Rencontre avec l'Autre
Consignes données aux élèves:
Vous écrirez ou réaliserez en vidéo la première rencontre entre les humains et une race d'extra-terrestres. Cette rencontre devra mettre en avant ce qui fait la particularité des êtres humains dans leur rencontre avec l'Autre.
Vous pourrez vous inspirer de l'extrait de Voltaire, tiré de Micromégas.
Les textes des élèves n'ont pas été modifiés par le professeur.
Vous écrirez ou réaliserez en vidéo la première rencontre entre les humains et une race d'extra-terrestres. Cette rencontre devra mettre en avant ce qui fait la particularité des êtres humains dans leur rencontre avec l'Autre.
Vous pourrez vous inspirer de l'extrait de Voltaire, tiré de Micromégas.
Les textes des élèves n'ont pas été modifiés par le professeur.
Ondaline G.
RENCONTRE DU TROISIEME TYPE... PAS TELLEMENT BIENVENUE !
« Bonjour », c'est le premier mot que m'a dit l'extraterrestre quand il est arrivé dans mon jardin. J'étais fou de rage ! Lui n'était pas vraiment différent de nous, et même, il parlait français ! Mais pour quelqu'un qui nous ressemble, il n'a pas appris les bonnes manières ! Ah ça non alors ! De quel droit, à une heure si tardive en plus, ose-t-il venir m'importuner chez moi ? Je n'ai rien demandé, je ne veux pas être mêlé à des gens de son espèce. Et ma femme a raison: « Et si les voisins nous avaient vu, que diraient-ils ? ». je ne veux pas que cet extrachose m'approche ! Soit disant qu'il est venu en ami, je ne serai jamais ami avec ça ! Je mène une vie bien paisible, dans une belle maison, avec ma femme et mon fils. Mais maintenant je n'ai plus de jardin ! Cette espèce de chose m'a détruit ma pelouse ! Oh il a beau dire « bonjour », je ne l'ai pas laissé dire un mot de plus ! Je l'ai renvoyé chez lui ce sauvage ! A mon avis, il ne reviendra plus ! En plus, qui me dit que c'en est un, un extraterrestre ! Il avait l'air d'être comme nous, quoi que, franchement plus bête... je suis sur que c'est une sorte d'attrape-nigot : il repère une belle maison et vient la cambrioler ensuite ! Mais je me tiens prêt, qu'il ne s'avise pas de revenir celui-là !
« Bonjour », c'est le premier mot que m'a dit l'extraterrestre quand il est arrivé dans mon jardin. J'étais fou de rage ! Lui n'était pas vraiment différent de nous, et même, il parlait français ! Mais pour quelqu'un qui nous ressemble, il n'a pas appris les bonnes manières ! Ah ça non alors ! De quel droit, à une heure si tardive en plus, ose-t-il venir m'importuner chez moi ? Je n'ai rien demandé, je ne veux pas être mêlé à des gens de son espèce. Et ma femme a raison: « Et si les voisins nous avaient vu, que diraient-ils ? ». je ne veux pas que cet extrachose m'approche ! Soit disant qu'il est venu en ami, je ne serai jamais ami avec ça ! Je mène une vie bien paisible, dans une belle maison, avec ma femme et mon fils. Mais maintenant je n'ai plus de jardin ! Cette espèce de chose m'a détruit ma pelouse ! Oh il a beau dire « bonjour », je ne l'ai pas laissé dire un mot de plus ! Je l'ai renvoyé chez lui ce sauvage ! A mon avis, il ne reviendra plus ! En plus, qui me dit que c'en est un, un extraterrestre ! Il avait l'air d'être comme nous, quoi que, franchement plus bête... je suis sur que c'est une sorte d'attrape-nigot : il repère une belle maison et vient la cambrioler ensuite ! Mais je me tiens prêt, qu'il ne s'avise pas de revenir celui-là !
Alice L.
Nous arrivons vers un endroit bleu. Cette nouvelle couleur nous a inspiré. Il y a de l'animation. Nous y sommes. Une nouvelle sensation, des personnes bizarres nous observent. Ils ont des poils sur la tête, plusieurs trous sur le visage. Il y en a plusieurs, de toute taille. Cela semble étrange. Ou avons nous atterri? Il y a du bruit, les personnes cris. Nous ne comprenons pas. Nous ne comprenons pas cette réaction. Nous ne voulons pas de mal. Est ce la première fois qu'ils rencontrent une autre race? Nous avançons vers des gros bloc de pierres. Toutes les personnes acclament de façon agressive. Ils ont tous un petit objet dans la main fixé sur nous. Qu'est ce que c'est ? Est ce un kit de survie ? Apparemment car petits et grands ont cet objet. Ils sont bizarres. Je crois qu'ils ont peur. Mais pourquoi donc? Nous ne faisons rien. Nous, nous n'avons pas peur de rencontrer l'Autre. Nous n'avons pas peur car nous avons l'habitude car nous avons souvent des visites chez nous. Mais eux, c'est la première fois qu'on les voit. Ils sont si différents. Personnes ne veut nous parler. Dès qu'on s'approche de quelqu'un, celui si cri et part en courant. Leur langage est aussi différent. Nous ne comprenons pas ce qui se passe... Peut être qu'ils sont habitués à rejeter les gens différents. Mais pourtant nous découvrons juste cette terre. Ils nous a fallu du temps afin de mettre un pied ici. Et aujourd'hui nous avons enfin réussis. Tout semble compliqué ici. Chaque personne est différente. Ils se déplacent dans des espèces de machine. Des grosses, des volantes, des petites, il y en a même sur cet horizon bleu. Pourquoi autant de moyen différent? Chez nous il y en a qu'un seul: la soucoupe volante. D'ailleurs, il y a beaucoup de personnes devant notre soucoupe. Et encore une fois ils ont tous un espèce d'objet dans la main fixé sur la soucoupe. C'est bizarre. Ils sont bizarres.
