L'Homme est un loup pour l'Homme
Les élèves ont été invités à écrire une fable versifiée dont la morale est "L'Homme est un loup pour l'Homme".
Mariella A.G.
Note de l'enseignante: dans le cadre des aménagements préconisés par son P.A.P., Mariella a été autorisée à écrire une fable en prose.
Il était une fois une meute qui se nommait « les yeux de la lune » car les loups vivent la plupart du temps la nuit. Le chef de la meute se nommait Yann. Dans la meute, il y avait Maurice, le premier sous-chef, qui essayait toujours de prendre la place de Yann ; Philippe, qui était le deuxième sous-chef mais qui essayait de prendre la place de Maurice ; puis, nous avons Cris et René, les deux apprentis. Le chef dit : « regroupez-vous !»
Tous les loups acceptèrent sauf Maurice qui se proclama chef. Le chef ordonna à Maurice de se soumettre à lui. Mais Maurice ne bougea pas, il continua de tenir tête à Yann. Les deux loups s’affrontèrent et bien sûr ce fut le chef qui gagna.
Moralité :
Même si on est au sommet il y aura toujours quelqu’un qui voudra prendre notre place
Il était une fois une meute qui se nommait « les yeux de la lune » car les loups vivent la plupart du temps la nuit. Le chef de la meute se nommait Yann. Dans la meute, il y avait Maurice, le premier sous-chef, qui essayait toujours de prendre la place de Yann ; Philippe, qui était le deuxième sous-chef mais qui essayait de prendre la place de Maurice ; puis, nous avons Cris et René, les deux apprentis. Le chef dit : « regroupez-vous !»
Tous les loups acceptèrent sauf Maurice qui se proclama chef. Le chef ordonna à Maurice de se soumettre à lui. Mais Maurice ne bougea pas, il continua de tenir tête à Yann. Les deux loups s’affrontèrent et bien sûr ce fut le chef qui gagna.
Moralité :
Même si on est au sommet il y aura toujours quelqu’un qui voudra prendre notre place
Steven C.
Easy to learn , Hard to master
Dans un jardin , des fourmis travaillent,
Elles sont en apprentissage.
Aucune ne se chamaillent
Elles étaient toutes jeunes mais dépourvues,
d'une fortune absolu.
Sauf une prétendant être plus sage,
Celle-ci dirigé la mission.
Tant dis que les autres sans permission,
ce plaignaient à l'ouvrage.
Elles ragotaient alors pendant le forage :
« De quels droits peut-elle nous diriger?! »
C'est bien la fourmis la plus aîné,
Qui est capable de superviser ce chantier.
Elle se rendit compte du las au travail.
Elle prit alors le temps d'annoncé :
« Votre misère se dissous à force de façonner !
Cette tâche ardu vous rendra plus sage,
Vous permettant ainsi de suivre mon sillage »
On est capable d'être patron
Si on gravit les échelons
La plus riche des fourmis
Était jadis ouvrière elle aussi
Dans un jardin , des fourmis travaillent,
Elles sont en apprentissage.
Aucune ne se chamaillent
Elles étaient toutes jeunes mais dépourvues,
d'une fortune absolu.
Sauf une prétendant être plus sage,
Celle-ci dirigé la mission.
Tant dis que les autres sans permission,
ce plaignaient à l'ouvrage.
Elles ragotaient alors pendant le forage :
« De quels droits peut-elle nous diriger?! »
C'est bien la fourmis la plus aîné,
Qui est capable de superviser ce chantier.
Elle se rendit compte du las au travail.
Elle prit alors le temps d'annoncé :
« Votre misère se dissous à force de façonner !
Cette tâche ardu vous rendra plus sage,
Vous permettant ainsi de suivre mon sillage »
On est capable d'être patron
Si on gravit les échelons
La plus riche des fourmis
Était jadis ouvrière elle aussi
Laëtitia C.
Le papillon et le crapaud
Un crapaud se rend chez son ami le papillon
celui-ci le reçoit a bras ouverts, en lui offrant un verre.
Tout paniqué le crapaud demande a son ami si il a vu sa femme,
disparue depuis la vieille.
Le papillon, surpris, lui répond que non.
Le crapaud est désespéré, son ami le console et le rassure en lui assurant que si il la voyait il le lui dirait.
Le crapaud quitte alors son ami afin de rentrer chez lui.
C'est alors qu'en se retournant, il voit sa femme a travers les rideaux de la chambre du papillon ,
il se sent trahi, humilié et va se jeter du haut d'un rocher.
L'amitié n'est pas toujours réelle, elle est souvent infidèle...
Un crapaud se rend chez son ami le papillon
celui-ci le reçoit a bras ouverts, en lui offrant un verre.
Tout paniqué le crapaud demande a son ami si il a vu sa femme,
disparue depuis la vieille.
Le papillon, surpris, lui répond que non.
Le crapaud est désespéré, son ami le console et le rassure en lui assurant que si il la voyait il le lui dirait.
Le crapaud quitte alors son ami afin de rentrer chez lui.
C'est alors qu'en se retournant, il voit sa femme a travers les rideaux de la chambre du papillon ,
il se sent trahi, humilié et va se jeter du haut d'un rocher.
L'amitié n'est pas toujours réelle, elle est souvent infidèle...
Emma D.
L’Homme est un loup pour l’Homme
Comme nous allons le voir ici.
Une jument marchant, affaiblie,
Trouva un arbre plein de pommes.
Elle s’en approcha doucement,
Quand soudain une panthère la stoppa :
« Tu es entrée dans mon territoire vieille jument ! »
L’animal regarda à terre et vit la bête féroce en contrebas,
« Pardon madame » lui dit-elle,
« Je ne savais pas qu’il y avait des propriétés privées »
« Si », lui dit la panthère, « et tu es sur l’une d’elles,
Et je te demandes de t’en retirer ».
