Ecriture poétique et quête du sens
Les élèves ont été invités à composer une oeuvre poétique, sous la forme de leur choix (vers libres, haïkus, versification plus traditionnelle...) évoquant un lieu urbain familier, puis à justifier leurs choix.
Gaëtan A.
Ah Nice ! Ma belle ville.
En toute saison, il fait bon vivre.
Ton parfum fleuri est si subtil
Que même le soleil en est ivre.
Notre belle promenade
Qui est par tout temps
Parcouru par des nomades
Ou bien semé de goéland
Est agréable a regardée
Lorsqu'on est pieds nus sur les galets.
Si vous préférez l'air de la montagne
Vous serez tout aussi bien accueillis
Que cela soit sur les pistes de ski
Ou au chalet, si la fatigue vous gagne.
Mais revenons en à notre sujet
Notre belle Nice, surpeuplée de civil
Qu'il soit touriste ou voyageur anglais
Vous nous ôtez l'envie d'aller en ville !
En toute saison, il fait bon vivre.
Ton parfum fleuri est si subtil
Que même le soleil en est ivre.
Notre belle promenade
Qui est par tout temps
Parcouru par des nomades
Ou bien semé de goéland
Est agréable a regardée
Lorsqu'on est pieds nus sur les galets.
Si vous préférez l'air de la montagne
Vous serez tout aussi bien accueillis
Que cela soit sur les pistes de ski
Ou au chalet, si la fatigue vous gagne.
Mais revenons en à notre sujet
Notre belle Nice, surpeuplée de civil
Qu'il soit touriste ou voyageur anglais
Vous nous ôtez l'envie d'aller en ville !
Maxime B.
Le Monstre Citadin
Les derniers rayons de Soleil s'assombrissent,
Une masse avance petit à petit puis s'éclipse.
Des cercles de lumière apparaissent dans le ciel,
Le vacarme nocturne retentit et émerveille.
Par des sons ascendants la musique est lancée,
Les guirlandes illuminent la douce ville épuisée.
Un parfum simple et savoureux s'étend puis attire,
Mais l'odeur du monstre citadin vient le détruire.
Les enfants accourent et emmènent leurs parents,
Mais tous célèbrent la nativité par des chants.
Quant à l'homme barbu, lorsqu'il s'approche d'eux,
Leurs yeux s'illuminent et brillent de mille feux.
Les chalets resplendissent et étincellent dans la rue,
Et la lune se cache déjà derrière la ville étendue.
Le son des festivités n'est là que pour séduire,
Mais le bruit du monstre citadin vient le détruire.
Les derniers rayons de Soleil s'assombrissent,
Une masse avance petit à petit puis s'éclipse.
Des cercles de lumière apparaissent dans le ciel,
Le vacarme nocturne retentit et émerveille.
Par des sons ascendants la musique est lancée,
Les guirlandes illuminent la douce ville épuisée.
Un parfum simple et savoureux s'étend puis attire,
Mais l'odeur du monstre citadin vient le détruire.
Les enfants accourent et emmènent leurs parents,
Mais tous célèbrent la nativité par des chants.
Quant à l'homme barbu, lorsqu'il s'approche d'eux,
Leurs yeux s'illuminent et brillent de mille feux.
Les chalets resplendissent et étincellent dans la rue,
Et la lune se cache déjà derrière la ville étendue.
Le son des festivités n'est là que pour séduire,
Mais le bruit du monstre citadin vient le détruire.
Hugo B.
Mélancolie Urbaine
Une nouvelle année commence,
Froide et douce en meme temps,
La mer qui s'etend à l'infini m'apaise,
Mais quand mes yeux derivent !
Je me rend compte de la grandeur
De toutes ces tours qui cache ce ciel si triste.
Puis perdu dans la foule,
Je ressort sur une vaste place,
Et me voila tout petit,
Face a l'immensité de ces arcades !
Les galeries Lafayettes sont pleines,
Puis le soir venu des petards explosent
Et des gens crient,
Tous ces bruits qui resonnent dans ma tete !
Je me sens comme emprisonné.
Une nouvelle année commence,
Froide et douce en meme temps,
La mer qui s'etend à l'infini m'apaise,
Mais quand mes yeux derivent !
Je me rend compte de la grandeur
De toutes ces tours qui cache ce ciel si triste.
Puis perdu dans la foule,
Je ressort sur une vaste place,
Et me voila tout petit,
Face a l'immensité de ces arcades !
Les galeries Lafayettes sont pleines,
Puis le soir venu des petards explosent
Et des gens crient,
Tous ces bruits qui resonnent dans ma tete !
Je me sens comme emprisonné.
Imen B. A.
Sur cette belle plage la promenade des Anglais
Des pierres dures pour les pieds.
Se promenant aux sifflements des vents,
Et ma tristesse qui s’envole subitement.
Je veux que ce rêve soit réalisé ;
D’être le soir seule sur cette belle plage isolée,
Avec l’eau qui me touche les pieds,
En respirant son air si pur et si propre.
M’allonger sur les flots comme une algue à la dérive,
Pour me sentir plus légère, sous l’effet du vent qui arrive
D’où cette sensation d’être bercée, protégée, dans les bras de cette mer
Comme si j’étais enveloppée, dans ceux de ma mère.
Jusqu’où faut-il s’enfuir pour échapper à sa douleur
A son ombre à sa vie. Moi je m’enfuie ici, pour vider mon cœur,
Pour ressentir la paisible atmosphère,
Qui m’inspire un sentiment de paix et de peur.
Oui de peur ! De ne plus revoir cette plage,
Qui me fait oublier tout mon entourage.
Les vagues, le vent, son odeur me surprend
Me fait penser à Dieu le Bienveillant.
Quand je vois cette mer, je sens le bonheur m’envahir,
Sa couleur bleue me fait jouir.
Quand aux familles, les couples,
Les enfants, et les amis. La tiennent compagnie.
Fermez les yeux et écoutez sa mélodie,
Les cris des enfants, les vagues, les sportifs, les cannes à pêches,
Jetant des pierres dans l’eau et ramasser
Les coquillages, tout ceci me semble un grand bonheur et un grand avantage
Des pierres dures pour les pieds.
Se promenant aux sifflements des vents,
Et ma tristesse qui s’envole subitement.
Je veux que ce rêve soit réalisé ;
D’être le soir seule sur cette belle plage isolée,
Avec l’eau qui me touche les pieds,
En respirant son air si pur et si propre.
M’allonger sur les flots comme une algue à la dérive,
Pour me sentir plus légère, sous l’effet du vent qui arrive
D’où cette sensation d’être bercée, protégée, dans les bras de cette mer
Comme si j’étais enveloppée, dans ceux de ma mère.
Jusqu’où faut-il s’enfuir pour échapper à sa douleur
A son ombre à sa vie. Moi je m’enfuie ici, pour vider mon cœur,
Pour ressentir la paisible atmosphère,
Qui m’inspire un sentiment de paix et de peur.
Oui de peur ! De ne plus revoir cette plage,
Qui me fait oublier tout mon entourage.
Les vagues, le vent, son odeur me surprend
Me fait penser à Dieu le Bienveillant.
Quand je vois cette mer, je sens le bonheur m’envahir,
Sa couleur bleue me fait jouir.
Quand aux familles, les couples,
Les enfants, et les amis. La tiennent compagnie.
Fermez les yeux et écoutez sa mélodie,
Les cris des enfants, les vagues, les sportifs, les cannes à pêches,
Jetant des pierres dans l’eau et ramasser
Les coquillages, tout ceci me semble un grand bonheur et un grand avantage
Vincent C.