Marion C.
RENCONTRE AVEC SOULAKH
Après avoir traversé la région des grands lacs, j’avais atterri sur cette immense plaine, loin de toute société de consommation, de tout bruit venant de la ville. Il n’y avait à ma portée que la nature, la vraie, celle à laquelle nous rêvons quand nous pensons à la liberté d’espace absolue. Pourtant, une ombre m’intriguait. Elle était au loin, cachée derrière un sapin. Ce n’était ni un animal, ni un quelconque végétal. Et plus je me rapprochais et plus je pouvais distinguer une silhouette humaine. Le bruit de mes pas l’a fit se retourner. C’est à ce moment précis que je sentis mon cœur s’emballer et mes yeux s’écarquiller. Je me souvenais que dans les livres ou les films leur description avait souvent les mêmes caractéristiques: grands yeux noirs, sans cheveux, gros crâne et avec des mains de trois doigts. Et c’était ça. Sa peau était de couleur émeraude, ses yeux en forme d’amande et de couleur ocre. Il avait trois doigts à chaque main et trois orteils à chaque pied. Aucuns mots ne pouvait sortir de ma bouche, j’avais l’impression que mes lèvres avaient été cousues tellement j’étais sidéré par ce qui se trouvait en face de moi. Jamais en me réveillant ce matin je ne m’étais imaginé pouvoir me trouver face à un extraterrestre. Avec les humains, les extraterrestres étaient un sujet de discussion qui se finissait à chaque fois en grands débats : certains pensaient que leur existence était évidente, d’autres que ce n’étaient que des mensonges ou des légendes, et d’autres étaient persuadés d’avoir déjà vu voler des soucoupes volantes ou d’en avoir vu faire une balade à vélo dans le ciel. Et il y en avait un devant moi, qui me regardait avec beaucoup de curiosité.
Tout d’un coup, il s’avança vers moi et prit ma tête entre ses mains. J’étais tellement stupéfait par ce qu’il ce passait que je ne ressentis ni peur, ni l’envie de prendre mes jambes à mon cou. L’extra-terrestre prononça un mot, un mot que je ne connaissais pas auparavant mais que je compris en quelques secondes. Il sourit un instant et m’expliqua que le fait d’avoir pris ma tête entre ses mains lui avait permis de m’inculquer son langage, celui des extraterrestre, grâce à l’immense énergie qu’il possédait. Il se nommait Soulakh, que nous pouvions traduire littéralement en «âme-libre».
- Alors, alors vous existez réellement, vous n’êtes pas une légende …
- Une légende? C’est donc comme ça qu’ils nous nomment!
-Ils ?
- Vous savez, il y a bien des personnes qui savent que nous existons.
- Oui, des personnes disent avoir vu certains de vos véhicules voler!
- Il faut les croire! Mais ce n’étaient pas de ces personnes là auxquelles je faisais référence. Vous savez, depuis le début de l’aire humaine sur terre, nous sommes présents. Avant j’avais beaucoup de contact avec certains gouvernements, , américain plus précisément.
- Avec le gouvernement américain ??
- Bien sûr, et depuis toujours, en fin, ce n’est plus moi qui m’en occupe aujourd’hui, j’ai été très déçue de leur manière d’agir. En réalité je suis déçue de beaucoup de chose sur votre planète. Le fait que l’argent soit la monnaie d’échange entre vous, provoque bien des malheurs.
- Que voulez-vous dire par-là ?
- L’argent et la puissance sont les points de départ de nombreux conflits : guerre, pauvreté, famine et j’en passe.
- Je suis d’accord, mais sur votre planète, vous avez bien de l’argent aussi!
- Détrompez-vous. Notre monnaie d’échange à nous c’est le temps.
- Le temps ?
- Oui. Pour vivre, nous avons besoin de temps. Nous gagnons notre temps en aidant autrui et en faisant de bonnes actions. Chez nous ce n’est pas «le temps c’est de l’argent» c’est «le temps c’est la vie». Rassures-toi, chaque habitant de cette terre à qui je l’ai raconté, m’a regardé avec beaucoup de stupeur.
