Voyages poétiques
Consignes données aux élèves: à la manière de Jacques Roubaud dans Ode à la ligne 29 des autobus parisiens, vous relaterez un de vos trajets quotidiens en transport en commun en subvertissant la forme fixe de votre choix (rondeau, sonnet, ballade, haïku...) et / ou en subvertissant les contraintes poétiques de votre choix.
Les élèves tiennent à disposition de l'examinateur ou de l'examinatrice le cahier des charges qu'ils se sont fixé dans leur propre descriptif.
Les élèves tiennent à disposition de l'examinateur ou de l'examinatrice le cahier des charges qu'ils se sont fixé dans leur propre descriptif.
Mohamed A.
De bon matin je sors en attendant mon bus.
Allez je dois attendre 10 minutes de plus.
je suis sûr que le chauffeur s'est endormi.
Ou en train de parler avec ses amis.
J'attends avec cette femme.
Qui a l'air tellement calme.
Le bus est à peine arrivé.
Que je la vois déjà monter.
Durant le trajet elle n'a cessé de s'exclamer.
Le chauffeur lui a demandé de se calmer.
Mais elle a préféré continuer.
Donc le chauffeur s'est arrêté...
Et oui, il fallait qu'une si belle journée.
Ce commence par une belle engueulade.
Mais rien ne serre de se démoraliser.
Je vais retrouver mes camarades.
Allez je dois attendre 10 minutes de plus.
je suis sûr que le chauffeur s'est endormi.
Ou en train de parler avec ses amis.
J'attends avec cette femme.
Qui a l'air tellement calme.
Le bus est à peine arrivé.
Que je la vois déjà monter.
Durant le trajet elle n'a cessé de s'exclamer.
Le chauffeur lui a demandé de se calmer.
Mais elle a préféré continuer.
Donc le chauffeur s'est arrêté...
Et oui, il fallait qu'une si belle journée.
Ce commence par une belle engueulade.
Mais rien ne serre de se démoraliser.
Je vais retrouver mes camarades.
Mariella A. G.
Après la trinité Directement on monte
Comme si nous montions Dans une attraction bleue
Transportant derrière elle, une autre chenill
Bleue elle était comme La précédente chenill
Nous nous précipitons Chercher une place haut
Nous entrons dans un couloir Noir en pierre
Puis l’attraction fait une pau se à Drap-Cantaron
Nous nous arrêtons prendre d’autres passagers
L’attraction reprend son chemin jusqu’à l’entrée
d’un deuxième couloir sombre comme le
précédent, il mène à un grand pont en fer
Qui donne le vertige, il traverse le paillon
sur la fin du chemin nous voyons le terminus
puis nous descendons à l’arrêt du manège
Comme si nous montions Dans une attraction bleue
Transportant derrière elle, une autre chenill
Bleue elle était comme La précédente chenill
Nous nous précipitons Chercher une place haut
Nous entrons dans un couloir Noir en pierre
Puis l’attraction fait une pau se à Drap-Cantaron
Nous nous arrêtons prendre d’autres passagers
L’attraction reprend son chemin jusqu’à l’entrée
d’un deuxième couloir sombre comme le
précédent, il mène à un grand pont en fer
Qui donne le vertige, il traverse le paillon
sur la fin du chemin nous voyons le terminus
puis nous descendons à l’arrêt du manège
Zoé B.
Ode à la ligne 300 contes
strophe une
de l'arrêt le vallon
à l'arrêt lycée de drap
Apres « le vallon » re solument on se magne
Comme si notre bus nous amenait au bagne
Transportant dans son an tre des écolier.
Depuis « pont de canta ron » je n'ai regarder
Les hallés et les ve nus , abondants
Des prisonniers gigo ttant a l'arrière du bus.