Paris
De Louvre en Louvre, de palais en jardins
D'émeutes en incendies, de révolutions en victoires
Paris tu reste depuis toujours notre destin
La seine reposante te coupe en deux sans chagrin
Et c'est toujours un plaisir de venir la revoir.
De ton cœur rayonnent tes rues palpitantes
Coupées orgueilleusement par des avenues triomphantes
Ton cœur s'est dilaté en rides concentriques
À toute heure surchargées de processions métalliques.
Homme, dans ce grondement, si tu as peur
De ne plus entendre battre ton cœur
Va, sous les vénérables arbres
Dans ces saintes allées bordées
De granit, de pierre et de marbre
Gravés de noms bien souvent oubliés
Dans ce silence assourdissant écoute ton cœur
Ne te laisse pas envahir par la peur.
De Louvre en Louvre, de palais en jardins
D'émeutes en incendies, de révolutions en victoires
Paris tu reste depuis toujours notre destin
La seine reposante te coupe en deux sans chagrin
Et c'est toujours un plaisir de venir la revoir.
De ton cœur rayonnent tes rues palpitantes
Coupées orgueilleusement par des avenues triomphantes
Ton cœur s'est dilaté en rides concentriques
À toute heure surchargées de processions métalliques.
Homme, dans ce grondement, si tu as peur
De ne plus entendre battre ton cœur
Va, sous les vénérables arbres
Dans ces saintes allées bordées
De granit, de pierre et de marbre
Gravés de noms bien souvent oubliés
Dans ce silence assourdissant écoute ton cœur
Ne te laisse pas envahir par la peur.
Cyprien C.
Voyage onirique qui a pris chair
Dans le soir humide et incertain,
Le bateau cercueil à jamais nous salue
Du fond de la cale les râles des migrants à jamais reclus.
La vieille université se dresse, en son sein, La bibliothèque
Dont les enluminures millénaires, apaise les craquements d’une harpe centenaire
La ville tantôt se mêle à la grive chantante, il pleut.
Une rue se mue aux abords du Temple
Aux parfums de malt, se fondent les chants des violons
Le cliquetis des capsules clairsonnant sur le sol,
Rejoignent alors les fossiles de la ville jeunissante.
D’un pas décidé,
Vous quittez le faubourg, rejoignant l’avenue principal
Timides lueurs de l’horizon ;
Un cygne déchire l’opalescence de la Liffy
Dublin, Vieille dame cocagne en perpétuelle jeunesse.
Justifications des choix d’écriture:
Je présente dans un poème déstructuré la ville de Dublin, ville millénaire, mais aussi ville vivante et jeune. Le poème commence comme une présentation de la ville. Peu à peu, le lecteur est immergé dans le poème jusqu’à en faire partie prenante au début de la deuxième strophe. Notre voyage commence à l’intérieur d’un bateau de migrants, dans lesquels des centaines de migrants s’entassèrent pour fuir l’Irlande lors de la grande dépression. Le voyage continue à l’intérieur du Trinity College, dans la bibliothèque dans laquelle se trouve « The Book of Kells » ouvrage millénaire, ainsi que la harpe de Brian Boro, héros irlandais ayant, selon la légende, chassé les Vikings et dont la harpe est devenue un symbole de l’Irlande. Le voyage se poursuit dans les rues de Dublin, à l’intérieur de Temple Bar, quartier jeune, parsemé de pubs et de musiciens de rue. Il se termine aux abords de la Liffy, le fleuve passant dans Dublin, proche du bateau des migrants.
Dans ce poème, j’ai aussi utilisé des néologismes tel que « grive », qui est le nom d’un oiseau mais aussi le mélange entre gris et vert, les deux couleurs de l’Irlande ; mais aussi tel que « clairsonnance » ou « jeunissante ». Je finis ce poème par une personnification de Dublin rappelant Molly Malone, personnage emblématique de la ville. Dublin est une ville très vieille mais très vivante (qui a un peu trop tiré sur la boisson). J’ai choisi Dublin car c’est une ville que j’ai eu la chance d’apprécié cet été.
v.8 mue fait référence à la mue du serpent
Le poème joue un jeu avec le climat très changeant de Dublin et de l’Irlande en général.
Dans le soir humide et incertain,
Le bateau cercueil à jamais nous salue
Du fond de la cale les râles des migrants à jamais reclus.
La vieille université se dresse, en son sein, La bibliothèque
Dont les enluminures millénaires, apaise les craquements d’une harpe centenaire
La ville tantôt se mêle à la grive chantante, il pleut.
Une rue se mue aux abords du Temple
Aux parfums de malt, se fondent les chants des violons
Le cliquetis des capsules clairsonnant sur le sol,
Rejoignent alors les fossiles de la ville jeunissante.
D’un pas décidé,
Vous quittez le faubourg, rejoignant l’avenue principal
Timides lueurs de l’horizon ;
Un cygne déchire l’opalescence de la Liffy
Dublin, Vieille dame cocagne en perpétuelle jeunesse.
Justifications des choix d’écriture:
Je présente dans un poème déstructuré la ville de Dublin, ville millénaire, mais aussi ville vivante et jeune. Le poème commence comme une présentation de la ville. Peu à peu, le lecteur est immergé dans le poème jusqu’à en faire partie prenante au début de la deuxième strophe. Notre voyage commence à l’intérieur d’un bateau de migrants, dans lesquels des centaines de migrants s’entassèrent pour fuir l’Irlande lors de la grande dépression. Le voyage continue à l’intérieur du Trinity College, dans la bibliothèque dans laquelle se trouve « The Book of Kells » ouvrage millénaire, ainsi que la harpe de Brian Boro, héros irlandais ayant, selon la légende, chassé les Vikings et dont la harpe est devenue un symbole de l’Irlande. Le voyage se poursuit dans les rues de Dublin, à l’intérieur de Temple Bar, quartier jeune, parsemé de pubs et de musiciens de rue. Il se termine aux abords de la Liffy, le fleuve passant dans Dublin, proche du bateau des migrants.
Dans ce poème, j’ai aussi utilisé des néologismes tel que « grive », qui est le nom d’un oiseau mais aussi le mélange entre gris et vert, les deux couleurs de l’Irlande ; mais aussi tel que « clairsonnance » ou « jeunissante ». Je finis ce poème par une personnification de Dublin rappelant Molly Malone, personnage emblématique de la ville. Dublin est une ville très vieille mais très vivante (qui a un peu trop tiré sur la boisson). J’ai choisi Dublin car c’est une ville que j’ai eu la chance d’apprécié cet été.
v.8 mue fait référence à la mue du serpent
Le poème joue un jeu avec le climat très changeant de Dublin et de l’Irlande en général.
Ludivine C.
« Cette Ville »
Même quand Dame de pierre est dans l'obscurité, sa torche illumine
Elle paraît pour le monde une incontournable
Lieu mythique et romantique
Porte de la liberté avec ses bras accueillants
Elle qui s'exprime par ses chants mécaniques
Grande et pleine, elle s'élance vers le ciel
Symbole du fruit défendu
Même quand nous l’atteignions, retenons que chaque rêve a une Fin.
Descriptif :
Deux strophe, deux quatrains
Ce poème est fait sur la ville de New York, en lien avec le titre de la séquence actuelle. Nous travaillons également sur l'idéal associé au Spleen, et cette ville est pour moi, comme pour beaucoup, une destination idéale.
« Dame de pierre » représente la Statue de la Liberté.
Les « bras accueillants » font références à l’accueil des immigrés arrivés pas Elis Island.
Les bruits de la ville très active sont représentés par les « chants mécaniques ».
New York à comme surnom : La Grande Pomme d'où le « symbole du fruit défendu ».