- Mais comment ça, il y a des banques de temps ? Le temps ne peut pas-être compté.
- C’est une image. Evidemment nous n’avons pas de billet ou de pièce de temps, mais notre esprit, notre âme est consciente de cela. Nous sommes programmés et élevés avec cette idée. Tu sais ma planète ne ressemble en aucunement à la tienne.
- Mais alors pourquoi est-ce que le gouvernement américain a-t-il besoin de vous ? Est-ce qu’ils ont décidé de fonctionner comme vous ?
- Non, en réalité, ils ont besoins de nous pour nos progrès techniques. Chez moi, chaque personne est libre, aussi bien dans le sens spirituel que physique. Les visas, passeports, cartes d’identité n’existent pas. Il y a différent peuples, mais chaque personne est égale. Une personne qui va créer des vaisseaux ne va pas être perçue comme étant plus riche intellectuellement qu’une personne créant des fauteuils par exemple. Les hiérarchies sociales n’existent pas, ainsi chaque habitant peut élever son esprit et sa conscience au plus haut, ce qui amène à créer des choses extraordinaires. De plus, nous savons à quel point les énergies sont importantes, elles ont tout créé. Le soleil, le ciel, tout est fait d’énergie. Les gouvernements sont fous de notre savoir à propos de cela.
- Votre planète, votre manière de vivre, c’est digne d’une utopie !
- Pas du tout, c’est la votre qui manque cruellement de conscience. Je ne te dis pas qu’il n’y a pas de conflit et que tout le monde est d’accord ! Fort heureusement d’ailleurs. Tout le monde à une manière différente de penser, ce qui amène à des idées divergentes et des points de vue différents. Mais ce n’est pas pour autant que nous ne nous respectons pas. Seulement, nous avons compris une chose : celle que nous sommes égaux et que nous naîssons pour mourir. Alors la puissance, l’égo … Je ne savais pas que cela existait avant que je sois arrivé ici tu sais. Rends toi sur ma planète et dis le à quelqu’un qui n’a jamais mis le pied sur cette terre, il ne te croira pas.
- C’est incroyable … Mais que faites-vous ici alors ? Il fait bien mieux vivre chez vous que chez nous ??
- Je vous aide. Je ne suis pas là par pur hasard, c’est évident. Nous sommes plusieurs à être présents pour vous prouver que vous aussi, vous pouvez avoir droit à tout ça. Nous savons ce qui se passe à propos des famines, des guerres, et que cela remplit les gens de haine, de colère et de tristesse.
- Alors, vous venez nous redonner espoir, c’est cela ?
- D’une certaine manière mais vous savez, vous avez des choses incroyables ici, il ne faut pas l’oublier.
- Après ce que vous m’avez dit, j’ai bien du mal à le croire.
- Vous avez des musiciens, des cinéastes, des auteurs, pleins de personnes incroyables. Même vous, vous l’êtes, seulement vous ne vous en rendez pas compte. Chaque être est extraordinaire, seulement vous l’oubliez par tout ce qui se passe et vous vous demandez comme est-ce que vous pouvez l’être si vous vous entre-tuez. Mais ne perdez pas espoir car malgré tout, à chaque fois que je viens ici, j’en vois de l’espoir, et bien plus souvent que tu ne peux le croire. Dans des actes, des chansons, des livres, des films, et dans la vie de tous les jours aussi. Et crois-le ou non, les gens commencent à prendre conscience de tout cela. Cela prendra le temps qu’il faudra, mais ça viendra. Fait en sorte que tout change, commence par prendre conscience de tout cela toi-même, et ce sera déjà un grand pas. Et gardes espoir, car après tout, l’espoir, c’est la vie.
Soulakh repartit, nous avions discuté pendant plus de trois heures. Je levai la tête et vis un parterre d’étoiles comme je n’en avais jamais vu. Je décidai de reprendre ma marche, rempli d’espoir et de volonté.
Après avoir traversé la région des grands lacs, j’avais atterri sur cette immense plaine, loin de toute société de consommation, de tout bruit venant de la ville. Il n’y avait à ma portée que la nature, la vraie, celle à laquelle nous rêvons quand nous pensons à la liberté d’espace absolue. Pourtant, une ombre m’intriguait. Elle était au loin, cachée derrière un sapin. Ce n’était ni un animal, ni un quelconque végétal. Et plus je me rapprochais et plus je pouvais distinguer une silhouette humaine. Le bruit de mes pas l’a fit se retourner. C’est à ce moment précis que je sentis mon cœur s’emballer et mes yeux s’écarquiller. Je me souvenais que dans les livres ou les films leur description avait souvent les mêmes caractéristiques: grands yeux noirs, sans cheveux, gros crâne et avec des mains de trois doigts. Et c’était ça. Sa peau était de couleur émeraude, ses yeux en forme d’amande et de couleur ocre. Il avait trois doigts à chaque main et trois orteils à chaque pied. Aucuns mots ne pouvait sortir de ma bouche, j’avais l’impression que mes lèvres avaient été cousues tellement j’étais sidéré par ce qui se trouvait en face de moi. Jamais en me réveillant ce matin je ne m’étais imaginé pouvoir me trouver face à un extraterrestre. Avec les humains, les extraterrestres étaient un sujet de discussion qui se finissait à chaque fois en grands débats : certains pensaient que leur existence était évidente, d’autres que ce n’étaient que des mensonges ou des légendes, et d’autres étaient persuadés d’avoir déjà vu voler des soucoupes volantes ou d’en avoir vu faire une balade à vélo dans le ciel. Et il y en avait un devant moi, qui me regardait avec beaucoup de curiosité.