En me tournant je com pte trois gus
Un petit a gauche et comment deux autres enfants
Au fond, brayant et s'in sultant a tue tête, un
Gros et un maigre se chamaillait pour savoir
Qui aurait la place du fond au milieu. De
Plus j'avais oublier mon téléphone chez
Moi, ce qui me mis en core plus en colère
Tellement obnubi lée par cette querelle
Je finis par rater l'arrêt « lycée de drap » !
strophe une
de l'arrêt le vallon
à l'arrêt lycée de drap
Apres « le vallon » re solument on se magne
Comme si notre bus nous amenait au bagne
Transportant dans son an tre des écolier.
Depuis « pont de canta ron » je n'ai regarder
Les hallés et les ve nus , abondants
Des prisonniers gigo ttant a l'arrière du bus.
En me tournant je com pte trois gus
Un petit a gauche et comment deux autres enfants
Au fond, brayant et s'in sultant a tue tête, un
Gros et un maigre se chamaillait pour savoir
Qui aurait la place du fond au milieu. De
Plus j'avais oublier mon téléphone chez
Moi, ce qui me mis en core plus en colère
Tellement obnubi lée par cette querelle
Je finis par rater l'arrêt « lycée de drap » !
Steven C.
J'ai commencé sans aucune idée
Un poème concernant mon trajet.
Donc je commence ce poème,
sans que ce soit mon problème.
Je n'ai rien à dire sur les transports
Qui m’amènent à bon port.
D'où je part , jusqu'à l'arrivé
Je n'observes que banalité.
Je ne voit seulement que deux gares
Je ne traverses pas la ligne de part en part.
On me demande que parfois ma carte
Peu de personnes payent des tickets
J'attends et je sors à ma Halte.
Rentabilité n'est pas assuré .
Un poème concernant mon trajet.
Donc je commence ce poème,
sans que ce soit mon problème.
Je n'ai rien à dire sur les transports
Qui m’amènent à bon port.
D'où je part , jusqu'à l'arrivé
Je n'observes que banalité.
Je ne voit seulement que deux gares
Je ne traverses pas la ligne de part en part.
On me demande que parfois ma carte
Peu de personnes payent des tickets
J'attends et je sors à ma Halte.
Rentabilité n'est pas assuré .
Laëtitia C.
Et voilà il arrive
Comme tous les matins je l'attends
Il va me transporter l'espace d'un instant
A son allure la plus vive
Mes écouteurs sur les oreilles
Je laisse mon esprit s'évader
Profitant des merveilles
Que m'offre la vallée
Mais déjà le chauffeur ralentit
Le lycée au loin m’apparaît
Les autres passagers sourient
La journée terminée
Je reprendrais ce bus
Ou j'ai laissé mes pensées
Comme tous les matins je l'attends
Il va me transporter l'espace d'un instant
A son allure la plus vive
Mes écouteurs sur les oreilles
Je laisse mon esprit s'évader
Profitant des merveilles
Que m'offre la vallée
Mais déjà le chauffeur ralentit
Le lycée au loin m’apparaît
Les autres passagers sourient
La journée terminée
Je reprendrais ce bus
Ou j'ai laissé mes pensées
Emma D.
Com tou lait ma thym geai rang dés vou za vec lui
Met jeu doigt le chère chez part mi lait non bre quais
Il ceux cas che part foie met tou jours jeu le trouvent
Ceux lui qui ment mais nœud rat verre la froid’ quand pagne
Ah près ah voir grain pet dent ceux na virent ex presse
Lait pot pet peu co ment sait, 1 no meuh part si
U ne fa meuh part la, ait sous daim jeu la voie
La plat ceux tend s pet rez qui seau frais tas mois
1 l’on bip re tend ti ah non sang le dés part
Dû noeud l’on gueux tra verre sait ponc tue ait da rez
Houx l’on croit ze lait re gare du za geai près sait
Ah vas lent, re cra champ sont flo deux voie ya geur
Il pour suis ça cours sait frais nez verre mont dèss thym
Queue biens taux il soie leu rez queue ja riz vent faim
Met jeu doigt le chère chez part mi lait non bre quais
Il ceux cas che part foie met tou jours jeu le trouvent
Ceux lui qui ment mais nœud rat verre la froid’ quand pagne
Ah près ah voir grain pet dent ceux na virent ex presse
Lait pot pet peu co ment sait, 1 no meuh part si
U ne fa meuh part la, ait sous daim jeu la voie
La plat ceux tend s pet rez qui seau frais tas mois
1 l’on bip re tend ti ah non sang le dés part
Dû noeud l’on gueux tra verre sait ponc tue ait da rez
Houx l’on croit ze lait re gare du za geai près sait
Ah vas lent, re cra champ sont flo deux voie ya geur
Il pour suis ça cours sait frais nez verre mont dèss thym
Queue biens taux il soie leu rez queue ja riz vent faim
Jules F.