Le dernier vers est comme un rappel à l'ordre et fait « redescendre sur Terre » nous passons de l'idéal à la réalité.
« Même quand » encadre le poème puisqu'il y est au début, puis en fin.
« Fin » avec la majuscule annonce la fin du rêve ainsi que la fin du poème.
Même quand Dame de pierre est dans l'obscurité, sa torche illumine
Elle paraît pour le monde une incontournable
Lieu mythique et romantique
Porte de la liberté avec ses bras accueillants
Elle qui s'exprime par ses chants mécaniques
Grande et pleine, elle s'élance vers le ciel
Symbole du fruit défendu
Même quand nous l’atteignions, retenons que chaque rêve a une Fin.
Descriptif :
Deux strophe, deux quatrains
Ce poème est fait sur la ville de New York, en lien avec le titre de la séquence actuelle. Nous travaillons également sur l'idéal associé au Spleen, et cette ville est pour moi, comme pour beaucoup, une destination idéale.
« Dame de pierre » représente la Statue de la Liberté.
Les « bras accueillants » font références à l’accueil des immigrés arrivés pas Elis Island.
Les bruits de la ville très active sont représentés par les « chants mécaniques ».
New York à comme surnom : La Grande Pomme d'où le « symbole du fruit défendu ».
Le dernier vers est comme un rappel à l'ordre et fait « redescendre sur Terre » nous passons de l'idéal à la réalité.
« Même quand » encadre le poème puisqu'il y est au début, puis en fin.
« Fin » avec la majuscule annonce la fin du rêve ainsi que la fin du poème.
Coline D.
Assise
sur un banc, j'attends
Sans un bruit, les rêves laissent place aux mortels
La ville s'éveille, la vie s'emmêle
Des cœurs heureux, des dos courbés
Aux durs labeurs qu'attendent leur journée
Pendant des heures, tonnerre de machines
Une ville pénible, une vie en ruines
Des klaxons, des grands axes, des taxis
Et dans cette cacophonie, les vieux sourient
D'un soleil rougeoyant, les âmes s'apaisent
La ville s'illumine, la vie émerveille
La musique retentit à chaque coin de rue
Comme la renaissance d'un monde perdu
Au clair de lune se dévoile un jardin
Un échappatoire dans cet essaim
Je regarde les étoiles et me mets à rêver
Rêver d'un chemin vers la liberté
Assise sur ce banc, j'attendais.
Sans un bruit, les rêves laissent place aux mortels
La ville s'éveille, la vie s'emmêle
Des cœurs heureux, des dos courbés
Aux durs labeurs qu'attendent leur journée
Pendant des heures, tonnerre de machines
Une ville pénible, une vie en ruines
Des klaxons, des grands axes, des taxis
Et dans cette cacophonie, les vieux sourient
D'un soleil rougeoyant, les âmes s'apaisent
La ville s'illumine, la vie émerveille
La musique retentit à chaque coin de rue
Comme la renaissance d'un monde perdu
Au clair de lune se dévoile un jardin
Un échappatoire dans cet essaim
Je regarde les étoiles et me mets à rêver
Rêver d'un chemin vers la liberté
Assise sur ce banc, j'attendais.
Julian F.
Le développement urbain et commerciale
On ne nous montre que la belle face,
Lorsqu'on nous parle des grandes surfaces.
Bon nombre de règles tendent à s'instaurer,
Un but règne, celui de nous faire acheter.
Comme s'ils se souciaient de qui vous êtes !
Tous balayés pareil à de vulgaires miettes.
Peu importe la marchandise vendue,
Tant que l'argent a été obtenue.
Arriva un développement important,
Remplaçant la verdure par des bâtiments,
Le bruit des engins au matin prenant les chemins,
N'annonce rien de bien... une probable fin pour les anciens.
A la suite de cette urbanisation,
Des hommes ont touché le fond.
En effet ce terrible phénomène est bien réel,
Et ne laisse plus d'espace pour le son d'une pelle.
Ainsi le monde évolue, prend de l'âge,
Et laisse de la place au chômage.
On ne nous montre que la belle face,
Lorsqu'on nous parle des grandes surfaces.
mes choix : Le but était de faire un poème sur un lieu urbain, c'est pourquoi j'ai choisi de parler du contraste entre le monde urbain et rural.
Ici, une grande surface se développe avec beaucoup d'ampleur et les populations en subissent les conséquences (chômage: hommes remplacés par des machines, manque de place...).
Dans mon poème, j'ai utilisé de nombreuses figures de styles tel que l'assonnance en "in" ( vers 11-12) qui renvoie à l'onomatopé "hein ?" qui exprime la surprise, le choc que subissent les agriculteurs qui doivent céder leur place et leurs terrains à l'industrie. J'ai fait comme Rimbaud dans son célèbre poème "Roman" , j'ai répété le vers liminaire( vers 1) à la fin, comme une morale qui introduit le poème dans le thème.
On ne nous montre que la belle face,
Lorsqu'on nous parle des grandes surfaces.
Bon nombre de règles tendent à s'instaurer,
Un but règne, celui de nous faire acheter.
Comme s'ils se souciaient de qui vous êtes !
Tous balayés pareil à de vulgaires miettes.
Peu importe la marchandise vendue,
Tant que l'argent a été obtenue.
Arriva un développement important,
Remplaçant la verdure par des bâtiments,
Le bruit des engins au matin prenant les chemins,
N'annonce rien de bien... une probable fin pour les anciens.
A la suite de cette urbanisation,
Des hommes ont touché le fond.
En effet ce terrible phénomène est bien réel,
Et ne laisse plus d'espace pour le son d'une pelle.
Ainsi le monde évolue, prend de l'âge,
Et laisse de la place au chômage.
On ne nous montre que la belle face,
Lorsqu'on nous parle des grandes surfaces.
mes choix : Le but était de faire un poème sur un lieu urbain, c'est pourquoi j'ai choisi de parler du contraste entre le monde urbain et rural.
Ici, une grande surface se développe avec beaucoup d'ampleur et les populations en subissent les conséquences (chômage: hommes remplacés par des machines, manque de place...).
Dans mon poème, j'ai utilisé de nombreuses figures de styles tel que l'assonnance en "in" ( vers 11-12) qui renvoie à l'onomatopé "hein ?" qui exprime la surprise, le choc que subissent les agriculteurs qui doivent céder leur place et leurs terrains à l'industrie. J'ai fait comme Rimbaud dans son célèbre poème "Roman" , j'ai répété le vers liminaire( vers 1) à la fin, comme une morale qui introduit le poème dans le thème.
Nina G.
I.
Bruits de pas pressants,
Les conversations des gens,
Des moteurs grondants.
II.
Parfum de fumée
Qui voyage sur les pavés
Et court les cités.
III.
Des murs de pierre,
La lumière d'un réverbère,
Un chat de gouttière.
IV.
Chaleur du café
Au creux de mes mains glacées,
Dans les rues gelées.
Bruits de pas pressants,
Les conversations des gens,
Des moteurs grondants.
II.
Parfum de fumée
Qui voyage sur les pavés
Et court les cités.
III.
Des murs de pierre,
La lumière d'un réverbère,
Un chat de gouttière.
IV.
Chaleur du café
Au creux de mes mains glacées,
Dans les rues gelées.
Waël L.
Peau d'humanité
Ecorce de terre
Virtuelle imaginée fantasmée
Foyer de sang, lave en fusion
Paroxysme du désir de l'homme
Et sa forteresse de béton
Ville aux crachoirs irradiés d'énergie
Dans ton séisme clandestins anonyme
Reste le dernier
De celui ou celle qui cherche l'incandescence du genre humain.