Tout d’un coup, il s’avança vers moi et prit ma tête entre ses mains. J’étais tellement stupéfait par ce qu’il ce passait que je ne ressentis ni peur, ni l’envie de prendre mes jambes à mon cou. L’extra-terrestre prononça un mot, un mot que je ne connaissais pas auparavant mais que je compris en quelques secondes. Il sourit un instant et m’expliqua que le fait d’avoir pris ma tête entre ses mains lui avait permis de m’inculquer son langage, celui des extraterrestre, grâce à l’immense énergie qu’il possédait. Il se nommait Soulakh, que nous pouvions traduire littéralement en «âme-libre».
- Alors, alors vous existez réellement, vous n’êtes pas une légende …
- Une légende? C’est donc comme ça qu’ils nous nomment!
-Ils ?
- Vous savez, il y a bien des personnes qui savent que nous existons.
- Oui, des personnes disent avoir vu certains de vos véhicules voler!
- Il faut les croire! Mais ce n’étaient pas de ces personnes là auxquelles je faisais référence. Vous savez, depuis le début de l’aire humaine sur terre, nous sommes présents. Avant j’avais beaucoup de contact avec certains gouvernements, , américain plus précisément.
- Avec le gouvernement américain ??
- Bien sûr, et depuis toujours, en fin, ce n’est plus moi qui m’en occupe aujourd’hui, j’ai été très déçue de leur manière d’agir. En réalité je suis déçue de beaucoup de chose sur votre planète. Le fait que l’argent soit la monnaie d’échange entre vous, provoque bien des malheurs.
- Que voulez-vous dire par-là ?
- L’argent et la puissance sont les points de départ de nombreux conflits : guerre, pauvreté, famine et j’en passe.
- Je suis d’accord, mais sur votre planète, vous avez bien de l’argent aussi!
- Détrompez-vous. Notre monnaie d’échange à nous c’est le temps.
- Le temps ?
- Oui. Pour vivre, nous avons besoin de temps. Nous gagnons notre temps en aidant autrui et en faisant de bonnes actions. Chez nous ce n’est pas «le temps c’est de l’argent» c’est «le temps c’est la vie». Rassures-toi, chaque habitant de cette terre à qui je l’ai raconté, m’a regardé avec beaucoup de stupeur.
- Mais comment ça, il y a des banques de temps ? Le temps ne peut pas-être compté.
- C’est une image. Evidemment nous n’avons pas de billet ou de pièce de temps, mais notre esprit, notre âme est consciente de cela. Nous sommes programmés et élevés avec cette idée. Tu sais ma planète ne ressemble en aucunement à la tienne.
- Mais alors pourquoi est-ce que le gouvernement américain a-t-il besoin de vous ? Est-ce qu’ils ont décidé de fonctionner comme vous ?
- Non, en réalité, ils ont besoins de nous pour nos progrès techniques. Chez moi, chaque personne est libre, aussi bien dans le sens spirituel que physique. Les visas, passeports, cartes d’identité n’existent pas. Il y a différent peuples, mais chaque personne est égale. Une personne qui va créer des vaisseaux ne va pas être perçue comme étant plus riche intellectuellement qu’une personne créant des fauteuils par exemple. Les hiérarchies sociales n’existent pas, ainsi chaque habitant peut élever son esprit et sa conscience au plus haut, ce qui amène à créer des choses extraordinaires. De plus, nous savons à quel point les énergies sont importantes, elles ont tout créé. Le soleil, le ciel, tout est fait d’énergie. Les gouvernements sont fous de notre savoir à propos de cela.
- Votre planète, votre manière de vivre, c’est digne d’une utopie !
- Pas du tout, c’est la votre qui manque cruellement de conscience. Je ne te dis pas qu’il n’y a pas de conflit et que tout le monde est d’accord ! Fort heureusement d’ailleurs. Tout le monde à une manière différente de penser, ce qui amène à des idées divergentes et des points de vue différents. Mais ce n’est pas pour autant que nous ne nous respectons pas. Seulement, nous avons compris une chose : celle que nous sommes égaux et que nous naîssons pour mourir. Alors la puissance, l’égo … Je ne savais pas que cela existait avant que je sois arrivé ici tu sais. Rends toi sur ma planète et dis le à quelqu’un qui n’a jamais mis le pied sur cette terre, il ne te croira pas.
- C’est incroyable … Mais que faites-vous ici alors ? Il fait bien mieux vivre chez vous que chez nous ??