Que dire de la chute d’une montagne, qui chaque matin vous renvoie dans le noir[e]
D’un gouffre qui s’accapare de votre hargne et vous prive de lumières et d’espoir[e].
Une chute lente, muette et sinueuse que suit quotidiennement le chauffeur du bu(s),
Longeant le lit d’une rivière dont le flux monotone nous chante une douce berceuse.
Manon G.
On monte,
Le conducteur nous salue,
Il y a peu de monde,
On s’assoit,
Les lumières s’éteignent,
Pour nous laisser dans l’obscurité,
On se réchauffe vite ,
Le trajet n’est ni trop long ni trop court ,
On a le temps de regarder nos cours ,
Ou de discuter de la veille avec nos amis,
Mais on n’a pas le temps de rêver,
Ou d’écouter de la musique,
Les lumières se rallument ,
La vitesse ralentie,
Les portes s’ouvrent,
Nous voilà arrivés au lycée.
Le conducteur nous salue,
Il y a peu de monde,
On s’assoit,
Les lumières s’éteignent,
Pour nous laisser dans l’obscurité,
On se réchauffe vite ,
Le trajet n’est ni trop long ni trop court ,
On a le temps de regarder nos cours ,
Ou de discuter de la veille avec nos amis,
Mais on n’a pas le temps de rêver,
Ou d’écouter de la musique,
Les lumières se rallument ,
La vitesse ralentie,
Les portes s’ouvrent,
Nous voilà arrivés au lycée.
Pauline I.
Je rentre dans le bus par la porte avant,
Soudain, je vois ce grand homme au chapeau blant
Mais qui ne le rendait pas spécialement beau.
Il se cache tout le temps derrière ce rideau.
Je cherche une place, dans ce froid polaire,
Et j’ai hate que se finisse l’hivaire.
Ma place trouvée, je me mis à contemplait
Le majestueux paysage qui m’entourait.
Lorsque l’on passé près de ce long cours d’eau,
J’ai une envie de le regarder de heau
Ce long flux translucide en cru par la pluie.
C’est au moment où le bus traversa le pont
Que mes yeux fatigués fixés vers l’horizon
Je vis ce beau lycée que tout le monde fuit.
Soudain, je vois ce grand homme au chapeau blant
Mais qui ne le rendait pas spécialement beau.
Il se cache tout le temps derrière ce rideau.
Je cherche une place, dans ce froid polaire,
Et j’ai hate que se finisse l’hivaire.
Ma place trouvée, je me mis à contemplait
Le majestueux paysage qui m’entourait.
Lorsque l’on passé près de ce long cours d’eau,
J’ai une envie de le regarder de heau
Ce long flux translucide en cru par la pluie.
C’est au moment où le bus traversa le pont
Que mes yeux fatigués fixés vers l’horizon
Je vis ce beau lycée que tout le monde fuit.
Quentin K.
A l'arrêt "La Plana Matisse " on l'attend
A son arrivé on l'enttend ,
Sans étonnement il n'y a pas grand monde
Il y a cet homme à l'allure immonde
Je passe vite ma carte
Je m'assoi à l'arrière ,
Le bus viens à peine de démarrer ,
Cet homme seul commence à parler
Il se met à compter les moindres tournant
Il ressasse son passé et le bon tant
Tant bien que personn ne l'écoute vraiment ,
Et voilà que nous arrivons
A la bonne destination
Ici tout les gens se lèveront .
