Olfa S.
Une amitié disparus
La rue assourdissante autour de moi qui hurlait
J'ai eu beau crier ton nom personne ne m'entendais,
Tu a continué ton chemin sans même te retourner,
A ce moment précis je me suis senti abandonner.
Je t'ai rechercher , mais en vain,
J'ai ensuite appris que tu nous avez quittez
Jamais je ne te reverrais!
Comment une si longue amitié peut prendre fin?
Toutes ces rumeurs tu a choisie d'y croire,
J'ai pensé qu'on devais garder espoir
On s'est quittée a cause d'un ridicule conflit
Qui ne verra jamais de fin , mon amie.
Inès S.
Le vers qui m’a servis d’inspiration est « Si par une nuit lourde et sombre » (tiré de « Sépulture » in Spleen et Idéal)
Haïku:
Par cette sombre nuit
Nous berce le vent de minuit
Dans la douce nuit
Haïku:
Par cette sombre nuit
Nous berce le vent de minuit
Dans la douce nuit
Camelia S.
« La musique souvent me prend comme une mer ! » est le vers qui m'a inspiré.
Elle a un pouvoir maléfique ou bénéfique,
Tout dépend de ce que notre conscience acclame.
Mais c'est un ensorcellement féerique
Qui me transperce l'esprit tel que le ferait une lame.
Joie,peine,bonheur,douleur
Elle agit tel un duplicateur d’émotion.
Et il m'importe peu de l'avis des "connaisseurs"
Il s'agit d'une magie que je considère sans règle ni condition.
Et si certains disent "ce n'est qu'un son"
C'est que nous nous n'avons pas la même définition de l'Homme,
Doté de cinq sens que l'on peut considérer comme un don
L’ouïe reste pour moi un fastueux et précieux arôme.
Elle a un pouvoir maléfique ou bénéfique,
Tout dépend de ce que notre conscience acclame.
Mais c'est un ensorcellement féerique
Qui me transperce l'esprit tel que le ferait une lame.
Joie,peine,bonheur,douleur
Elle agit tel un duplicateur d’émotion.
Et il m'importe peu de l'avis des "connaisseurs"
Il s'agit d'une magie que je considère sans règle ni condition.
Et si certains disent "ce n'est qu'un son"
C'est que nous nous n'avons pas la même définition de l'Homme,
Doté de cinq sens que l'on peut considérer comme un don
L’ouïe reste pour moi un fastueux et précieux arôme.
Yann L.
Quand je t'ai quittée, cela m'a brisé le coeur,
Car je sais que se sera bientôt mon heure.
La guerre est si triste mais tu es mon bonheur,
Le train part vers une destination de malheur.
Je dois me battre pour l'honneur de ma patrie,
Comme tous ces soldats qui sont déjà partis.
Je repense à tous nos bons moments rien qu'à nous,
Te souviens-tu de cette plage de cailloux?
Amour, tes lettres sont douces comme le feu,
J'oublie la peur, l'horreur quand je pense à nous deux.
Je ferme les yeux, la mort est là peu à peu.
Une balle siffle, mon corps se pétrifie,
Je vois sur ma blessure la mort qui s'écrit,
Ma chérie, c'est fini, je suis déjà parti.
Thomas K.
Cette belle musique
Me prend et m'emmène ailleurs
Comme feuillets au vent
Eve G.
Poème en prose.
La liberté.
L’air du vent chante comme une douce musique qui apaise mon esprit. Dans la solitude de mon âme perdue, sa présence me berce et me rassure. Et lorsque le vent souffle, j’oublie cette tristesse enfouie dans mon cœur. Je prends mon envol comme une hirondelle qui bat des ailes et suis ce chant mélodieux vers de vastes cieux. Il est là, tout près ; le chant de la liberté.
inspiré "La musique souvent me prend comme une mer! " tiré de la musique de spleen et Idéal
inspiré "La musique souvent me prend comme une mer! " tiré de la musique de spleen et Idéal
Jade D. M.
J'ai écris un poème en vers libres en m'inspirant du premier vers du poème Sépulture de
la section Spleen et Idéal qui est "Si par une nuit lourde et sombre".