- Je vous aide. Je ne suis pas là par pur hasard, c’est évident. Nous sommes plusieurs à être présents pour vous prouver que vous aussi, vous pouvez avoir droit à tout ça. Nous savons ce qui se passe à propos des famines, des guerres, et que cela remplit les gens de haine, de colère et de tristesse.
- Alors, vous venez nous redonner espoir, c’est cela ?
- D’une certaine manière mais vous savez, vous avez des choses incroyables ici, il ne faut pas l’oublier.
- Après ce que vous m’avez dit, j’ai bien du mal à le croire.
- Vous avez des musiciens, des cinéastes, des auteurs, pleins de personnes incroyables. Même vous, vous l’êtes, seulement vous ne vous en rendez pas compte. Chaque être est extraordinaire, seulement vous l’oubliez par tout ce qui se passe et vous vous demandez comme est-ce que vous pouvez l’être si vous vous entre-tuez. Mais ne perdez pas espoir car malgré tout, à chaque fois que je viens ici, j’en vois de l’espoir, et bien plus souvent que tu ne peux le croire. Dans des actes, des chansons, des livres, des films, et dans la vie de tous les jours aussi. Et crois-le ou non, les gens commencent à prendre conscience de tout cela. Cela prendra le temps qu’il faudra, mais ça viendra. Fait en sorte que tout change, commence par prendre conscience de tout cela toi-même, et ce sera déjà un grand pas. Et gardes espoir, car après tout, l’espoir, c’est la vie.
Soulakh repartit, nous avions discuté pendant plus de trois heures. Je levai la tête et vis un parterre d’étoiles comme je n’en avais jamais vu. Je décidai de reprendre ma marche, rempli d’espoir et de volonté.
Kelly R. et Anastasia S.
Fiona P.
La rencontre
C'était un beau jour de septembre , nous venions de rentrer du lycée avec mon frère Lucas , l'air était doux , fatigués , nous nous installions dans le canapé près de la télé et de la fenêtre , la chaleur devenant assez génante , j'ouvris les volets et j'admirais le beau ciel turquoise . Je regardais passer les avions , l'un d'entre eux attira particulièrement mon attention , il semblait passer plus près que les autres . Il m'aveuglait tellement , il était brillant , je ne pus m'empêcher de le regarder , il me fascinait , il s'approchait de plus en plus , je n'en croyais pas mes yeux , cela prenait forme petit a petit devant moi ... Une soucoupe volante !! J'appelais aussitôt mon frère , il me dit de sortir et d'aller voir .
La peur n'était pas du tout présente a ce moment là, c'était plutôt la curiosité qui l'emporta .
Nous sortions , vimes deux petit hommes verts , ils avaient peur , ils s'exprimaient par leur propre language , nous esseyons de nous approcher petit a petit , j'étais alors pétrifiée .
Mon frère , eu l'idée de dessiner une maison sur sa main , a coté , un point d'interrogation . L'un des deux hommes nous montra le ciel , ils comprenaient ce que nous leur demandions ! Nous communiquions alors par de simples schémas , j'apportais un paquet de feuille , et nous passons la soirée a dessiner , communiquer , essayer de se comprendre . Nous leur décrivions nos habitudes , eux , plus timidement , ils se dévoilaient . Ils venaient de Mars , avaient entendu parler de la planète Terre inconnue jusqu'a maintenant par leur population , ils voulaient voir comment se déroulé la vie ici . Nous passons alors toute la soirée a leur parler , ce fut le plus beau jour de mon existence .
C'était un beau jour de septembre , nous venions de rentrer du lycée avec mon frère Lucas , l'air était doux , fatigués , nous nous installions dans le canapé près de la télé et de la fenêtre , la chaleur devenant assez génante , j'ouvris les volets et j'admirais le beau ciel turquoise . Je regardais passer les avions , l'un d'entre eux attira particulièrement mon attention , il semblait passer plus près que les autres . Il m'aveuglait tellement , il était brillant , je ne pus m'empêcher de le regarder , il me fascinait , il s'approchait de plus en plus , je n'en croyais pas mes yeux , cela prenait forme petit a petit devant moi ... Une soucoupe volante !! J'appelais aussitôt mon frère , il me dit de sortir et d'aller voir .
La peur n'était pas du tout présente a ce moment là, c'était plutôt la curiosité qui l'emporta .
Nous sortions , vimes deux petit hommes verts , ils avaient peur , ils s'exprimaient par leur propre language , nous esseyons de nous approcher petit a petit , j'étais alors pétrifiée .
Mon frère , eu l'idée de dessiner une maison sur sa main , a coté , un point d'interrogation . L'un des deux hommes nous montra le ciel , ils comprenaient ce que nous leur demandions ! Nous communiquions alors par de simples schémas , j'apportais un paquet de feuille , et nous passons la soirée a dessiner , communiquer , essayer de se comprendre . Nous leur décrivions nos habitudes , eux , plus timidement , ils se dévoilaient . Ils venaient de Mars , avaient entendu parler de la planète Terre inconnue jusqu'a maintenant par leur population , ils voulaient voir comment se déroulé la vie ici . Nous passons alors toute la soirée a leur parler , ce fut le plus beau jour de mon existence .