Ecorce de terre
Virtuelle imaginée fantasmée
Foyer de sang, lave en fusion
Paroxysme du désir de l'homme
Et sa forteresse de béton
Ville aux crachoirs irradiés d'énergie
Dans ton séisme clandestins anonyme
Reste le dernier
De celui ou celle qui cherche l'incandescence du genre humain.
Loan O.
La tête carré, gardée haute,
La tête haute, gardée carrée,
Garder la tête haute carrément,
Ôté la tête, carré gardé,
En tête de gardé le carré,
Comment carrément garder la tête,
Une tête gardée hautement carré.
Explications :
-Il s’agit d’un poème sur la Tête carrée, à Nice.
-J’ai choisi pour forme un poème carré. C’est un poème dans lequel il faut choisir 4 mots puis les disposer en carré et suivre le périmètre et les diagonales pour composer les phrases.
-Ainsi, la frome du poème et en elle-même une description du lieu, « carré ».
(- certains mots peuvent être modifiés, tout en gardant leur sonorité : haut ôté ; carré carrément)
-Ponctuation simple, très « carré ».
-J’explique chaque vers de la façon suivante :
1. « en hauteur » (30 mètre de haut)
2. Le défi d’avoir laissé carré cette tète.
3. C’est maintenant une fierté.
4. Mais il n’y a plus de visage (la tête), plus qu’un carré.
5. On n’a pas voulu toucher à ce carré, malgré que ce soit une tête.
6. « Comment ne pas perdre la tête » (jeu de mots)
7. Les architectes ont longtemps essayé de faire des traits précis et fin lorsqu’il faisait un visage, ici c’est l’inverse.
La tête haute, gardée carrée,
Garder la tête haute carrément,
Ôté la tête, carré gardé,
En tête de gardé le carré,
Comment carrément garder la tête,
Une tête gardée hautement carré.
Explications :
-Il s’agit d’un poème sur la Tête carrée, à Nice.
-J’ai choisi pour forme un poème carré. C’est un poème dans lequel il faut choisir 4 mots puis les disposer en carré et suivre le périmètre et les diagonales pour composer les phrases.
-Ainsi, la frome du poème et en elle-même une description du lieu, « carré ».
(- certains mots peuvent être modifiés, tout en gardant leur sonorité : haut ôté ; carré carrément)
-Ponctuation simple, très « carré ».
-J’explique chaque vers de la façon suivante :
1. « en hauteur » (30 mètre de haut)
2. Le défi d’avoir laissé carré cette tète.
3. C’est maintenant une fierté.
4. Mais il n’y a plus de visage (la tête), plus qu’un carré.
5. On n’a pas voulu toucher à ce carré, malgré que ce soit une tête.
6. « Comment ne pas perdre la tête » (jeu de mots)
7. Les architectes ont longtemps essayé de faire des traits précis et fin lorsqu’il faisait un visage, ici c’est l’inverse.
Lucas P.
Pam Pa Nam
Sur une île sans mer, aux vagues sèches et grises,
Quand le monstre s'assombrit, que les sourires diminuent,
Au bord des quais de Seine, sous certaines emprises,
Marrée d'ombre sur la ville, je plonge dans l'urbain de minuit.
Mais de la lumière l'obscurité est le berceau,
Et de la pénombre fait jaillir un faisceau.
Sous le réverbère, les fraîcheurs sont admirables,
Magistral au mois de juin, la joie devient capitale.
Lorsque le jour se désagrège,
Que toute une vie est déjà brève,
Je voudrais exister le temps d'une nuit :
Devenir une Lumière de la ville.
Pam pam pa dam
Pam Paname.
Sur une île sans mer, aux vagues sèches et grises,
Quand le monstre s'assombrit, que les sourires diminuent,
Au bord des quais de Seine, sous certaines emprises,
Marrée d'ombre sur la ville, je plonge dans l'urbain de minuit.
Mais de la lumière l'obscurité est le berceau,
Et de la pénombre fait jaillir un faisceau.
Sous le réverbère, les fraîcheurs sont admirables,
Magistral au mois de juin, la joie devient capitale.
Lorsque le jour se désagrège,
Que toute une vie est déjà brève,
Je voudrais exister le temps d'une nuit :
Devenir une Lumière de la ville.
Pam pam pa dam
Pam Paname.
Anaïs P.
Cadence
Sous une pluie de pétales printaniers,
Portés par un souffle léger ;
Le portique fraîchement installé était le bonheur et la joie de l'enfant échevelée.
Ses rires s'unissaient au doux parfum floral ;
Bouquet garni de douceur et d'insouciance idéales.
Sous le ciel d'un bleu pur,
Où flottent des odeurs de fruits mûrs
Et des rires à gorge déployée,
La nacelle suspendue est oubliée.
Ce n'est que lorsque le jour vacille
Que la balançoire est un refuge,
Son grincement apaise la jeune fille,
En écho de son âme que l'on purge.
Sous le soleil voilé
De la Côte d'Azur, les sons paraîtront étouffés.
La dame fatiguée poussera l’escarpolette dont les sons ne sont plus timides
Et de la couleur des feuilles tapissant le sol humide,
Ses enfants seront sa relève, dans les airs, ils surplomberont les murs de Masséna.
Leur joie sera son unique bonheur, un nouveau jour se lèvera.
Sous une pluie de pétales printaniers,
Portés par un souffle léger ;
Le portique fraîchement installé était le bonheur et la joie de l'enfant échevelée.
Ses rires s'unissaient au doux parfum floral ;
Bouquet garni de douceur et d'insouciance idéales.
Sous le ciel d'un bleu pur,
Où flottent des odeurs de fruits mûrs
Et des rires à gorge déployée,
La nacelle suspendue est oubliée.
Ce n'est que lorsque le jour vacille
Que la balançoire est un refuge,
Son grincement apaise la jeune fille,
En écho de son âme que l'on purge.
Sous le soleil voilé
De la Côte d'Azur, les sons paraîtront étouffés.
La dame fatiguée poussera l’escarpolette dont les sons ne sont plus timides
Et de la couleur des feuilles tapissant le sol humide,
Ses enfants seront sa relève, dans les airs, ils surplomberont les murs de Masséna.
Leur joie sera son unique bonheur, un nouveau jour se lèvera.
Salomé S.
Colombes.
J'oublie, je me souviens : je me perds, je me rappelle,
Mes souvenirs sont grands tout en étant petit ,
Cette ville est si douce et tellement meurtri
Je ressens de la haine, mais elle est si belle.
Et dans mon souvenir, je pleure il m'en pousses des ailes
Et en une pensée, tout devient un oubli
Ma mémoire s'estompe, et mon souvenirs sera gris
Et dans mon souvenir, je ris, je m'envole telle l'hirondelle
Ainsi Colombes restera dans le blizzard
Et quand je pense me rappeler
Je vois bien que les pièces du puzzle sont noir
Puis, quand le puzzle prend fin
Être sur de cette ville de mon enfance
Je me rappelle seulement de ce qui m'offense.
Explication des choix :
Thématique : Le thème est la ville de Colombes. C'est une ville de banlieu Parisienne dans le 92. C'est la ville où j'ai grandi. C'est une ville qui a énormement d'importance pour moi, et qui m'inspire. J'y ai appris beaucoup. J'ai vu beaucoup de chose. J'y ai grandi jusqu'à mes 9 ans. C'était la ville de tous mes repères. Et cette année j'y suis retourné , et je me suis rendu compte, que cette ville a beaucoup changé, que tout a changé, que mes souvenirs sont a présent devenus flou, et que je n'ai plus que des flashs. C'est quelque chose qui m'a touché, j'ai eu un sentiment d'oubli de mon enfance, et cela m'a fait plus ou moins mal, j'ai donc décidé d'écrire à ce propos.
