Création d'une utopie
Consignes données aux élèves :
Vous écrirez, dessinerez en bande-dessinée ou réaliserez en vidéo votre utopie. Vous veillerez à inclure des détails nous renseignant sur les aspects moraux, sociaux et politiques. Votre production pourra être narrative ou descriptive.
Cela pourra être fait en groupe (3 personnes maximum) ou individuellement.
Les élèves ont publié eux-mêmes leurs créations.
Vous écrirez, dessinerez en bande-dessinée ou réaliserez en vidéo votre utopie. Vous veillerez à inclure des détails nous renseignant sur les aspects moraux, sociaux et politiques. Votre production pourra être narrative ou descriptive.
Cela pourra être fait en groupe (3 personnes maximum) ou individuellement.
Les élèves ont publié eux-mêmes leurs créations.
Gaëtan A., Vincent C. et Thomas P.
Au trente-deuxième siècle de notre ère, il y aura une nation extraordinaire. Cette nation s'appellera Caolila et ses habitants caoliliens. Les caoliliens n'attendent rien, il n'y a pas de religion, pas de police, pas de gouvernement centralisé, et ce par l'effort de chacun pour obtenir une sagesse personnelle permettant qu'aucune personne ne soit supérieure à une autre. Les mots même qui signifient le mensonge et la dissimulation n'existent pas. Le passé les a tellement marqué que l'union et les efforts ont permis cette cohésion. Cette nation sera grande, ce qui ne l’empêchera pas d’être libre. L'alimentation sera abondante, l'Homme n'aura pas besoin de cultiver la terre. L'égalité entre tous permettra l'équilibre, tous auront les mêmes droits, les races n'existeront pas. La pauvreté ne sera plus présente en ce monde, aucun ne ressentira plus jamais le besoin, car ils vivront au jour le jour, l'inquiétude du lendemain n'existera plus, grâce à l'absence de futur. Ils ont connus des périodes des troubles comme celle que nous vivons depuis cent ans, ils l'appellent « ère de la profanation ».
Maxime B.
Hugo B.
Imen B.A.
Me voilà devant cette magnifique porte de ce monde paradisiaque, qui est entouré d’une grande, merveilleuse et splendide muraille faite de briques en or et en argent. Non je ne rêve pas, enfin si justement : le rêve c’est le but de mon utopie, rêver d’un monde meilleur où je me sentirais merveilleusement bien. Je pousse pour y rentrer, d’un coup un vent froid me souffla au visage et ferma mes yeux. J’avance un bon coup, et une magnifique odeur jaillit. J’avance encore une femme m’est apparue elle est si belle avec un visage lumineux, une couleur de peau très blanche, ses long cheveux comme de l’or où les lumières jaillissent, vêtue de perles précieuses, de soie et d’or. Elle me sourit et me dit : « entrez vous êtes la bienvenue, entrez je vous fais visité ». J’étais bouleversée à ce moment la, elle avait l’air si honnête ,trouve-t-on une personne ainsi dans le vrai monde ? Je marche derrière elle et me montre ce monde éternel. Je voix des habitants tous vêtus de soie, de satin, d’or, ils ont tous le même âge, ils n’ont pas poils sur le corps, rien d’autres que les cheveux de la tête et les sourcils. Elle me regarde gentiment et dit : « voilà ceci sont les fleuves d’eau, de miel pur, de lait et de vin, cela appartient à tout le monde », je lève un sourcil et réponds : « tout le monde ! Seulement les riches ? » Elle rigola et dit : « non ici il n’y a pas de riches et de pauvres tous les mêmes, tous libres, allez vient avance ma belle ». J’entre encore Les plus beaux animaux s’y trouvent, dans les fleuves d’eau se trouvent des magnifiques sirènes chantant du chant qui fait frissonner tout le corps : « il n’y pas d’hôpital ? De médecins ?» elle me répond : « non, personne n’est malade, il n’y a pas de douleur dans ce monde, les femmes aussi accouchent sans douleur… Ah Voilà enfin ton palais », je réponds choquée : « Mon palais ?! Ce magnifique palais avec ces perles ? Je ne paye rien ? », cette jolie me répond : « rien à payer, pas d’argent, on est tous égaux et libres … »
Nous avons la liberté dans ce monde, sans se soucier d’aucun problème, ni d’argent ni de logement, tout le monde sera logé dans des palais en diamant. Personnes ne pensera aux réseaux sociaux, aux objets électroniques, pas de télé, ni de téléphones, on n'y pensera même pas. Les habitants auront un cœur si pur ! Pas de jalousie, ni haine, que de la paix et de l’amour, pas de pays, ni d’origine, ni de race pas de pauvre ou de riche, tous au même niveau. Les enfants joueront partout avec des grands sourires et des cris de joie qui font volé dans l’air, pas comme ce monde ou des enfants meurent de faim, dans les guerres leur cris et leurs pleurs te brisent le cœur.