Mona BG., Pauline L., Camille R. et Tatiana M.
Alors que Candide et Pélagie se promènent , un OVNI s'écrase à quelques kilomètres d'eux.
- Oh! Qu'est-ce que c'est ? Dit Candide enthousiaste , allons découvrir cet OVNI .
- NON ! Nous ne savons pas ce que nous y trouverons , ajouta Pélagie.
- Eh ben tant pis ! J'irai sans toi , rétorqua Candide
- Non, attends moi !
Pélagie et Candide s'approchent de l'étrange objet avec hésitation...
- Oh ! Regardes , deux êtres multicolores ! Allons leur parler ! Proposa Candide.
- Appelons plutôt la police ! C'est plus sûr , dit-elle en bougonnant.
Candide l'ignore et se lance dans un dialogue incompréhensible avec les extra-terrestres.
- Toi comprendre qu'est-ce que moi dire ? Toi connaître langue France ?
- Non, mais je comprends votre langue , il est inutile de me parler de la sorte, répondit l'un des extra-terrestres.
- Oh ! C'est super ! Vous savez parler Français ! Comment êtes-vous arrivés là ? D'où venez-vous ? Comment vous appelez-vous ? Demanda Candide.
- Je m'appelle Mars, et moi Snickers.
- Mais ne leur parle pas ! Dit Pélagie en chuchotant .Nous ne savons pas de quoi ils sont capables ! Méfions-nous ...
- Mais arrête ! Juste parce qu'ils sont différents tu les méprises ! S'exclama Candide.
- Ne vous inquiétez pas terriens ! Nous ne vous voulons aucun mal , nous aimerions seulement repartir dans notre planète, rajouta Snickers.
- Oh ! Nous pourrions vous aider ! Que pouvons nous faire pour vous ? Proposa gentillement Candide
- Arrête de nous mettre en danger , on ne les connaît pas , dit-elle sèchement en le tirant quatre pas en arrière.
- Au lieu d'être désagréable avec eux, Pélagie, tu pourrais faire preuve de relativisme et les aider !
- Je manque peut-être de relativisme mais toi tu es trop naïf , alors aide les si tu veux mais moi je m'en vais.
Pélagie tourna les talons et s'en alla sans se retourner.
- Oh! Qu'est-ce que c'est ? Dit Candide enthousiaste , allons découvrir cet OVNI .
- NON ! Nous ne savons pas ce que nous y trouverons , ajouta Pélagie.
- Eh ben tant pis ! J'irai sans toi , rétorqua Candide
- Non, attends moi !
Pélagie et Candide s'approchent de l'étrange objet avec hésitation...
- Oh ! Regardes , deux êtres multicolores ! Allons leur parler ! Proposa Candide.
- Appelons plutôt la police ! C'est plus sûr , dit-elle en bougonnant.
Candide l'ignore et se lance dans un dialogue incompréhensible avec les extra-terrestres.
- Toi comprendre qu'est-ce que moi dire ? Toi connaître langue France ?
- Non, mais je comprends votre langue , il est inutile de me parler de la sorte, répondit l'un des extra-terrestres.
- Oh ! C'est super ! Vous savez parler Français ! Comment êtes-vous arrivés là ? D'où venez-vous ? Comment vous appelez-vous ? Demanda Candide.
- Je m'appelle Mars, et moi Snickers.
- Mais ne leur parle pas ! Dit Pélagie en chuchotant .Nous ne savons pas de quoi ils sont capables ! Méfions-nous ...
- Mais arrête ! Juste parce qu'ils sont différents tu les méprises ! S'exclama Candide.
- Ne vous inquiétez pas terriens ! Nous ne vous voulons aucun mal , nous aimerions seulement repartir dans notre planète, rajouta Snickers.
- Oh ! Nous pourrions vous aider ! Que pouvons nous faire pour vous ? Proposa gentillement Candide
- Arrête de nous mettre en danger , on ne les connaît pas , dit-elle sèchement en le tirant quatre pas en arrière.
- Au lieu d'être désagréable avec eux, Pélagie, tu pourrais faire preuve de relativisme et les aider !
- Je manque peut-être de relativisme mais toi tu es trop naïf , alors aide les si tu veux mais moi je m'en vais.
Pélagie tourna les talons et s'en alla sans se retourner.
Aymeric B., Tiffany D. et Lucas F.
Personnes de deux mondes.