Stylistique : Je n'ai pas vraiment de raison d'avoir choisis ce style, il m'est venu simplement le besoin d'écrire de cette façon. C'était comme une évidence. Les mots sont venus seuls, le rythme c'est installé, et l'envie d'écrire c'est fait.
J'oublie, je me souviens : je me perds, je me rappelle,
Mes souvenirs sont grands tout en étant petit ,
Cette ville est si douce et tellement meurtri
Je ressens de la haine, mais elle est si belle.
Et dans mon souvenir, je pleure il m'en pousses des ailes
Et en une pensée, tout devient un oubli
Ma mémoire s'estompe, et mon souvenirs sera gris
Et dans mon souvenir, je ris, je m'envole telle l'hirondelle
Ainsi Colombes restera dans le blizzard
Et quand je pense me rappeler
Je vois bien que les pièces du puzzle sont noir
Puis, quand le puzzle prend fin
Être sur de cette ville de mon enfance
Je me rappelle seulement de ce qui m'offense.
Explication des choix :
Thématique : Le thème est la ville de Colombes. C'est une ville de banlieu Parisienne dans le 92. C'est la ville où j'ai grandi. C'est une ville qui a énormement d'importance pour moi, et qui m'inspire. J'y ai appris beaucoup. J'ai vu beaucoup de chose. J'y ai grandi jusqu'à mes 9 ans. C'était la ville de tous mes repères. Et cette année j'y suis retourné , et je me suis rendu compte, que cette ville a beaucoup changé, que tout a changé, que mes souvenirs sont a présent devenus flou, et que je n'ai plus que des flashs. C'est quelque chose qui m'a touché, j'ai eu un sentiment d'oubli de mon enfance, et cela m'a fait plus ou moins mal, j'ai donc décidé d'écrire à ce propos.
Stylistique : Je n'ai pas vraiment de raison d'avoir choisis ce style, il m'est venu simplement le besoin d'écrire de cette façon. C'était comme une évidence. Les mots sont venus seuls, le rythme c'est installé, et l'envie d'écrire c'est fait.
Laurent T.
Depuis longtemps
Pour les petits et les grands
Années de passion
De d'exposition
Où la culture
Rime avec littérature
Où les contes
À Contes
Se racontent
Où la lecture
Rime avec aventures
Où la poésie
Se mêle à la fantaisie
Où le bonheur est à l'horreur
Le pire des ennemis.
Pour les petits et les grands
Années de passion
De d'exposition
Où la culture
Rime avec littérature
Où les contes
À Contes
Se racontent
Où la lecture
Rime avec aventures
Où la poésie
Se mêle à la fantaisie
Où le bonheur est à l'horreur
Le pire des ennemis.
Yanis T.
Nuit étoilée, Gare St-Roch
Une douce nuit étoilée, Gare St-Roch
Quai A, Quai B, pourquoi ? Qu'importe…
La lumière fuit, et s'engouffre, de tous les côtés
Elle est triste cette gare, elle est désaffectée
L'absolu silence, est par la voix brisée…
La voix de cette dame de la SNCF
Elle s'acharne, toute seule, à crier, répéter
Son maussade message, sur l'écran affiché…
Alors, elle se tait, et continu le balais
De cette lumière qui fuit, qui semble m'abandonner
Les rails de fers, ou d'acier, continuent à pleurer
Ils crient, leur agonie, par le vent caressé…
Les bancs, sombres et austères, semblent me regarder
Ils murmurent, ils chuchotent, leurs chants désespéré…
Les Etoiles du Ciel, se cachent, quant-à elle
Un épais voile sombre, tente, leur patiente éternelle…
Elles fuient, et se cachent, derrière la montagne noire
Et jaunissent d'effroi, elles ne peuvent plus y voir…
Autrefois, leur beauté, avec la ville s'accordait
Aujourd'hui, changé, la ville, les remit à jamais…
Maintenant, elle ne font que, se détester…
Alors, l'une reproche à l'autre, et l'autre reproche à l'une
Son absurde… existence…
Justifions maintenant mes différents choix. Tout d'abord le Poème peut se lire de deux façons, et en deux temps.
La première est la plus évidente, le lire d'une traite. Puis, la seconde est de le lire en sautant une ligne à chaque fois (inspiré des lettres apocryphes entre A. de Musset et G. Sand), en commençant par la première ligne, sautant la seconde (etc…), lire en entier la troisième strophe, ainsi que la dernière. Alors, on découvre qu'il se tient à lui tout seul. Les vers sautés, sont enfait les vers de quelqu'un d'autre, une autre personne qui parle et complète le poème, qui est-elle ? Cette personne c'est l'ennui qui est assit à côté de moi. En effet, tout au long du poème je décrit ce que je vois, ce que j'entends, ce que je perçois, et je suis seul. Le poème est alors un dialogue avec moi même, enfin pas vraiment un dialogue, les vers "sautés", sont des réponses, des répliques, aux questions sous-entendues des vers, mais une réponse déplaisante, qui n'apporte rien, insupporte presque. Si bien, que je multiplie les points de suspensions (nous y reviendrons). Je pense que nous connaissons tous quelqu'un qui parle pour ne rien dire, ou plutôt que son intervention est inutile, mais qui s'inscrit tout de même dans la conversation, ici c'est le cas. Une conversation avec moi même, ou l'ennui, ou cette personne désagréable, qui est là sans l'être, qui m'importune mais que j'ignore. Une fois cette "deuxième voix" du poème présenté, nous pouvons rentré plus dans le détail.
#Les vers libres
J'ai choisis les vers libres, car c'est un monologue (enfin, une conversation) et que la limite des mots ou syllabes ne s'y applique pas. De plus, "Nuit étoilée, Gare St-Roch", à mes jeunes 15ans, l'on se doute bien que les nuits passés dehors ne sont pas plébiscitées (et même prohibées), elles deviennent donc synonyme de liberté, à l'image des vers choisis. Ensuite, j'évoque les Etoiles, leur étouffement, la lumière qui fuit, le vent sifflant, tous ces symboles de liberté, à travers les vers libres, je leur attribut une dimension libre supplémentaire (et emprisonné par la ville).
#Les rimes
J'ai choisis des rimes simples comme je vous l'avez évoqué (pour rester académique), elles se suivent souvent, et parfois un intrus vient brisé la ligne : "La voix de cette dame de la SNCF"(v.7). Cet intrus casse la linéarité des rimes, et c'est la seule nécessitant un mouvement des lèvres, de plus sur cet acronyme, le rythme est ralentit. C'est un petit pic à cette entreprise publique (…), d'abords pour les quelques dommages qu'elle nous fit subirent cette année là, mais aussi car c'est là, le lieu de vie du poème. Sans eux il ne serait pas né, et pourtant il s'en serait bien passé, alors un petit hommage non dénudé de sarcasmes était de mise. Mais à la différence des deux derniers vers, celui ci casse réellement l'ambiance, l'univers quasi magique crée, en relation avec "Gare St-Roch" du titre, c'est deux 'entité' sont réelles, et donc dans mon poème sont moches, et brisent le beau, la magie.
#Le titre
Parlons maintenant du titre, un petit clein d'oeil à "Nuit sans date, Rue Saint-Jacques", et à son image on a une indication temporelle presque inéxistence, et un lieu bien précis, et comme évoqué plus haut il brise le beau. "Nuit étoilée" et "Gare St-Roch" , deux groupe de mots qui s'oppose, la magie et la beauté d'une nuit étoilée, et la réalité industrielle, quotidienne et moche d'une gare (d'autant plus celle-ci de par son histoire industrielle à Nice). Pourtant, ils trouvent l'harmonie, grâce à la virgule. Les majuscules (autre que celle du début), sont misent à 'Gare', 'St', et 'Roch', car se sont trois 'entités'.En effet, elles forment trois entités indéfectible l'une de l'autre, amplifiant cet effet de moche et amplifiant le contraste.