Nous avons la liberté dans ce monde, sans se soucier d’aucun problème, ni d’argent ni de logement, tout le monde sera logé dans des palais en diamant. Personnes ne pensera aux réseaux sociaux, aux objets électroniques, pas de télé, ni de téléphones, on n'y pensera même pas. Les habitants auront un cœur si pur ! Pas de jalousie, ni haine, que de la paix et de l’amour, pas de pays, ni d’origine, ni de race pas de pauvre ou de riche, tous au même niveau. Les enfants joueront partout avec des grands sourires et des cris de joie qui font volé dans l’air, pas comme ce monde ou des enfants meurent de faim, dans les guerres leur cris et leurs pleurs te brisent le cœur.
Cyprien C.
Il existe une multitude d’idéaux différents, probablement autant que d’êtres vivants sur terre, est-ce pour autant un problème ?
Tout ce que je peux dire est là. Malgré une grande variété d’idéaux, tous aspirent à une même chose, le bonheur. Comme un accomplissement, le but ultime. Plus qu’un état éphémère, le bonheur est un mode de vie, un équilibre à sans cesse retrouver. Je l’imagine comme une onde. Quand elle forme une ligne continue, c’est l’équilibre. Tandis que lorsqu’elle ondule, l’équilibre est rompu et c’est à ce moment que les sentiments sont les plus intenses. Lorsque l’onde monte, vous atteignez un sentiment de bonheur intense et au contraire lorsqu’elle descend vous sentez un malheur profond vous envahir. C’est le fait même de monter ou descendre qui altère les sentiments. On retrouve ce principe aussi bien dans la nature lorsqu’une pierre vient briser la monotonie d’un lac. C’est le moment où le tumulte des eaux laisse place au calme plat que j’appelle le bonheur.
Pour que tout le monde ait un accès au bonheur, j’ai imaginé mon utopie. Je rêve d’un monde avec une communication entre tous les êtres, comme une Babel inversée. Nous parlerions tous le même langage, plus encore, nous irions au-delà du langage, ainsi, Français et Chinois, riches et pauvres, tout le monde se comprendrait réellement. C’est de là que pourrait naître une égalité entre les Hommes. Je rêve qu’un sentiment de groupe se développe grâce à ce lien entre les individus. La nature de ce sentiment serait dépendante de l’état du groupe. De là, j’aime à croire que tout s’améliorerait naturellement. L’Homme étant par nature égoïste, ce sentiment le rendrait dépendant du reste du groupe. L’individu finirait tout de même par atteindre un équilibre de la même manière qu’il l’aurait fait seul. Il entrainerait ainsi avec lui le reste du groupe. Le but étant d’instaurer un sentiment qui lierait les individus les uns aux autres, autant qu’ils le sont avec eux-mêmes. Il existe déjà des sentiments de groupe, l’amitié, l’amour, l’empathie. Je pense qu’à l’avenir la technologie pourrait proposer une solution pour atteindre un tel niveau de communication entre les êtres.
En dépit de l’existence d’une multitude d’idéaux différents, je pense que s’il existe un lien profond entre les Hommes, chacun sera capable d’atteindre au moins un idéal, celui que constitue le sentiment d’être heureux.
