Le personnage de roman, du XVIIè à nos jours
Consigne donnée aux élèves : en imitant l'écriture de Gaudé, vous écrirez la mort de Samilia. Votre travail n'excédera pas 20 lignes et devra rendre compte de votre vision personnelle du personnage. Vous pourrez ne pas respecter la vision finale que Gaudé nous donne d'elle, à condition que vous puissiez justifier votre choix.
Les productions des élèves n'ont pas été modifiées par l'enseignante à l'exception du travail de Mariella A. G. dans le cadre de son P.A.P. (corrections orthographiques pour faciliter la lisibilité pour l'examinateur ou examinatrice).
Les productions des élèves n'ont pas été modifiées par l'enseignante à l'exception du travail de Mariella A. G. dans le cadre de son P.A.P. (corrections orthographiques pour faciliter la lisibilité pour l'examinateur ou examinatrice).
Mohamed A.
Samilia, sans un regard pour ses frères tourna le dos aux armées et s'en alla. Les deux armées étaient stupéfaite les hommes étaient abasourdi comment est-ce qu'une femme qui était l'objet de leur guerre futile avait-elle réussi à créer un tel changement en ne prenant la parole qu'une seule fois ? Elle s'en alla d'un pas décidé et traversa la cité de Masaba, du moins,ce qu'il en restait.
Elle repensa à tout ce qui s'était passé, elle pensa d'abord que c'était de sa faute elle pensa ensuite à se suicider, mais a cet instant tous les soldats vinrent vers elle et ce mirent à genoux. À l'exception de deux personnes Sango kerim et Kouame "tuez cette femme, ordonnèrent t-ils nous ne voulons plus la revoir", aucun homme ne bougies, tous acclamèrent Samilia comme Reine et tous demandèrent qu'elle même choisissent qui sera son Roi. Durant un long moment plus aucun bruit ne se faisait tous attendaient la réponse de Samilia."Je ne veux plus vivre dans ce monde aussi cruel et sans pitié, dit-elle, je veux mourir, et je veux que ça soit toi, Liboko, mon frère qui ne m'a jamais trahi qui fasse cette tâche effroyable ". Liboko s'approcha de Samilia et il allait lui donner le coup de grâce, quand tout à coup un cris surgit, " traitre, s'écria Samilia, tu n'es qu'un moins que rien comme tous ces hommes" Samilia prit l'arme d'un soldat de Masaba et partit a l'endroit ou son père s'était donner le coup de grâce elle demanda a katabolonga de l'achever, sans hésitation il le fit. Samilia avait un sourire qui ne s'enlevait pas pendant qu'elle mourait.
Elle repensa à tout ce qui s'était passé, elle pensa d'abord que c'était de sa faute elle pensa ensuite à se suicider, mais a cet instant tous les soldats vinrent vers elle et ce mirent à genoux. À l'exception de deux personnes Sango kerim et Kouame "tuez cette femme, ordonnèrent t-ils nous ne voulons plus la revoir", aucun homme ne bougies, tous acclamèrent Samilia comme Reine et tous demandèrent qu'elle même choisissent qui sera son Roi. Durant un long moment plus aucun bruit ne se faisait tous attendaient la réponse de Samilia."Je ne veux plus vivre dans ce monde aussi cruel et sans pitié, dit-elle, je veux mourir, et je veux que ça soit toi, Liboko, mon frère qui ne m'a jamais trahi qui fasse cette tâche effroyable ". Liboko s'approcha de Samilia et il allait lui donner le coup de grâce, quand tout à coup un cris surgit, " traitre, s'écria Samilia, tu n'es qu'un moins que rien comme tous ces hommes" Samilia prit l'arme d'un soldat de Masaba et partit a l'endroit ou son père s'était donner le coup de grâce elle demanda a katabolonga de l'achever, sans hésitation il le fit. Samilia avait un sourire qui ne s'enlevait pas pendant qu'elle mourait.
Mariella A. G.
Au bout d'une semaine Samilia regarda en arrière et alla dans le sens inverse de son trajet, se retrouvant sur le chemin pour retourner à Massaba . Comme elle avait longtemps marché son chemin était très long . Elle marcha tellement longtemps seule qu'elle se mit à se parler à elle-même. Pendant son aller-retour, Samilia ne savait pas que Massaba avait été anéantie par la folie et que Barnak avait tué Sango Kerim, Kouame puis que Barnak avait décédé à son tour ; Danga avait tué Sako mais avant de mourir Sako l'avait frappé ; Danga avait décédé plus tard. Elle n'imaginait même pas à quoi elle devrait faire face en arrivant à Massaba. Samilia avait tellement marché qu'elle se trouva à deux kilomètres de Massaba qu'elle aperçut au loin. Samilia arriva à Massaba, voyant se qu'il s'était passé ; courant dans toutes les pièces de Massaba pour trouver quelqu'un ; ne trouvant personne. Samilia, devastée par ses émotions attrapa un poignard et se le planta droit dans le coeur pour rejoindre toute sa famille, sans se douter que Souba était encore en vie.
Zoé B.
Samilia errant dans le royaume était fatiguée elle marchait depuis des mois déjà, elle repensait de temps en temps a son passée à son royaume à son père, le roi Tsongor, et a sa joie de vivre avant que le royaume soit détruit et anéantis avant que ses frère ne soit tuer et ne la trahisse, avant que tout ne se passe. Elle était faible et n'avait pas manger depuis des jours elle arriva a la porte d'une bâtisse, elle entra et vis de la nourriture sur la table elle se jeta dessus et se goinfra de tout et n'importe quoi, elle se remplie le ventre et elle alla s'allonger sur un un petit lit au fond de la piece et s'endormit quand elle se reveilla il faisait nuit et froid elle decida alors de rester là jusqu'au lever du jour. Dés l'aube elle repartie vers le nord, elle marcha pendant trois jours et puis elle vit Kouame qui courrait vers elle une epée a la main et en criant, elle le vit la traverser mais elle n'eut rien ensuite elle entendis des personnes parler, c'etait un brouahas horrible et elle en avait mal a la tete elle fut ensuite choquée de voir sont pere lui qui etait mort mais pourtant il lui parlait et elle l'ecoutait mais elle continuait de marcher mais sans regarder où elle allait. Elle se diriger vers un faussé, tsongor puis un de ses frere lui parla ils etaient de l'autre coté du faussé elle voulait les rejoindre elle fit un pas de plus et tomba, elle tomba dans le faussé, dans l'oublie et dans les abîmes des enfers...
Steven C.
Elle laissait sa vie derrière elle , Kouame et Sango Kerim.
Les combats avaient repris, on l’avait déjà oublié. Tandis que Samilia se fondait avec le fond du désert. La bataille continuée. Des tourbillons de poussière étaient aperçues au loin, là où la mêlée avait lieu. Samilia ne voyait plus que Massaba de très loin, la cité ne ressemblé plus qu’à un tas, un tas de poussière. Elle s’était installée dans une petite crevasse au pied d’une montagne. Le vent s’était levé avec la nuit. Une grosse rafale renversa un roche instable au-dessus de la crevasse. La roche l’écrasa de tout son poids. Samilia n’a existé qu’un temps. Elle replongea alors dans l’inexistence. Le rocher avait décider de sa vie, comme toujours on l’eu fait. Elle était encore spectatrice de son destin. Elle avait admiré l’horizon vers Massaba, elle y était encore. Là où guerre continué mais Samilia mais morte ici, dans la crevasse. Ce moment fut comme une contemplation dans un miroir. Elle était l’esprit de Masada , hors de son corps , elle s’était observée tout le long de sa vie.
Les combats avaient repris, on l’avait déjà oublié. Tandis que Samilia se fondait avec le fond du désert. La bataille continuée. Des tourbillons de poussière étaient aperçues au loin, là où la mêlée avait lieu. Samilia ne voyait plus que Massaba de très loin, la cité ne ressemblé plus qu’à un tas, un tas de poussière. Elle s’était installée dans une petite crevasse au pied d’une montagne. Le vent s’était levé avec la nuit. Une grosse rafale renversa un roche instable au-dessus de la crevasse. La roche l’écrasa de tout son poids. Samilia n’a existé qu’un temps. Elle replongea alors dans l’inexistence. Le rocher avait décider de sa vie, comme toujours on l’eu fait. Elle était encore spectatrice de son destin. Elle avait admiré l’horizon vers Massaba, elle y était encore. Là où guerre continué mais Samilia mais morte ici, dans la crevasse. Ce moment fut comme une contemplation dans un miroir. Elle était l’esprit de Masada , hors de son corps , elle s’était observée tout le long de sa vie.
Jordan C. T.