#La magie et le réel
Comme déjà évoqué, la magie (belle) et le réel (moche) cohabitent tout deux dans le poème. Pourtant, la magie du poème et du lieu émane directement de ces objets, comme bien démontré dans la quatrième strophe. Mais à travers les mots, la magie décrite est triste, moche, et démontre de la compassion. A contrario, celle émanant de 'belles entités' comme la lumière ou les étoiles, inspire du chagrin, une compassion et de la curiosité. J'ai donc attaché la 'belle magie' aux belles entités, et l'inverse à l'inverse. Mais la magie est aussi dans l'image: "la lumière fuit et s'engouffre de tous les côtés"(v.3) comprenez un pâle lampadaire qui émet une lumière jaune fuyante qui s'engouffre dans l'ombre et cours jusqu'à se perdre dans le noir où s'engouffrent également les rails (vous savez, quand on se place sur des rails, la nuit, que l'on les regarde sortir du noir le plus total). Comprenez-y aussi, l'une de seul entités belle, appé par les ombres, qui fuit désespérément. On notera aussi "De cette lumière qui fuit, qui semble m'abandonner"(v.12) cette entité belle qui fuit le réel : moi. Car j'appartiens au réel et viens donc aussi brisé la magie et la beauté, pourtant, c'est bien moi qui l'ai crée à travers mes mots et mes sens. Alors on voit, la magie naitre du beaux et du moche, le fuir et me fuir, et l'on a alors de tous côtés et de toutes parts de quoi voir et déceler du beau et du laid, de la magie et du réel. De plus le poème regorge d'attributs 'magiques' comme : "Les Etoiles du Ciel, se cachent, quant-à elle Un épais voile sombre, tente, leur patiente éternelle…"(v.19-20).
#Le sarcasme et la désolation
Comme vous avez pu le lire, je décris cette seconde voix, comme quelqu'un de désagréable, et vais même jusqu'à dire que l'on connait tous une de ces personnes, là est le début du sarcasme.Tout au long du poème j'use du sarcasme, tantôt en intervenant dés la première réplique de la seconde voix : "Quai A, Quai B,"(v.2) les espaces qui suivent annoncent mon intervention avec "pourquoi ? Qu'importe…"(v.2), j'utilise non pas ici le sarcasme, mais plutôt un sentiment de lassitude, d'incompréhension de ce "Quai A, Quai B" (imaginez à l'oral), mais cela annonce déjà le ton employé. Tantôt pour donné une dimension de mépris de l'autre : "Son absurde… existence..."(dernier vers), ici j'exprime tout le mépris qu'entretiennent la ville et les Etoiles, les points de suspensions traduisent d'abords une hésitation, mais une hésitation pour savoir si la phrase mérite une fin, ou alors, l'on cherche un mot asser puissant pour exprimer ce mépris, mais également un soupir de lassitude, de mépris, de désoeuvrance. Et à travers "existence", on voit bien la dualité entre les deux, mais aussi le profond mépris nous développeront ce vers plus tard. J'ai surtout utilisé le sarcasme pour les entités réelles et moches, comme : "Ils crient, leur agonie, par le vent caressé…"(v.15) Agonie et Caresse s'opposant, les point de suspensions, les virgules récurrentes, les sonorités répétées (ils - leur),(crient-agonie), et vient encore l'intrus avec "caressé" qui est associé au vent (entité belle), créant de nouveaux un contraste et une opposition, tous dans cette phrase est moquerie et sarcasme, et le comble, c'est que c'est la deuxième voix qui la prononce. On notera aussi : "Elle s'acharne, toute seule à crier, répéter Son maussade message, sur l'écran affiché…"(v.8-9)là aussi avec la répétition de verbe évoquant justement un cri acharné, qui encadre "toute seule", comme un petit sarcasme qui se glisse s'en avoir été vu. Et bien sur la fin avec "sur l'écran affiché…" renforçant l'inutilité de son intervention, avec les points de suspensions traduisant un soupir, c'est d'ailleurs la deuxième voix qui la prononce, elle se moque de cette voix (celle de la SNCF), alors qu'elle est elle même semblable. Là aussi j'eu utilisé le sarcasme, et tout ceci conduit à la désolation, car tout ceci génère une peine, une tristesse, c'est ce que j'ai ressenti en écrivant, et que j'ai voulu transmettre. Tout ce tableau que je décris, duquel je me moque, et pourtant il est en tout point triste et accablant.
#Acte I et Acte II
Le poème n'est autre que le théâtre de ce que j'eu observé cette nuit là, pourquoi le théâtre ? Car c'est toutes les nuits le même, et toutes les nuits il s'améliore, car chaque nuit la ville grandit, au dépend des étoiles. Dans l'Acte I, je pose le cadre, ou plutôt il m'est offert, mes yeux sont cantonnés à observer cette gare et ses apparâts. Acte II, je lève les yeux, et l'on voit les étoiles. Dans cette acte, on a un réel déroulement avec la strophe 5 (la plus grande d'ailleurs), les Etoiles qui se cachent, et l'épais voile sombre qui les tente, c'est tout simplement la pollution de la ville qui nous empêche en plein Nice de voir ces Etoiles, mais aussi la pollution lumineuses de tous ces lampadaires. Ce voile les tente, car il les narguent, et quelquefois on perçoit des étoiles en plein Nice. "Elles fuient, et se cachent, derrière la montagne noire"(v.21), la Terre tournant elle se cachent naturellement sous la montagne, mais on interprète plus poétiquement, qu'elle se cachent de ce voile, de cette ville et des hommes. "Autrefois, leur beauté, avec la ville s'accordait"(v.23) et "Aujourd'hui, changé, la ville, les remit à jamais…"(v.24) On a ici une ellipse rapide dans le temps, où Nice était une ville ancienne, avec son charme d'antan et où l'on voyait encore les étoiles, puis brutalement l'on retourne à aujourd'hui, où on ne les voit plus, avec l'évolution de la ville. Là aussi les points de suspensions sont un soupir de peine.
#La fin, l'éternelle et triste continuité
La fin du poème n'est pas une fin, elle décrit la situation aujourd'hui, et telle qu'elle sera pendant encore longtemps. "Alors, l'une reproche à l'autre, et l'autre reproche à l'une Son absurde… existence…"(derniers vers) ces vers sont la suite éternelle, qui se répète chaque nuit, et qui expose encore la dualité entre la ville et les Etoiles (notamment dans l'avant dernier vers) mais également le mépris qui les animent l'une l'autre et qu'elle pense toujours l'autre comme fautif (la répétition par inversion -Chiasme je crois-). Les points de suspensions ici, traduisent encore un soupir, mais également cette tristesse qui continuera chaque nuit, cette dualité silencieuse faites d'impressions et intimidation.
A travers ce poème, j'ai voulu simplement décrire un tableau, parmis tant d'autres, mais également apporté de petits détails encore une fois, qui semblent anodins, et qui pourtant apporte une si grande richesse à la réflexion, et à la beauté d'un poème, ou de quelque autre Art de l'esprit. Bien que nous n'ayons vu une partie du poème, le reste est je pense plus propre à l'intime. En effet, j'affectionne le fait que chacun puisse se faire une idée qui lui est propre de ce qui lui est proposé, c'est une interprétation qui fait appel à bon nombre de choses, souvenirs, ou sens qui sont propres à chacun, et je pense que de laissé chacun s'approprié intimement une oeuvre, sans pour autant lui enlever ce qu'elle est.
