Le personnage de roman, du XVIIè à nos jours
Ecriture d'une micronouvelle
Consignes de l'activité données aux élèves
Vous écrirez une micro-nouvelle. Cette micro-nouvelle comportera entre 6 et 120 mots maximum. Elle s'inspirera d'une des six phrases suivantes tirées de L'Etranger :
– « Aujourd'hui, Maman est morte. » (ch. 1)
– « C'est un frôlement qui m'a réveillé. » (ch. 1)
– « Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. » (ch. 6)
– « Déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. » (ch. 1, 2ème partie)
– « Toute la question était de tuer le temps. » (ch. 2, 2ème partie)
– « Comme si les chemins familiers tracés dans les ciels d'été pouvaient mener aussi bien aux prisons qu'aux sommeils innocents. » (ch. 3, 2ème partie)
Vous accompagnerez votre micro-nouvelle de quelques lignes dans lesquelles vous expliquerez vos choix. Votre travail sera à rendre en .odt par e-mail, le 15 novembre.
Définition de la micronouvelle :
La micronouvelle (parfois aussi appelée microroman) est un récit imaginaire, suggestif, parfois caustique, rédigé en un nombre extrêmement restreint de mots. C'est la forme la plus concise de récit littéraire prosaïque, parfois proche du poème par le rythme qu'il imprime.
La rédaction d'une micronouvelle est un art qui dispose de ses caractéristiques propres,
totalement diférentes de celles qui régissent la rédaction d'une nouvelle et même d'une nouvelle brève. En efet, dans une micronouvelle, l'histoire et les personnages, imaginaires, contrairement à d'autres formes de fragments, sont suggérés ou simplement croqués d'un trait plutôt que décrits. Parfois proche de l'aphorisme, souvent incisive, la micronouvelle aime jouer sur les mots, détourner les expressions courantes et faire appel à la culture générale du lecteur. Elle est particulièrement bien adaptée à l'humour noir.
La micronouvelle guide l'imagination du lecteur de façon à ce qu'il puisse lui-même retrouver les diférents composants du récit.
Le terme micronouvelle est parfois employé, dans un sens large, comme synonyme de nouvelle brève, ce qui peut être source de confusion. Dans ce cas, il désigne un texte qui revêt les caractéristiques de la nouvelle et non pas celles qui lui sont propres et qui sont évoquées ci-dessus. L'auteur Jacques Fuentealba relève, entre autres, trois formes de micronouvelles : le Hemingway (6 mots), le Fénéon (3 phrases ou lignes maximum) et le Pépin (300 signes maximum avec le titre). L'écrivain canadien Laurent Berthiaume élargit la micronouvelle à une centaine de mots maximum.
Source : Wikipédia, octobre 2013.
Vous écrirez une micro-nouvelle. Cette micro-nouvelle comportera entre 6 et 120 mots maximum. Elle s'inspirera d'une des six phrases suivantes tirées de L'Etranger :
– « Aujourd'hui, Maman est morte. » (ch. 1)
– « C'est un frôlement qui m'a réveillé. » (ch. 1)
– « Et c'était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. » (ch. 6)
– « Déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. » (ch. 1, 2ème partie)
– « Toute la question était de tuer le temps. » (ch. 2, 2ème partie)
– « Comme si les chemins familiers tracés dans les ciels d'été pouvaient mener aussi bien aux prisons qu'aux sommeils innocents. » (ch. 3, 2ème partie)
Vous accompagnerez votre micro-nouvelle de quelques lignes dans lesquelles vous expliquerez vos choix. Votre travail sera à rendre en .odt par e-mail, le 15 novembre.
Définition de la micronouvelle :
La micronouvelle (parfois aussi appelée microroman) est un récit imaginaire, suggestif, parfois caustique, rédigé en un nombre extrêmement restreint de mots. C'est la forme la plus concise de récit littéraire prosaïque, parfois proche du poème par le rythme qu'il imprime.
La rédaction d'une micronouvelle est un art qui dispose de ses caractéristiques propres,
totalement diférentes de celles qui régissent la rédaction d'une nouvelle et même d'une nouvelle brève. En efet, dans une micronouvelle, l'histoire et les personnages, imaginaires, contrairement à d'autres formes de fragments, sont suggérés ou simplement croqués d'un trait plutôt que décrits. Parfois proche de l'aphorisme, souvent incisive, la micronouvelle aime jouer sur les mots, détourner les expressions courantes et faire appel à la culture générale du lecteur. Elle est particulièrement bien adaptée à l'humour noir.
La micronouvelle guide l'imagination du lecteur de façon à ce qu'il puisse lui-même retrouver les diférents composants du récit.
Le terme micronouvelle est parfois employé, dans un sens large, comme synonyme de nouvelle brève, ce qui peut être source de confusion. Dans ce cas, il désigne un texte qui revêt les caractéristiques de la nouvelle et non pas celles qui lui sont propres et qui sont évoquées ci-dessus. L'auteur Jacques Fuentealba relève, entre autres, trois formes de micronouvelles : le Hemingway (6 mots), le Fénéon (3 phrases ou lignes maximum) et le Pépin (300 signes maximum avec le titre). L'écrivain canadien Laurent Berthiaume élargit la micronouvelle à une centaine de mots maximum.
Source : Wikipédia, octobre 2013.
Créations des élèves
Les textes des élèves n'ont pas été modifiés par le professeur.
A. Marwa
C'est un miaulement qui la réveillé, assis sur le maître le chat le regardait de ses yeux de vicieux. Un jour je l'aurais se dit le chien.
J'ai choisis « C'est un frôlement qui ma reveillé » car c'est cette phrase qui m'inspirais le plus pour cette micro-nouvelle, malgré quelques modifications de ma part j'ai gardé le principe du réveil forcé. J'ai choisis le thème des animaux parce que j'adore les faire parler ou penser comme des êtres humain (donc les personnifiés comme je crois avoir fait ici).
A. Maxime
Aujourd'hui, mon père est rentré. Le Sourire aux lèvres. Il brandit la récompense de sa victoire qu'il avait gagné, avec énormément de difficultés. Il était entouré de français portant fièrement les couleurs de leur pays. Ce jour fut un jour heureux, avec un plaisir partagé. Ce jour marquait une nouvelle vie, un enthousiasme des gens autour de lui et de chacun de ses passages...
J'ai choisi la phrase "Aujourd'hui, maman est morte" car c'est une phrase très connu dans la littérature française. Cette phrase est l'incipit de ce livre, elle l'introduit et donc elle est très important. Mais en plus, c'est une phrase touchante, pour une personne normal, qui ressent des sentiments, le contraire du héros de ce livre.
B. Chloé
« Les issues de secours sont situées à l'avant, au milieu et à l'arrière de l'appareil. » Je commençais à m'endormir avant même que l'hôtesse de l'air n'eut fini sa chorégraphie. Il aurait été logique que les violentes turbulences me réveillent, mais il faut croire que seule l'odeur des pains aux chocolat n'en avait le pouvoir. C'est donc ce frôlement contre mes narines qui me réveilla.
J'ai choisi ce thème car il représente tous mes week-end de cette année. En effet, je prends l'avion seule pour une compétition sportive. J'ai donc décidé de raconter une de mes anecdotes dans ce devoir.
En utilisant le terme « chorégraphie » je compare l’hôtesse de l'air à une danseuse qui répète les mêmes gestes à chaque spectacle (d'où la première phrase mise entre guillemets). La dernière phrase est issue de l'Etranger « C'est un frôlement qu m'a réveillé » (chap1). Grâce à cette phrase, je personnalise l'odeur des pains au chocolat qui « frôle mes narines ». J'insiste sur la force des turbulences avec « violentes turbulences » pour amplifier l'effet de celles ci qui pourtant n'en ont pas eu sur moi.