« Mais alors comment vais-je manger ? »
Lui demanda la jument,
« Je n’ai pas de terre privée
Et seuls tes arbres sont appétissants ».
La jument partit.
Quelque temps plus tard, la panthère, à son tour touchée par la disette,
Demanda à la jument d’avoir de l’empathie,
Pour une panthère à la diète.
La jument, malgré toute la nourriture à proximité,
Lui dit qu’elle n’avait pas le droit de rester dans sa propriété.
La panthère s’exécuta et partit.
Manquant de forces, elle mourut le jour qui suivit.
Comme nous allons le voir ici.
Une jument marchant, affaiblie,
Trouva un arbre plein de pommes.
Elle s’en approcha doucement,
Quand soudain une panthère la stoppa :
« Tu es entrée dans mon territoire vieille jument ! »
L’animal regarda à terre et vit la bête féroce en contrebas,
« Pardon madame » lui dit-elle,
« Je ne savais pas qu’il y avait des propriétés privées »
« Si », lui dit la panthère, « et tu es sur l’une d’elles,
Et je te demandes de t’en retirer ».
« Mais alors comment vais-je manger ? »
Lui demanda la jument,
« Je n’ai pas de terre privée
Et seuls tes arbres sont appétissants ».
La jument partit.
Quelque temps plus tard, la panthère, à son tour touchée par la disette,
Demanda à la jument d’avoir de l’empathie,
Pour une panthère à la diète.
La jument, malgré toute la nourriture à proximité,
Lui dit qu’elle n’avait pas le droit de rester dans sa propriété.
La panthère s’exécuta et partit.
Manquant de forces, elle mourut le jour qui suivit.
Jules F.
Manon G.
Un ours au fond de la forêt
Vit au loin un mouton qui s'était égaré de son troupeau
Un loup le vit aussi et alla parler à l'ours :
"Mon ami l'ours , si vous me cédez ce mouton aujourd'hui , je vous emmènerai en échange à un océan de poissons qui se trouve pas très loin de chez moi." L'ours rétorqua :
"Soit ! Rendez -vous demain matin au même endroit. "
Le lendemain matin ,le loup lui annonça :
"Tout mes poissons ont disparu cette nui!"
L'ours comprit qu'il avait été trompé
Quelques mois plus tard , ils tombèrent à nouveau tous les deux sur un mouton
L'ours prit le premier la parole :
"Cher ami , laissez moi aujourd'hui ce maigre mouton en échange des mes plus belles brebis que je garde dans ma grotteé
Le loup accepta
Le lendemain il ne trouva ni ours , ne brebis Il comprit qu'il s'était fait tromper
C'est double plaisir de tromper le trompeur
Steeve G.
Dans un appartement deux chats il y avait.
Celui avec le plus d’ancienneté dominait.
Un jour le chat cadet
Qui en avait plus qu'assez
Décida d'en finir avec l'aîné
« Dit tu ne voudrais pas t'approcher ?
La fenêtre n'a pas été fermé
D'ici l'horizon nous pouvons admirer »
« De quel droit ose tu me tutoyer ?
Mais je vais te l'accorder
L'horizon est d’une telle beauté
Que je me dois de regarder
à peine s'était-il approché
Que tout en bas il se retrouvait étalé
Le cadet l'avait défenestré.
Il avait arrêté de respirer
Le cadet pouvait donc régner en paix.
Et nous pouvons donc ajouter en somme
Que l'Homme est un loup pour l'Homme.
Celui avec le plus d’ancienneté dominait.
Un jour le chat cadet
Qui en avait plus qu'assez
Décida d'en finir avec l'aîné
« Dit tu ne voudrais pas t'approcher ?
La fenêtre n'a pas été fermé
D'ici l'horizon nous pouvons admirer »
« De quel droit ose tu me tutoyer ?
Mais je vais te l'accorder
L'horizon est d’une telle beauté
Que je me dois de regarder
à peine s'était-il approché
Que tout en bas il se retrouvait étalé
Le cadet l'avait défenestré.
Il avait arrêté de respirer
Le cadet pouvait donc régner en paix.
Et nous pouvons donc ajouter en somme
Que l'Homme est un loup pour l'Homme.
Pauline I.
La mouche et la fourmi
Un jour une petite mouche et une fourmi
Se rencontrèrent lors d'une belle journée dans une prairie
En ce temps de sécheresse, le sol n'était pas fertile
Les deux amis partirent chercher de quoi se nourrir dans la ville
La mouche qui volait croisa un arbre sur lequel se trouvait de quoi se nourrir
Elle savait que si elle ne mangeait pas seul elle allait mourrir
C'est pour cela qu'elle ne dis pas un mot à la fourmi affamée
Les deux amis décidèrent de rentrée pour pouvoir se reposer
Lorsque la fourmi fut rentrée la petite mouche retourna chercher son diner
Ce qu'elle avait caché toute la journée à son amie la fourmi pour manger
Le lendemain lorsqu’il rendu visite à son ami
Elle la retrouva allongé sur le sol sans aucun signe de vie
Elle venait de comprendre qu’elle avait tué
Celle qui des le départ était à ses côté
L'égoïste est un être affreux : celui qui, au milieu de ses semblables,
ne vit que pour lui, qui prend tout chez les autres,
et ne rend rien à personne, est un monstre social.
Quentin K.
La Crevette, le Thon et le Léviathan
La Crevette se baladait,
L'innocent se cogna à un Thon;
«Qui t'autorise à me bousculait ?»
Dit le Thon d'un air Grognon
La Crevette troublé ne répondit pas;
«Si tu ne parle pas je ferai de toi mon repas»
Dit le thon remplis d’exaspération
La Crevette aussi muette encore
Se fit mangé par celui qu'on dit le plus fort
A ce droit il n'y a pas de remise en question,
C'est pourquoi le Léviathan à son tour avala l'avorton remplis de colère.
La vie de l'homme est solitaire, dégoûtante, animale et éphémère.