Une douce nuit étoilée, Gare St-Roch
Quai A, Quai B, pourquoi ? Qu'importe…
La lumière fuit, et s'engouffre, de tous les côtés
Elle est triste cette gare, elle est désaffectée
L'absolu silence, est par la voix brisée…
La voix de cette dame de la SNCF
Elle s'acharne, toute seule, à crier, répéter
Son maussade message, sur l'écran affiché…
Alors, elle se tait, et continu le balais
De cette lumière qui fuit, qui semble m'abandonner
Les rails de fers, ou d'acier, continuent à pleurer
Ils crient, leur agonie, par le vent caressé…
Les bancs, sombres et austères, semblent me regarder
Ils murmurent, ils chuchotent, leurs chants désespéré…
Les Etoiles du Ciel, se cachent, quant-à elle
Un épais voile sombre, tente, leur patiente éternelle…
Elles fuient, et se cachent, derrière la montagne noire
Et jaunissent d'effroi, elles ne peuvent plus y voir…
Autrefois, leur beauté, avec la ville s'accordait
Aujourd'hui, changé, la ville, les remit à jamais…
Maintenant, elle ne font que, se détester…
Alors, l'une reproche à l'autre, et l'autre reproche à l'une
Son absurde… existence…
Justifions maintenant mes différents choix. Tout d'abord le Poème peut se lire de deux façons, et en deux temps.
La première est la plus évidente, le lire d'une traite. Puis, la seconde est de le lire en sautant une ligne à chaque fois (inspiré des lettres apocryphes entre A. de Musset et G. Sand), en commençant par la première ligne, sautant la seconde (etc…), lire en entier la troisième strophe, ainsi que la dernière. Alors, on découvre qu'il se tient à lui tout seul. Les vers sautés, sont enfait les vers de quelqu'un d'autre, une autre personne qui parle et complète le poème, qui est-elle ? Cette personne c'est l'ennui qui est assit à côté de moi. En effet, tout au long du poème je décrit ce que je vois, ce que j'entends, ce que je perçois, et je suis seul. Le poème est alors un dialogue avec moi même, enfin pas vraiment un dialogue, les vers "sautés", sont des réponses, des répliques, aux questions sous-entendues des vers, mais une réponse déplaisante, qui n'apporte rien, insupporte presque. Si bien, que je multiplie les points de suspensions (nous y reviendrons). Je pense que nous connaissons tous quelqu'un qui parle pour ne rien dire, ou plutôt que son intervention est inutile, mais qui s'inscrit tout de même dans la conversation, ici c'est le cas. Une conversation avec moi même, ou l'ennui, ou cette personne désagréable, qui est là sans l'être, qui m'importune mais que j'ignore. Une fois cette "deuxième voix" du poème présenté, nous pouvons rentré plus dans le détail.
#Les vers libres
J'ai choisis les vers libres, car c'est un monologue (enfin, une conversation) et que la limite des mots ou syllabes ne s'y applique pas. De plus, "Nuit étoilée, Gare St-Roch", à mes jeunes 15ans, l'on se doute bien que les nuits passés dehors ne sont pas plébiscitées (et même prohibées), elles deviennent donc synonyme de liberté, à l'image des vers choisis. Ensuite, j'évoque les Etoiles, leur étouffement, la lumière qui fuit, le vent sifflant, tous ces symboles de liberté, à travers les vers libres, je leur attribut une dimension libre supplémentaire (et emprisonné par la ville).
#Les rimes
J'ai choisis des rimes simples comme je vous l'avez évoqué (pour rester académique), elles se suivent souvent, et parfois un intrus vient brisé la ligne : "La voix de cette dame de la SNCF"(v.7). Cet intrus casse la linéarité des rimes, et c'est la seule nécessitant un mouvement des lèvres, de plus sur cet acronyme, le rythme est ralentit. C'est un petit pic à cette entreprise publique (…), d'abords pour les quelques dommages qu'elle nous fit subirent cette année là, mais aussi car c'est là, le lieu de vie du poème. Sans eux il ne serait pas né, et pourtant il s'en serait bien passé, alors un petit hommage non dénudé de sarcasmes était de mise. Mais à la différence des deux derniers vers, celui ci casse réellement l'ambiance, l'univers quasi magique crée, en relation avec "Gare St-Roch" du titre, c'est deux 'entité' sont réelles, et donc dans mon poème sont moches, et brisent le beau, la magie.
#Le titre
Parlons maintenant du titre, un petit clein d'oeil à "Nuit sans date, Rue Saint-Jacques", et à son image on a une indication temporelle presque inéxistence, et un lieu bien précis, et comme évoqué plus haut il brise le beau. "Nuit étoilée" et "Gare St-Roch" , deux groupe de mots qui s'oppose, la magie et la beauté d'une nuit étoilée, et la réalité industrielle, quotidienne et moche d'une gare (d'autant plus celle-ci de par son histoire industrielle à Nice). Pourtant, ils trouvent l'harmonie, grâce à la virgule. Les majuscules (autre que celle du début), sont misent à 'Gare', 'St', et 'Roch', car se sont trois 'entités'.En effet, elles forment trois entités indéfectible l'une de l'autre, amplifiant cet effet de moche et amplifiant le contraste.
#La magie et le réel
Comme déjà évoqué, la magie (belle) et le réel (moche) cohabitent tout deux dans le poème. Pourtant, la magie du poème et du lieu émane directement de ces objets, comme bien démontré dans la quatrième strophe. Mais à travers les mots, la magie décrite est triste, moche, et démontre de la compassion. A contrario, celle émanant de 'belles entités' comme la lumière ou les étoiles, inspire du chagrin, une compassion et de la curiosité. J'ai donc attaché la 'belle magie' aux belles entités, et l'inverse à l'inverse. Mais la magie est aussi dans l'image: "la lumière fuit et s'engouffre de tous les côtés"(v.3) comprenez un pâle lampadaire qui émet une lumière jaune fuyante qui s'engouffre dans l'ombre et cours jusqu'à se perdre dans le noir où s'engouffrent également les rails (vous savez, quand on se place sur des rails, la nuit, que l'on les regarde sortir du noir le plus total). Comprenez-y aussi, l'une de seul entités belle, appé par les ombres, qui fuit désespérément. On notera aussi "De cette lumière qui fuit, qui semble m'abandonner"(v.12) cette entité belle qui fuit le réel : moi. Car j'appartiens au réel et viens donc aussi brisé la magie et la beauté, pourtant, c'est bien moi qui l'ai crée à travers mes mots et mes sens. Alors on voit, la magie naitre du beaux et du moche, le fuir et me fuir, et l'on a alors de tous côtés et de toutes parts de quoi voir et déceler du beau et du laid, de la magie et du réel. De plus le poème regorge d'attributs 'magiques' comme : "Les Etoiles du Ciel, se cachent, quant-à elle Un épais voile sombre, tente, leur patiente éternelle…"(v.19-20).
