C’est ce même rythme qui permettra également aux néofits du genre d’accrocher à l’histoire et à l’univers de l’auteur. Il y a une sensation d’évasion lors de la lecture, ce qui en fait, au final, une parfaite petite histoire divertissante. À lire le soir, avant une bonne nuit de sommeil.
Matéo R.
Un homme est trouvé mort dans une maison inhabitée, au cœur d'un des plus sinistres quartiers de Londres. Autour de lui, des traces de sang, bien que le cadavre n'ait aucune blessure. De quoi laisser perplexes Lestrade et Gregson, les limiers de Scotland Yard. Parue en 1887, cette étude en rouge est la première des enquêtes de Sherlock Holmes. Nous y faisons la connaissance de l'extraordinaire détective à travers les yeux du bon Dr. Watson. Nous y apprenons le « raisonnement analytique » et l'art de faire parler les indices. Ce classique du roman policier est aussi un roman d'aventures qui nous conduit dans le Nevada des mormons et de la ruée vers l'or, où s'enracine le mystère...
Sherlock Holmes : Une étude en rouge : écrit et publié en 1887 par Arthur Conan Doyle ce roman policier nous plonge en plein cœur du XIXème siècle londonien. C’est ici, à travers ses premières ligne que débutent les aventures de Sherlock Holmes et John H. Watson. A Study in Scarlet, de son titre original, fût traduis de plusieurs façons en français, Étude en rouge, Un crime étrange ou encore Écrit dans le sang. Bien que Conan Doyle ne soit pas l’inventeur du roman policier, il posera néanmoins certaines règles bien connues aujourd’hui. Par exemple, un récit coupé en deux parties. La première s’attardant sur le crime et l’enquête puis la seconde, racontant le passé du meurtrier et les raisons qui l’ont poussé à la faute. Ici, l’histoire présente nous est contée par le Dr. Watson et c’est un narrateur externe qui raconte le passé du criminel.
Les personnages sont intéressants. L’histoire avance très vite et nous avons tout juste le temps de découvrir certains personnages. Cependant, Watson se dévoile petit à petit au fil du récit et nous découvrons Holmes au travers des yeux de son nouveau colocataire. C’est d’ailleurs le détective qui nous est le plus décrit. Watson ira jusqu’à dresser une liste des domaines d’expertise de Sherlock Holmes. Les autres personnages sont secondaires, on découvre les éléments importants de leurs caractères : les détails qui font de chacun d’eux ce qu’ils sont et ce qu’ils représentent. Dans la seconde partie, les personnages sont un peu plus détaillés et peuvent être plus attachants que ceux présents au début du récit.
L’intrigue est donc, elle aussi, divisée en deux. Deux parties distinctes, dans des lieux différents et avec des personnages eux aussi différents. Cependant, les deux récits sont liés par des personnages communs. L’enquête est intéressante et Sherlock Holmes surprenant. C’est essentiellement pour voir le détective à l’œuvre que nous lisons ses romans. De nombreux détails sont livrés pour que le lecteur puisse faire sa propre investigation. A la fin, Holmes délivre, comme à son habitude, la manière dont il a dénoué l’enquête. La seconde partie nous fait voir au Nevada et nous propose quelques scènes d’action et de suspens. Le récit est vraiment différent, c’est très agréable.
Pour conclure je dirai que ce livre est très intéressant, une excellente porte d’entrée à cet univers et aux aventures de Holmes et Watson. Les personnages sont très intéressants et variés. Point important, aucun personnage n’est inutile. Cependant, le récit reste relativement plat. Il n’y a pas beaucoup de scènes d’actions ou de suspens. De plus, certaines d’entre elles ne sont pas très rythmées et ralentissent donc la cadence. Enfin, il est simple d’arriver à la fin du livre, l’édition de poche nous propose une aventure en moins de deux-cent pages. Une belle histoire, manquant tout de même de rythme par moment.