A son arrivé on l'enttend ,
Sans étonnement il n'y a pas grand monde
Il y a cet homme à l'allure immonde
Je passe vite ma carte
Je m'assoi à l'arrière ,
Le bus viens à peine de démarrer ,
Cet homme seul commence à parler
Il se met à compter les moindres tournant
Il ressasse son passé et le bon tant
Tant bien que personn ne l'écoute vraiment ,
Et voilà que nous arrivons
A la bonne destination
Ici tout les gens se lèveront .
Marie L.
Trajet matinal
tonalité de printemps
humé à, plein nez
Éternel chemin
défilé de visages
arrêt là -- Pointe
Buée sur la vitre
message éphémère
disparaît ... jamais
Reflets des silhouettes
défilent les prunus, les temps
se super ... posent !
La Pointe-Goscinny
toujours trop court ou trop long
de regards croisés (...)
Laëtitia L.
Me voici en train de marcher dans mes pensées
Malgré qu'on soit en vi lle et pas dans les bois
Je l'attend et arri ve vite devant moi
Je monte et m'assoit sans pouvoir m'ambiancer
Mais que vois-je dans ce tram ? Un couple enlacé
Main dans la main, tête con tre teteuh, c'est pas moi
Pourquoi devais-je tou jours voir des choses comme' ça
Ce couple qui restait à côté, m'écœurais
Tous les matins j'aper cevais ce cauchemar
J'aurai pu l'éviter mais je suis flemmarde
Ça ne me fait pas penser à mon amour perdu
C'est deux-là restaient co llés même en descendant
Ils se lâchaient pas com me si c'était son prétendant
Arrivé à desti nation je le vu vite
Malgré qu'on soit en vi lle et pas dans les bois
Je l'attend et arri ve vite devant moi
Je monte et m'assoit sans pouvoir m'ambiancer
Mais que vois-je dans ce tram ? Un couple enlacé
Main dans la main, tête con tre teteuh, c'est pas moi
Pourquoi devais-je tou jours voir des choses comme' ça
Ce couple qui restait à côté, m'écœurais
Tous les matins j'aper cevais ce cauchemar
J'aurai pu l'éviter mais je suis flemmarde
Ça ne me fait pas penser à mon amour perdu
C'est deux-là restaient co llés même en descendant
Ils se lâchaient pas com me si c'était son prétendant
Arrivé à desti nation je le vu vite
Manon L.
Le train d’été
Souvent pour y aller, je prends ce train de nuit,
Le temps passe plus vite, il est l’éternité.
Les heures filent et défilent comme une vie,
Je vois le néant, puis le soleil se lever.
Je découvre les champs, les plaines, la liberté,
J’adore ce trajet en train tout les étés,
Seu-le, cela est comme une aventure.
J’évade mon esprit loin de cette nuit obscur.
Des regards sympathiques, des sourires gênés,
De simples conversati-ons agré-ables,
Qui redonne foi à cette cruel humanité.
Je penserai à ces moments inoubliables,
Au retour assis à cette place comme toujours,
Et je reprendrais mon rêve obscur de jour.
Souvent pour y aller, je prends ce train de nuit,
Le temps passe plus vite, il est l’éternité.
Les heures filent et défilent comme une vie,
Je vois le néant, puis le soleil se lever.
Je découvre les champs, les plaines, la liberté,
J’adore ce trajet en train tout les étés,
Seu-le, cela est comme une aventure.
J’évade mon esprit loin de cette nuit obscur.
Des regards sympathiques, des sourires gênés,
De simples conversati-ons agré-ables,
Qui redonne foi à cette cruel humanité.
Je penserai à ces moments inoubliables,
Au retour assis à cette place comme toujours,
Et je reprendrais mon rêve obscur de jour.
Marie M.