#Le sarcasme et la désolation
Comme vous avez pu le lire, je décris cette seconde voix, comme quelqu'un de désagréable, et vais même jusqu'à dire que l'on connait tous une de ces personnes, là est le début du sarcasme.Tout au long du poème j'use du sarcasme, tantôt en intervenant dés la première réplique de la seconde voix : "Quai A, Quai B,"(v.2) les espaces qui suivent annoncent mon intervention avec "pourquoi ? Qu'importe…"(v.2), j'utilise non pas ici le sarcasme, mais plutôt un sentiment de lassitude, d'incompréhension de ce "Quai A, Quai B" (imaginez à l'oral), mais cela annonce déjà le ton employé. Tantôt pour donné une dimension de mépris de l'autre : "Son absurde… existence..."(dernier vers), ici j'exprime tout le mépris qu'entretiennent la ville et les Etoiles, les points de suspensions traduisent d'abords une hésitation, mais une hésitation pour savoir si la phrase mérite une fin, ou alors, l'on cherche un mot asser puissant pour exprimer ce mépris, mais également un soupir de lassitude, de mépris, de désoeuvrance. Et à travers "existence", on voit bien la dualité entre les deux, mais aussi le profond mépris nous développeront ce vers plus tard. J'ai surtout utilisé le sarcasme pour les entités réelles et moches, comme : "Ils crient, leur agonie, par le vent caressé…"(v.15) Agonie et Caresse s'opposant, les point de suspensions, les virgules récurrentes, les sonorités répétées (ils - leur),(crient-agonie), et vient encore l'intrus avec "caressé" qui est associé au vent (entité belle), créant de nouveaux un contraste et une opposition, tous dans cette phrase est moquerie et sarcasme, et le comble, c'est que c'est la deuxième voix qui la prononce. On notera aussi : "Elle s'acharne, toute seule à crier, répéter Son maussade message, sur l'écran affiché…"(v.8-9)là aussi avec la répétition de verbe évoquant justement un cri acharné, qui encadre "toute seule", comme un petit sarcasme qui se glisse s'en avoir été vu. Et bien sur la fin avec "sur l'écran affiché…" renforçant l'inutilité de son intervention, avec les points de suspensions traduisant un soupir, c'est d'ailleurs la deuxième voix qui la prononce, elle se moque de cette voix (celle de la SNCF), alors qu'elle est elle même semblable. Là aussi j'eu utilisé le sarcasme, et tout ceci conduit à la désolation, car tout ceci génère une peine, une tristesse, c'est ce que j'ai ressenti en écrivant, et que j'ai voulu transmettre. Tout ce tableau que je décris, duquel je me moque, et pourtant il est en tout point triste et accablant.
#Acte I et Acte II
Le poème n'est autre que le théâtre de ce que j'eu observé cette nuit là, pourquoi le théâtre ? Car c'est toutes les nuits le même, et toutes les nuits il s'améliore, car chaque nuit la ville grandit, au dépend des étoiles. Dans l'Acte I, je pose le cadre, ou plutôt il m'est offert, mes yeux sont cantonnés à observer cette gare et ses apparâts. Acte II, je lève les yeux, et l'on voit les étoiles. Dans cette acte, on a un réel déroulement avec la strophe 5 (la plus grande d'ailleurs), les Etoiles qui se cachent, et l'épais voile sombre qui les tente, c'est tout simplement la pollution de la ville qui nous empêche en plein Nice de voir ces Etoiles, mais aussi la pollution lumineuses de tous ces lampadaires. Ce voile les tente, car il les narguent, et quelquefois on perçoit des étoiles en plein Nice. "Elles fuient, et se cachent, derrière la montagne noire"(v.21), la Terre tournant elle se cachent naturellement sous la montagne, mais on interprète plus poétiquement, qu'elle se cachent de ce voile, de cette ville et des hommes. "Autrefois, leur beauté, avec la ville s'accordait"(v.23) et "Aujourd'hui, changé, la ville, les remit à jamais…"(v.24) On a ici une ellipse rapide dans le temps, où Nice était une ville ancienne, avec son charme d'antan et où l'on voyait encore les étoiles, puis brutalement l'on retourne à aujourd'hui, où on ne les voit plus, avec l'évolution de la ville. Là aussi les points de suspensions sont un soupir de peine.
#La fin, l'éternelle et triste continuité
La fin du poème n'est pas une fin, elle décrit la situation aujourd'hui, et telle qu'elle sera pendant encore longtemps. "Alors, l'une reproche à l'autre, et l'autre reproche à l'une Son absurde… existence…"(derniers vers) ces vers sont la suite éternelle, qui se répète chaque nuit, et qui expose encore la dualité entre la ville et les Etoiles (notamment dans l'avant dernier vers) mais également le mépris qui les animent l'une l'autre et qu'elle pense toujours l'autre comme fautif (la répétition par inversion -Chiasme je crois-). Les points de suspensions ici, traduisent encore un soupir, mais également cette tristesse qui continuera chaque nuit, cette dualité silencieuse faites d'impressions et intimidation.
A travers ce poème, j'ai voulu simplement décrire un tableau, parmis tant d'autres, mais également apporté de petits détails encore une fois, qui semblent anodins, et qui pourtant apporte une si grande richesse à la réflexion, et à la beauté d'un poème, ou de quelque autre Art de l'esprit. Bien que nous n'ayons vu une partie du poème, le reste est je pense plus propre à l'intime. En effet, j'affectionne le fait que chacun puisse se faire une idée qui lui est propre de ce qui lui est proposé, c'est une interprétation qui fait appel à bon nombre de choses, souvenirs, ou sens qui sont propres à chacun, et je pense que de laissé chacun s'approprié intimement une oeuvre, sans pour autant lui enlever ce qu'elle est.
Pierre W.
La promenade des anglais
Au nom l'associant à un et unique pays,
Elle a été longé par des peuples du monde.
Admiré, prise en photo et ramené chez soi,
Le monde l'à dans la tête et ne peut l'en sortir.
Telle une frontière entre la terre et les rivages.
Comme enlaçant une mer azur tranquille.
Elle protège une belle ville des orages
Et mène une guerre permanente pour la ville.
Ayant vu se former de très nombreuses unions,
Revenant après quelques années en famille,
Se remémorant des souvenirs de passion.
Tout au long de ses incalculables kilomètres,
Elle est et restera à jamais pour nous tous
Un lieu de joie où tout le monde est bien heureux.
Au nom l'associant à un et unique pays,
Elle a été longé par des peuples du monde.
Admiré, prise en photo et ramené chez soi,
Le monde l'à dans la tête et ne peut l'en sortir.
Telle une frontière entre la terre et les rivages.
Comme enlaçant une mer azur tranquille.
Elle protège une belle ville des orages
Et mène une guerre permanente pour la ville.
Ayant vu se former de très nombreuses unions,
Revenant après quelques années en famille,
Se remémorant des souvenirs de passion.
Tout au long de ses incalculables kilomètres,
Elle est et restera à jamais pour nous tous
Un lieu de joie où tout le monde est bien heureux.
Saïd Z.
"Avenue J-M"
Toi avenue très éclairé
qui est dans une ville d'été
tu relis le nord au sud
Mais qui donne une solitude
lorsque l'on te traverse
pendant des nuits diverses,
Toi qui te jeté sur la côte
qui pendant l'été contient des yachts
Toi qui te jette sur la promenade
Où nous buvons les limonades
pendant l'été qui nous fait rêver
on préfère qu'il soit interminable
lorsque l'on realise ta beauté infinissable
vous qui êtes à Nice, la promenade des anglais
et l'avenue Jean médecin si touristique
grâce au temps fantastique
grâce au temps fantastique...
Toi avenue très éclairé
qui est dans une ville d'été
tu relis le nord au sud
Mais qui donne une solitude
lorsque l'on te traverse
pendant des nuits diverses,
Toi qui te jeté sur la côte
qui pendant l'été contient des yachts
Toi qui te jette sur la promenade
Où nous buvons les limonades
pendant l'été qui nous fait rêver
on préfère qu'il soit interminable
lorsque l'on realise ta beauté infinissable
vous qui êtes à Nice, la promenade des anglais
et l'avenue Jean médecin si touristique
grâce au temps fantastique
grâce au temps fantastique...