La Crevette se baladait,
L'innocent se cogna à un Thon;
«Qui t'autorise à me bousculait ?»
Dit le Thon d'un air Grognon
La Crevette troublé ne répondit pas;
«Si tu ne parle pas je ferai de toi mon repas»
Dit le thon remplis d’exaspération
La Crevette aussi muette encore
Se fit mangé par celui qu'on dit le plus fort
A ce droit il n'y a pas de remise en question,
C'est pourquoi le Léviathan à son tour avala l'avorton remplis de colère.
La vie de l'homme est solitaire, dégoûtante, animale et éphémère.
Laëtitia L.
L'homme est un loup pour l'homme
Nous allons le montrer maintenant.
Dans un petit village très chaleureux
Se trouvait que des ânes.
Il fallait élire un chef pour les rendre heureux.
Un cheval passa par là et se proposa.
Tous les ânes étaient surpris et contents de le voir là.
Il fut donc élu et tous voulurent être le préféré car il était différent avec sa beauté.
Ce cheval voyant sa popularité voulu en profiter.
Dès qu'il demandait un service dans la seconde d'après il était exaucé.
Un jour il fit un discourt qui a semé la confusion,
Chaque âne pensait que le chef parlait de leur mission.
Ce qui entraîna une dispute générale qui finit en guerre totale.
Nous allons le montrer maintenant.
Dans un petit village très chaleureux
Se trouvait que des ânes.
Il fallait élire un chef pour les rendre heureux.
Un cheval passa par là et se proposa.
Tous les ânes étaient surpris et contents de le voir là.
Il fut donc élu et tous voulurent être le préféré car il était différent avec sa beauté.
Ce cheval voyant sa popularité voulu en profiter.
Dès qu'il demandait un service dans la seconde d'après il était exaucé.
Un jour il fit un discourt qui a semé la confusion,
Chaque âne pensait que le chef parlait de leur mission.
Ce qui entraîna une dispute générale qui finit en guerre totale.
Manon L.
Un écureuil gris,
vivait dans un arbre en Hongris.
Juste au dessus
Vivait une chouette bossu.
L'hiver arriva
Il commença à faire froid.
L'écureuil alluma un feu
Pour se réchauffer un petit peu,
Bien égoïste qu'il soit
Il ne sauva pas la chouette du froid,
Et en plus l'enfuma.
La chouette fut donc contrainte de quitté l'arbre,
Et elle alla ce perdre dans cet hiver macabre.
En ne pensant qu'à son profit,
Ont fait du tort à autrui.
vivait dans un arbre en Hongris.
Juste au dessus
Vivait une chouette bossu.
L'hiver arriva
Il commença à faire froid.
L'écureuil alluma un feu
Pour se réchauffer un petit peu,
Bien égoïste qu'il soit
Il ne sauva pas la chouette du froid,
Et en plus l'enfuma.
La chouette fut donc contrainte de quitté l'arbre,
Et elle alla ce perdre dans cet hiver macabre.
En ne pensant qu'à son profit,
Ont fait du tort à autrui.
Marie M.
Le lémurien se réveilla de bon matin
Il descendit de son arbre vérifier sa récolte de grains
Tout aller bien
Il descendit encore pour vérifier sa récolte de fruit
Et il dit « oui »
Il passa sa journée ordinairement
Le lendemain il recommença son tour rapidement
Et là.. Plus rien !
Il se dit que ça doit être le singe
Il alla donc toqué chez son ami voisin pour chercher du réconfort
Or, il trouva chez lui, la moitié de sa récolte.
Il tombât des nus .
Méfiez-vous des personnes qui vous entourent,
Ils ne sont pas toujours là pour vous mais pour ce que vous possédez.
Il descendit de son arbre vérifier sa récolte de grains
Tout aller bien
Il descendit encore pour vérifier sa récolte de fruit
Et il dit « oui »
Il passa sa journée ordinairement
Le lendemain il recommença son tour rapidement
Et là.. Plus rien !
Il se dit que ça doit être le singe
Il alla donc toqué chez son ami voisin pour chercher du réconfort
Or, il trouva chez lui, la moitié de sa récolte.
Il tombât des nus .
Méfiez-vous des personnes qui vous entourent,
Ils ne sont pas toujours là pour vous mais pour ce que vous possédez.
Yanis M.
Les Frères Dragons
Une décision hâtive a toujours des répercussions irrévocables ,
Que nous allons voir dans cette fable,
Deux frères, puissants et redoutables par leur attitude
Le Dragon du Nord et le Dragon du Sud
Ensembles, ils maintenaient l'équilibre et la paix sur Terre,
Malheureusement, après le décès de leur père
Les deux frères se disputèrent le règne de leurs terres
Leurs coups, puissants et rapides, fendaient l'air
Leurs violentes querelles assombrit les cieux,
Jusqu'à ce que le Dragon du Sud abatte son frère
Qui tomba en fracassant la Terre
Le Dragon du Sud sortait victorieux
Le temps passant, rongé par ses remords, sa vie devint austère
Et sa victoire prit un goût amer
Pendant des années le Dragon solitaire
Consumé par la haine de ses viscères
Transformait l'héritage paisible de son père
En un royaume désert et mortifère
Il n’était plus que chagrin, désespoir et haine
Devenant l'ombre de lui-même
Il a perdu tout ce qui restait en lui d'aimable
Et mourut ainsi comme un démon exécrable
Une décision hâtive a toujours des répercussions irrévocables ,
Que nous allons voir dans cette fable,
Deux frères, puissants et redoutables par leur attitude
Le Dragon du Nord et le Dragon du Sud
Ensembles, ils maintenaient l'équilibre et la paix sur Terre,
Malheureusement, après le décès de leur père
Les deux frères se disputèrent le règne de leurs terres
Leurs coups, puissants et rapides, fendaient l'air
Leurs violentes querelles assombrit les cieux,
Jusqu'à ce que le Dragon du Sud abatte son frère
Qui tomba en fracassant la Terre
Le Dragon du Sud sortait victorieux
Le temps passant, rongé par ses remords, sa vie devint austère
Et sa victoire prit un goût amer
Pendant des années le Dragon solitaire
Consumé par la haine de ses viscères
Transformait l'héritage paisible de son père
En un royaume désert et mortifère
Il n’était plus que chagrin, désespoir et haine
Devenant l'ombre de lui-même
Il a perdu tout ce qui restait en lui d'aimable
Et mourut ainsi comme un démon exécrable
Julian N.