Il se tourna, me fixa,
Mais Dieu merci,
Retenti d’une douce voix
« Halte-De-Fontanil Lycée de Dra »
Mais Dieu merci,
Retenti d’une douce voix
« Halte-De-Fontanil Lycée de Dra »
Yanis M.
Strophe Une
De l’arrêt LES VERNES
A l’arrêt PONT DU CHEMIN DE FER
De l’arrêt ‘’Les Vernes‘’ le trajet se poursuit
Sans fin et cyclique il reprenait ensuit,
En ses entrailles é taient quelques vagabonds
Qui se divertissaient un temps en attendonds
De pouvoir s’extirper de cette carcasse
Métallique qui en sortent sans jacasse
Strophe Deux
De l’arrêt PONT DU CHEMIN DE FER
A l’arrêt CARLIN
Une fois remonté dans mon bus, je découvrais
Une boulangerie et qui m’avais fort tentais
‘’La Drapoise‘’, le pain m’y semblait succulent
Penser qu’en rien de temps des petits fours sortent
Prêt s à être mangés par hune personne,
Depuis ‘’Pizza Foot‘’ un anonyme sonne
Puis soudain, silence dans la partie arrière !
Me tournant, l’inconnu, seul avec une pière
Strophe Trois
De l’arrêt CARLIN
A l’arrêt PLACE CAUVIN
Sans mêmeu avoir pu commenter
L’instant qui s’est passé m’avais fort apeurer
Le vil anonymeu venait de remonter
Me voilà envahi d’une peur à en trembler
L’étranger vint à moi, il s’assit près de moi
Pleurant, les larmes aux yeux, le cœur en émoi
Il me conta les pé ripéties de sa vie
L’histoire du mondeu et de la poésie
Jusqu'à mon arrivée à la place Cauvin
La bouteille à la main, il sentait le vin
Au dernier des arrêts il me quitta gaiment
En souriant, je le saluais gentiment.
De l’arrêt LES VERNES
A l’arrêt PONT DU CHEMIN DE FER
De l’arrêt ‘’Les Vernes‘’ le trajet se poursuit
Sans fin et cyclique il reprenait ensuit,
En ses entrailles é taient quelques vagabonds
Qui se divertissaient un temps en attendonds
De pouvoir s’extirper de cette carcasse
Métallique qui en sortent sans jacasse
Strophe Deux
De l’arrêt PONT DU CHEMIN DE FER
A l’arrêt CARLIN
Une fois remonté dans mon bus, je découvrais
Une boulangerie et qui m’avais fort tentais
‘’La Drapoise‘’, le pain m’y semblait succulent
Penser qu’en rien de temps des petits fours sortent
Prêt s à être mangés par hune personne,
Depuis ‘’Pizza Foot‘’ un anonyme sonne
Puis soudain, silence dans la partie arrière !
Me tournant, l’inconnu, seul avec une pière
Strophe Trois
De l’arrêt CARLIN
A l’arrêt PLACE CAUVIN
Sans mêmeu avoir pu commenter
L’instant qui s’est passé m’avais fort apeurer
Le vil anonymeu venait de remonter
Me voilà envahi d’une peur à en trembler
L’étranger vint à moi, il s’assit près de moi
Pleurant, les larmes aux yeux, le cœur en émoi
Il me conta les pé ripéties de sa vie
L’histoire du mondeu et de la poésie
Jusqu'à mon arrivée à la place Cauvin
La bouteille à la main, il sentait le vin
Au dernier des arrêts il me quitta gaiment
En souriant, je le saluais gentiment.
Julian N.
Ah le bus, ce fameux bus si lassant.
Toujours remplis des mêmes occupants.
Effectuant chaque matin le même trajet,
Celui qui nous emmènera un jour au lycée.
Ah le bus, ou l’on cause au matin,
Accompagné de quelques bons copains,
Bien peu pressés,
D’aller se cultiver.
Ah le bus, ou sont assis de nombreux élèves,
Souvent bruyant d’autres fois silencieux.
Ou lorsque la voix du chauffeure s’élève,
Aussitôt les bons copains se taisent.