Tout ce que je peux dire est là. Malgré une grande variété d’idéaux, tous aspirent à une même chose, le bonheur. Comme un accomplissement, le but ultime. Plus qu’un état éphémère, le bonheur est un mode de vie, un équilibre à sans cesse retrouver. Je l’imagine comme une onde. Quand elle forme une ligne continue, c’est l’équilibre. Tandis que lorsqu’elle ondule, l’équilibre est rompu et c’est à ce moment que les sentiments sont les plus intenses. Lorsque l’onde monte, vous atteignez un sentiment de bonheur intense et au contraire lorsqu’elle descend vous sentez un malheur profond vous envahir. C’est le fait même de monter ou descendre qui altère les sentiments. On retrouve ce principe aussi bien dans la nature lorsqu’une pierre vient briser la monotonie d’un lac. C’est le moment où le tumulte des eaux laisse place au calme plat que j’appelle le bonheur.
Pour que tout le monde ait un accès au bonheur, j’ai imaginé mon utopie. Je rêve d’un monde avec une communication entre tous les êtres, comme une Babel inversée. Nous parlerions tous le même langage, plus encore, nous irions au-delà du langage, ainsi, Français et Chinois, riches et pauvres, tout le monde se comprendrait réellement. C’est de là que pourrait naître une égalité entre les Hommes. Je rêve qu’un sentiment de groupe se développe grâce à ce lien entre les individus. La nature de ce sentiment serait dépendante de l’état du groupe. De là, j’aime à croire que tout s’améliorerait naturellement. L’Homme étant par nature égoïste, ce sentiment le rendrait dépendant du reste du groupe. L’individu finirait tout de même par atteindre un équilibre de la même manière qu’il l’aurait fait seul. Il entrainerait ainsi avec lui le reste du groupe. Le but étant d’instaurer un sentiment qui lierait les individus les uns aux autres, autant qu’ils le sont avec eux-mêmes. Il existe déjà des sentiments de groupe, l’amitié, l’amour, l’empathie. Je pense qu’à l’avenir la technologie pourrait proposer une solution pour atteindre un tel niveau de communication entre les êtres.
En dépit de l’existence d’une multitude d’idéaux différents, je pense que s’il existe un lien profond entre les Hommes, chacun sera capable d’atteindre au moins un idéal, celui que constitue le sentiment d’être heureux.
Ludivine C.
Et je les regarde encore. Eux qui vivent avec cette vie parfaitement saine. Ils sont heureux. Allongés sur cette plage de sable fin, les naufragés utilisent ce qui leur reste. Une balance pour entreposer les magnifiques fruits juteux cueillis du matin, elle est à côte du palmier sous lequel ils s'abritent lorsque le vent souffle. Ils ne connaissent plus le manque, la pauvreté puisque la nature leur donne déjà tout. Et quand parfois l'humidité tombe sur leurs épaules, ils allument un grand feu avec des petits papiers colorés qui leur reste du naufrage. Ils n'ont rien, mais ils ont tout. L'eau du lagon bleu est la plus pure et la plus savoureuse encore jamais bue. Les hommes des villes ne sont plus là pour juger et parler sans connaître. L'Hypocrisie, le Mensonge et la Trahison sont devenus des mots inconnus et la seule politique présente ici est celle du Respect. Les femmes sont belles, radieuses et épanouies. Les hommes sont forts et s'occupent du camp, pêchent et chassent afin de pouvoir nourrir les autres. Ils sont heureux. La pression des civilisations est maintenant loin. Je me sens bien quand je les regarde, mais c'est tout ce que je peux faire. Les approcher ne me serait pas permit. Alors je repars, les laissant derrière moi, tout en gardant un peu de leur légèreté pour continuer mon chemin.