Apres s'être détournée de sa famille, Samilia s'en va accompagnée d'une poignée de loyales servantes. Les chevaux étant au milieu des hommes, et Samilia n'ayant aucune envie de demander quoi que ce soit à ses frères, elles partent à pied. Ce départ précipité et non préparé ne fut pas fructueux, elles se perdirent. Pas une d'entre elles ne sachant plus que les autres où elles étaient, elles progressèrent au hasard mais furent bientôt à cours de vivres et fure forcées de faire une halte de quelque jours. La nuit porte conseil, et c’est bien ce qu'elle fit car le ciel étant particulièrement dégagé, la troupe vit une lueur au loin: une ville. Une marche du désespoir s'en suivit. La chaleur les faisait suer, le vent du désert leur craquelait les lèvres et leur asséchait la bouche, leur irritait les yeux, les pommettes, enfin, ce fut un calvaire car à cela venait s'ajouter la faim et ses crampes d'estomac, son manque d'énergie pour combattre la soif qui de son côté se débrouillait aussi avec les lèvres craquelées, la langue pâteuse, la gorge irritée. Cette marche lente et douloureuse dura trois jours. Au bout de ces trois jours, Samilia ainsi que d'autres femmes soulevant les plus fragiles, toutes arrivèrent... à Massaba. Elles furent de retour à cette ville d’où on les avait chassés. A la suite de cette marche éprouvante, Samilia eu un regain de force et courut chercher ses frères qui acceptèrent qu’elle vive de nouveau avec eux. Tout redevint normal, les prétendent s’en allèrent et Samilia vécue heureuse avec ses frères. Elle mourut à l’âge de 63 ans, toujours non mariée, d’un ulcère.
Ryan C.
Dorénavant, Samilia était seule, elle devait trouvé un endroit où elle pourrait vivre, loin de cette infamie, de cette famille et de ce royaume qui ne veut que sa mort.
Elle partit vers de nouvelles horizons avec le peu de choses qui lui resté. Elle traversa monts et vaux jusqu'à ce qu'elle atterrit dans un village, c'était le village natal de Kouame.
N'ayant aucune idée où elle s'aventurait elle décida d'entrée dans le village, elle demanda à un villageois : « Bonjour, savez vous s'il y a une auberge dans ce village ?
- Oui, il y en a une près de la place marchande, elle est tenue par une vieille dame vous l'apercevrez facilement, répondit le villageois.
- Merci.
- Vous n'êtes pas de ce village vous ? Demanda le villageois.
- Non. Répondit Samilia.
- Mais que faites vous donc ici avec si peu d'affaires, vous venez de loin ?
- J'ai fuis mon village natal, excusez moi je ne peut vous en dire plus.
- Autant pour moi. Je ne voulais pas me mêler de vos problèmes veuillez m'excuser.
- Ce n'est pas grave. »
Samilia se tourna et alla vers l'auberge, une fois arrivé elle parla à la doyenne : « J'aimerais me reposer chez vous je viens d'un long voyage.
- D'accord, je vous ferais payé plus tard. Comme le repas est sur le point de commencer je vous pris de venir manger avec nous, cela vous redonnera des forces.
- Je veux bien merci. »
Elle s'assied, à la table un homme qui l'a regardé avec un air étrange Samilia en avait des frissons.
C'était un soldat, sur sa tunique il y avait plusieurs récompenses de guerres.
Et d'un coup.
Le soldat se leva et cria : « Mais je vous reconnais ! Vous immonde ordure, fille de Tsongor cet assassin, cet infâme meurtrier ! Comment osez vous venir dans un village comme le nôtre, Indigne ! »
Samilia était tremblante elle ne savait pas comment réagir, mais elle aperçut qu 'elle n'était point la bienvenue elle se leva est courue au porte du village, mais une horde de personnes la suivait pour l'attraper, une foule remontée par les propos de Samilia.
Elle réussie à s'enfuir de justesse, elle commença a se morfondre et a envisager la mort pour elle la vie ne voulait plus d'elle, mais elle refusa au songe et continua.
Elle ne possédait plus grand chose à manger et sa gourde était presque vide.
Elle errait dans un désert aride, elle ne pouvait plus marcher ses jambes lui faisait mal, petit à petit c'est comme si elle mourrait, elle vit des moments de sa vie passer devant elle, des tristes des joyeux, elle vit son père, elle vit Souba et elle tomba sur le sable de la plaine.
Un moment plus tard elle se réveilla au milieu d'un Palais vide pensant que tout cela n'était qu'un rêve, elle entendit des bruits de pas. Et vit un homme. C'était Souba emplit de joie, elle cria de joie et courue pour le rejoindre, mais derrière lui se tenait des hommes venant du village natal de Kouame avec le soldat à leurs tête. Il demanda aux villageois de les ligotés, et leurs dis : « Vous deux enfants de Tsongor, vous ne méritez pas mieux que votre père, la mort. Avec un nom aussi meurtrier que le votre il faut tous vous exterminés avant qu'une personne de votre famille ne refasse la même erreur qu'a fait votre père, cette infamie. Vous allez donc mourir pour tout ce qu'il a fait ce meurtrier. Adieu et que les dieux vous emmènent dans un enfer invivable avec votre père. »
Il mit le feu au palais et s'en alla avec ses hommes.
Souba souri et dit « Heureux de te revoir Samilia, j'aurais préféré que ce soit d'en d'autre circonstances mais je reste heureux, je suis désolé pour tout et j'espère que ce palais te plaît.
- Je t'excuse Souba, et je suis heureuse de mourir avec le plus fidèle de mes frères, mais pourquoi me demande tu si ce palis me plaît ?
- C'est la dernière chose que j'ai pu te construire, il s'appelle Samilia comme toi.
Elle sourit et fendit en larmes avec Souba qui la regardait d'un sourire forcé.
Ils s'enlacèrent et moururent des flammes avec les derniers mots de Souba : « Nous allons bientôt rejoindre père »
Elle partit vers de nouvelles horizons avec le peu de choses qui lui resté. Elle traversa monts et vaux jusqu'à ce qu'elle atterrit dans un village, c'était le village natal de Kouame.
N'ayant aucune idée où elle s'aventurait elle décida d'entrée dans le village, elle demanda à un villageois : « Bonjour, savez vous s'il y a une auberge dans ce village ?
- Oui, il y en a une près de la place marchande, elle est tenue par une vieille dame vous l'apercevrez facilement, répondit le villageois.
- Merci.
- Vous n'êtes pas de ce village vous ? Demanda le villageois.
- Non. Répondit Samilia.
- Mais que faites vous donc ici avec si peu d'affaires, vous venez de loin ?
- J'ai fuis mon village natal, excusez moi je ne peut vous en dire plus.
- Autant pour moi. Je ne voulais pas me mêler de vos problèmes veuillez m'excuser.
- Ce n'est pas grave. »
Samilia se tourna et alla vers l'auberge, une fois arrivé elle parla à la doyenne : « J'aimerais me reposer chez vous je viens d'un long voyage.
- D'accord, je vous ferais payé plus tard. Comme le repas est sur le point de commencer je vous pris de venir manger avec nous, cela vous redonnera des forces.
- Je veux bien merci. »
Elle s'assied, à la table un homme qui l'a regardé avec un air étrange Samilia en avait des frissons.
C'était un soldat, sur sa tunique il y avait plusieurs récompenses de guerres.
Et d'un coup.
Le soldat se leva et cria : « Mais je vous reconnais ! Vous immonde ordure, fille de Tsongor cet assassin, cet infâme meurtrier ! Comment osez vous venir dans un village comme le nôtre, Indigne ! »
Samilia était tremblante elle ne savait pas comment réagir, mais elle aperçut qu 'elle n'était point la bienvenue elle se leva est courue au porte du village, mais une horde de personnes la suivait pour l'attraper, une foule remontée par les propos de Samilia.
Elle réussie à s'enfuir de justesse, elle commença a se morfondre et a envisager la mort pour elle la vie ne voulait plus d'elle, mais elle refusa au songe et continua.
Elle ne possédait plus grand chose à manger et sa gourde était presque vide.
Elle errait dans un désert aride, elle ne pouvait plus marcher ses jambes lui faisait mal, petit à petit c'est comme si elle mourrait, elle vit des moments de sa vie passer devant elle, des tristes des joyeux, elle vit son père, elle vit Souba et elle tomba sur le sable de la plaine.
Un moment plus tard elle se réveilla au milieu d'un Palais vide pensant que tout cela n'était qu'un rêve, elle entendit des bruits de pas. Et vit un homme. C'était Souba emplit de joie, elle cria de joie et courue pour le rejoindre, mais derrière lui se tenait des hommes venant du village natal de Kouame avec le soldat à leurs tête. Il demanda aux villageois de les ligotés, et leurs dis : « Vous deux enfants de Tsongor, vous ne méritez pas mieux que votre père, la mort. Avec un nom aussi meurtrier que le votre il faut tous vous exterminés avant qu'une personne de votre famille ne refasse la même erreur qu'a fait votre père, cette infamie. Vous allez donc mourir pour tout ce qu'il a fait ce meurtrier. Adieu et que les dieux vous emmènent dans un enfer invivable avec votre père. »
Il mit le feu au palais et s'en alla avec ses hommes.
Souba souri et dit « Heureux de te revoir Samilia, j'aurais préféré que ce soit d'en d'autre circonstances mais je reste heureux, je suis désolé pour tout et j'espère que ce palais te plaît.