Tous redevient alore ennuyeux,
Les élèves retournent à leurs rêves.
Toujours remplis des mêmes occupants.
Effectuant chaque matin le même trajet,
Celui qui nous emmènera un jour au lycée.
Ah le bus, ou l’on cause au matin,
Accompagné de quelques bons copains,
Bien peu pressés,
D’aller se cultiver.
Ah le bus, ou sont assis de nombreux élèves,
Souvent bruyant d’autres fois silencieux.
Ou lorsque la voix du chauffeure s’élève,
Aussitôt les bons copains se taisent.
Tous redevient alore ennuyeux,
Les élèves retournent à leurs rêves.
Danaé P.
Seize heures cinquante, j’arrive à l’arrêt de train,
Alors que j’entends le grincement des freins,
J’apprends par Snapchat l’exclusivité de
L’année : « Kev a largué Léa pour Jade ».
Enfin assise, j’attends paisiblement
Que les dix minutes du trajet passent,
Mais derrière moi, deux petites dames
Equipées des derniers Closer et Voici,
Louent le couple " Brangelina " pour leur « si
Magnifique Amour qui résiste a tout »,
Enfin gare de peille, direction l’autobus.
Et jusqu’à la maison, M FM conte la romance
Des celebres Michel Berger & Gall France.
A croire qu’ils ont tous besoin d’amour.
Alors que j’entends le grincement des freins,
J’apprends par Snapchat l’exclusivité de
L’année : « Kev a largué Léa pour Jade ».
Enfin assise, j’attends paisiblement
Que les dix minutes du trajet passent,
Mais derrière moi, deux petites dames
Equipées des derniers Closer et Voici,
Louent le couple " Brangelina " pour leur « si
Magnifique Amour qui résiste a tout »,
Enfin gare de peille, direction l’autobus.
Et jusqu’à la maison, M FM conte la romance
Des celebres Michel Berger & Gall France.
A croire qu’ils ont tous besoin d’amour.
Chiara P.
L’asphalte s’échauffe
La route s’ouvre
Le bus se délivre
On brûle le feu
Les esprits se délient
Les yeux aussi
Le trajet s’éclaircit
La brume pâlie
Collisions verbales
Le bus se tait
Le silence a hurlé
Les roues dévalent
Sourde aux attaques
La vie défile
Quel bus malhabile
Fin tragique.
La route s’ouvre
Le bus se délivre
On brûle le feu
Les esprits se délient
Les yeux aussi
Le trajet s’éclaircit
La brume pâlie
Collisions verbales
Le bus se tait
Le silence a hurlé
Les roues dévalent
Sourde aux attaques
La vie défile
Quel bus malhabile
Fin tragique.
Laurie R.
Le train des Merveilles
Dans le train des Merveill eux, je me réveilleux
Le doux bruit des railleux me berce dans les cilleux
Je me sens reposeés j’admire les forées
Les fleurs pleines de rosées je suis émerveillées
Sa chaleur envoûtantes comble mes attantes
Je me sens vivantes l’âme du train me hantes
Sa divine allure m’appelle et me murmure
Je retire mon armure et offre ma vraie nature
Mon cœur est délivré des paroles enivré
Qui furent prononcé par tous ces allumé
je suis libre de pensé et vis en légèreté
Je rêve de voir des ils fort loin des imbécils
Le paysage défils je fais battre mes cils
Le paysage défils « Halte de Fontanils »
Dans le train des Merveill eux, je me réveilleux
Le doux bruit des railleux me berce dans les cilleux
Je me sens reposeés j’admire les forées
Les fleurs pleines de rosées je suis émerveillées
Sa chaleur envoûtantes comble mes attantes
Je me sens vivantes l’âme du train me hantes
Sa divine allure m’appelle et me murmure
Je retire mon armure et offre ma vraie nature
Mon cœur est délivré des paroles enivré
Qui furent prononcé par tous ces allumé
je suis libre de pensé et vis en légèreté
Je rêve de voir des ils fort loin des imbécils
Le paysage défils je fais battre mes cils
Le paysage défils « Halte de Fontanils »
Théo S.