L’ours et les saumons
L’ours sortant de son antre,
Alla remplir son ventre.
Lorsqu’ il vu les premiers saumons.
Remontant la rivière ces poissons,
Étaient bien fatigués
Par une rude année.
Trouvant là une source de nourriture aisée
Il se garda bien de varier ces mets.
Malgré les nombreuses implorations
De ces majestueux poissons,
Pour laisser passer quelques congénères,
Afin que l’espèce se régénère.
L’ours ne laissa remonter
Aucuns salmonidés.
Connaissant pourtant l’enjeu de cette ignominie,
Peut- être était-il trop sur de lui ?
Trop arrogant ?
Ou trop gourmand ?
Ce qui est sur c’est que plus aucun salmonidé,
Ne revint jamais .
Et l’ours brun
Mourut de faim.
Regrettant alors de ne pas avoir écouté,
Ceux dont il s’était régalé.
Si l’Homme n’apprend pas à gérer les ressources dont il dispose malgré qu’il soit avertit de ce qu’il risque, alors celui-ci ira à sa propre perte.
L’ours sortant de son antre,
Alla remplir son ventre.
Lorsqu’ il vu les premiers saumons.
Remontant la rivière ces poissons,
Étaient bien fatigués
Par une rude année.
Trouvant là une source de nourriture aisée
Il se garda bien de varier ces mets.
Malgré les nombreuses implorations
De ces majestueux poissons,
Pour laisser passer quelques congénères,
Afin que l’espèce se régénère.
L’ours ne laissa remonter
Aucuns salmonidés.
Connaissant pourtant l’enjeu de cette ignominie,
Peut- être était-il trop sur de lui ?
Trop arrogant ?
Ou trop gourmand ?
Ce qui est sur c’est que plus aucun salmonidé,
Ne revint jamais .
Et l’ours brun
Mourut de faim.
Regrettant alors de ne pas avoir écouté,
Ceux dont il s’était régalé.
Si l’Homme n’apprend pas à gérer les ressources dont il dispose malgré qu’il soit avertit de ce qu’il risque, alors celui-ci ira à sa propre perte.
Danaé P.
La fable des moutons
Un troupeau de mouton vivait dans les prairies,
Un jour, leur chef leur dit : « Mes amis,
Il ne faut pas s’éloigner des près d’herbes fraiches,
Car dans la forêt elle vient à disparaitre. »
Pourtant, les moutons, un jour, gambadèrent
Vers la forêt, à hauteur de la lisière.
« Nous devrions aller voir ce qui l’y a de si dangereux »,
Commença un mouton, « peut-être que nous y serions heureux ».
Alors, sans se soucier des avertissements,
Les moutons entrent dans les bois, gaiement,
Mais, le chef avait raison, et dans les fonds de la forêt,
L’herbe vint à manquer,
Les moutons étaient perdus, plus aucun ne s’écoutaient,
La peur et la faim les attaquaient.
Les moutons commencèrent alors se manger.
Plus aucun ne vivait.
Apres de longues semaines, le chef vint les chercher,
Mais, hélas, tout ce qu’il trouva était un mouton qui finissait de manger.
On ne revit plus jamais le chef des moutons.
Ni le dernier mouton.
Dans ce récit, ce sont nos vies qui résonnent:
L’homme est un loup pour l’homme.
Un troupeau de mouton vivait dans les prairies,
Un jour, leur chef leur dit : « Mes amis,
Il ne faut pas s’éloigner des près d’herbes fraiches,
Car dans la forêt elle vient à disparaitre. »
Pourtant, les moutons, un jour, gambadèrent
Vers la forêt, à hauteur de la lisière.
« Nous devrions aller voir ce qui l’y a de si dangereux »,
Commença un mouton, « peut-être que nous y serions heureux ».
Alors, sans se soucier des avertissements,
Les moutons entrent dans les bois, gaiement,
Mais, le chef avait raison, et dans les fonds de la forêt,
L’herbe vint à manquer,
Les moutons étaient perdus, plus aucun ne s’écoutaient,
La peur et la faim les attaquaient.
Les moutons commencèrent alors se manger.
Plus aucun ne vivait.
Apres de longues semaines, le chef vint les chercher,
Mais, hélas, tout ce qu’il trouva était un mouton qui finissait de manger.
On ne revit plus jamais le chef des moutons.
Ni le dernier mouton.
Dans ce récit, ce sont nos vies qui résonnent:
L’homme est un loup pour l’homme.
Chiara P.
Le royaume des renards
Il existait un royaume de renards
Où le roi était très aimé.
Un jour, un nouveau renard
Fit son apparition, très apprécié,
Il occupa vite la place de conseillé.
Arriva un soir, où le renard l’invita à s’installer
Sur le rocher surplombant les maisonnées.
« - Ah mon cher roi, en tant que vassal,
Je dois vous avertir que se présage un grand mal :
Votre anéantissement.
- Vraiment ?, dit le roi d’un ton frémissant
Et que te fais dire cela mon ami ?
- Je vous le dit pour que vous soyez averti
Mais depuis quelques temps
Un bruit court et ce n’est que maintenant,
Que je trouve le courage de vous le dire, maladroitement.
- Parlez donc !, reprit le roi qui commençait à s’agiter
- Il y aurait depuis peu des rassemblements
Visant à vous évincer de votre royauté,
Ce serait le boulanger qui les organiserait
- Comment !, tonna le roi,
J’ai toujours été juste et cela grâce à mes lois.