Un homme sort de son bureau, comme chaque jour de la semaine. Son nom est Maurice Mondos, il est âgé de 58ans et il est bientôt à la retraite. Sur le chemin du retour pour rentrer chez lui il tombe sur un carrefour fermé pour travaux, il décide alors de passer par un autre chemin, mais ce chemin traverse un endroit connus de tous, personne ne veut y passer, en voiture, à pied, à vélo, c'est un mauvais endroit pour tout le monde. Malgré sa petite vie banal, Maurice est bien connus dans son village et il est réputé pour sa gentillesse et sa générosité. Par manque de choix il s'engage alors dans cet infernal parcours pour rentrer chez lui, il ferme son manteau, tien bien sa sacoche, regarde par terre et avance le plus rapidement que son vieille âge ne lui permet. Puis se heurte à quelque chose. C'est l'un d'entre eux. Pour Maurice, maintenant la seule chose à faire est de partir, de s’enfuir, de courir, de mourir et de dire adieu.
« Pardonnez-moi. Dit Maurice.
- Qu'est ce-t'as ? Pourquoi t'es comme ça papy ?! Répliqua l'être en face de Maurice.
- J'aimerais pouvoir passer, je vous en pris... S'il vous plait.
- Hey ! Mais c'est Monsieur Mondos. Kefa ici frère ? Dit un autre qui arriva derrière le premier.
- Mondos ? C'est ton nom ça ? Demanda le premier.
- Oui, Monsieur Maurice Mondos et vous ? Quel est le votre si je peux me permettre de vous le demander ? Demanda Maurice effrayé tout en essayent de reculer.
- C'est trop cheum ! Moi c'est Albert premier du nom. Dit le premier en eclatant de rire.
- Mondos ? Et dix centimètres plus bas et ça aurait été Moncul. En cria un troisième. »
Les trois éclatent de rire. Maurice est vexé et humilié par les méchanceté de ces êtres abominables en face de lui. Il n'aurait jamais du venir et aurait dû passer par un autre chemin que celui-ci. Il ne sait pas quoi faire, jusqu'à qu'une petite main lui tapote le bras. Maurice qui regarde toujours le sol, détourne le regard, sans bouger la tête pour autant pour voir un être encore plus petit que les trois premier.
« Vous zêtes pas zentil avec le monzieur ! Cria le petit.
- Oh ce n'est pas grave mon petit je suis habitué. Répliqua Maurice.
- John a raison. Dit une jeune fille au loin. Excusez vous auprès de Monsieur Mondos.
- Excusez-nous. S'exclama en même temps les trois jeunes. »
Les jeunes décident alors d'aider Monsieur Mondos a rentrer chez lui, et ils rigolent tout le long du trajet. Maurice compris ce jour là que ce n'était pas des « extra-terrestre » comme il le pensait auparavant. Que ce sont des êtres comme lui, ayant un cœur et une valeur. Et que ce n'est pas l'âge ni d'où l'on vient qui fait que nous sommes respectueux ou non. Mais nous même.
Un homme sort de son bureau, comme chaque jour de la semaine. Son nom est Maurice Mondos, il est âgé de 58ans et il est bientôt à la retraite. Sur le chemin du retour pour rentrer chez lui il tombe sur un carrefour fermé pour travaux, il décide alors de passer par un autre chemin, mais ce chemin traverse un endroit connus de tous, personne ne veut y passer, en voiture, à pied, à vélo, c'est un mauvais endroit pour tout le monde. Malgré sa petite vie banal, Maurice est bien connus dans son village et il est réputé pour sa gentillesse et sa générosité. Par manque de choix il s'engage alors dans cet infernal parcours pour rentrer chez lui, il ferme son manteau, tien bien sa sacoche, regarde par terre et avance le plus rapidement que son vieille âge ne lui permet. Puis se heurte à quelque chose. C'est l'un d'entre eux. Pour Maurice, maintenant la seule chose à faire est de partir, de s’enfuir, de courir, de mourir et de dire adieu.
« Pardonnez-moi. Dit Maurice.
- Qu'est ce-t'as ? Pourquoi t'es comme ça papy ?! Répliqua l'être en face de Maurice.
- J'aimerais pouvoir passer, je vous en pris... S'il vous plait.
- Hey ! Mais c'est Monsieur Mondos. Kefa ici frère ? Dit un autre qui arriva derrière le premier.
- Mondos ? C'est ton nom ça ? Demanda le premier.
- Oui, Monsieur Maurice Mondos et vous ? Quel est le votre si je peux me permettre de vous le demander ? Demanda Maurice effrayé tout en essayent de reculer.
- C'est trop cheum ! Moi c'est Albert premier du nom. Dit le premier en eclatant de rire.
- Mondos ? Et dix centimètres plus bas et ça aurait été Moncul. En cria un troisième. »
Les trois éclatent de rire. Maurice est vexé et humilié par les méchanceté de ces êtres abominables en face de lui. Il n'aurait jamais du venir et aurait dû passer par un autre chemin que celui-ci. Il ne sait pas quoi faire, jusqu'à qu'une petite main lui tapote le bras. Maurice qui regarde toujours le sol, détourne le regard, sans bouger la tête pour autant pour voir un être encore plus petit que les trois premier.
« Vous zêtes pas zentil avec le monzieur ! Cria le petit.
- Oh ce n'est pas grave mon petit je suis habitué. Répliqua Maurice.
- John a raison. Dit une jeune fille au loin. Excusez vous auprès de Monsieur Mondos.