Explications :
Les personnes décrites sont parfaites, le paysage est parfait et la nature abondante. Après avoir été victimes d'un naufrage, les passagers d'un bateau atterrirent sur une île loin de toute civilisations et commencent alors une vie simple et saine. Dans cette utopie, j'ai utilisé la « balance » pour porter les fruits, car c'est le symbole de la justice. Les « petits papiers colorés » représentent des billets qui sont ici utilisés pour allumer le feu de camp. Cela signifie donc, qu'une vie sans argent est plus simple et qu'il est souvent source de problèmes. Les mots « Hypocrisie » ; « Mensonge » et « Trahison » portent une majuscule. Je voulais les apparenter à des noms, car dans la société d'aujourd'hui, ces vices sont tout aussi importants et présents que des gens. Le « Respect » en porte également une, pour créer un contraste et montrer que sur l'île, c'est cette valeur qui est tout autant importante et présente que les êtres humains.
Explications :
Les personnes décrites sont parfaites, le paysage est parfait et la nature abondante. Après avoir été victimes d'un naufrage, les passagers d'un bateau atterrirent sur une île loin de toute civilisations et commencent alors une vie simple et saine. Dans cette utopie, j'ai utilisé la « balance » pour porter les fruits, car c'est le symbole de la justice. Les « petits papiers colorés » représentent des billets qui sont ici utilisés pour allumer le feu de camp. Cela signifie donc, qu'une vie sans argent est plus simple et qu'il est souvent source de problèmes. Les mots « Hypocrisie » ; « Mensonge » et « Trahison » portent une majuscule. Je voulais les apparenter à des noms, car dans la société d'aujourd'hui, ces vices sont tout aussi importants et présents que des gens. Le « Respect » en porte également une, pour créer un contraste et montrer que sur l'île, c'est cette valeur qui est tout autant importante et présente que les êtres humains.
Coline D. et Tiffany S.
Sabah E.
A small essay for the utopia searchers.
People character reflects on their behavior and the work they deliver. If we stand by the pure definition of utopia, a perfect and peaceful world can exist but if we want to live in it we should picture a utopic human behavior and way of life. People have a certain picture of what is right and what is wrong; they also do like kind, thoughtful people. May I assume, by the socially acceptable previous statement, that these features could build a utopia.If we recall science teachings this earth is a perfect place; being at this distance from the sun creates the perfect environment for the life that is in it, the thousands of plants we can found, the beautiful landscapes and the remarkable diverse fauna.
If we were to describe this place to someone who never saw our planet, wouldn’t they see it as a perfect place? I can imagine dozens of arguments to belittle my own essay nevertheless we can't deny the fact that we live in a utopia we're transforming in a dystopia.
People character reflects on their behavior and the work they deliver. If we stand by the pure definition of utopia, a perfect and peaceful world can exist but if we want to live in it we should picture a utopic human behavior and way of life. People have a certain picture of what is right and what is wrong; they also do like kind, thoughtful people. May I assume, by the socially acceptable previous statement, that these features could build a utopia.If we recall science teachings this earth is a perfect place; being at this distance from the sun creates the perfect environment for the life that is in it, the thousands of plants we can found, the beautiful landscapes and the remarkable diverse fauna.
If we were to describe this place to someone who never saw our planet, wouldn’t they see it as a perfect place? I can imagine dozens of arguments to belittle my own essay nevertheless we can't deny the fact that we live in a utopia we're transforming in a dystopia.
Julian F.
Waël L.
La définition d'utopie serai pour moi un pays où les gens vivrait heureux et où il y aurait aucune discrimination, aucune haine, aucune guerre, aucune méfiance, aucun vol, aucun racisme, aucun pauvre, aucun tueur, aucunes de toutes les chose qui rongent du plus profond et des plus obscures de ce monde dépourvue d'avenir à cause de quelques digérant qui croient que tout ce qu'ils font n'aura aucunes répercussions. Il n'y aurait aucune politique car celle-ci est synonyme de dispute et dans ce pays, les habitants ne connaissent pas ses mots. Les habitants de ce pays auraient pour leurs héritages le partage, une nourriture saine provenant de la faune et de la flore n'ayant pas était touché par l'industrialisation, la justice, la liberté dans toutes ses formes qu'elle soit physique ou morale, fraternité plus forte que les liens du sang, ce serait "l'âge d'or". Il n'y aurait aucun travail sans souci vivant une âge. C’est l'héritage qu’ils ont magnifique et royal. Ceci serait pour moi le Jardin d'Eden dans toute sa splendeur.