- Je t'excuse Souba, et je suis heureuse de mourir avec le plus fidèle de mes frères, mais pourquoi me demande tu si ce palis me plaît ?
- C'est la dernière chose que j'ai pu te construire, il s'appelle Samilia comme toi.
Elle sourit et fendit en larmes avec Souba qui la regardait d'un sourire forcé.
Ils s'enlacèrent et moururent des flammes avec les derniers mots de Souba : « Nous allons bientôt rejoindre père »
Laëtitia C.
Samilia ne savait plus quoi penser, des sentiments si différents se mélangeaient a cet instant précis. Qu'allait elle devenir ? Elle n’était plus rien, elle n'intéressait plus personne. Sa famille était détruite, son royaume n’était plus qu'un tas de cendres, son avenir anéanti. Elle n'aurait jamais pu imaginer une telle tragédie. Elle qui avait vécu jusque la de façon si discrète était aujourd'hui la raison de cette guerre. Elle aurait pu tout éviter et pourtant elle avait laissé faire, il aurait était si simple de réagir. Un seul et unique choix s'offrait maintenant a elle, personne ne la regrettait, personne ne la retenait, elle était bel et bien seule face a son destin. Elle se mit en route désespérée afin de rejoindre un lieu qui lui apporterait peut être la délivrance. Elle marcha pendant de longues heures a travers des paysages qui lui semblaient si étrangers pour arriver enfin le long d'une immense plage. Elle s’allongea les yeux dans le vide, le bruit des vagues accompagnant ses larmes;puis elle se leva afin de rejoindre une barque échouée sur le sable. Elle détacha lentement l embarcation de son anneau,ses gestes étaient si lents ,son corps si fatigue que de mettre la barque a l eau lui demanda un énorme effort .Une fois a l’intérieur de celle ci ,les rames en main elle décida de se laisser porter par les vagues ,elle était seule face a l'immensité de l'océan.
Emma D.
D’un coup, Samilia se mit à parler. Puis à crier. Elle criait sur toutes les personnes qui se trouvaient autour d’elle. Elle disait qu’elle les haïssait. Parce que tous voulaient qu’elle meure. Qu’elle se suicide. Mais non. Samilia était plus forte que ça. Elle se tut et remit son voile. Elle marcha lentement vers ses frères qui la regardaient venir. Ils étaient tous figés. Même s’ils ne la soutenaient pas, elle voulait quand même leur dire adieu avant de partir. Seule. Affronter la vie. Comme elle viendrait. Toutes les armées. Sango Kerim. Et Kouame. Les regardaient avec attention. Samilia se sentit enfin prête à s’en allait. Elle adressa à peine un regard aux deux hommes. Soudain, sortit de la foule un soldat. Il avait perdu de nombreux amis pendant la guerre. Et il en voulait horriblement à Samilia d’en être la cause. Il se rua sur elle. Et d’un geste bref et précis, il la poignarda en plein cœur. Tout le monde le fixait. Il se sentit libérait de son envie de vengeance. Une grande partie des hommes l’applaudit. Samilia était morte. Tuée par un soldat. Elle était allongée à terre et se vidait de son sang. Personne ne prêtait plus attention à elle.
Jules F.
Samilia souffrait. Elle voyait le sol au-dessus d’elle et la lune à ses pieds. La nuit la rappelait auprès d’elle. Elle l’aspirait vers l’abîme qui lui était destiné depuis le début. Le sang qui émanait de sa cuisse ruisselait le long de son échine. Lorsqu’elle avait vu la banche qui lui transperçait la jambe, elle se su pourquoi le ciel l’appelait. Cette branche d’un arbuste tué par les terres stériles des alentours de Massaba, résultant de la guerre dévastatrice dont Samilia fut le l’élément déclencheur. Cette branche lui faisait regretter. Elle regrettait de ne pas avoir donné son opinion sur cette guerre. Elle regrettait d’être l’origine du linceul qui recouvrait le royaume. Elle regrettait d’avoir promis à Kerim. Elle regrettait que ses frères aient pris parti au massacre. Elle regrettait d’avoir laissé son père la promettre à Kouame sans lui dire pour Kerim. Elle regrettait d’avoir laissé de monstre s’entre tuer si longtemps. Mais la nuit insister. Elle avait pris son père, ses frère, des hommes et de femmes de Massaba que Samilia avait laissés la bas en fuyant son destin. Maintenant, elle venait la chercher. Samilia commençait à avoir froid, ses tissus au niveau de la plaie nécroser. L’arbuste, à chacun de ses mouvements, se détacher de cette falaise. Cet arbuste, qui la rattachait à la vie, ne supportait plus le poids du ciel. Dans un dernier instant de lucidité avant l’agonie, Samilia s’abandonna enfin à la nuit qui venait finir ce qu’elle avait commencé et s’endormi à jamais.
Manon G.
Samilia partit du royaume , laissant Kouame et Sango à leur guerre.
En marchant vers l'inconnu elle pensa à sa vie d'avant où tout allait bien , elle repensa à cette nuit où tout bascula. Elle se sentait coupable de la mort de son père , de la guerre ,de la mort de ses frères. Elle n'avait rien demandé et se retrouva au milieu d'un conflit sans fin. Elle s'arrêta sur son chemin se retourna une dernière fois vers Massaba qu'on distinguait au loin . Elle eu une pensée pour sa famille et repris sa marche. Elle regrettait ses choix , elle regrettait de n'avoir rien dit face a Kouame et Sango , pourquoi n'avait elle rien dit ? C'est la question qu'elle se posait et qui lui torturait l'esprit. Son père s'est donné la mort pour éviter la guerre et elle n'a rien fait n'y même agit. Elle a regardé la guerre se créer devant elle sans réactions. Pourquoi avait elle fait cette promesse à Sango étant jeune , pourquoi sango la voulait tellement. Elle trouvait sa vie tellement injuste. Elle se posait tellement de questions que la nuit tomba sans même qu'elle s'en rend compte. Elle chercha un abri pour se coucher mais rien d'apparent. La fatigue tomba, elle décida de se coucher par terre à coté d'un puit. C'était la première fois qu'elle dormait hors du royaume , toute seule . En s'endormant elle pria pour ne jamais se réveiller elle voulait rester dans un sommeil profond pour ne plus avoir de regrete , ne plus vivre sa vie qui était devenue un cauchemar.
En marchant vers l'inconnu elle pensa à sa vie d'avant où tout allait bien , elle repensa à cette nuit où tout bascula. Elle se sentait coupable de la mort de son père , de la guerre ,de la mort de ses frères. Elle n'avait rien demandé et se retrouva au milieu d'un conflit sans fin. Elle s'arrêta sur son chemin se retourna une dernière fois vers Massaba qu'on distinguait au loin . Elle eu une pensée pour sa famille et repris sa marche. Elle regrettait ses choix , elle regrettait de n'avoir rien dit face a Kouame et Sango , pourquoi n'avait elle rien dit ? C'est la question qu'elle se posait et qui lui torturait l'esprit. Son père s'est donné la mort pour éviter la guerre et elle n'a rien fait n'y même agit. Elle a regardé la guerre se créer devant elle sans réactions. Pourquoi avait elle fait cette promesse à Sango étant jeune , pourquoi sango la voulait tellement. Elle trouvait sa vie tellement injuste. Elle se posait tellement de questions que la nuit tomba sans même qu'elle s'en rend compte. Elle chercha un abri pour se coucher mais rien d'apparent. La fatigue tomba, elle décida de se coucher par terre à coté d'un puit. C'était la première fois qu'elle dormait hors du royaume , toute seule . En s'endormant elle pria pour ne jamais se réveiller elle voulait rester dans un sommeil profond pour ne plus avoir de regrete , ne plus vivre sa vie qui était devenue un cauchemar.
Pauline I.
Samilia avait pris sa décision, elle quittait sa terre natale. Son choix était le sien et personne ne la ferait changer d’avis. Son abscence de prise de position avait cause de nombreux drames. Son père et ses frères étaient motrs, ses prétendants s’étaient déclarés la guerre et son pays était détruit. Tout cela était sa faute. C’est pourquoi aujourd’hui elle décidait de partir, on ne prendrait plus désicion à sa place et ne serait plus l’enjeu de personne. A partir de ce jour, elle ne serait plus qu’une âme vagabonde, elle ne serait plus personne. C’est ainsi que tout sa vie durant, elle erra sur les routes, allant de village en village. Les personnes la croisant ne se retournaient même pas sur son passage tant son physique ne dégageait aucun souffle de vie. Elle chevochait les routes tel un spectre, s’éloignant de plus en plus de Massaba. Son voyage la conduisit au-delà des frontieres de son pays, l’éloignant définitivement de son passé et faisant d’elle une inconnue qui n’avait plus de nom, d’histoire mais qui portrait une noirceur qui faisait fuir les personnes qu’elle rencontrait. Elle avait réussi. Elle n’était plus rien.
Quentin K.