Pourquoi voudraient-ils se soulever ?
- Je vous soutiendrai,
Quelque soit votre décision.
Mais si vous me le permettez
Je vous conseillerais de vous affirmer
Et surtout votre souveraineté, dit le renard dans le ton de la confidence »
Cette discussion terminée,
Le roi ordonna un rassemblement autour de son excellence.
Vînt l’annonce la mise à mort du boulanger.
Les habitants étaient scandalisés par ces propos,
Le roi avait toujours gouverné de façon juste.
Ils contestèrent l’existence de ce complot.
Mais il ne voulut rien en savoir,
L’exécution aurait lieu ce soir.
Les renards afin d’éviter la mort à leur ami,
S’organisèrent pour évincer leur roi.
Ils encerclèrent leur nouvel ennemi
Jusqu’à sa fuite du royaume,
Subissant ses propres lois avec effroi.
Au matin, il ne restait plus aucune trace de leur despote,
Au contraire ils avaient déjà trouvé qui lui succéder.
Celui qui avait été conseillé,
À la fois du roi mais aussi celui les avait averti.
Leur souverain les méprisait, leur avait-il garanti.
L’homme est un loup pour l’homme,
le renard en a eu raison de son royaume.
Il existait un royaume de renards
Où le roi était très aimé.
Un jour, un nouveau renard
Fit son apparition, très apprécié,
Il occupa vite la place de conseillé.
Arriva un soir, où le renard l’invita à s’installer
Sur le rocher surplombant les maisonnées.
« - Ah mon cher roi, en tant que vassal,
Je dois vous avertir que se présage un grand mal :
Votre anéantissement.
- Vraiment ?, dit le roi d’un ton frémissant
Et que te fais dire cela mon ami ?
- Je vous le dit pour que vous soyez averti
Mais depuis quelques temps
Un bruit court et ce n’est que maintenant,
Que je trouve le courage de vous le dire, maladroitement.
- Parlez donc !, reprit le roi qui commençait à s’agiter
- Il y aurait depuis peu des rassemblements
Visant à vous évincer de votre royauté,
Ce serait le boulanger qui les organiserait
- Comment !, tonna le roi,
J’ai toujours été juste et cela grâce à mes lois.
Pourquoi voudraient-ils se soulever ?
- Je vous soutiendrai,
Quelque soit votre décision.
Mais si vous me le permettez
Je vous conseillerais de vous affirmer
Et surtout votre souveraineté, dit le renard dans le ton de la confidence »
Cette discussion terminée,
Le roi ordonna un rassemblement autour de son excellence.
Vînt l’annonce la mise à mort du boulanger.
Les habitants étaient scandalisés par ces propos,
Le roi avait toujours gouverné de façon juste.
Ils contestèrent l’existence de ce complot.
Mais il ne voulut rien en savoir,
L’exécution aurait lieu ce soir.
Les renards afin d’éviter la mort à leur ami,
S’organisèrent pour évincer leur roi.
Ils encerclèrent leur nouvel ennemi
Jusqu’à sa fuite du royaume,
Subissant ses propres lois avec effroi.
Au matin, il ne restait plus aucune trace de leur despote,
Au contraire ils avaient déjà trouvé qui lui succéder.
Celui qui avait été conseillé,
À la fois du roi mais aussi celui les avait averti.
Leur souverain les méprisait, leur avait-il garanti.
L’homme est un loup pour l’homme,
le renard en a eu raison de son royaume.
Christopher R.
L’Un est un chasseur ;
L’Autre est un chassé.
L’Un recherche l’Autre en bon prédateur ;
L’Autre ne se laisse pas intimidé.
Quand l’Un trouve l’Autre, le débat s’engage
L’Autre se débat, s’en va et nage.
Quand l’Un retrouvera l’Autre, il ne restera que l’Un,
L’Autre le sait mais veut être quelqu’un.
L’Un est un chassé ;
L’Autre est un chasseur.
Un qui ne sera pas trouvé et dévoré
Par l’Autre avec ses belles dents acérées.
L’Un dans de beaux draps,
L’Autre dans un bel état.
Confiance d’Autre fait malheur d’Un,
Quand l’Autre retournera ses dents sur l’Un
Quand l’Un vit l’Autre de ses yeux,
L’Un ne voulut qu’à la fin il soit heureux.
Au bout d’une course de plusieurs nœuds,
L’Autre puis se satisfaire, ce veineux.
Tant qu’il y aura des prédateurs redoutables,
Il y aura des chassés pitoyables.
L’Autre est un chassé.
L’Un recherche l’Autre en bon prédateur ;
L’Autre ne se laisse pas intimidé.
Quand l’Un trouve l’Autre, le débat s’engage
L’Autre se débat, s’en va et nage.
Quand l’Un retrouvera l’Autre, il ne restera que l’Un,
L’Autre le sait mais veut être quelqu’un.
L’Un est un chassé ;
L’Autre est un chasseur.
Un qui ne sera pas trouvé et dévoré
Par l’Autre avec ses belles dents acérées.
L’Un dans de beaux draps,
L’Autre dans un bel état.
Confiance d’Autre fait malheur d’Un,
Quand l’Autre retournera ses dents sur l’Un
Quand l’Un vit l’Autre de ses yeux,
L’Un ne voulut qu’à la fin il soit heureux.
Au bout d’une course de plusieurs nœuds,
L’Autre puis se satisfaire, ce veineux.
Tant qu’il y aura des prédateurs redoutables,
Il y aura des chassés pitoyables.
Laurie R.
La souris et la Fourmis
Une fourmis dans la forêt
Rapidement se déplaçait,
Une fraise sur son dos
Brillait telle un joyau.
Une souris, par l’odeur alléchée,
S’apprêtait à commettre un péché.