Loan O.
Je vais vous compter l’histoire d’un monde parallèle au notre, et pourtant liée si étroitement. En ce monde, les hommes et les femmes ne naissent pas seulement égaux, ils le reste.
Comment cela est-t-il possible me demanderais vous ? Et bien tout simplement en ne l’étant pas ! Comment un homme, femme, une personne de petite taille, de grande, un handicapé, un hyperactif ou un endormi pourrais être égaux et juger sur les mêmes critères ? Je parle bien ici d’égalité en termes de chance de réussir dans la vie.
Dans ce monde, chaque personne reçoit une éducation et une connaissance assez grande pour pouvoir réfléchir et non pas seulement être une victime des choses qu’ils pourraient croire. Ainsi, dans cette démocratie, chacun vote de façon intelligente et apporte une pierre à l’édifice au lieu de la jeter sur ceux qu’il pense être leurs ennemies.
De ce fait, les gens font évoluer le monde de façons positive, au lieu d’imaginer un monde parfait et inatteignable…
Ce monde est liée à notre comme je vous l’ai dit, il est dans notre esprit, attendant que certaines personnes agissent pour qu’ils deviennent réel.
Comment cela est-t-il possible me demanderais vous ? Et bien tout simplement en ne l’étant pas ! Comment un homme, femme, une personne de petite taille, de grande, un handicapé, un hyperactif ou un endormi pourrais être égaux et juger sur les mêmes critères ? Je parle bien ici d’égalité en termes de chance de réussir dans la vie.
Dans ce monde, chaque personne reçoit une éducation et une connaissance assez grande pour pouvoir réfléchir et non pas seulement être une victime des choses qu’ils pourraient croire. Ainsi, dans cette démocratie, chacun vote de façon intelligente et apporte une pierre à l’édifice au lieu de la jeter sur ceux qu’il pense être leurs ennemies.
De ce fait, les gens font évoluer le monde de façons positive, au lieu d’imaginer un monde parfait et inatteignable…
Ce monde est liée à notre comme je vous l’ai dit, il est dans notre esprit, attendant que certaines personnes agissent pour qu’ils deviennent réel.
Anaïs P.
Rencontre avec l'idéal
Le soleil brûlait la peau. Nous marchions depuis des jours sous les arbres humides et nous arrivions maintenant à l'orée de la forêt, près d'une source d'eau où se déversait tumultueusement une cascade dont le bruit fracassant brisait le silence froid et épais de la forêt. Alors que la brûlure du ciel ne faisait qu'augmenter et nous éblouir davantage, nous décidâmes de prendre du repos, en nous détendant dans l'eau rafraîchissante de la source. Voilà six semaines que notre groupe de chercheurs, d'archéologues, d'explorateurs, de médecins et même de militaires avait quitté l'Amérique pour explorer l'Amazonie et extorquer de la nature quelques biens à utiliser pour notre civilisation. Les chercheurs et les médecins avaient trouvé quelques plantes dont les vertus pouvaient être utiles pour soigner des maux survenus après la Guerre de Sécession. Les archéologues, avaient trouvé quelques richesses, pour assurer ainsi l'économie du pays. Ces personnes étaient aidées par les explorateurs, qui les emmenaient dans des endroits où l'Homme n'avait pas laissé son empreinte, et par les militaires, qui assuraient l'ordre, la sécurité et le maintien de la loi.
Alors que nous nous baignions, un explorateur un peu plus observateur que les autres remarqua une cavité, dont la plus grande partie était dissimulée par la cascade qui allait se fracasser sur la surface de la source comme si cette dernière était aussi rigide que du métal. Un étroit chemin formé de roches menait à cette cavité. Voyant cela, l'explorateur appela le reste de la troupe et d'un commun accord, nous décimâmes d'aller voir quels secrets renfermait cette cascade.