Samilia continuait à errer le long d’une route, mais le comportement des habitants qui la voyait au loin avaient changé. Ils l’ignoraient à présent. Elle, ne pensait plus à rien. Elle continuait à avancer tout droit. Au loin elle aperçut de hautes de montagnes abandonnées des hommes. Elle quitta la route. La fatigue maintenant c’était emparée d’elle. Elle mangeait quand la nuit tombée puis repartait. Lorsqu’elle si trouvât, elle resta immobile devant le spectacle sauvage de ces montagnes. C’était là, elle le savait. Elle allait devoir mourir ici. Sans même sans apercevoir, des créatures sauvages s’approchaient d’elle. Elle contemplait le labyrinthe que les montagnes formaient, c’était un chemin étroit accidenté. Elle s’y dirigea. Tandis que la faune l’avait suivi. Le monde sauvage maintenant avait les yeux fixaient sur elle. Il l’a regardait silencieusement arpentait les couloirs étroits du labyrinthe. Lorsqu’enfin un singe hurleur énorme abattit Samilia d’un coup de poing. Puis toutes les créatures sauvages se jetèrent sur elle. Â son dernier soupir, elle aperçut pendant un court instant, un regard disant qu’elle avait était naïve durant toute sa vie, mais qu’elle aura était courageuse, c’était le regard du Roi Tsongor.
Marie L.
Samilia s'en alla. Personne ne la retint. Un sentiment de soulagement envahie les armées. La guerre n'était plus. Samilia seul. Commença sa longue marche dépourvue de but. Sans nourriture, ni repos. Elle marchait. Vers où ? Elle ne le savait pas. Jusqu’aux jours où elle l'aperçu. Lui qui l'avait vu grandir. Elle et ses frères en toute insouciance. Le lac de son enfance. Elle y avait passé les plus beaux moments de sa vie. Entouré de ceux qu’elle aimait. Riant et jouant en toute quiétude. Et elle sût. Ce lac serait sa tombe. D'un pas résolu. Elle s'engouffra dans l'eau. Samilia s'arrêta. Elle repensa aux derniers événements perturbant de sa vie. La guerre. Son omniprésence de ces dernières années avait anéanti sa vie. Elle en voulait à ces hommes qui lui avaient tout pris. Sans se soucier d’elle. Elle ressenti une vive douleur lorsqu’elle repensa à la destruction de sa ville natale. Mais le pire pour Samilia était la perte de sa famille. Pour elle tous ses frères étaient morts. Elle ne pouvait accepter leur lâcheté à son égard. Grâce à ses pensées elle se sentit rassuré de quitté ce monde dévasté. Elle s'avança. Déterminée. Et dans les eaux sombres du Lac, Samilia s'abandonna à la mort.
Manon L.
Samilia n'avait plus aucun but. Plus aucun nom. Plus aucunes histoires. Elle avait avancé, désespérément, tout droit, jusque dans des terres inexplorées, pour échapper à cette guerre qui l'a rongée. Mais plus elle avançait, plus ses souvenirs de guerre, de corps sanglants, des barbares assoiffés de sang, l'a hantée. Elle savait que, la guerre qui avait poursuivi et qui avait sacrifié tant de vie humaine, n'était plus de son sort. Elle n'étais plus la raison. Mais elle repensait au jour où Sango Kerim, se tenait devant son père, il lui demanda que leur souvenirs d'enfants deviennent réels. Son père qui avait encore le cœur qui bat. Samilia, s'en voulait de ne pas avoir riposté à ce problème où elle en était le coeur. Elle s'en voulait de ne pas avoir eu le courage d'affronter son père, Sango Kerim et Kouame et de ne pas avoir crier haut et fort son choix. Eux qui ont final dicter son coeur, elle s'en voulait de ne pas avoir fait face à ces hommes quitte à perdre les trois. Elle s'en voulait de ne pas avoir épargner tant de vies.
Samilia s'arrêta, descendit de sa monture et le libéra dans cette terre, qui avant était pour elle, inaccessible. Elle sourit légèrement, en pensant qu'elle venait d'offrir la liberté, voyant partir son cheval dans ce désert chaud et vide. Ce sourire s'effaça vite de son visage, elle sentait sa fin approchait. Elle n'avait plus la force de lutter, et elle pensa qu'elle ne savait même pas pourquoi elle lutterai. Surtout pour qui.
Tout le monde l'avait abandonné, tous même ses frères et son propre père. Elle venait, depuis plusieurs jours de chemin, d'avancer jusqu'à se retrouver face à un arbre frêle et sec. Cela lui fit penser à elle, elle se trouvait affaiblie, autant mentalement que physiquement, et amaigris depuis qu'elle avait pris sa décision de quitter Massaba. Et elle voulu mourir, ce sentiment qui emplit tout ton corps et qui atteint tout ton âme, elle l'avait. Ce n'est pas qu'elle voulait mourir mais c'est qu'elle ne voulait plus vivre. Elle ne voulait plus rester seule, sans rien, sans rien pour survivre aussi. Elle voulait de l'amour, de la compassion mais tout ce qu'on avait en vers elle c'était de la haine. Une haine herculéenne, que même les morts de cette guerre lui faisait ressentir. Alors, elle sortie son poignard, elle prononça ses derniers mots " mon père je viens te rejoindre, mon père tu as étais lâche, rien ne serait arriver si tu avais choisi entre ces deux hommes que je n'ai pas réussi à désigner. Maintenant, regarde où j'en suis. Regarde ta seule fille, Samilia, disparaître seule, sur une terre qu'elle ne connaît pas. Regarde du ciel, la souffrance qui jailli de mon corps et regarde la tristesse dans le fond de mes yeux. Regarde jusqu'à tant que tu las ressentes aussi. Mon père, je te hais comme tout les autres hommes que j'ai connu."
Dans le silence, sa main poignarda son ventre et son corps s'affala sur le sol chaud et rougeâtre du désert. Elle regarda une dernière fois cet arbre, et un soupir d'apaisement émergea. Cela lui a fut du bien.
Marie M.
Sur son dernier mot Samilia s’en va et marcha droit devant elle sans jamais se retourner. Elle marcha durant toute une nuit en essayant d’oublier tous ces conflits et tous ces mauvais moments passés dans cette ville qu’elle aimait tant. Elle marchait car elle n’avait plus aucun repères, en si peu de temps elle avait perdu tout ce qui composaient sa vie. Elle se disait qu’elle n’avait plus de raison de vivre mais elle voulait résister à cette envie de se laisser mourir, elle voulait résister car maintenant qu’elle s’était imposée et qu’elle avait imposé son opinion elle ne voulait pas leur donner raison. Elle était persuadé que grâce à sa rébellion son destin avait changé et qu’il ne lui restait plus qu’à partir et tout oublier. Elle avait décidé de recommencer sa vie dans une nouvelle ville et tout recommencer à zéro. Deux jours sont passés et elle commençait à ressentir de la fatigue et à se sentir faible mais elle était déterminée à aller jusqu'au bout de idée. Elle voulait arriver dans une ville loin de toutes ces histoires pour être sûre de ne plus revivre cela. Elle marchait toujours en pensant à son avenir. Tout d'un coup elle se sent vidée, elle n'avait plus de force, plus d'énergie, ça faisait quelques jours qu'elle se nourrissait de se qu'elle trouvait. Elle était à bout. Elle s'allongea sur le bas-côté puis s'endormit tout en pensant à sa nouvelle vie qui n'arrivera jamais.
Yanis M.
Ne sachant pas où aller, désemparée et délaissée. Samilia se laissa guider telle une feuille morte au grès des vents. Elle avançait la tête pleine de confusion sans se soucier de ce qui l’entourait. Ainsi, elle continua sa marche déambuleuse jusqu’à ce qu’elle fût épuisée et perdue.
Après plusieurs longs jours de marche interminables. Samilia se retrouva dans une forêt verdoyante. Une rivière chantait son doux chant d’écume et de remous. Devant elle étaient éparpillées des dizaines de tas de feuilles. Soudain, Elle aperçut quelque chose bougeant dans le feuilli. C’était une sorte de d’ombre vivante la guettant. Mais depuis quand celle-ci la suivait-elle ? Des heures ? Peut-être même des jours entiers ! Elle se mit tout d’un coup à courir. Sans aucune échappatoire, Samilia se retrouva prise au piège face à cette créature.
Bizarrement, la présence de cette ombre, la rassurait maintenant. Elle avait quelque chose de familier ! Une odeur ? Une forme ? Une allure ? Non, rien de cela. Aussitôt, l’Ombre se mit à parler ; sa voix semblait venir de siècles lointains. Samilia eût du mal à la reconnaître : « Ma fille, je sais que tu ne me reconnais plus, la guerre et la décomposition ont eu raison de mon être. Je comprends ton courroux et ton désespoir. J’ai eu la lâcheté de me suicider au lieu de réparer mes erreurs du passé. Voilà plus d’une semaine que je te suis. La haine qui te consume m’empêche de quitter ce monde sereinement. Tu incarnais l’amour et la beauté. Je t’ai suivie jusqu’ici pour te guider vers ton palais».