« Quelle mine ravissante avez vous »,
Dit elle en masquant son dégoût,
« Que me vaut cet éloge? »
Répondit la fourmis, un sourire jusqu’à la gorge,
« je suis de bonne humeur,
Et je me ferai un bonheur
De vous venir en aide
En portant votre remède »
« Mais cette fraise n’est point lourde »,
La souris fit la sourde.
« Vous ne voulez point de mon secours?
Je vous aide dans votre détour »
La fourmis, flattée de cette proposition,
Ne fît point opposition.
La souris, tel un ange,
Attrappe la fraise et la mange.
La morale de cette histoire,
Et vous vous devez de me croire,
Est qu’il ne faut se fier sans ignorance
Aux trompeuses apparences.
Une fourmis dans la forêt
Rapidement se déplaçait,
Une fraise sur son dos
Brillait telle un joyau.
Une souris, par l’odeur alléchée,
S’apprêtait à commettre un péché.
« Quelle mine ravissante avez vous »,
Dit elle en masquant son dégoût,
« Que me vaut cet éloge? »
Répondit la fourmis, un sourire jusqu’à la gorge,
« je suis de bonne humeur,
Et je me ferai un bonheur
De vous venir en aide
En portant votre remède »
« Mais cette fraise n’est point lourde »,
La souris fit la sourde.
« Vous ne voulez point de mon secours?
Je vous aide dans votre détour »
La fourmis, flattée de cette proposition,
Ne fît point opposition.
La souris, tel un ange,
Attrappe la fraise et la mange.
La morale de cette histoire,
Et vous vous devez de me croire,
Est qu’il ne faut se fier sans ignorance
Aux trompeuses apparences.
Loris S.
Ce renard qui avait stocké tout l'été
Fut volé par un feu de forêt
Son moral chuta au plus bas
Lorsque l'hiver arriva
Lorsqu'il avait le moral à zéro
Se faisant aussi harceler par deux blaireaux
Il décida de les prendre aux mots et
Alla se noyer dans un ruisseau
Les autres ne doivent pas nous causer du tort
Seul nous même savons ce que nous valons, sans remords
Théo S.
« La sourie et l’éléphant »
Un éléphant se reposant
Au bord d’un arbre, est en plein rêve
Une sourie arrive est enlève
Le beau rêve si important
De l’éléphant. Celui-ci lève
La tête, voyant le sourie
L’imposant éléphant se vit
Imbattable devant la brève
Sourie présente face à
Lui, il la chargea sans posé
De question, la sourie sauta
Dans sa trompe pour l’étouffer,
L’éléphant en panique tomba
La sourie le laissant en vie
S’échappa et lui expliqua
Qu’il aurait pu être en charpie
S’il n’était pas tombé à terre
Moralité :
Les plus petit peuvent renverser les plus grands.
Un éléphant se reposant
Au bord d’un arbre, est en plein rêve
Une sourie arrive est enlève
Le beau rêve si important
De l’éléphant. Celui-ci lève
La tête, voyant le sourie
L’imposant éléphant se vit
Imbattable devant la brève
Sourie présente face à
Lui, il la chargea sans posé
De question, la sourie sauta
Dans sa trompe pour l’étouffer,
L’éléphant en panique tomba
La sourie le laissant en vie
S’échappa et lui expliqua
Qu’il aurait pu être en charpie
S’il n’était pas tombé à terre
Moralité :
Les plus petit peuvent renverser les plus grands.
Manon T.
L’éléphant et la souris
Un éléphant vivait dans la Savane,
Il aimait beaucoup l’endroit où il vivait,
Car son repas préférait,
Etait en faites les bananes.
L’éléphant n’appréciait pas trop,
Les petites souris dans les herbes hautes,
Car il faut l’avouer,
Il en avait très peur.
D’ailleurs, en ce moment,
Il n’y avait pas assez de nourriture,
Pour tout le monde.
Il fallait bien-sûr partager.
De ce fait, les premiers arrivés,
Etaient les premiers servi.
Un jour, la petite souris inoffensive,
S’éloigna de son habitat,
Pour trouver de quoi se nourrir.
L’éléphant, qui cherchait également de quoi manger,
Tomba nez à nez avec la souris.
Il hurla de toutes ses forces,
Mais la souris était aussi effrayée que lui,
Alors elle se planqua et trembla de peur.
Il voulut l’écraser avec ses grosses pattes,
Mais la souris réussie à lui échapper.
Une fois que l’éléphant se calma,
La souris lui dit : « Mais ça ne va pas de crier comme ça ?! J’ai eu peur !
- « Mais tu crois quoi, moi aussi j’ai eu très peur » dit l’éléphant.
La souris choquée lui répondit : « Mais voyons, tu es beaucoup plus gros que moi ! »
- Oui c’est vrai, mais toi et ta famille vous avez tué ma famille » lui dit l’éléphant.
« Tu sais, je suis tout seul, je n’ai pas de famille, j’essaye de survivre et en ce moment c’est dur il n’y a plus de nourriture » dit la souris.
L’éléphant écoutait attentivement la souris,
Et était surpris de ce qu’il entendait : « Alors si je comprends bien, tu ne veux pas me faire du mal ».
« Mais bien-sûr que non voyons, tu veux qu’on devienne amis ? » lui dit la souris.
L’éléphant tout comptant souris et lui dit « Avec grand plaisir » .
Depuis ce jour, l’éléphant aida la souris à trouver à manger,
Il l’a protégé et la souris faisait de même,
Lorsque l’éléphant n’arrivait pas à attraper la nourriture en haut des arbres.
C’est pour cela qu’on dit toujours que l’apparence peut être souvent trompeuse et que dans la vie on a toujours besoin de quelqu’un de plus petit ou de plus grand que soit.
Un éléphant vivait dans la Savane,
Il aimait beaucoup l’endroit où il vivait,
Car son repas préférait,
Etait en faites les bananes.
L’éléphant n’appréciait pas trop,
Les petites souris dans les herbes hautes,
Car il faut l’avouer,
Il en avait très peur.