B. Aymeric
Très tôt le matin, j'attends le bus. M'écoutant inspirer et expirer, regardant la buée sortir de ma bouche... Le temps est passé je le vois arriver j'ai enfin trouvé comment tuer le temps.
Inspiré de: "Toute la question était de tuer le temps."
C. Marion
Ma liberté était accrochée aux barreaux, elle me narguait de toutes ses forces.
Pour cette micro-nouvelle je me suis inspirée de la phrase « Déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. ». Même si Meursault parle de Marie à cet instant précis, je me suis demandée ce qui me manquerait le plus si j'étais à sa place et j'en suis arrivée à cette conclusion : ma liberté.
C. Lorenzo
Aujourd'hui maman est morte , nous sommes allés à la cérémonie au cimetière . Tout le monde avait l'air triste , tout le monde pleuraient comme si ils se sentaient obligés . Une fois le discours du prêtre fini chaque personne est repartie sans dire un mot
C. Annabelle
C’est un frôlement qui m’a réveillé. Un mal de tête assommant et une douleur dans le bras gauche. Impossible de me rappeler ce qui s’était passé, une soirée un peu trop arrosé ? Non je ne bois jamais. En relevant la tête, je pouvais apercevoir les gens me regarder, et me juger. Une fois mes esprits retrouvés, j’ai fouillé mes poches en y trouvant un mot : « j’en avais vraiment besoin, désolé pour votre bras. » Avec une incompréhension totale, je regarde sur mon portable, aujourd’hui, on est samedi. Puis je me suis rappelé d’une chose. Hier, c’était vendredi, et tous les vendredis, je joue à la loterie. J’ai vite compris qui avait le ticket gagnant.
J’ai choisi cette phrase d’approche parce qu’elle est très vague, elle permettait de pouvoir laisser libre cour a mon imagination. Cette phrase peut parler de presque tout, un trou de mémoire dans mon cas. Je n’ai pas essayé de faire de figures de style, de procédés ou autres. Pour moi si je réfléchi à tout ça en écrivant, ça bloque mon imagination. Mais je me suis aperçue que j’avais fait une question rhétorique, mon personnage pose une question à laquelle personne ne peut répondre. Que j’ai utilisé l’atemporalité avec les mots « aujourd’hui » ; « hier » ; « vendredi » et « samedi ». Cela pourrait se passer n’importe quel samedi. Et que j’ai fait une répétition du mot « vendredi » qui donne un effet d’insistance avec « tous les vendredis ».
D. Tiffany
Aujourd'hui, pour moi, le temps est gris, dans cette boîte foncé aussi grande que toi, ces gens vêtus de noir, ces fleurs blanches posaient sur du marbre. C'est une mise en scène parfaite. Dommage chère maman, que tu sois loin pour ne pas voir ça.
Dans cette scène les couleurs qui sont le plus présentes sont les couleurs foncées.
Le noir représente le deuil des personnes pour celle qui est décédée.
« le temps est gris » ; « boîte foncée » ; « vêtus de noir » montrent le froid de la scène, qu'elle est triste.
Le marbre est une pierre très froide mais vivante.
Grâce aux fleurs blanches qui montrent l'éternité et « chère maman », on voit que son enfant a de l'amour et l'affection pour sa mère, parce que « maman » est intime comparé à « mère »
«mise en scène » démontre que l'enterrement est une préparation qui est longue et parfois douloureuse pour l'entourage.
Cette scène est triste et émouvante.
F. Lucas
Aujourd'hui , Maman est morte . La dernière fois que je l'ai vu , c'est quand j'ai vu mon père pour la première fois .
J'ai choisi cette phrase , parce que je voulais écrire un micro nouvelle plutôt courte et assez marquante . Pour cela , j'ai utilisé une antithèse entre « première » et « dernière » , une aussi entre « Maman » et « papa ».
J'ai aussi voulu créer une sorte d'opposition entre la mère et le père avec le « M » majuscule de « Maman » comme une marque affective et le « papa » sans majuscule pour montrer une appellation commune , ou dans ce cas la , parce qu'il était inconnu.
G. Ondaline
Mon petit nid douillet n'est pas grand mais c'est confortable et chaleureux.
Il n'y a pas beaucoup de choses à faire et le temps est long. Cependant, parfois il y a une grande effervescence, ça fait peur.
Tous les soirs, quand je dors, une voix me dit des mots d'amour...
Aujourd'hui l'agitation est à son apogée ! Mon cœur bat très vite ! Je descends... On crie, je suis compressé, tout se bouscule. Je suis ébloui, je ferme les yeux. Impossible de respirer; mes poumons brûlent !
D'un coup, tout s'est calmé... La voix de mes rêves m'a dit : « bienvenue au monde mon bébé, ton papa et moi étions impatients ... »
« toute la question était de tuer le temps. »( chapitre 2, 2ème partie)
J'ai choisi de faire mon travail autour de cette phrase car quand je l'ai lu je me suis demandée ce qu'on pouvait bien attendre, j'ai directement pensé au fait d'attendre un enfant. Pour accentuer l'effet d'inquiétude et de panique, j'ai utilisé des phrases exclamative. Les énumérations permettent de montrer la vitesse de l'enchaînement des événements.
H. Nicolas
Toc Toc Toc Toc
«Entrez!» Dit le professeur de Mathématiques.
Et c'était comme quatre coups bref que je frappais sur la porte du malheur.
Ma Micro Nouvelle fait référence tout simplement à ma phobie des Mathématiques...
K. Anaïs
La nuit dernière, c'est un frôlement qui m'a réveillé. Je n'arrivais pas à savoir si c'était une sensation ou une illusion, mais une chose est sure, ce n'était pas la première fois que je ressentais ça. Cela dure depuis que Nicole est morte. Toutes les nuits, je me réveille et j'ai l'impression qu'elle est là, en face de moi. Je sens sa présence. Je n'arrive plus à dormir, il faut que ça cesse.
L. Vincent
Ce matin, je ne me sentais pas bien, comme si quelque chose allait se passer, comme un pressentiment, je ne me doutais de rien, mais je savais que ma vie allait changer, jusqu'à ce moment d’égarement et d'affolement, mon arme, que je tenais dans mes mains moites de peur, brisa un silence horrible qu'aucun sage ne pourrait supporter, quatre coups assourdissants vinrent se déposer sur le crane du voleur, un long silence suivit l'acte désormais irréparable, pendant cet instant, j'eu le souffle couper, le vent glacial venait frapper sur ma peau, peu après j'ai repenser a ce matin et ce mal être qui m'habiter, ces quatre coup de revolver ont signé mon arrêt de mort.
« Et c'était comme quatre coups bref que je frappais sur la porte du malheur » : je me suis inspiré de cette phrase de L'Etranger car je trouve cette phrase très expressive et très claire, j'aime beaucoup la figure de style employer dans la phrase. Il a beaucoup de sentiments a décrire a travers cette phrase et donc a retranscrire a travers cette micro-nouvelle, j'ai essayer de réutilisé atmosphère particulier que dégage cette phrase.
L. Yanis
Aujourd’hui, cela fait déjà quatre ans que je suis incarcéré pour vol à main armée dans le centre de détention de Roanne dans la Loire.