Cette révélation fût un choc pour Samilia. Malgré la haine et la colère que la guerre avait semées dans son cœur, elle pensa soudainement à l’existence d’un membre de sa famille que la guerre n’avait pas corrompu ! Ainsi, elle s’empressa de suivre la dépouille de son père jusqu'au palais de son frère.
Le soleil se couchait lentement et les collines s’illuminaient de milliers de reflets d’amandes. Quelques villages semblaient flotter dans la lumière comme des nuages dans un ciel de fin de journée d’automne. Samilia s’arrêta pour contempler la beauté du paysage. Elle était au sommet d’une colline. Il faisait encore chaud, de cette chaleur voluptueuse de fin d’après-midi. Devant elle, à quelques mètres, s’élevait un Palais solitaire, immobile et splendide. Samilia ne bougea plus. Elle voulait laisser cet instant la pénétrer. « C’est ici, pensa-t-elle. Dans ce Palais.» Elle ne bougea plus. Les larmes aux yeux, le cœur plein de chagrin, elle s’approcha doucement de son père et lui dit : « C’est ici que je veux trouver la paix ».
Après plusieurs longs jours de marche interminables. Samilia se retrouva dans une forêt verdoyante. Une rivière chantait son doux chant d’écume et de remous. Devant elle étaient éparpillées des dizaines de tas de feuilles. Soudain, Elle aperçut quelque chose bougeant dans le feuilli. C’était une sorte de d’ombre vivante la guettant. Mais depuis quand celle-ci la suivait-elle ? Des heures ? Peut-être même des jours entiers ! Elle se mit tout d’un coup à courir. Sans aucune échappatoire, Samilia se retrouva prise au piège face à cette créature.
Bizarrement, la présence de cette ombre, la rassurait maintenant. Elle avait quelque chose de familier ! Une odeur ? Une forme ? Une allure ? Non, rien de cela. Aussitôt, l’Ombre se mit à parler ; sa voix semblait venir de siècles lointains. Samilia eût du mal à la reconnaître : « Ma fille, je sais que tu ne me reconnais plus, la guerre et la décomposition ont eu raison de mon être. Je comprends ton courroux et ton désespoir. J’ai eu la lâcheté de me suicider au lieu de réparer mes erreurs du passé. Voilà plus d’une semaine que je te suis. La haine qui te consume m’empêche de quitter ce monde sereinement. Tu incarnais l’amour et la beauté. Je t’ai suivie jusqu’ici pour te guider vers ton palais».
Cette révélation fût un choc pour Samilia. Malgré la haine et la colère que la guerre avait semées dans son cœur, elle pensa soudainement à l’existence d’un membre de sa famille que la guerre n’avait pas corrompu ! Ainsi, elle s’empressa de suivre la dépouille de son père jusqu'au palais de son frère.
Le soleil se couchait lentement et les collines s’illuminaient de milliers de reflets d’amandes. Quelques villages semblaient flotter dans la lumière comme des nuages dans un ciel de fin de journée d’automne. Samilia s’arrêta pour contempler la beauté du paysage. Elle était au sommet d’une colline. Il faisait encore chaud, de cette chaleur voluptueuse de fin d’après-midi. Devant elle, à quelques mètres, s’élevait un Palais solitaire, immobile et splendide. Samilia ne bougea plus. Elle voulait laisser cet instant la pénétrer. « C’est ici, pensa-t-elle. Dans ce Palais.» Elle ne bougea plus. Les larmes aux yeux, le cœur plein de chagrin, elle s’approcha doucement de son père et lui dit : « C’est ici que je veux trouver la paix ».
Julian N.
Après être sorti de la plaine, qui avait été la raison de son malheur et de son tourment, ces dernières années. Samilia fut transpercée par un sentiment de nostalgie. Ce pays qui l’avait tant comblée étant enfant avait à présent disparu dans un amas de roche. Elle ne peinait néanmoins pas à laisser s’entretuer ces morts vivants animés plus que par la haine et nourris plus que par le sang. Ces morts vivants qui étaient autrefois ses concitoyens, ses amis, ses frères. Elle vagabonda alors plusieurs mois, sans but, sans espoir alors qu’une partie d’elle était déjà morte. Resté sur cette plaine maudite.
Samilia épuisée arriva un jour à l’abord d’un petit village. Des paysans se reposaient à l’ombre d’un grand olivier près d’une rivière. Elle s’arrêta pour boire lorsqu’elle surprit un paysan évoquer l’existence d’un immense palais, Érigé par l’un des fils du roi Tsongor. Et cela en l’honneur de sa sœur disparue. Samilia interpella alors le paysan et lui demanda :
« Excusez-moi de vous interrompre mais puis-je savoir d’où vous vient cette histoire ? » L’homme déconcerté de l’introduction aussi soudaine de cette jeune femme dans la conversation répondit :
« D’un vieux troubadour contant les guerres et les nouvelles. Il séjourne dans le village depuis hier. » Samilia repris donc son chemin sans tarder, à la recherche de ce fameux conteur. Elle le trouva finalement sur la place du village encerclé d’une troupe de villageois. Elle reconnut alors immédiatement l’homme qui contait encore pour les troupes de Sango Kerim quelques années auparavant. Néanmoins le jugement obscurci par la fatigue, et l’envie de retrouver son frère devancèrent la peur. Elle s’approcha alors du vieil homme qui s interrompit bouche bée.
C’était elle la femme pour qui Sango Kerim, son ami, s’était battu sans relâche durant tant d’années. C’était elle la femme qui avait tué plus de guerriers que n’importe quel empereur, elle qui s’était donné à Kouame. Et cela avant d’humilier Sango Kerim devants les dix milles hommes les plus courageux et méritants du royaume pour ensuite s’enfuir lâchement. Alors comme un devoir Le vieil homme fidèle à son ami attrapa son kukri avant de transpercer le corps de la pauvre femme qui vacilla et tombât face contre terre. Elle avait à présent rejoint le monde des morts. Son monde, dans lequel elle séjournait déjà depuis plusieurs années. Celui où se trouvent son père et Massaba.
Samilia épuisée arriva un jour à l’abord d’un petit village. Des paysans se reposaient à l’ombre d’un grand olivier près d’une rivière. Elle s’arrêta pour boire lorsqu’elle surprit un paysan évoquer l’existence d’un immense palais, Érigé par l’un des fils du roi Tsongor. Et cela en l’honneur de sa sœur disparue. Samilia interpella alors le paysan et lui demanda :
« Excusez-moi de vous interrompre mais puis-je savoir d’où vous vient cette histoire ? » L’homme déconcerté de l’introduction aussi soudaine de cette jeune femme dans la conversation répondit :
« D’un vieux troubadour contant les guerres et les nouvelles. Il séjourne dans le village depuis hier. » Samilia repris donc son chemin sans tarder, à la recherche de ce fameux conteur. Elle le trouva finalement sur la place du village encerclé d’une troupe de villageois. Elle reconnut alors immédiatement l’homme qui contait encore pour les troupes de Sango Kerim quelques années auparavant. Néanmoins le jugement obscurci par la fatigue, et l’envie de retrouver son frère devancèrent la peur. Elle s’approcha alors du vieil homme qui s interrompit bouche bée.
C’était elle la femme pour qui Sango Kerim, son ami, s’était battu sans relâche durant tant d’années. C’était elle la femme qui avait tué plus de guerriers que n’importe quel empereur, elle qui s’était donné à Kouame. Et cela avant d’humilier Sango Kerim devants les dix milles hommes les plus courageux et méritants du royaume pour ensuite s’enfuir lâchement. Alors comme un devoir Le vieil homme fidèle à son ami attrapa son kukri avant de transpercer le corps de la pauvre femme qui vacilla et tombât face contre terre. Elle avait à présent rejoint le monde des morts. Son monde, dans lequel elle séjournait déjà depuis plusieurs années. Celui où se trouvent son père et Massaba.
Danaé P.
Dans un silence profond, Samilia, sans un regard pour ses frères, tourna le dos aux deux armées et s’en alla. Elle était seule sans rien. Elle laissait sa vie derrière elle. Elle continua longtemps ainsi. Des jours et des nuits. Elle errait sans savoir ou aller. Telle une âme perdue.
Elle traversa le désert, où le sable, inconnu, volait dans le vent. Où le sable, était emporté par une brise qui ne lui laissait aucune chance.
Elle s’arrêta, et prit soudain conscience de ce qu’elle était. Ce qu’elle n’était plus. Celle qu’elle aurait voulu être. Ses choix, ses souhaits, ses rêves, tout lui avait été enlevé. Son passé, son avenir, son nom, son histoire. Tout. Pourquoi ? Pour deux hommes inconscients. Deux hommes qui disaient l’aimer. Deux hommes prêts à tout pour elle. Ils se sont battus pour elle. Ils ont tué pour elle. Ils ont massacré une cité entière pour son amour. Ils ont détruit sa vie. Sans remords. Sans peine. Cela semblait si simple pour eux.