Sherlock Holmes : Une étude en rouge : écrit et publié en 1887 par Arthur Conan Doyle ce roman policier nous plonge en plein cœur du XIXème siècle londonien. C’est ici, à travers ses premières ligne que débutent les aventures de Sherlock Holmes et John H. Watson. A Study in Scarlet, de son titre original, fût traduis de plusieurs façons en français, Étude en rouge, Un crime étrange ou encore Écrit dans le sang. Bien que Conan Doyle ne soit pas l’inventeur du roman policier, il posera néanmoins certaines règles bien connues aujourd’hui. Par exemple, un récit coupé en deux parties. La première s’attardant sur le crime et l’enquête puis la seconde, racontant le passé du meurtrier et les raisons qui l’ont poussé à la faute. Ici, l’histoire présente nous est contée par le Dr. Watson et c’est un narrateur externe qui raconte le passé du criminel.
Les personnages sont intéressants. L’histoire avance très vite et nous avons tout juste le temps de découvrir certains personnages. Cependant, Watson se dévoile petit à petit au fil du récit et nous découvrons Holmes au travers des yeux de son nouveau colocataire. C’est d’ailleurs le détective qui nous est le plus décrit. Watson ira jusqu’à dresser une liste des domaines d’expertise de Sherlock Holmes. Les autres personnages sont secondaires, on découvre les éléments importants de leurs caractères : les détails qui font de chacun d’eux ce qu’ils sont et ce qu’ils représentent. Dans la seconde partie, les personnages sont un peu plus détaillés et peuvent être plus attachants que ceux présents au début du récit.
L’intrigue est donc, elle aussi, divisée en deux. Deux parties distinctes, dans des lieux différents et avec des personnages eux aussi différents. Cependant, les deux récits sont liés par des personnages communs. L’enquête est intéressante et Sherlock Holmes surprenant. C’est essentiellement pour voir le détective à l’œuvre que nous lisons ses romans. De nombreux détails sont livrés pour que le lecteur puisse faire sa propre investigation. A la fin, Holmes délivre, comme à son habitude, la manière dont il a dénoué l’enquête. La seconde partie nous fait voir au Nevada et nous propose quelques scènes d’action et de suspens. Le récit est vraiment différent, c’est très agréable.
Pour conclure je dirai que ce livre est très intéressant, une excellente porte d’entrée à cet univers et aux aventures de Holmes et Watson. Les personnages sont très intéressants et variés. Point important, aucun personnage n’est inutile. Cependant, le récit reste relativement plat. Il n’y a pas beaucoup de scènes d’actions ou de suspens. De plus, certaines d’entre elles ne sont pas très rythmées et ralentissent donc la cadence. Enfin, il est simple d’arriver à la fin du livre, l’édition de poche nous propose une aventure en moins de deux-cent pages. Une belle histoire, manquant tout de même de rythme par moment.
Manon R.
manon_r_critique.pdf | |
File Size: | 306 kb |
File Type: |
Camille Z.
Le roman que j’ai choisie ce nomme “La malédiction des Hale” de Doris Mortman
Callie , une jeune journaliste est hantée par son passé et la disparition tragique de sa mère. Tombée amoureuse d’un riche héritier, Wilty Hale, ce dernier se suicide et le doute plane sur sa mort . Callie decide alors d’enquêter. Tout au long du livre nous pouvons retrouver du suspence.Le roman dévoile ses secrets au fur et a mesure que l’histoire avance ,ce qui permet au lecteurs d’avoir envi de continuer de lire pour percer le secret de cette famille . Ce roman contient une intrigue intelligente et des personnages mystérieux. On peut vivre les tourments de Callie et ressentir sa détresse . Ce livre permet au lecteurs d’enquêter avec Callie
Callie , une jeune journaliste est hantée par son passé et la disparition tragique de sa mère. Tombée amoureuse d’un riche héritier, Wilty Hale, ce dernier se suicide et le doute plane sur sa mort . Callie decide alors d’enquêter. Tout au long du livre nous pouvons retrouver du suspence.Le roman dévoile ses secrets au fur et a mesure que l’histoire avance ,ce qui permet au lecteurs d’avoir envi de continuer de lire pour percer le secret de cette famille . Ce roman contient une intrigue intelligente et des personnages mystérieux. On peut vivre les tourments de Callie et ressentir sa détresse . Ce livre permet au lecteurs d’enquêter avec Callie