Ce jour n’était pas comme les autres. J’allais enfin revoir ma femme avec qui j’étais en froid après mon incarcération et qui n’a voulu me revoir jusqu’à ce jour. Quatorze Heures passées, c’est l’heure des visites. Un garde m’appel, je dois me rendre dans la cours où se déroule les visites. La voilà enfin, déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. Accompagnée d’une petite fille, une phrase :
-Cette fille est ta fille.
Le mot «grille» m’a renvoyé l’image d’une grille de prison (grillage) d’où le thème de ma micro nouvelle.
Dans la phrase «déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces», le terme ‘déjà’ collée’ ma fait penser à l’impatience d’une attente (lors d’une visite d’un proche en prison) et le terme ‘elle me souriait de toute ses forces’ m’a fait penser à l’empressement d’annoncer une nouvelle à fort impact (le sourire essayant d’atténuer la situation).
J’ai donc décidé d’intégrer un homme incarcéré (pour intégrer le récit dans une prison), une femme (pour annoncer la nouvelle à fort impact) et la fille qui est l’objet de l’impact (-Cette fille est ta fille.).
L. Alice
J'étais au milieu de l'eau, entourée de dauphins, de poissons multicolores. Moi seule au milieu de rien. Le bonheur du son de l'océan. Le soleil étincelant d'été sur ma peau me réchauffait. C'était l'évasion totale. Et d'un coup, une peur telle un requin autour de petits poissons, me pris. Une voix sortie d'un film d'horreur me surpris. C'était ma mère qui me réveilla en me fredonnant dans l'oreille: il est 7 heures réveille-toi dans une demi heure on part.
Je me suis inspirée de la phrase «c'est un frôlement qui m'a réveillé». J'ai eu l'idée d'écrire comme si le personnage faisait un rêve qui est incroyable, un rêve dans le vrai sens du terme. Le personnage est dans l'immersion totale qui est exprimé avec des notions d'épanouissement. Puis le personnage passe du rêve au cauchemars en quelque instant. On ne sait plus différencier la réalité de l'illusion («un requin au milieu de petits poissons» pour exprimer la peur j'ai voulu rester dans le contexte de la mer alors que la peur ne vient pas du rêve donc le personnage ne sait pas trop d’où vient la peur si c'est réel ou si c'est faux). Pour ensuite revenir dans la réalité, être réveillé par la voix de sa mère. Cela passe du rêve à l'horreur ( «une voix sortie d'un film d'horreur»), car de mon point de vu personne n'aime être réveillé pendant un rêve ou simplement être réveillé. Le frôlement est la voix de la mère qui réveille mais la voix peu être calme, l'horreur est simplement d'entendre quelqu'un qui réveille. Comme si c'était un dérangement qui coupa le bonheur d'un rêve à la réalité qui reprend tous les jours. J'ai employé la première personne du singulier car je pourrai m'identifier dans le personnage de faire un rêve sublimement incroyable, irréalisable mais que quand je suis en immersion je pourrai le croire puis que d'un coup tout s’arrête car c'est le matin et que ma mère me réveille et que je comprend que ce n'était qu'un rêve.
L. Pauline
On se ressemble tellement dessus : les même cheveux avec un petit nez fin. Vraiment la chair de sa chair ! Et posé sur ses genoux sa brosse à cheveux, elle n'en avait plus besoin depuis longtemps à cause de cette chose en elle qui grossissait et me l'arrachait... Et puis ce jour tant redouté pour moi est arrivé. Elle m'a légué cette fameuse brosse a cheveux.
J'ai choisi d’écrire cette micro nouvelle avec la phrase « Aujourd'hui maman est morte » car c'est celle qui m’inspirais le plus. J'ai pris le thème du cancer car c est une cause qui me tient a cœur et qui peut toucher tout le monde sans exception. J'ai utilisé principalement la description pour raconter l'histoire et faire comprendre le sens caché.
M. Xavier
Tous les matins de ta vie tu te réveillais avec le chant des oiseaux, mais ce matin là, seuls les croassements des corbeaux accompagnaient ma tristesse.
J'ai choisi d'écrire cette micro nouvelle tout simplement car ma maman adore le chant des oiseaux le matin, alors quand j'ai pensé au jour de son enterrement fictif j'ai imaginé la pluie s'abattre, accompagné du croassement des corbeaux. Ainsi dans ma micro nouvelle il y a une anti-thèse entre : le chant des oiseaux et le croassement des corbeaux qui renforce l'idée de tristesse.
M. Théo (P.A.I., adaptation pour l'élève: écrire une nouvelle)
Aujourd’hui encore cela continu. Ces gens sont encore attroupés autour de moi. Ils semblent tous vouloir me dire quelque chose, mais je ne les comprends pas, ils ne semblent pas parler la même langue que moi. Je n’essaye même plus de les comprendre, et aucun ne semblent le remarquer. Enfin terminé. La journée semble enfin s’être finie, je vais pouvoir rentrer là où je vis. Le temps d’y arriver, le soleil s’était déjà couché sans que je ne m’en rende compte. Quand je suis rentré, cet homme était là, le visage dans ses mains. Il m’a dit quelque chose qui m’est vite sortie de la tête. Toute cette sollicitation m’avait épuisée, j’ai donc décidé d’aller me coucher dès que j’aurais mangé. Juste avant de m’endormir, je me suis souvenu que je devais aller quelque part le lendemain. J’ai encore fait le même rêve cette nuit ; encore cette inconnue qui venait vers moi pour ne pas m’inquiéter. Je dois devenir fou. Je me suis habillé avec les vêtements qui me tombaient sous la main. Un T-shirt bleu et un jean vert pâle. Ce n’est certainement pas la meilleure tenue pour sortir, mais bon, je n’ai pas le courage d’en changer. J’ai enfilé mes chaussures et j’ai commencé à me diriger vers la destination dont je m’étais souvenu. Une fois arrivé, j’ai remarqué cette drôle de sculpture de l’autre côté de la pièce. Une vingtaine de personnes assise sur des chaises semblaient observer cette sculpture. Je me suis assis à côté de la porte d’entrée pour ne plus avoir à marcher. Tous m’ont regardé étrangement ; surement à cause de ma tenue. Quelques instants plus tard un homme est rentré par une porte situé à gauche de la sculpture et a commencé à parler. Tous étaient vêtus de noir, surement une sorte de fête de l’habit noir, c’était surement ça qui les avaient gêné, je n’étais pas habillé en noir. L’homme a continué à parler pendant un long moment, s’arrêtant quelques instants puis reprenant. Au bout d’un moment il s’est arrêté et m’a regardé. Il m’a demandé si je voulais dire quelque chose, j’ai fait « non » de la tête car je n’avais rien écouté à ce qu’il avait dit, et donc rien à dire. Suite à mes paroles la totalité de la salle m’a regardé d’un air étrange, ils semblaient être surpris, ou peut-être confus. Une file à commencer à se former pour, je suppose, voir de plus proche la sculpture. J’ai trouvé cela idiot, mais pour faire comme les autres je me suis rajouté à cette file. J’ai dû attendre un petit moment avant de pouvoir approcher la sculpture. Une fois devant, je fus très bouleversé. La sculpture laissé dépasser le visage d’une femme, j’étais quasiment certain qu’il s’agissait de l’inconnue de mes rêves. J’étais terriblement confus et troublé. Je suis sorti en courant pour échapper à ce sentiment étrange qui s’insuffler en moi. J’ai couru jusqu’à chez moi sans faire attention à mon environnement j’entendais à peine le bruit de l’extérieur. Une fois rentré, je me suis effondré sur mon lit. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je n’arrivais ni à comprendre qui était cette femme ni pourquoi j’avais rêvé d’elle. Je ne sais combien de temps plus tard cet homme s’est approché de moi et a commencé à s’excuser. Pourquoi s’excuser-t-il, cela n’avait aucun sens, je ne le connaissais pas, je ne lui avais jamais parlé même si je le voyais tous les jours. J’en avais marre de ses lamentations. Je me suis levé, j’ai mis mes chaussures et je suis sorti. Il me fallait des réponses. Je me suis dirigé vers l’endroit où j’avais vu cette sculpture. Une fois arrivé, c’était ouvert, mais personne ne semblait être là. Je me suis assis à côté de la sculpture. Je suis resté tellement longtemps assis à côté d’elle à la regarder pour comprendre, que je m’en suis assoupi. A mon réveil, l’homme qui avait parlé de cette sculpture était assis à côté de moi. Je lui ai demandé qui était représenté dans cette sculpture, et pourquoi j’en avais rêvé. Au début il avait l’air surpris, puis il prit un air mêlant tristesse et sérieux. Je ne compris pas tout de suite où il voulait en venir, mais dès l’instant où je compris ce qu’il voulait me dire, je fondis en larme. Comment cela pouvait être possible ? Pourquoi ne l’avais-je jamais su ? Toutes ces questions dans ma tête me poussèrent à fuir. Il fallait que je comprenne. J’ai courus jusque dans la forêt, à la bordure de la ville ; il n’y a qu’ici que je pourrais essayer de réfléchir. J'y ai réfléchie pendant des heures. Je ne suis pas parvenu à comprendre ce qui m’arrivait. Je n’avais que deux choix. Soit j’étais fou, soit je rêvais. Il fallait que j’en sois certain. J’ai marché jusqu’à la tour, au milieu de la forêt. Une fois arrivé, j’ai grimpé jusqu’en haut et je me suis penché à la fenêtre. J’ai jeté un regard sur cette belle forêt, si calme et silencieuse, et sans une once d’hésitation, j’ai plongé dans le vide. Mes pensées sont devenues claire. Pendant ma chute, je me suis dit que peu importe le résultat, dans tous les cas je me retrouverais auprès de celle dont je rêvais, je me retrouverais avec maman.