Elle admira l’horizon. Seules des dunes s’étendaient à perte de vue. Seul le désert. Soudain, elle se laissa tomber dans le sable brulant. Aujourd’hui, elle voulait rester ici, à crier son désespoir. A pleurer. A détester les siens. Tsongor, Sako, Danga, Sango Kerim, Kouame. Elle les haïssait, tous. Elle ne voulait plus appartenir à personne. Ni à son père, ni à ses frères, à Sango Kerim, Kouame ou Massaba.
Elle resta longtemps ainsi. Songeant à cette cité brulée. A cette famille déchirée. A cette guerre inutile. A ce sang versé pour elle. Elle se sentait coupable. Honteuse.
Samilia prit alors une poignée de sable dans ses mains. Et le laissa glisser entre ses doigts. Ses larmes ne tarissaient pas. Sa vue se troublait. Elle sentait une vague douleur à sa jambe. Elle s’allongea. Et comprit. Elle tendit la main pour caresser le traite fatal qui rampait jusqu’à elle. La douleur. Elle se sentait mieux maintenant. Un poids lui échappait. Elle sombrait peu à peu. C’était ce qu’elle souhaitait plus que tout.
Elle traversa le désert, où le sable, inconnu, volait dans le vent. Où le sable, était emporté par une brise qui ne lui laissait aucune chance.
Elle s’arrêta, et prit soudain conscience de ce qu’elle était. Ce qu’elle n’était plus. Celle qu’elle aurait voulu être. Ses choix, ses souhaits, ses rêves, tout lui avait été enlevé. Son passé, son avenir, son nom, son histoire. Tout. Pourquoi ? Pour deux hommes inconscients. Deux hommes qui disaient l’aimer. Deux hommes prêts à tout pour elle. Ils se sont battus pour elle. Ils ont tué pour elle. Ils ont massacré une cité entière pour son amour. Ils ont détruit sa vie. Sans remords. Sans peine. Cela semblait si simple pour eux.
Elle admira l’horizon. Seules des dunes s’étendaient à perte de vue. Seul le désert. Soudain, elle se laissa tomber dans le sable brulant. Aujourd’hui, elle voulait rester ici, à crier son désespoir. A pleurer. A détester les siens. Tsongor, Sako, Danga, Sango Kerim, Kouame. Elle les haïssait, tous. Elle ne voulait plus appartenir à personne. Ni à son père, ni à ses frères, à Sango Kerim, Kouame ou Massaba.
Elle resta longtemps ainsi. Songeant à cette cité brulée. A cette famille déchirée. A cette guerre inutile. A ce sang versé pour elle. Elle se sentait coupable. Honteuse.
Samilia prit alors une poignée de sable dans ses mains. Et le laissa glisser entre ses doigts. Ses larmes ne tarissaient pas. Sa vue se troublait. Elle sentait une vague douleur à sa jambe. Elle s’allongea. Et comprit. Elle tendit la main pour caresser le traite fatal qui rampait jusqu’à elle. La douleur. Elle se sentait mieux maintenant. Un poids lui échappait. Elle sombrait peu à peu. C’était ce qu’elle souhaitait plus que tout.
Christopher R.
C’était la nuit. Samilia marchait à travers la forêt, sans s’arrêter, sans se retourner, quand elle aperçut une lumière au loin. On aurait dit un feu. La forêt serait-elle en train de brûler ?
Les minutes passèrent mais le feu n’avançait pas. Elle essaya d’avancer avec son corps faible, elle n’ayant pas mangé depuis plusieurs jours, ni bu.
En arrivant de plus en plus près du feu, elle sentit ses forces la lâcher, elle distingua plusieurs silhouettes près de ce feu. Samilia, arrivée au feu, se fit interpeller par plusieurs personnes.
Des amis ? Ici ? Dans un endroit où n’importe quel recoin peut être rempli de brigands ? Ces hommes la recueillent et lui donnent ce qu’ils peuvent pour la maintenir en vie. Mais Samilia était trop atteinte par les derniers évènements.
« Avant que la mort ne vienne me chercher, je tenais à vous remercier, moi l’amie de tout le monde sans pour autant en avoir. Moi, ayant causé une guerre sans le vouloir. Et maintenant, j’en paye enfin le prix… Regarde bien Monde, car tu perds une nouvelle enfant… » Et avec ces mots, elle s’endormira pour l’éternité, rejoignant les âmes de ces soldats morts pour elle.
Les minutes passèrent mais le feu n’avançait pas. Elle essaya d’avancer avec son corps faible, elle n’ayant pas mangé depuis plusieurs jours, ni bu.
En arrivant de plus en plus près du feu, elle sentit ses forces la lâcher, elle distingua plusieurs silhouettes près de ce feu. Samilia, arrivée au feu, se fit interpeller par plusieurs personnes.
Des amis ? Ici ? Dans un endroit où n’importe quel recoin peut être rempli de brigands ? Ces hommes la recueillent et lui donnent ce qu’ils peuvent pour la maintenir en vie. Mais Samilia était trop atteinte par les derniers évènements.
« Avant que la mort ne vienne me chercher, je tenais à vous remercier, moi l’amie de tout le monde sans pour autant en avoir. Moi, ayant causé une guerre sans le vouloir. Et maintenant, j’en paye enfin le prix… Regarde bien Monde, car tu perds une nouvelle enfant… » Et avec ces mots, elle s’endormira pour l’éternité, rejoignant les âmes de ces soldats morts pour elle.
Théo S.
Jusqu'à n'être , pour tous, qu'un point qui disparaît au loin. Samilia avait disparue maintenant depuis deux mois. Elle avait disparue des pensées des combattants. Pendant que les combats faisaient rage à massaba Samilia arpentait tous les recoins du royaume laissés en périls par son père , le tant aimé et détesté roi Tsongor. Samilia commençait à n'avoir plus de force , dans les villages où elle passait tout était ravagé ou son esprit lui faisait croire. Personne ne l'a reconnaissait , elle portait un voile sur la tête , pour que personne ne l'a reconnaisse , pour que tout le monde l'oublie. Les jours passèrent , les mois passèrent , Samilia elle ne comptait plus les jours , maintenant elle marchait en attendant que la mort vienne la chercher. Son malheureux périple ne s'achevait plus. Jusqu'au jour où elle rencontra un inconnu dans le désert , celui-ci vendait des potions de jouvence , ou c'est ce qu'il prétendait vendre. Samilia intrigué acheta une des potions , un jour après l'avoir bu elle retrouva son frère Souba qui lui marchait vers Massaba et elle marchait vers la mort. A peine eurent-ils le temps de s'apercevoir que Samilia tomba raide morte. Son frère accourra et découvrit en soulevant le voile de la pauvre que c'était sa sœur qui venait de mourir devant ses yeux.
Manon T.
Sachant que son village allait être détruit suite à la mort de son père, elle décida de partir loin pour chercher de l'aide pour se réfugier pour ne pas qu'on la trouve, dans un autre village. Elle passa deux mois dans un village voisin mais son but était de sauver son village et de faire régner la paix. Alors pour cela elle se mis en route vers son village pour arrêter le carnage. Mais lorsqu'elle arriva près de son village, elle vit au loin le village détruit. Elle prit peur et la rage commença à monter en elle. Elle marcha de plus en plus vite et de plus en plus de façon déterminée à parvenir à son village. Une fois arrivée, elle comprit qu'il était trop tard pour revenir en arrière et pour essayer de sauver son village...
Elle aperçut au loin une personne ; elle commença à courir vers elle sans savoir que ça allait être la personne qui allait arrêter sa vie dans les minutes qui arrivaient. Elle entendit des cris, alors elle se cacha derrière un mur. Elle patienta quelques secondes avant de faire dépasser sa tête pour regarder ce qu'ils se passaient.. Elle aperçut Souba tuer l'oracle et en voyant cette scène de cruauté elle poussa un petit cris qui prévenait Souba de sa présence. Elle s'arrêta de respirer et essayait de ne pas bouger, de ne pas pleurer pour pas que Souba vienne la tuer. Mais Souba se retourna et il su de suite que Samilia était là. Alors il s'approcha à pas de loup de l'endroit où se trouvait Samilia. Elle avait très peur et elle priait pour ne pas qu'il l'a trouve, mais la peur la faisait trembler et en tremblant elle fit tomber une pierre. Souba était sur de lui, il alla vers elle, la regarda dans les yeux et la tua d'une balle dans la tête. Sa mort fut radical.
Elle aperçut au loin une personne ; elle commença à courir vers elle sans savoir que ça allait être la personne qui allait arrêter sa vie dans les minutes qui arrivaient. Elle entendit des cris, alors elle se cacha derrière un mur. Elle patienta quelques secondes avant de faire dépasser sa tête pour regarder ce qu'ils se passaient.. Elle aperçut Souba tuer l'oracle et en voyant cette scène de cruauté elle poussa un petit cris qui prévenait Souba de sa présence. Elle s'arrêta de respirer et essayait de ne pas bouger, de ne pas pleurer pour pas que Souba vienne la tuer. Mais Souba se retourna et il su de suite que Samilia était là. Alors il s'approcha à pas de loup de l'endroit où se trouvait Samilia. Elle avait très peur et elle priait pour ne pas qu'il l'a trouve, mais la peur la faisait trembler et en tremblant elle fit tomber une pierre. Souba était sur de lui, il alla vers elle, la regarda dans les yeux et la tua d'une balle dans la tête. Sa mort fut radical.