D’ailleurs, en ce moment,
Il n’y avait pas assez de nourriture,
Pour tout le monde.
Il fallait bien-sûr partager.
De ce fait, les premiers arrivés,
Etaient les premiers servi.
Un jour, la petite souris inoffensive,
S’éloigna de son habitat,
Pour trouver de quoi se nourrir.
L’éléphant, qui cherchait également de quoi manger,
Tomba nez à nez avec la souris.
Il hurla de toutes ses forces,
Mais la souris était aussi effrayée que lui,
Alors elle se planqua et trembla de peur.
Il voulut l’écraser avec ses grosses pattes,
Mais la souris réussie à lui échapper.
Une fois que l’éléphant se calma,
La souris lui dit : « Mais ça ne va pas de crier comme ça ?! J’ai eu peur !
- « Mais tu crois quoi, moi aussi j’ai eu très peur » dit l’éléphant.
La souris choquée lui répondit : « Mais voyons, tu es beaucoup plus gros que moi ! »
- Oui c’est vrai, mais toi et ta famille vous avez tué ma famille » lui dit l’éléphant.
« Tu sais, je suis tout seul, je n’ai pas de famille, j’essaye de survivre et en ce moment c’est dur il n’y a plus de nourriture » dit la souris.
L’éléphant écoutait attentivement la souris,
Et était surpris de ce qu’il entendait : « Alors si je comprends bien, tu ne veux pas me faire du mal ».
« Mais bien-sûr que non voyons, tu veux qu’on devienne amis ? » lui dit la souris.
L’éléphant tout comptant souris et lui dit « Avec grand plaisir » .
Depuis ce jour, l’éléphant aida la souris à trouver à manger,
Il l’a protégé et la souris faisait de même,
Lorsque l’éléphant n’arrivait pas à attraper la nourriture en haut des arbres.
C’est pour cela qu’on dit toujours que l’apparence peut être souvent trompeuse et que dans la vie on a toujours besoin de quelqu’un de plus petit ou de plus grand que soit.
Yohann T.
Deux loups règnent au milieu d'une forêt,
Un jeune loup et sa mère âgée.
Ce sont des bêtes sauvages,
Qui sont en quête de ravage
Et font régner la terreur
Tout au long des heures.
Un jour le jeune loup dit :
"Il est temps que mon règne s’agrandisse."
Il saute sur sa mère et la mord,
Surprise, elle ne peut se défendre,
Elle tombe par terre comme morte
Et attend que la mort vienne la prendre.
C'est ainsi qu'il prend son règne,
Au milieu des animaux qui le craignent.
Il continue la chasse commencée
Mais, il se sentit seul et le temps passait.
C'est alors que sans sa mère,
À la recherche du pouvoir
Ne va trouver que le désespoir,
Dû à sa victoire amère.
L'amour de sa mère
Lui est nécessaire,
C'est ainsi que la quête de pouvoir,
N'est pas toujours à pourvoir.
Un jeune loup et sa mère âgée.
Ce sont des bêtes sauvages,
Qui sont en quête de ravage
Et font régner la terreur
Tout au long des heures.
Un jour le jeune loup dit :
"Il est temps que mon règne s’agrandisse."
Il saute sur sa mère et la mord,
Surprise, elle ne peut se défendre,
Elle tombe par terre comme morte
Et attend que la mort vienne la prendre.
C'est ainsi qu'il prend son règne,
Au milieu des animaux qui le craignent.
Il continue la chasse commencée
Mais, il se sentit seul et le temps passait.
C'est alors que sans sa mère,
À la recherche du pouvoir
Ne va trouver que le désespoir,
Dû à sa victoire amère.
L'amour de sa mère
Lui est nécessaire,
C'est ainsi que la quête de pouvoir,
N'est pas toujours à pourvoir.
Alexandre V.
Le lion, le lièvre et le cochon
Un lion régnait, sa place était convoitée.
Le lièvre, qu’il n’avait jamais pu rattraper,
Devint son messager le plus fidèle et le plus secret.
Pour un fourbe, ce lien sera meurtrier.
Le cochon, convaincu de son intelligence,
Voulu interrompre cette prédominance
Par la conception d’un stratagème irréfutable.
Il eut envie de partager cette ruse imparable.
Il trouva le lièvre et commença son exposé :
« Le lion mourra de ma malignité,
Son règne cessera et son trône me reviendra
Et je dormirai ce soir dans ses draps ! »
La loyauté du lièvre l’obligea à informer le lion
Qui, lorsqu’il sut la nouvelle, fit appeler le cochon
Qu’il fit rôtir pour son dîner et il s’exclama :
« Ce soir, tu remplieras mon estomac ! »
MORALITE
L’excès de vantardise est un défaut.
De plus, on ne peut que se fier à soi-même.
Un lion régnait, sa place était convoitée.
Le lièvre, qu’il n’avait jamais pu rattraper,
Devint son messager le plus fidèle et le plus secret.
Pour un fourbe, ce lien sera meurtrier.
Le cochon, convaincu de son intelligence,
Voulu interrompre cette prédominance
Par la conception d’un stratagème irréfutable.
Il eut envie de partager cette ruse imparable.
Il trouva le lièvre et commença son exposé :
« Le lion mourra de ma malignité,
Son règne cessera et son trône me reviendra
Et je dormirai ce soir dans ses draps ! »
La loyauté du lièvre l’obligea à informer le lion
Qui, lorsqu’il sut la nouvelle, fit appeler le cochon
Qu’il fit rôtir pour son dîner et il s’exclama :
« Ce soir, tu remplieras mon estomac ! »
MORALITE
L’excès de vantardise est un défaut.
De plus, on ne peut que se fier à soi-même.
Anthony V.
Le loup et L'homme:
L'homme, ne récolte que ce qu'il a semé auparavant.