J’ai décidé de m’inspirer de « aujourd’hui, maman est morte. » car je trouve que cette phrase était le meilleur point de départ possible pour pouvoir écrire avec un style qui me plait.
J’ai essayé de lier au mieux l’ambiance générale de l’œuvre dont est tirée cette phrase (L’Etranger, d’Albert Camus) avec ma vision des choses ainsi qu’à mon style d’écriture.
J’ai écrit cette nouvelle pour qu’au premier abord, on ne pense uniquement que le héros soit fou, mais qu’à la fin de la lecture qu’on comprenne que l’on pouvait lire son histoire de deux façons. J’ai ainsi laissé une fin ouverte, car je ne voyais pas l’intérêt d’écrire une nouvelle qui puisse être vue selon deux points de vue pour au final imposer une fin définitive ; il me paraissait logique de laisser aux lecteurs le choix de ce qu’ils pensaient être la véritable fin.
De plus j’ai essayé de faire passer grâce à cette nouvelle, les sensations que pouvaient ressentir les personnes qui sont misent à part et étiqueté dans une société banalisé.
M. Anthony
Tous les cimetières que je vois me font penser à toi.
J'ai décidé de choisir cette phrase car en intégrant cimetières, ça fait toute de suite référence au décès de sa mère.
Cette phrase possède un rime qui montre un aspect assez plaisant.
Elle correspond également aux critères attendu pour une micro nouvelle, elle est composée d'une phrase courte.
M. Tatiana
Aujourd'hui, je comprends le sens de la phrase "on a qu'une mère"
J'ai choisi cette phrase car c'est celle qui m'a le plus inspiré par rapport aux autres. Avec le marquer temporel "Aujourd'hui" et le verbe de reflexion "ai compris" ,on constate le debut d'une prise de conscience. La phrase "on a qu'une mère" prend un veritable sens que lorsqu'on vit le drame dans cette micro nouvelle
P. Manon
Aujourd'hui, maman est morte. Et tout les jours je m'habille de noir
Ici il est question de quelqu'un qui n'a pas accepté le décès de sa mère, donc qui n'a pas fait son deuil , et qui s'habille de noir qui est la couleur associée au deuil, à la tristesse et au désespoir, à la peur et à la mort.
P. Fiona
Aujourd'hui , ma mère est morte . J'ai eu beaucoup de peine . Cela m'a énormément touché , je suis allé dans mon restaurant italien préféré . Et j'ai mangé des pâtes , pas n'importe quelles pâtes , des pâtes à la sauce tomate et au basilic
J'ai choisie cette phrase : "Aujourd'hui Maman est morte " , car l'on peut tellement imaginer de suites allant du plus triste au plus farfelu . Une suite dramatique ou au contraire complétement en décalage avec le décès de "cette" mère qui susciterai la tristesse bien entendu dans la vie courante .
J'ai trouvé que c'était un des exemples les plus intéressants et dont l'on pouvait écrire toute sorte d'histoie .
R. Camille
J'aurais pu rester longtemps à la contempler. Elle fermait les yeux et semblait rêver. J'aurais voulu la réveiller, mais alors le médecin vint et me dit : « Toutes mes condoléances ».
Dans ma micro-nouvelle j'ai utilisé l'imparfait pour décrire la personne, j'ai ensuite utilisée le passé simple qui met un arrêt au déroulement de l'action et insiste sur l'effet dramatique de la situation.
R. Kelly
Les pied dans le sable , l'homme parfait courrait vers moi et là mon chien est monté sur mon lit.
J'ai sélectionné parmis les six propositions : « c'est un frôlement qui m'a réveillé »; car c'est la seule phrase qui me paraissait être la plus intéressante à utiliser.
J'ai donc voulu évoquer le fait que, pendant un rêve , je me tenais sur une plage de sable , et que l'homme parfait , car l'homme parfait n'existe que dans les rêves ... évidemment , courrait vers moi .
Mais au moment de sauter dans ses bras ,dans la vraie vie , mon chien est monté sur mon lit et m'a bien sûr réveillée.
Autrement dit je n'ai pas pu serrer ce magnifique garçon dans mes bras , et je ne le serrerai sûrement jamais...
S. Anastasia
Maman est morte des années auparavant maintenant. Mon cœur n'arrive toujours pas à guérir; depuis 1 an ou 2, je ne sais plus, je m'emploie à oublier ma peine en sortant ,m'amusant... mais en vain.Aux yeux des autres je suis telle un papillon qui vole de soirées en soirées mais seule dans ma chambre je verse des torrents de larmes ,vite séchées pour offrir un visage serein.
J'ai choisi la phrase d'inspiration «maman est morte» parce que ces mots m'ont frappé lorsque j'ai commencé la lecture.
J'ai utilisé la métaphore «je suis tel un papillon qui vole de soirées en soirées » car un papillon représente la beauté et la joie.
T. Maxime
Je me suis réveillé, il faisait très frais mais malgré cela j'avais excessivement chaud. J'ai pensé que j'avais fait un cauchemar dont je ne me souvenais plus de rien, mais cela ne m’était jamais arrivé. J'avais un mauvais pressentiment mais malgré cela j'essayais de me rendormir. Le sommeil n'est jamais arrivé, j'ai levé les volets, il faisait encore nuit, il pleuvait, un chien aboyait et j'ai du me lever pour prendre mon déjeuner. D'habitude c'est ma mère qui me réveille, sauf qu'aujourd'hui maman est morte.