L’emprisonnement
Dans cette ville aux bâtiments gris et à la nuit si sombre lorsqu'elle tombe,
Je me sens retenu dans cet endroit inconnu,
Et comme l'oiseau dans sa cage dorée,
On m'a fait descendre de mon univers si coloré.
Cet endroit est tel un labyrinthe,
Dans lequel je me perds car je n'ai pas de repaires,
Je suis emprisonné et comme l'animal pris en chasse,
Je suis chassé de mon paradis.
Ce paradis qui est si loin et que je ne pourrais atteindre,
Je ne voulais pas m'y mêler mais j'y ai été forcé,
Elle ne me comprendra sûrement jamais,
Et je resterais là prisonnier.
la section Spleen et Idéal qui est "Si par une nuit lourde et sombre".
L’emprisonnement
Dans cette ville aux bâtiments gris et à la nuit si sombre lorsqu'elle tombe,
Je me sens retenu dans cet endroit inconnu,
Et comme l'oiseau dans sa cage dorée,
On m'a fait descendre de mon univers si coloré.
Cet endroit est tel un labyrinthe,
Dans lequel je me perds car je n'ai pas de repaires,
Je suis emprisonné et comme l'animal pris en chasse,
Je suis chassé de mon paradis.
Ce paradis qui est si loin et que je ne pourrais atteindre,
Je ne voulais pas m'y mêler mais j'y ai été forcé,
Elle ne me comprendra sûrement jamais,
Et je resterais là prisonnier.
Samy B.
Haïku
le temps passe vite
Cheveux de toutes couleurs
Une minute, une heure
« Ta tête, ton geste, ton air » (tiré de « A celle qui est trop gaie » in Spleen et Idéal)
Cheveux de toutes couleurs
Une minute, une heure
« Ta tête, ton geste, ton air » (tiré de « A celle qui est trop gaie » in Spleen et Idéal)
Aurélie A.
Je me suis inspirée du poème "A une passante" de Baudelaire
L'ennuie
La rue assourdissante autour de moi hurlait,
Et c'est là que je suis seule, à penser,
A toutes les bonnes ou mauvaises choses,
Qui me sont arrivées,
Je me sens si seule je pense même à pleurer.
J'aimerai bien revenir dans le passé,
Juste pour revoir les bons moments,
Revenir avant d'y avoir repensé
C'est tellement fort et douloureux,
Et je ne peux même pas en parler !
Pourquoi ? J'aurai besoin d'extérioriser
De toute cette haine qui peut me hanter !
Mais je ne peux pas !
Non je dois sourire et dire que tout va bien,
Alors qu'au fond de moi je brûle
Et je hurle de désespoir !
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Cette activité a été réalisée par la classe de 1è STMG 4.
Les élèves ont été invités à écrire une oeuvre poétique, inspirée de Baudelaire.
Ce poème pouvait prendre au choix l'une des formes suivantes :
Chaque élève a eu un aspect personnel à sa page et avait la possibilité d'en faire la présentation de son choix.
Leurs oeuvres sont rangées par ordre alphabétique en utilisant le menu déroulant, à partir de l'onglet 2012-2013, puis Ecriture poétique et quête du sens.
Ce poème pouvait prendre au choix l'une des formes suivantes :
- un haïku ;
- un poème en prose ;
- un sonnet en décasyllabes ou en alexandrins ;
- un poème en vers libres.
- « La rue assourdissante autour de moi hurlait. » (tiré d' « A une passante » in Les Tableaux parisiens)
- « La musique souvent me prend comme une mer ! » (tiré de « La Musique » in Spleen et Idéal)
- « Si par une nuit lourde et sombre » (tiré de « Sépulture » in Spleen et Idéal)
- « Ta tête, ton geste, ton air » (tiré de « A celle qui est trop gaie » in Spleen et Idéal
Chaque élève a eu un aspect personnel à sa page et avait la possibilité d'en faire la présentation de son choix.
Leurs oeuvres sont rangées par ordre alphabétique en utilisant le menu déroulant, à partir de l'onglet 2012-2013, puis Ecriture poétique et quête du sens.