Yohan T.
Samilia a perdu tout repère au milieux d'une forêt très dense, très sombre, qu'on pourrait comparer à une jungle, il y a une grande variété d'arbres et un silence profond comme si la forêt était morte. Samilia n'a plus rien à manger ni à boire. Elle continuait d'avance sans savoir vers où elle se dirigeait quand soudain elle entendit un bruit dans les environs proches. Une cinquantaine d'hommes armés de lances surgit. Ils appartenaient sûrement à une tribu indigène, leurs visages étaient maquillés avec de la craie blanche et noire. Samilia s'arrête brusquement sans savoir qui était ces hommes. Samilia aperçoit une personne différente des autres, probablement leur chef, il prit la parole au nom de tous ses hommes.
"Qui es tu pour venir sur nos terres sacrées! tu n'as rien à faire ici!"
Samilia répondit normalement.
"Je suis Samilia je viens du royaume de mon père qui était le grand roi Tsongor et..."
Très énerve suite à ce que Samilia venait de lui dire, le chef lui coupe la parole.
"Ton père a massacré des centaine de personnes de ma tribu et détruit notre village juste parce qu'on ne voulait pas être sous son commandement, on a dû tout reconstruire avec le peu de personnes qui à réussi à s'enfuir de ce massacre et tu oses venir sur nos terres. Tu mérites de mourir!"
Il pose une question à tous ses hommes pour avoir leur avis "Voulez-vous qu'elle meure?" et de plus en plus de personnes autour de Samilia dirent "oui, qu'elle meure" car ils veulent venger les morts que Tsongor a fait. Mais Samilia prit la parole pour se défendre.
"Comment pouvez vous me juger à la place de mon père, ce n'est pas moi qui ai détruit votre village et tué vos amis."
Mais personne ne l'écoute les hommes la ramènent à leur petit village constitué d'une cinquantaine de maisons en bois, ils préparent un bûcher pour son exécution. Le moment est venu, tout est prêt pour l’exécution, des hommes installent Samilia sur le bûcher et l'attachent a un pilier en plein milieu puis ils mettent le feu, à ce moment là le chef se mis à parler d'un ton autoritaire.
"Nous allons enfin venger notre peuple de ce tueur qui nous a enlever notre famille et détruit notre village!"
pendant ce temps là Samilia prend feu et hurle de douleur, jusqu'au moment ou le calme revient, Samilia vient de mourir et la tribu hurlent de joie.
"Qui es tu pour venir sur nos terres sacrées! tu n'as rien à faire ici!"
Samilia répondit normalement.
"Je suis Samilia je viens du royaume de mon père qui était le grand roi Tsongor et..."
Très énerve suite à ce que Samilia venait de lui dire, le chef lui coupe la parole.
"Ton père a massacré des centaine de personnes de ma tribu et détruit notre village juste parce qu'on ne voulait pas être sous son commandement, on a dû tout reconstruire avec le peu de personnes qui à réussi à s'enfuir de ce massacre et tu oses venir sur nos terres. Tu mérites de mourir!"
Il pose une question à tous ses hommes pour avoir leur avis "Voulez-vous qu'elle meure?" et de plus en plus de personnes autour de Samilia dirent "oui, qu'elle meure" car ils veulent venger les morts que Tsongor a fait. Mais Samilia prit la parole pour se défendre.
"Comment pouvez vous me juger à la place de mon père, ce n'est pas moi qui ai détruit votre village et tué vos amis."
Mais personne ne l'écoute les hommes la ramènent à leur petit village constitué d'une cinquantaine de maisons en bois, ils préparent un bûcher pour son exécution. Le moment est venu, tout est prêt pour l’exécution, des hommes installent Samilia sur le bûcher et l'attachent a un pilier en plein milieu puis ils mettent le feu, à ce moment là le chef se mis à parler d'un ton autoritaire.
"Nous allons enfin venger notre peuple de ce tueur qui nous a enlever notre famille et détruit notre village!"
pendant ce temps là Samilia prend feu et hurle de douleur, jusqu'au moment ou le calme revient, Samilia vient de mourir et la tribu hurlent de joie.
Alexandre V.
Samilia avait quitté Massaba. La cité qu’avait construit son père, le roi Tsongor. Elle pensait à sa terre natale qui s’éloignait derrière elle. Elle continuait d’avancer en pensant à ces hommes qui, au premier jour de la guerre, se battaient pour elle et qui aujourd’hui se vengent du sang qui a coulé des leurs. Kouame et Sango Kerim n’avait pas pensé à rattraper Samilia. Ils se battaient maintenant l’un contre l’autre. Elle avançait en espérant qu’ils ne la suivraient pas, ni même qu’ils essayeraient de la retrouver. A présent, elle n’était due à personne. Elle errait maintenant dans les terres du royaume.
Après plusieurs mois d’une vie nomade, une terrible nouvelle de Massaba lui parvint. Elle apprit que Kouame et Sango Kerim étaient morts ainsi que ces deux frères Sako et Danga. Elle en tomba malade. Personne ne pouvait l’expliquer. Elle poursuivi son chemin à travers les campagnes et les villages malgré la maladie. Elle continuait. Jamais elle ne s’arrêtait.
Maintenant, la vie l’avait mis sur la route de Souba. Les plusieurs dizaines d’années qu’ils ne s’étaient pas vus ont marqué, creusé et ridé leurs visages. Ils étaient maintenant face à face, Samilia commença :
‘‘Souba, mon frère, je suis triste de te revoir ici et alors qu’il me semble que cela fait une éternité que tu es parti.
- Que fais-tu dans l’endroit le plus reculé du royaume de notre père, si loin de Massaba ? interrogea Souba.
- Je suis partie et je suis malade, répondit Samilia.
- Est-ce grave ?
- Je meurs.‘‘
En effet, Samilia s’affaissait, son souffle commençait à s’épuiser, elle tomba. Tandis que Souba se rua sur elle, elle avait gardé suffisamment de souffle pour lui murmurer ces derniers mots :
‘‘Souba, mon frère, obéit à notre père et construit son dernier tombeau ici.‘‘
A présent, la vie avait quitté son corps.
Après plusieurs mois d’une vie nomade, une terrible nouvelle de Massaba lui parvint. Elle apprit que Kouame et Sango Kerim étaient morts ainsi que ces deux frères Sako et Danga. Elle en tomba malade. Personne ne pouvait l’expliquer. Elle poursuivi son chemin à travers les campagnes et les villages malgré la maladie. Elle continuait. Jamais elle ne s’arrêtait.
Maintenant, la vie l’avait mis sur la route de Souba. Les plusieurs dizaines d’années qu’ils ne s’étaient pas vus ont marqué, creusé et ridé leurs visages. Ils étaient maintenant face à face, Samilia commença :
‘‘Souba, mon frère, je suis triste de te revoir ici et alors qu’il me semble que cela fait une éternité que tu es parti.
- Que fais-tu dans l’endroit le plus reculé du royaume de notre père, si loin de Massaba ? interrogea Souba.
- Je suis partie et je suis malade, répondit Samilia.
- Est-ce grave ?
- Je meurs.‘‘
En effet, Samilia s’affaissait, son souffle commençait à s’épuiser, elle tomba. Tandis que Souba se rua sur elle, elle avait gardé suffisamment de souffle pour lui murmurer ces derniers mots :
‘‘Souba, mon frère, obéit à notre père et construit son dernier tombeau ici.‘‘
A présent, la vie avait quitté son corps.
Anthony V.
Samilia, hors de la provence de Tsongor, continue de roder. Elle aire dans une forêt hostile ou la terreur et les morts règnent. Soudainement, elle se fit attraper par un groupe de personnes qui rodait. Ils étaient là, mais Samilia se demandait sans cesse comment pouvait-il être ici, dans un endroit aussi reculé. Samilia fut emmenée dans un petit camp de réfugiés. Les réfugiés l'attachèrent à des chaines et ils laissèrent Samilia, là, comme une bète sauvage. Les réfugiers semblaient a la fois méfiants et determinés, il avait l'impression dans vouloir grandement a Samilia. Samilia demanda alors aux réfugiers :
-" Pourquoi m'avez vous capturez et emmenez ici"
Dans tous le camps de refugiers, aucuns ne parlaient, ils semblaient demunient, ils n'avaient plus rien. Samilia répeta une fois d'un ton plus méchant:
-"Pourquoi m'avez vous emmenez ici enfin, repondez !!
-Votre père, c'est sa faute
-Mais de quoi parlez-vous ?
-Tsongor a déclanché une guerre sans aucuns remorts, notre village, pret de Massaba, a finit en feu et en sang, et personnes n'a volées a notre secours, c'est répuniant.
-Je comprend votre situation, mais maintenant, je n'appartient plus a personne, je rode, et je ne vois pourquoi je devrais subir les erreurs de mon père ?