J'ai décidé de prendre la phrase "Aujourd'hui maman est morte" car je trouvais intéressant de prendre la première ligne du texte est de l'utiliser comme chute de ma micro-nouvelle.
V. Céline
Hier ou avant hier , je me suis réveillée à six heures ou six heures trente , je ne sais plus. J'ai pris mon petit déjeuné , je me suis préparée et je suis parti de la maison en claquant la porte bien fort pour réveiller les voisins qui faisait trop de bruit la veille. Je me suis dirigée vers l'arrêt de bus et au moment de m'asseoir , je me suis rendu compte qu'il me manquait quelque chose;mon sac ! Je suis retournée à la maison . Arrivée devant le palier,plus de clefs ! Ceci dit ça n'a plus d'importance , ça date d'il y-à une semaine .
Je me suis inspiré de « aujourd'hui maman est morte » car tout comme Meursault , mon personnage est je m'en foutiste;il ne se rappelle pas du moment auquel a eu lieu l'action qu'il est entrain de nous raconter alors que c'est récent, il est hors du temps. Mon personnage est perdu et étourdie, il oublie et ses clefs et son sac de cours alors qu'il s'est levé pour prendre le bus et aller en cours . Il est irrespectueux envers ses voisins , il claque la porte trop fort sous prétexte qu'ils faisaient trop de bruit la veille alors que ceux-ci avaient seulement fait un petit dîner entre amis .
V. Charlotte
Le départ des personnes que l'on aime est passé pour un malheur mais l'amour est plus grand que la mort.
J'ai choisi de m'inspirer de la phrase : « Aujourd'hui, Maman est morte. ». Tout d'abord parce que la mort me fait peur, pour moi c'est une sensation terrible mais j'apprends peu à peu à l'accepter puisque récemment j'ai perdu un être très chère à mes yeux. De plus au début, je trouvais que cette phrase était fade mais au final, pour moi, elle a beaucoup d'intensité.
Y. Ali
Aujourd'hui maman est morte. J etais bouleversé a l idee de me dire que je n avais plus de mere, j ai toujours redouté le jour ou ce moment allé arriver mais je savais bien qu il devrait arrivé a un moment ou a un autre j en etais depité jusqu au moment ou je sentis un pincement sur mon bras et la je vis ma mere se tenant face a moi et me dit " ce n est qu un mauvais cauchemar mon cheri "
J ai choisis cette exemple la car je connais un ami qui a perdu sa mere tres recemment, j ai pus percevoir a quelle point il ressentait de la tristesse
Donc c est une chose que je ne voudrai pas qu il m arrive et je l ai fais ressentir a travers cette micro nouvelle
C'est un miaulement qui la réveillé, assis sur le maître le chat le regardait de ses yeux de vicieux. Un jour je l'aurais se dit le chien.
J'ai choisis « C'est un frôlement qui ma reveillé » car c'est cette phrase qui m'inspirais le plus pour cette micro-nouvelle, malgré quelques modifications de ma part j'ai gardé le principe du réveil forcé. J'ai choisis le thème des animaux parce que j'adore les faire parler ou penser comme des êtres humain (donc les personnifiés comme je crois avoir fait ici).
A. Maxime
Aujourd'hui, mon père est rentré. Le Sourire aux lèvres. Il brandit la récompense de sa victoire qu'il avait gagné, avec énormément de difficultés. Il était entouré de français portant fièrement les couleurs de leur pays. Ce jour fut un jour heureux, avec un plaisir partagé. Ce jour marquait une nouvelle vie, un enthousiasme des gens autour de lui et de chacun de ses passages...
J'ai choisi la phrase "Aujourd'hui, maman est morte" car c'est une phrase très connu dans la littérature française. Cette phrase est l'incipit de ce livre, elle l'introduit et donc elle est très important. Mais en plus, c'est une phrase touchante, pour une personne normal, qui ressent des sentiments, le contraire du héros de ce livre.
B. Chloé
« Les issues de secours sont situées à l'avant, au milieu et à l'arrière de l'appareil. » Je commençais à m'endormir avant même que l'hôtesse de l'air n'eut fini sa chorégraphie. Il aurait été logique que les violentes turbulences me réveillent, mais il faut croire que seule l'odeur des pains aux chocolat n'en avait le pouvoir. C'est donc ce frôlement contre mes narines qui me réveilla.
J'ai choisi ce thème car il représente tous mes week-end de cette année. En effet, je prends l'avion seule pour une compétition sportive. J'ai donc décidé de raconter une de mes anecdotes dans ce devoir.
En utilisant le terme « chorégraphie » je compare l’hôtesse de l'air à une danseuse qui répète les mêmes gestes à chaque spectacle (d'où la première phrase mise entre guillemets). La dernière phrase est issue de l'Etranger « C'est un frôlement qu m'a réveillé » (chap1). Grâce à cette phrase, je personnalise l'odeur des pains au chocolat qui « frôle mes narines ». J'insiste sur la force des turbulences avec « violentes turbulences » pour amplifier l'effet de celles ci qui pourtant n'en ont pas eu sur moi.
B. Aymeric
Très tôt le matin, j'attends le bus. M'écoutant inspirer et expirer, regardant la buée sortir de ma bouche... Le temps est passé je le vois arriver j'ai enfin trouvé comment tuer le temps.
Inspiré de: "Toute la question était de tuer le temps."
C. Marion
Ma liberté était accrochée aux barreaux, elle me narguait de toutes ses forces.
Pour cette micro-nouvelle je me suis inspirée de la phrase « Déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. ». Même si Meursault parle de Marie à cet instant précis, je me suis demandée ce qui me manquerait le plus si j'étais à sa place et j'en suis arrivée à cette conclusion : ma liberté.
C. Lorenzo
Aujourd'hui maman est morte , nous sommes allés à la cérémonie au cimetière . Tout le monde avait l'air triste , tout le monde pleuraient comme si ils se sentaient obligés . Une fois le discours du prêtre fini chaque personne est repartie sans dire un mot
C. Annabelle
C’est un frôlement qui m’a réveillé. Un mal de tête assommant et une douleur dans le bras gauche. Impossible de me rappeler ce qui s’était passé, une soirée un peu trop arrosé ? Non je ne bois jamais. En relevant la tête, je pouvais apercevoir les gens me regarder, et me juger. Une fois mes esprits retrouvés, j’ai fouillé mes poches en y trouvant un mot : « j’en avais vraiment besoin, désolé pour votre bras. » Avec une incompréhension totale, je regarde sur mon portable, aujourd’hui, on est samedi. Puis je me suis rappelé d’une chose. Hier, c’était vendredi, et tous les vendredis, je joue à la loterie. J’ai vite compris qui avait le ticket gagnant.
J’ai choisi cette phrase d’approche parce qu’elle est très vague, elle permettait de pouvoir laisser libre cour a mon imagination. Cette phrase peut parler de presque tout, un trou de mémoire dans mon cas. Je n’ai pas essayé de faire de figures de style, de procédés ou autres. Pour moi si je réfléchi à tout ça en écrivant, ça bloque mon imagination. Mais je me suis aperçue que j’avais fait une question rhétorique, mon personnage pose une question à laquelle personne ne peut répondre. Que j’ai utilisé l’atemporalité avec les mots « aujourd’hui » ; « hier » ; « vendredi » et « samedi ». Cela pourrait se passer n’importe quel samedi. Et que j’ai fait une répétition du mot « vendredi » qui donne un effet d’insistance avec « tous les vendredis ».