Nous l'allons montrer tout à l'heure
Un loup, mourrant de faim et de soif
Ne disait qu'une chose: " je ne veux plus avoir soif "
Mais au loin, il vit un homme, un trapeur
Le loup se demandait: " Mais que fait cette homme ici"
Le lendemain matin, le loup regarda dans les alentours, et se méfit
Soudain, le loup, toujours désaltéré, vit l'homme, il avait un air odieux
Celui-ci vit lui aussi, le loup, d'un regard froid et dangereux
Une course poursuite s'entremela entre eux
Après quelques secondes de course, le loup épuisé, tomba
L'homme, en rigolant, s'approcha du loup et ricana
Mais soudainement, le trapeur tomba dans un piège
C'était le sien, il l'avait récemment posé
Le loup surpris, repartit de son côté dans la forêt funèbre
Et l'homme resta dans le piège, sans connaître sa destiné.
L'homme, ne récolte que ce qu'il a semé auparavant.
Nous l'allons montrer tout à l'heure
Un loup, mourrant de faim et de soif
Ne disait qu'une chose: " je ne veux plus avoir soif "
Mais au loin, il vit un homme, un trapeur
Le loup se demandait: " Mais que fait cette homme ici"
Le lendemain matin, le loup regarda dans les alentours, et se méfit
Soudain, le loup, toujours désaltéré, vit l'homme, il avait un air odieux
Celui-ci vit lui aussi, le loup, d'un regard froid et dangereux
Une course poursuite s'entremela entre eux
Après quelques secondes de course, le loup épuisé, tomba
L'homme, en rigolant, s'approcha du loup et ricana
Mais soudainement, le trapeur tomba dans un piège
C'était le sien, il l'avait récemment posé
Le loup surpris, repartit de son côté dans la forêt funèbre
Et l'homme resta dans le piège, sans connaître sa destiné.
Gatien V.
Le lion et les Impalas
En quête de proies,
le lion chassa déjà depuis des mois.
Ce lion assoiffé de sang,
Ne tua que par instinct de survivant.
Pensant que cette idée,
Allait le guider jusqu'à l'éternité,
Il ne se rendit point compte,
Que ce qu'il fit, fut honte.
C'est alors qu'il se réveilla,
Et aperçu autour de lui, plusieurs Impalas.
S'interrogeant sur ces invités mystères,
Il les regardait avec attention,
Et vit dans cette paisible atmosphère,
Une chaleureuse et tendre compassion.
C'est ainsi qu'il comprit,
Que la guerre n'avait que pour conséquence ,
D'engendrer la solitude et le mépris,
Alors que la paix, n'a pour seule influence :
L'harmonie.
En quête de proies,
le lion chassa déjà depuis des mois.
Ce lion assoiffé de sang,
Ne tua que par instinct de survivant.
Pensant que cette idée,
Allait le guider jusqu'à l'éternité,
Il ne se rendit point compte,
Que ce qu'il fit, fut honte.
C'est alors qu'il se réveilla,
Et aperçu autour de lui, plusieurs Impalas.
S'interrogeant sur ces invités mystères,
Il les regardait avec attention,
Et vit dans cette paisible atmosphère,
Une chaleureuse et tendre compassion.
C'est ainsi qu'il comprit,
Que la guerre n'avait que pour conséquence ,
D'engendrer la solitude et le mépris,
Alors que la paix, n'a pour seule influence :
L'harmonie.
Mélina W.
L’abeille et le papillon
Un soir d’été où la pluie menaçait,
L’abeille ayant fini de butiner rentra chez elle,
Sur son chemin elle aperçut au loin deux grandes ailes colorées.
Elle continua et se rapprocha d’elles.
A mesure qu’elle avançait, elle découvrait la scène qui se déroulait.
Ces ailles appartenaient à un somptueux papillon
Qui avait l’air d’avoir des difficultés à s’envoler.
L’abeille continua sa route sans lui porter beaucoup d’attention.
Arrivée à son niveau elle l’entendit parler.
Le papillon appelait au secours en essayant tant bien que mal de voler.
Lorsqu’elle passa à côté de lui elle lui dit sans le regarder :
« Mais quelle est la raison de tant d’agitation ?
- Ce sont mes ailes elles ne fonctionnent plus, pouvez-vous m’aider s’il vous plait ?» dit-il tout affolé.
Elle qui, après sa journée de travail, était fatiguée
Continua son chemin sans y prêter attention.
Le lendemain l’abeille était en plein travail,
Lorsqu’elle reçut une énorme goutte d’eau et tomba.
Le papillon à qui elle avait refusé son aide la veille,
Passa par là et en la voyant par terre continua sa route et l’ignora.
L’intérêt de chacun se trouve dans les intérêts de tous.
Un soir d’été où la pluie menaçait,
L’abeille ayant fini de butiner rentra chez elle,
Sur son chemin elle aperçut au loin deux grandes ailes colorées.
Elle continua et se rapprocha d’elles.
A mesure qu’elle avançait, elle découvrait la scène qui se déroulait.
Ces ailles appartenaient à un somptueux papillon
Qui avait l’air d’avoir des difficultés à s’envoler.
L’abeille continua sa route sans lui porter beaucoup d’attention.
Arrivée à son niveau elle l’entendit parler.
Le papillon appelait au secours en essayant tant bien que mal de voler.
Lorsqu’elle passa à côté de lui elle lui dit sans le regarder :
« Mais quelle est la raison de tant d’agitation ?
- Ce sont mes ailes elles ne fonctionnent plus, pouvez-vous m’aider s’il vous plait ?» dit-il tout affolé.
Elle qui, après sa journée de travail, était fatiguée
Continua son chemin sans y prêter attention.
Le lendemain l’abeille était en plein travail,
Lorsqu’elle reçut une énorme goutte d’eau et tomba.
Le papillon à qui elle avait refusé son aide la veille,
Passa par là et en la voyant par terre continua sa route et l’ignora.
L’intérêt de chacun se trouve dans les intérêts de tous.