-Il est mort, en laissant sa ville, son village, sa famille se debrouiller dans cette guerre. Toute sa descendance est morte, seule toi est vivante, est nous comptons bien nous venger.
La discussion s'arreta, d'un seule coup, et l'atmophere pesait sur le dos de Samilia. Elle était demunie, elle n'avait plus rien, elle était seul et son destin n'était plus entre ses mains. La nuit passa, et le lendemain, en se reveillant, vit tous les réfugiers autour d'elle. Un des réfugiers s'avanca, et fit face a Samilia. Elle était apeurée, perdue, et la mort suivait Samilia comme un animal féroce qui suivait sa proie. Les réfugiers voulaient la tuer, mais probablement pas de leurs propres main, et Samilia le savait. Cette fois-ci, elle ne voulait pas que d'autres guerres déclanchent par sa faute ou par la faute de sa famille. Les réfugiers lui donnèrent un couteau, sur lequel il y avait gravé:"Massba, notre ville est le reflet de la paix". Après avoir vue ces mots, Samilia pleurait, elle se souvenait de tous les bons moments joyeux passés a Massaba. Elle prononca une dernière phrase:
-"Suba, soit la fierté ne notre belle et heureuse famille"
Samilia tourna alors le couteau contre sa chaire et mis fin à ses jours. Les réfugiers pouvaient alors retourner dans leur village sans aucun remorts.
-" Pourquoi m'avez vous capturez et emmenez ici"
Dans tous le camps de refugiers, aucuns ne parlaient, ils semblaient demunient, ils n'avaient plus rien. Samilia répeta une fois d'un ton plus méchant:
-"Pourquoi m'avez vous emmenez ici enfin, repondez !!
-Votre père, c'est sa faute
-Mais de quoi parlez-vous ?
-Tsongor a déclanché une guerre sans aucuns remorts, notre village, pret de Massaba, a finit en feu et en sang, et personnes n'a volées a notre secours, c'est répuniant.
-Je comprend votre situation, mais maintenant, je n'appartient plus a personne, je rode, et je ne vois pourquoi je devrais subir les erreurs de mon père ?
-Il est mort, en laissant sa ville, son village, sa famille se debrouiller dans cette guerre. Toute sa descendance est morte, seule toi est vivante, est nous comptons bien nous venger.
La discussion s'arreta, d'un seule coup, et l'atmophere pesait sur le dos de Samilia. Elle était demunie, elle n'avait plus rien, elle était seul et son destin n'était plus entre ses mains. La nuit passa, et le lendemain, en se reveillant, vit tous les réfugiers autour d'elle. Un des réfugiers s'avanca, et fit face a Samilia. Elle était apeurée, perdue, et la mort suivait Samilia comme un animal féroce qui suivait sa proie. Les réfugiers voulaient la tuer, mais probablement pas de leurs propres main, et Samilia le savait. Cette fois-ci, elle ne voulait pas que d'autres guerres déclanchent par sa faute ou par la faute de sa famille. Les réfugiers lui donnèrent un couteau, sur lequel il y avait gravé:"Massba, notre ville est le reflet de la paix". Après avoir vue ces mots, Samilia pleurait, elle se souvenait de tous les bons moments joyeux passés a Massaba. Elle prononca une dernière phrase:
-"Suba, soit la fierté ne notre belle et heureuse famille"
Samilia tourna alors le couteau contre sa chaire et mis fin à ses jours. Les réfugiers pouvaient alors retourner dans leur village sans aucun remorts.
Gatien V.
Samilia partit en tournant le dos à ses frères, mais elle ne pensa qu'aux souvenirs d'enfance avec eux qui la rendaient heureuse jusqu'à présent. Elle marchait encore et encore pour évacuer la colère et la tristesse qui se trouvait en elle, mais a ne faire que marcher, elle ne se rendit pas compte que ses pieds étaient en sang, elle s'arrêta et leva la tête, aperçut au loin un fleuve et s'y rapprocha en restant bouche bée devant ces couleurs produites, des couleurs chaudes et rassurantes, elles ne laissaient pas place à la haine et au mépris, celles-ci lui faisaient du bien. Elle plongea dans le fleuve et y resta un petit moment avant de repartir. Elle continua d'errer encore et encore comme une ombre a moitié morte. Au loin elle aperçut plusieurs hommes, des tantes et du feu. Elle se précipita, puis discuta avec eux :
“ - Bonjour, je me nomme Samilia, j'ai erré jusqu'à trouver un endroit ou je pourrais m'abriter, pouvez-vous m'abriter plusieurs jours ? dit elle avec une voie fatiguée.
- Bien sûr, je me nomme Maris, nous allons t'accueillir le temps qu'il faudra pour que tu redeviennes une bonne vivante. dit il avec un air rassurant
- Merci beaucoup, que la vie vous sourit. S’écria t-elle d'un air heureux ”.
Elle resta dans ces petits abris plusieurs jours puis repartit, continuant son voyage. Plusieurs années passèrent et elle entendit parler du temple de Samilia. Au début elle ne pensait que ce n'était qu'une rumeur mais de plus en plus de personnes parlaient d'un temple qui était d'une beauté à couper le souffle, alors elle si dirigea. Plusieurs jours défilèrent et Samilia était presque arrivée, elle était à bout de souffle, prête à tomber à n'importe quel moment et c'est là, qu'elle aperçut ce temple d'on tout le monde parlait, un temple qui représentait une beauté extraordinaire, un temple qui montrait sa vie gâchée à cause des sacrifices et des erreurs, un temple qui l'incarnait, et devant ce celui-ci elle tomba comme une feuille à terre et succomba avec le sourire, que personne n'a pu lui offrir lorsqu'elle était en vie.
“ - Bonjour, je me nomme Samilia, j'ai erré jusqu'à trouver un endroit ou je pourrais m'abriter, pouvez-vous m'abriter plusieurs jours ? dit elle avec une voie fatiguée.
- Bien sûr, je me nomme Maris, nous allons t'accueillir le temps qu'il faudra pour que tu redeviennes une bonne vivante. dit il avec un air rassurant
- Merci beaucoup, que la vie vous sourit. S’écria t-elle d'un air heureux ”.
Elle resta dans ces petits abris plusieurs jours puis repartit, continuant son voyage. Plusieurs années passèrent et elle entendit parler du temple de Samilia. Au début elle ne pensait que ce n'était qu'une rumeur mais de plus en plus de personnes parlaient d'un temple qui était d'une beauté à couper le souffle, alors elle si dirigea. Plusieurs jours défilèrent et Samilia était presque arrivée, elle était à bout de souffle, prête à tomber à n'importe quel moment et c'est là, qu'elle aperçut ce temple d'on tout le monde parlait, un temple qui représentait une beauté extraordinaire, un temple qui montrait sa vie gâchée à cause des sacrifices et des erreurs, un temple qui l'incarnait, et devant ce celui-ci elle tomba comme une feuille à terre et succomba avec le sourire, que personne n'a pu lui offrir lorsqu'elle était en vie.
Mélina W.
Samilia était seule depuis qu’elle avait quitté Massaba. Mais elle savait que son départ était nécessaire et qu’il lui avait permis de s’affirmer. Elle avait tout perdu, son père, son frère, la cité que son père avait bâtie et son palais. Elle était seule, sans personne, sans aucun endroit où aller. Considérée morte par les siens, elle n’était plus personne, elle n’avait plus d’identité. Suite à cela, elle quitta les terres du royaume de Tsongor et s’enfonça dans l’inconnu. Elle ne savait pas où elle allait ni ce qu’elle cherchait. Elle marchait droit devant elle dans un désert où jamais personne ne s’était aventuré. Elle était perdue. Elle poursuivit sa route durant quatre jours. Pendant qu’elle marchait elle repensa à ce qu’était sa vie avant la guerre et à ce que son père aurait voulu qu’elle fasse. Elle décida de retourner à Massaba pour honorer la mémoire de son père qui s’est battu pour pouvoir bâtir cette cité. Elle arriva dans la plaine de Massaba trois jours plus tard. Elle vit des cadavres au sol. Lorsqu’elle reconnut le cadavre de Sango Kerim décapité, de Kouame égorgé, de Sako éventré et de Danga gisant dans son propre sang, elle tomba à genoux et se mise à pleurer. A ce moment elle maudit son père d’être la cause de leur mort, de la guerre et de son malheur. Elle resta là, seule, pleurant, espérant que le dernier de ses frères, Souba, ait une vie meilleure que la sienne. Les yeux embuaient de larmes elle regardait tour à tour les cadavres qui l’entouraient. Pour elle tout était de sa faute. En refusant de s’ôter la vie elle avait provoqué la guerre, une fois de plus. Cela en était trop pour elle. Dans un élan de tristesse elle saisit le couteau avec lequel Barnak avait égorgé Kouame et le planta dans son ventre. Elle tomba. Une nappe de sang se répandit au sol. Son corps sans vie était allongé au milieu de ceux des siens. Elle a fait ce dont elle s’était promis de ne pas faire ; s’ôter la vie elle-même.