D. Tiffany
Aujourd'hui, pour moi, le temps est gris, dans cette boîte foncé aussi grande que toi, ces gens vêtus de noir, ces fleurs blanches posaient sur du marbre. C'est une mise en scène parfaite. Dommage chère maman, que tu sois loin pour ne pas voir ça.
Dans cette scène les couleurs qui sont le plus présentes sont les couleurs foncées.
Le noir représente le deuil des personnes pour celle qui est décédée.
« le temps est gris » ; « boîte foncée » ; « vêtus de noir » montrent le froid de la scène, qu'elle est triste.
Le marbre est une pierre très froide mais vivante.
Grâce aux fleurs blanches qui montrent l'éternité et « chère maman », on voit que son enfant a de l'amour et l'affection pour sa mère, parce que « maman » est intime comparé à « mère »
«mise en scène » démontre que l'enterrement est une préparation qui est longue et parfois douloureuse pour l'entourage.
Cette scène est triste et émouvante.
F. Lucas
Aujourd'hui , Maman est morte . La dernière fois que je l'ai vu , c'est quand j'ai vu mon père pour la première fois .
J'ai choisi cette phrase , parce que je voulais écrire un micro nouvelle plutôt courte et assez marquante . Pour cela , j'ai utilisé une antithèse entre « première » et « dernière » , une aussi entre « Maman » et « papa ».
J'ai aussi voulu créer une sorte d'opposition entre la mère et le père avec le « M » majuscule de « Maman » comme une marque affective et le « papa » sans majuscule pour montrer une appellation commune , ou dans ce cas la , parce qu'il était inconnu.
G. Ondaline
Mon petit nid douillet n'est pas grand mais c'est confortable et chaleureux.
Il n'y a pas beaucoup de choses à faire et le temps est long. Cependant, parfois il y a une grande effervescence, ça fait peur.
Tous les soirs, quand je dors, une voix me dit des mots d'amour...
Aujourd'hui l'agitation est à son apogée ! Mon cœur bat très vite ! Je descends... On crie, je suis compressé, tout se bouscule. Je suis ébloui, je ferme les yeux. Impossible de respirer; mes poumons brûlent !
D'un coup, tout s'est calmé... La voix de mes rêves m'a dit : « bienvenue au monde mon bébé, ton papa et moi étions impatients ... »
« toute la question était de tuer le temps. »( chapitre 2, 2ème partie)
J'ai choisi de faire mon travail autour de cette phrase car quand je l'ai lu je me suis demandée ce qu'on pouvait bien attendre, j'ai directement pensé au fait d'attendre un enfant. Pour accentuer l'effet d'inquiétude et de panique, j'ai utilisé des phrases exclamative. Les énumérations permettent de montrer la vitesse de l'enchaînement des événements.
H. Nicolas
Toc Toc Toc Toc
«Entrez!» Dit le professeur de Mathématiques.
Et c'était comme quatre coups bref que je frappais sur la porte du malheur.
Ma Micro Nouvelle fait référence tout simplement à ma phobie des Mathématiques...
K. Anaïs
La nuit dernière, c'est un frôlement qui m'a réveillé. Je n'arrivais pas à savoir si c'était une sensation ou une illusion, mais une chose est sure, ce n'était pas la première fois que je ressentais ça. Cela dure depuis que Nicole est morte. Toutes les nuits, je me réveille et j'ai l'impression qu'elle est là, en face de moi. Je sens sa présence. Je n'arrive plus à dormir, il faut que ça cesse.
L. Vincent
Ce matin, je ne me sentais pas bien, comme si quelque chose allait se passer, comme un pressentiment, je ne me doutais de rien, mais je savais que ma vie allait changer, jusqu'à ce moment d’égarement et d'affolement, mon arme, que je tenais dans mes mains moites de peur, brisa un silence horrible qu'aucun sage ne pourrait supporter, quatre coups assourdissants vinrent se déposer sur le crane du voleur, un long silence suivit l'acte désormais irréparable, pendant cet instant, j'eu le souffle couper, le vent glacial venait frapper sur ma peau, peu après j'ai repenser a ce matin et ce mal être qui m'habiter, ces quatre coup de revolver ont signé mon arrêt de mort.
« Et c'était comme quatre coups bref que je frappais sur la porte du malheur » : je me suis inspiré de cette phrase de L'Etranger car je trouve cette phrase très expressive et très claire, j'aime beaucoup la figure de style employer dans la phrase. Il a beaucoup de sentiments a décrire a travers cette phrase et donc a retranscrire a travers cette micro-nouvelle, j'ai essayer de réutilisé atmosphère particulier que dégage cette phrase.
L. Yanis
Aujourd’hui, cela fait déjà quatre ans que je suis incarcéré pour vol à main armée dans le centre de détention de Roanne dans la Loire.
Ce jour n’était pas comme les autres. J’allais enfin revoir ma femme avec qui j’étais en froid après mon incarcération et qui n’a voulu me revoir jusqu’à ce jour. Quatorze Heures passées, c’est l’heure des visites. Un garde m’appel, je dois me rendre dans la cours où se déroule les visites. La voilà enfin, déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces. Accompagnée d’une petite fille, une phrase :
-Cette fille est ta fille.
Le mot «grille» m’a renvoyé l’image d’une grille de prison (grillage) d’où le thème de ma micro nouvelle.
Dans la phrase «déjà collée contre la grille, elle me souriait de toutes ses forces», le terme ‘déjà’ collée’ ma fait penser à l’impatience d’une attente (lors d’une visite d’un proche en prison) et le terme ‘elle me souriait de toute ses forces’ m’a fait penser à l’empressement d’annoncer une nouvelle à fort impact (le sourire essayant d’atténuer la situation).
J’ai donc décidé d’intégrer un homme incarcéré (pour intégrer le récit dans une prison), une femme (pour annoncer la nouvelle à fort impact) et la fille qui est l’objet de l’impact (-Cette fille est ta fille.).
L. Alice
J'étais au milieu de l'eau, entourée de dauphins, de poissons multicolores. Moi seule au milieu de rien. Le bonheur du son de l'océan. Le soleil étincelant d'été sur ma peau me réchauffait. C'était l'évasion totale. Et d'un coup, une peur telle un requin autour de petits poissons, me pris. Une voix sortie d'un film d'horreur me surpris. C'était ma mère qui me réveilla en me fredonnant dans l'oreille: il est 7 heures réveille-toi dans une demi heure on part.
Je me suis inspirée de la phrase «c'est un frôlement qui m'a réveillé». J'ai eu l'idée d'écrire comme si le personnage faisait un rêve qui est incroyable, un rêve dans le vrai sens du terme. Le personnage est dans l'immersion totale qui est exprimé avec des notions d'épanouissement. Puis le personnage passe du rêve au cauchemars en quelque instant. On ne sait plus différencier la réalité de l'illusion («un requin au milieu de petits poissons» pour exprimer la peur j'ai voulu rester dans le contexte de la mer alors que la peur ne vient pas du rêve donc le personnage ne sait pas trop d’où vient la peur si c'est réel ou si c'est faux). Pour ensuite revenir dans la réalité, être réveillé par la voix de sa mère. Cela passe du rêve à l'horreur ( «une voix sortie d'un film d'horreur»), car de mon point de vu personne n'aime être réveillé pendant un rêve ou simplement être réveillé. Le frôlement est la voix de la mère qui réveille mais la voix peu être calme, l'horreur est simplement d'entendre quelqu'un qui réveille. Comme si c'était un dérangement qui coupa le bonheur d'un rêve à la réalité qui reprend tous les jours. J'ai employé la première personne du singulier car je pourrai m'identifier dans le personnage de faire un rêve sublimement incroyable, irréalisable mais que quand je suis en immersion je pourrai le croire puis que d'un coup tout s’arrête car c'est le matin et que ma mère me réveille et que je comprend que ce n'était qu'un rêve.