- Excusez-nous. S'exclama en même temps les trois jeunes. »
Les jeunes décident alors d'aider Monsieur Mondos a rentrer chez lui, et ils rigolent tout le long du trajet. Maurice compris ce jour là que ce n'était pas des « extra-terrestre » comme il le pensait auparavant. Que ce sont des êtres comme lui, ayant un cœur et une valeur. Et que ce n'est pas l'âge ni d'où l'on vient qui fait que nous sommes respectueux ou non. Mais nous même.
Vincent L. et Maxime T.
LA RENCONTRE
Un soir d'été, Julien emmène son amie Valentine sur la plage, après avoir été dîner au restaurant. Il espère charmer la belle Valentine sous les étoiles, mais après avoir admirer une étoile filante, il voit une tache dans le ciel qui se dirige lentement vers eux, petit à petit, voyant la tache se rapprocher Valentine prend peur.. Tout a coup un bruit assourdissant les effraient, la belle demoiselle se jette de peur dans les bras du séducteur. Lorsqu'ils voient quelqu'un nager en leur direction ils ne se doutent encore de rien. Mais voyant ce nageur se déplacer difficilement, elle se mit a douter. La silhouette se rapprocha afin de créer un contact. La demoiselle veut prendre la fuite mais Julien, intrigué et curieux, veut aller à la rencontre de cet homme mystérieux, Julien voyant l’étranger se déplacer difficilement il crut qu'il s'agissait d'un homme blessé. Julien décida alors de lui porté assistance, Valentine, elle, préfère rester a l’écart. Au moment d'engager une discussion, il constata qu'il ne s'agissait pas d'un être normal, il remarqua que ses yeux étaient fluorescent, qu'il possédait des membres ultras-développées, un aileron, des pieds palmés ainsi qu'une tache au niveau de son front. Mais il en fallait plus pour l'effrayer:
- Qui es tu?
- Je viens d'une autre planetzomé *bzibzi
- Que fais tu ici et comment as tu fais?!
- Je viens délivrer un message de paix, a vous, terrienzomé *bzibzi, votre planète est en danger, elle est surexploitézomé, nous vous invitons a rejoindre notre planète Obvious vous y trouverez un cadre de vie semblable a la votre et idylliquezomé *bzibzi
Julien se rendit compte alors qu'il venait de faire une rencontre exceptionnelle, a ce moment là, il pensait a toute la célébrité qu'il obtiendrait a l'issu de cette rencontre.
- Où compte tu te rendre pour faire passer ton message étranger?
- Un seul homme est capable de diffuser ce messagezomé, il s'appelle El matador *bzibzi
- Je peux t'aider a diffuser ton message
Il sorti alors son smartphone pour immortaliser le moment de cette rencontre extraordinaire et permettre la diffusion du message.
Un soir d'été, Julien emmène son amie Valentine sur la plage, après avoir été dîner au restaurant. Il espère charmer la belle Valentine sous les étoiles, mais après avoir admirer une étoile filante, il voit une tache dans le ciel qui se dirige lentement vers eux, petit à petit, voyant la tache se rapprocher Valentine prend peur.. Tout a coup un bruit assourdissant les effraient, la belle demoiselle se jette de peur dans les bras du séducteur. Lorsqu'ils voient quelqu'un nager en leur direction ils ne se doutent encore de rien. Mais voyant ce nageur se déplacer difficilement, elle se mit a douter. La silhouette se rapprocha afin de créer un contact. La demoiselle veut prendre la fuite mais Julien, intrigué et curieux, veut aller à la rencontre de cet homme mystérieux, Julien voyant l’étranger se déplacer difficilement il crut qu'il s'agissait d'un homme blessé. Julien décida alors de lui porté assistance, Valentine, elle, préfère rester a l’écart. Au moment d'engager une discussion, il constata qu'il ne s'agissait pas d'un être normal, il remarqua que ses yeux étaient fluorescent, qu'il possédait des membres ultras-développées, un aileron, des pieds palmés ainsi qu'une tache au niveau de son front. Mais il en fallait plus pour l'effrayer:
- Qui es tu?
- Je viens d'une autre planetzomé *bzibzi
- Que fais tu ici et comment as tu fais?!
- Je viens délivrer un message de paix, a vous, terrienzomé *bzibzi, votre planète est en danger, elle est surexploitézomé, nous vous invitons a rejoindre notre planète Obvious vous y trouverez un cadre de vie semblable a la votre et idylliquezomé *bzibzi
Julien se rendit compte alors qu'il venait de faire une rencontre exceptionnelle, a ce moment là, il pensait a toute la célébrité qu'il obtiendrait a l'issu de cette rencontre.
- Où compte tu te rendre pour faire passer ton message étranger?
- Un seul homme est capable de diffuser ce messagezomé, il s'appelle El matador *bzibzi
- Je peux t'aider a diffuser ton message
Il sorti alors son smartphone pour immortaliser le moment de cette rencontre extraordinaire et permettre la diffusion du message.