« L’instant d’un moment »
Après « la passerel lé » videment on fil
Le bus ne s’arrête plus, son chauffeur si beau
Tourne le volant d’u ne manière agil
Avec ces petites mains sorties de fourneau
On arrive ensuità l’aéroport de Niss
Je m’approche mainte nant du chauffeur factiss
Des paroles enfanti nes qui sont échangées
Entre lui et moi un amour est presque né
Des loubards entre dans le bus et me bouscul
M’écartant de l’amour comme Adam de Ev
La mort arrivet j’é clate commune bul
Les arrêts défilet je finis mon beau rêv
J’arriven fin au ter minus la fin est proch
Mon histoire prend fin je pars les mains en poch
Après « la passerel lé » videment on fil
Le bus ne s’arrête plus, son chauffeur si beau
Tourne le volant d’u ne manière agil
Avec ces petites mains sorties de fourneau
On arrive ensuità l’aéroport de Niss
Je m’approche mainte nant du chauffeur factiss
Des paroles enfanti nes qui sont échangées
Entre lui et moi un amour est presque né
Des loubards entre dans le bus et me bouscul
M’écartant de l’amour comme Adam de Ev
La mort arrivet j’é clate commune bul
Les arrêts défilet je finis mon beau rêv
J’arriven fin au ter minus la fin est proch
Mon histoire prend fin je pars les mains en poch
Yohann T.
Le matin dès l'aube, a attendre sous l’arrêt
De bus. Le temps passe à attendre son arrivé
Il approche enfin et marque l’arrêt,
Nous le prenons pour aller au lycée.
Après être partis, on arrive à l’arrêt
''Le Crouzelier'', la ou l'on s'arrête jamais.
Situé à un endroit abandonné
Car il n'y a rien des deux cotés.
Depuis que je suis parti, le temps s'est arrêté
Plus rien ne se passe depuis le ''Plan du Blavet'',
Nous allons bientôt rejoindre le dernier arrêt.
Le dernier virage vient d’être engagé,
La journée est sur le point de commencer,
Le bus ralentit jusqu'au point de s’arrêter.
De bus. Le temps passe à attendre son arrivé
Il approche enfin et marque l’arrêt,
Nous le prenons pour aller au lycée.
Après être partis, on arrive à l’arrêt
''Le Crouzelier'', la ou l'on s'arrête jamais.
Situé à un endroit abandonné
Car il n'y a rien des deux cotés.
Depuis que je suis parti, le temps s'est arrêté
Plus rien ne se passe depuis le ''Plan du Blavet'',
Nous allons bientôt rejoindre le dernier arrêt.
Le dernier virage vient d’être engagé,
La journée est sur le point de commencer,
Le bus ralentit jusqu'au point de s’arrêter.
Alexandre V.
Ode à la ligne Nice-Tende des TER PACA
De la gare « La Trinité-Victor » à la « Halte-De-Fontanil »
Le train marque un arrêt en gare
De la Trinité-Victor. A présent
Je monte à bord du train en pensant
Aux motifs de ces éternels retards !
Il se dirige vers le premier pont
Passant à plusieurs mètres de hauteur
Au-dessus du niveau du lit du Paillon.
Il s’apprête maintenant à entrer
Dans la noirceur du tunnel du moulin
Avant le retour de la clarté.
Le sillon formé par l’eau disparaît
Au profit d’un écran noir apparut
Brusquement tandis qu’on ralentissait.
Au pas, le train arrive en gare
De Drap-Contaron tandis qu’un autre
Vient du côté opposé au notre.
Le sifflet indique notre départ.
Le contrôleur, lui, était remonté
Et, sur sa demande, je lui tendis
Ma carte Zou aussitôt récupérée.
Le train arrivait sur l’ultime pont
Du trajet. La forte accélération
Compensée une légère ascension.