L. Pauline
On se ressemble tellement dessus : les même cheveux avec un petit nez fin. Vraiment la chair de sa chair ! Et posé sur ses genoux sa brosse à cheveux, elle n'en avait plus besoin depuis longtemps à cause de cette chose en elle qui grossissait et me l'arrachait... Et puis ce jour tant redouté pour moi est arrivé. Elle m'a légué cette fameuse brosse a cheveux.
J'ai choisi d’écrire cette micro nouvelle avec la phrase « Aujourd'hui maman est morte » car c'est celle qui m’inspirais le plus. J'ai pris le thème du cancer car c est une cause qui me tient a cœur et qui peut toucher tout le monde sans exception. J'ai utilisé principalement la description pour raconter l'histoire et faire comprendre le sens caché.
M. Xavier
Tous les matins de ta vie tu te réveillais avec le chant des oiseaux, mais ce matin là, seuls les croassements des corbeaux accompagnaient ma tristesse.
J'ai choisi d'écrire cette micro nouvelle tout simplement car ma maman adore le chant des oiseaux le matin, alors quand j'ai pensé au jour de son enterrement fictif j'ai imaginé la pluie s'abattre, accompagné du croassement des corbeaux. Ainsi dans ma micro nouvelle il y a une anti-thèse entre : le chant des oiseaux et le croassement des corbeaux qui renforce l'idée de tristesse.
M. Théo (P.A.I., adaptation pour l'élève: écrire une nouvelle)
Aujourd’hui encore cela continu. Ces gens sont encore attroupés autour de moi. Ils semblent tous vouloir me dire quelque chose, mais je ne les comprends pas, ils ne semblent pas parler la même langue que moi. Je n’essaye même plus de les comprendre, et aucun ne semblent le remarquer. Enfin terminé. La journée semble enfin s’être finie, je vais pouvoir rentrer là où je vis. Le temps d’y arriver, le soleil s’était déjà couché sans que je ne m’en rende compte. Quand je suis rentré, cet homme était là, le visage dans ses mains. Il m’a dit quelque chose qui m’est vite sortie de la tête. Toute cette sollicitation m’avait épuisée, j’ai donc décidé d’aller me coucher dès que j’aurais mangé. Juste avant de m’endormir, je me suis souvenu que je devais aller quelque part le lendemain. J’ai encore fait le même rêve cette nuit ; encore cette inconnue qui venait vers moi pour ne pas m’inquiéter. Je dois devenir fou. Je me suis habillé avec les vêtements qui me tombaient sous la main. Un T-shirt bleu et un jean vert pâle. Ce n’est certainement pas la meilleure tenue pour sortir, mais bon, je n’ai pas le courage d’en changer. J’ai enfilé mes chaussures et j’ai commencé à me diriger vers la destination dont je m’étais souvenu. Une fois arrivé, j’ai remarqué cette drôle de sculpture de l’autre côté de la pièce. Une vingtaine de personnes assise sur des chaises semblaient observer cette sculpture. Je me suis assis à côté de la porte d’entrée pour ne plus avoir à marcher. Tous m’ont regardé étrangement ; surement à cause de ma tenue. Quelques instants plus tard un homme est rentré par une porte situé à gauche de la sculpture et a commencé à parler. Tous étaient vêtus de noir, surement une sorte de fête de l’habit noir, c’était surement ça qui les avaient gêné, je n’étais pas habillé en noir. L’homme a continué à parler pendant un long moment, s’arrêtant quelques instants puis reprenant. Au bout d’un moment il s’est arrêté et m’a regardé. Il m’a demandé si je voulais dire quelque chose, j’ai fait « non » de la tête car je n’avais rien écouté à ce qu’il avait dit, et donc rien à dire. Suite à mes paroles la totalité de la salle m’a regardé d’un air étrange, ils semblaient être surpris, ou peut-être confus. Une file à commencer à se former pour, je suppose, voir de plus proche la sculpture. J’ai trouvé cela idiot, mais pour faire comme les autres je me suis rajouté à cette file. J’ai dû attendre un petit moment avant de pouvoir approcher la sculpture. Une fois devant, je fus très bouleversé. La sculpture laissé dépasser le visage d’une femme, j’étais quasiment certain qu’il s’agissait de l’inconnue de mes rêves. J’étais terriblement confus et troublé. Je suis sorti en courant pour échapper à ce sentiment étrange qui s’insuffler en moi. J’ai couru jusqu’à chez moi sans faire attention à mon environnement j’entendais à peine le bruit de l’extérieur. Une fois rentré, je me suis effondré sur mon lit. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je n’arrivais ni à comprendre qui était cette femme ni pourquoi j’avais rêvé d’elle. Je ne sais combien de temps plus tard cet homme s’est approché de moi et a commencé à s’excuser. Pourquoi s’excuser-t-il, cela n’avait aucun sens, je ne le connaissais pas, je ne lui avais jamais parlé même si je le voyais tous les jours. J’en avais marre de ses lamentations. Je me suis levé, j’ai mis mes chaussures et je suis sorti. Il me fallait des réponses. Je me suis dirigé vers l’endroit où j’avais vu cette sculpture. Une fois arrivé, c’était ouvert, mais personne ne semblait être là. Je me suis assis à côté de la sculpture. Je suis resté tellement longtemps assis à côté d’elle à la regarder pour comprendre, que je m’en suis assoupi. A mon réveil, l’homme qui avait parlé de cette sculpture était assis à côté de moi. Je lui ai demandé qui était représenté dans cette sculpture, et pourquoi j’en avais rêvé. Au début il avait l’air surpris, puis il prit un air mêlant tristesse et sérieux. Je ne compris pas tout de suite où il voulait en venir, mais dès l’instant où je compris ce qu’il voulait me dire, je fondis en larme. Comment cela pouvait être possible ? Pourquoi ne l’avais-je jamais su ? Toutes ces questions dans ma tête me poussèrent à fuir. Il fallait que je comprenne. J’ai courus jusque dans la forêt, à la bordure de la ville ; il n’y a qu’ici que je pourrais essayer de réfléchir. J'y ai réfléchie pendant des heures. Je ne suis pas parvenu à comprendre ce qui m’arrivait. Je n’avais que deux choix. Soit j’étais fou, soit je rêvais. Il fallait que j’en sois certain. J’ai marché jusqu’à la tour, au milieu de la forêt. Une fois arrivé, j’ai grimpé jusqu’en haut et je me suis penché à la fenêtre. J’ai jeté un regard sur cette belle forêt, si calme et silencieuse, et sans une once d’hésitation, j’ai plongé dans le vide. Mes pensées sont devenues claire. Pendant ma chute, je me suis dit que peu importe le résultat, dans tous les cas je me retrouverais auprès de celle dont je rêvais, je me retrouverais avec maman.
J’ai décidé de m’inspirer de « aujourd’hui, maman est morte. » car je trouve que cette phrase était le meilleur point de départ possible pour pouvoir écrire avec un style qui me plait.
J’ai essayé de lier au mieux l’ambiance générale de l’œuvre dont est tirée cette phrase (L’Etranger, d’Albert Camus) avec ma vision des choses ainsi qu’à mon style d’écriture.