Le passage s'étirait sur des centaines de mètres, formant un dédale de couloirs souterrains qui se croisaient et se recroisaient un nombre incalculable de fois, et menaient dans un lieu méconnu de tous. Un lac, dont le bleu était d'une pureté éclatante était dissimulé derrière des falaises de roche qui l'entouraient et le recouvraient quelque peu, laissant un trou d'un diamètre légèrement inférieur à celui du lac et qui laissait passer la chaleur et la lumière du soleil, formant ainsi une sorte de cheminée. L'étendue d'eau, était entourée de plages de sable très fin, et blanc, dont il émanait une chaleur bienveillante. Il y avait ensuite à la périphérie des plages, une sorte de forêt, dont les arbres hauts et fiers abritaient de l'ombre sous leurs longues feuilles vertes. L'eau, en abondance, était encore plus désaltérante que l'eau ou le whisky que nous pouvions posséder. L'air, exotique, avait une odeur encore plus douce et chaleureuse que les lotions et le talc que les mères appliquaient à leurs nourrissons. Les arbres, dont les troncs étaient plus puissants que nos habitations, portaient des fruits dont le goût et le jus feraient pleurer de jalousie les dieux avec leur nectar et leur ambroisie.
Un jeune couple qui vivait dans ce paradis terrestre nous accueilli et nous fit découvrir les beautés de leur quotidien. Ce berceau de sérénité couvait une population d'êtres, beaux et puissants. Ils étaient tous égaux, en droit, en devoir, que ce soient des hommes, des femmes, des enfants, tous prenaient soin de leur prochain, en le traitant comme son égal. Il n'y avait aucune forme de pouvoir ni de supériorité. Ils ne connaissaient pas la monarchie, la démocratie, la féodalité ni même la dictature et le totalitarisme. Chacun remplissait une tâche, pour le bien et la survie de leur communauté, en étant fraternel et solidaire. La monnaie, l'argent, l'or n'existaient pas. Aucune forme de richesse et de commerce n'existait, et ils portaient des bijoux en ces métaux convoités par les terres civilisées comme les Américaines portaient des foulards. Ainsi, la nécessité et la pauvreté n'existait pas, tout comme les criminels. Tous les hommes étaient bons, ils ne connaissaient pas la jalousie, le mensonge, la trahison, la perfidie, la fourberie, la lâcheté, l'envie, l'avarice, la stupidité et les médisances. Leur caractère était forgé de reconnaissance, de bonté, de solidarité, de vérité, d'intelligence, d'humilité, de générosité et d'entraide. Ils n'attendaient de la nature rien de plus que ce qu'elle leur donnait et celle ci n'en attendait pas moins d'eux qu'ils la respecte. Ils vivaient en symbiose avec elle, sans essayer de la façonner d'une autre manière, et ils vivaient heureux ainsi, sans superficialité, seulement avec ce qu'ils avaient besoin.
Que personne ne soit étonné si je vous disais que devant ce spectacle tout à fait déroutant, les hommes « civilisés » voulurent s'emparer des richesses de ce monde protégé et ainsi détruire l'équilibre de la vie qu'avaient, non pas apprivoisé mais accueilli, les habitants de cette terre promise. Car tout ce qu'il ne connaît pas, l'Homme en fait une menace, ce qui en fait sa stupidité. Le progrès est très certainement inévitable, mais les améliorations qu'il apporte ne sont pas forcément meilleures à celles des années, des siècles, et des millénaires précédents.
Le soleil brûlait la peau. Nous marchions depuis des jours sous les arbres humides et nous arrivions maintenant à l'orée de la forêt, près d'une source d'eau où se déversait tumultueusement une cascade dont le bruit fracassant brisait le silence froid et épais de la forêt. Alors que la brûlure du ciel ne faisait qu'augmenter et nous éblouir davantage, nous décidâmes de prendre du repos, en nous détendant dans l'eau rafraîchissante de la source. Voilà six semaines que notre groupe de chercheurs, d'archéologues, d'explorateurs, de médecins et même de militaires avait quitté l'Amérique pour explorer l'Amazonie et extorquer de la nature quelques biens à utiliser pour notre civilisation. Les chercheurs et les médecins avaient trouvé quelques plantes dont les vertus pouvaient être utiles pour soigner des maux survenus après la Guerre de Sécession. Les archéologues, avaient trouvé quelques richesses, pour assurer ainsi l'économie du pays. Ces personnes étaient aidées par les explorateurs, qui les emmenaient dans des endroits où l'Homme n'avait pas laissé son empreinte, et par les militaires, qui assuraient l'ordre, la sécurité et le maintien de la loi.