Les formes du lycée se dévoilées.
Le train freinant sifflait mais, s’arrêtant,
Ces bruits diminuaient immédiatement.
J’étais sur le quai, j’étais arrivé !
De la gare « La Trinité-Victor » à la « Halte-De-Fontanil »
Le train marque un arrêt en gare
De la Trinité-Victor. A présent
Je monte à bord du train en pensant
Aux motifs de ces éternels retards !
Il se dirige vers le premier pont
Passant à plusieurs mètres de hauteur
Au-dessus du niveau du lit du Paillon.
Il s’apprête maintenant à entrer
Dans la noirceur du tunnel du moulin
Avant le retour de la clarté.
Le sillon formé par l’eau disparaît
Au profit d’un écran noir apparut
Brusquement tandis qu’on ralentissait.
Au pas, le train arrive en gare
De Drap-Contaron tandis qu’un autre
Vient du côté opposé au notre.
Le sifflet indique notre départ.
Le contrôleur, lui, était remonté
Et, sur sa demande, je lui tendis
Ma carte Zou aussitôt récupérée.
Le train arrivait sur l’ultime pont
Du trajet. La forte accélération
Compensée une légère ascension.
Les formes du lycée se dévoilées.
Le train freinant sifflait mais, s’arrêtant,
Ces bruits diminuaient immédiatement.
J’étais sur le quai, j’étais arrivé !
Anthony V.
Arrivé tôt le matin, à l’arrêt de peille
Nous attendons le train des merveilles.
Une fois arrivé, il nous prend abîmé
Puis nous partons, direction le lycée
Le premier arrêt rencontré, celui de Peillon St-Thècle
Est toujours vidé, ce n'est pas un miracle
Ici, le ciel n'est pas plus beau
Nous repartons, rien de nouveau
A ce moment-là, je vois ma montre arrêtée
Fatigué par tout ce temps d'attente écoulé
Mais le dernier arrêt, celui nommé « Halte de fontanil »
Oblige ta pensée à être vraiment inutile.
Personne, moi-même, ne veux arriver au lycée
Mais l'heure est arrivée, pour commencer une nouvelle journée.
Nous attendons le train des merveilles.
Une fois arrivé, il nous prend abîmé
Puis nous partons, direction le lycée
Le premier arrêt rencontré, celui de Peillon St-Thècle
Est toujours vidé, ce n'est pas un miracle
Ici, le ciel n'est pas plus beau
Nous repartons, rien de nouveau
A ce moment-là, je vois ma montre arrêtée
Fatigué par tout ce temps d'attente écoulé
Mais le dernier arrêt, celui nommé « Halte de fontanil »
Oblige ta pensée à être vraiment inutile.
Personne, moi-même, ne veux arriver au lycée
Mais l'heure est arrivée, pour commencer une nouvelle journée.
Gatien V.
Le tramway maudit
J'arrive, couvert à l'arrêt
Pour prendre le tramway qui m'est destiné.
J'attends déjà depuis une heure
Après une nuit de dur labeur
Je suis prêt à m'en aller
Quand le klaxon du train m'a appelé.
C'est à ce moment là que j'y suis allé,
Et je me suis aperçu qu'il était complet
Je tente alors de me frayer un passage
Mais perdu dans mes pensées
Je bouscule une dame âgée
Je suis prêt à partir en voyage
C'est alors que moi, allant à Henri Sappia,
Vis le tramway partir vers Masséna.
J'arrive, couvert à l'arrêt
Pour prendre le tramway qui m'est destiné.
J'attends déjà depuis une heure
Après une nuit de dur labeur
Je suis prêt à m'en aller
Quand le klaxon du train m'a appelé.
C'est à ce moment là que j'y suis allé,
Et je me suis aperçu qu'il était complet
Je tente alors de me frayer un passage
Mais perdu dans mes pensées
Je bouscule une dame âgée
Je suis prêt à partir en voyage
C'est alors que moi, allant à Henri Sappia,
Vis le tramway partir vers Masséna.