J’ai écrit cette nouvelle pour qu’au premier abord, on ne pense uniquement que le héros soit fou, mais qu’à la fin de la lecture qu’on comprenne que l’on pouvait lire son histoire de deux façons. J’ai ainsi laissé une fin ouverte, car je ne voyais pas l’intérêt d’écrire une nouvelle qui puisse être vue selon deux points de vue pour au final imposer une fin définitive ; il me paraissait logique de laisser aux lecteurs le choix de ce qu’ils pensaient être la véritable fin.
De plus j’ai essayé de faire passer grâce à cette nouvelle, les sensations que pouvaient ressentir les personnes qui sont misent à part et étiqueté dans une société banalisé.
M. Anthony
Tous les cimetières que je vois me font penser à toi.
J'ai décidé de choisir cette phrase car en intégrant cimetières, ça fait toute de suite référence au décès de sa mère.
Cette phrase possède un rime qui montre un aspect assez plaisant.
Elle correspond également aux critères attendu pour une micro nouvelle, elle est composée d'une phrase courte.
M. Tatiana
Aujourd'hui, je comprends le sens de la phrase "on a qu'une mère"
J'ai choisi cette phrase car c'est celle qui m'a le plus inspiré par rapport aux autres. Avec le marquer temporel "Aujourd'hui" et le verbe de reflexion "ai compris" ,on constate le debut d'une prise de conscience. La phrase "on a qu'une mère" prend un veritable sens que lorsqu'on vit le drame dans cette micro nouvelle
P. Manon
Aujourd'hui, maman est morte. Et tout les jours je m'habille de noir
Ici il est question de quelqu'un qui n'a pas accepté le décès de sa mère, donc qui n'a pas fait son deuil , et qui s'habille de noir qui est la couleur associée au deuil, à la tristesse et au désespoir, à la peur et à la mort.
P. Fiona
Aujourd'hui , ma mère est morte . J'ai eu beaucoup de peine . Cela m'a énormément touché , je suis allé dans mon restaurant italien préféré . Et j'ai mangé des pâtes , pas n'importe quelles pâtes , des pâtes à la sauce tomate et au basilic
J'ai choisie cette phrase : "Aujourd'hui Maman est morte " , car l'on peut tellement imaginer de suites allant du plus triste au plus farfelu . Une suite dramatique ou au contraire complétement en décalage avec le décès de "cette" mère qui susciterai la tristesse bien entendu dans la vie courante .
J'ai trouvé que c'était un des exemples les plus intéressants et dont l'on pouvait écrire toute sorte d'histoie .
R. Camille
J'aurais pu rester longtemps à la contempler. Elle fermait les yeux et semblait rêver. J'aurais voulu la réveiller, mais alors le médecin vint et me dit : « Toutes mes condoléances ».
Dans ma micro-nouvelle j'ai utilisé l'imparfait pour décrire la personne, j'ai ensuite utilisée le passé simple qui met un arrêt au déroulement de l'action et insiste sur l'effet dramatique de la situation.
R. Kelly
Les pied dans le sable , l'homme parfait courrait vers moi et là mon chien est monté sur mon lit.
J'ai sélectionné parmis les six propositions : « c'est un frôlement qui m'a réveillé »; car c'est la seule phrase qui me paraissait être la plus intéressante à utiliser.
J'ai donc voulu évoquer le fait que, pendant un rêve , je me tenais sur une plage de sable , et que l'homme parfait , car l'homme parfait n'existe que dans les rêves ... évidemment , courrait vers moi .
Mais au moment de sauter dans ses bras ,dans la vraie vie , mon chien est monté sur mon lit et m'a bien sûr réveillée.
Autrement dit je n'ai pas pu serrer ce magnifique garçon dans mes bras , et je ne le serrerai sûrement jamais...
S. Anastasia
Maman est morte des années auparavant maintenant. Mon cœur n'arrive toujours pas à guérir; depuis 1 an ou 2, je ne sais plus, je m'emploie à oublier ma peine en sortant ,m'amusant... mais en vain.Aux yeux des autres je suis telle un papillon qui vole de soirées en soirées mais seule dans ma chambre je verse des torrents de larmes ,vite séchées pour offrir un visage serein.
J'ai choisi la phrase d'inspiration «maman est morte» parce que ces mots m'ont frappé lorsque j'ai commencé la lecture.
J'ai utilisé la métaphore «je suis tel un papillon qui vole de soirées en soirées » car un papillon représente la beauté et la joie.
T. Maxime
Je me suis réveillé, il faisait très frais mais malgré cela j'avais excessivement chaud. J'ai pensé que j'avais fait un cauchemar dont je ne me souvenais plus de rien, mais cela ne m’était jamais arrivé. J'avais un mauvais pressentiment mais malgré cela j'essayais de me rendormir. Le sommeil n'est jamais arrivé, j'ai levé les volets, il faisait encore nuit, il pleuvait, un chien aboyait et j'ai du me lever pour prendre mon déjeuner. D'habitude c'est ma mère qui me réveille, sauf qu'aujourd'hui maman est morte.
J'ai décidé de prendre la phrase "Aujourd'hui maman est morte" car je trouvais intéressant de prendre la première ligne du texte est de l'utiliser comme chute de ma micro-nouvelle.
V. Céline
Hier ou avant hier , je me suis réveillée à six heures ou six heures trente , je ne sais plus. J'ai pris mon petit déjeuné , je me suis préparée et je suis parti de la maison en claquant la porte bien fort pour réveiller les voisins qui faisait trop de bruit la veille. Je me suis dirigée vers l'arrêt de bus et au moment de m'asseoir , je me suis rendu compte qu'il me manquait quelque chose;mon sac ! Je suis retournée à la maison . Arrivée devant le palier,plus de clefs ! Ceci dit ça n'a plus d'importance , ça date d'il y-à une semaine .
Je me suis inspiré de « aujourd'hui maman est morte » car tout comme Meursault , mon personnage est je m'en foutiste;il ne se rappelle pas du moment auquel a eu lieu l'action qu'il est entrain de nous raconter alors que c'est récent, il est hors du temps. Mon personnage est perdu et étourdie, il oublie et ses clefs et son sac de cours alors qu'il s'est levé pour prendre le bus et aller en cours . Il est irrespectueux envers ses voisins , il claque la porte trop fort sous prétexte qu'ils faisaient trop de bruit la veille alors que ceux-ci avaient seulement fait un petit dîner entre amis .
V. Charlotte
Le départ des personnes que l'on aime est passé pour un malheur mais l'amour est plus grand que la mort.
J'ai choisi de m'inspirer de la phrase : « Aujourd'hui, Maman est morte. ». Tout d'abord parce que la mort me fait peur, pour moi c'est une sensation terrible mais j'apprends peu à peu à l'accepter puisque récemment j'ai perdu un être très chère à mes yeux. De plus au début, je trouvais que cette phrase était fade mais au final, pour moi, elle a beaucoup d'intensité.
Y. Ali
Aujourd'hui maman est morte. J etais bouleversé a l idee de me dire que je n avais plus de mere, j ai toujours redouté le jour ou ce moment allé arriver mais je savais bien qu il devrait arrivé a un moment ou a un autre j en etais depité jusqu au moment ou je sentis un pincement sur mon bras et la je vis ma mere se tenant face a moi et me dit " ce n est qu un mauvais cauchemar mon cheri "
J ai choisis cette exemple la car je connais un ami qui a perdu sa mere tres recemment, j ai pus percevoir a quelle point il ressentait de la tristesse
Donc c est une chose que je ne voudrai pas qu il m arrive et je l ai fais ressentir a travers cette micro nouvelle