Alors que nous nous baignions, un explorateur un peu plus observateur que les autres remarqua une cavité, dont la plus grande partie était dissimulée par la cascade qui allait se fracasser sur la surface de la source comme si cette dernière était aussi rigide que du métal. Un étroit chemin formé de roches menait à cette cavité. Voyant cela, l'explorateur appela le reste de la troupe et d'un commun accord, nous décimâmes d'aller voir quels secrets renfermait cette cascade.
Le passage s'étirait sur des centaines de mètres, formant un dédale de couloirs souterrains qui se croisaient et se recroisaient un nombre incalculable de fois, et menaient dans un lieu méconnu de tous. Un lac, dont le bleu était d'une pureté éclatante était dissimulé derrière des falaises de roche qui l'entouraient et le recouvraient quelque peu, laissant un trou d'un diamètre légèrement inférieur à celui du lac et qui laissait passer la chaleur et la lumière du soleil, formant ainsi une sorte de cheminée. L'étendue d'eau, était entourée de plages de sable très fin, et blanc, dont il émanait une chaleur bienveillante. Il y avait ensuite à la périphérie des plages, une sorte de forêt, dont les arbres hauts et fiers abritaient de l'ombre sous leurs longues feuilles vertes. L'eau, en abondance, était encore plus désaltérante que l'eau ou le whisky que nous pouvions posséder. L'air, exotique, avait une odeur encore plus douce et chaleureuse que les lotions et le talc que les mères appliquaient à leurs nourrissons. Les arbres, dont les troncs étaient plus puissants que nos habitations, portaient des fruits dont le goût et le jus feraient pleurer de jalousie les dieux avec leur nectar et leur ambroisie.
Un jeune couple qui vivait dans ce paradis terrestre nous accueilli et nous fit découvrir les beautés de leur quotidien. Ce berceau de sérénité couvait une population d'êtres, beaux et puissants. Ils étaient tous égaux, en droit, en devoir, que ce soient des hommes, des femmes, des enfants, tous prenaient soin de leur prochain, en le traitant comme son égal. Il n'y avait aucune forme de pouvoir ni de supériorité. Ils ne connaissaient pas la monarchie, la démocratie, la féodalité ni même la dictature et le totalitarisme. Chacun remplissait une tâche, pour le bien et la survie de leur communauté, en étant fraternel et solidaire. La monnaie, l'argent, l'or n'existaient pas. Aucune forme de richesse et de commerce n'existait, et ils portaient des bijoux en ces métaux convoités par les terres civilisées comme les Américaines portaient des foulards. Ainsi, la nécessité et la pauvreté n'existait pas, tout comme les criminels. Tous les hommes étaient bons, ils ne connaissaient pas la jalousie, le mensonge, la trahison, la perfidie, la fourberie, la lâcheté, l'envie, l'avarice, la stupidité et les médisances. Leur caractère était forgé de reconnaissance, de bonté, de solidarité, de vérité, d'intelligence, d'humilité, de générosité et d'entraide. Ils n'attendaient de la nature rien de plus que ce qu'elle leur donnait et celle ci n'en attendait pas moins d'eux qu'ils la respecte. Ils vivaient en symbiose avec elle, sans essayer de la façonner d'une autre manière, et ils vivaient heureux ainsi, sans superficialité, seulement avec ce qu'ils avaient besoin.
Que personne ne soit étonné si je vous disais que devant ce spectacle tout à fait déroutant, les hommes « civilisés » voulurent s'emparer des richesses de ce monde protégé et ainsi détruire l'équilibre de la vie qu'avaient, non pas apprivoisé mais accueilli, les habitants de cette terre promise. Car tout ce qu'il ne connaît pas, l'Homme en fait une menace, ce qui en fait sa stupidité. Le progrès est très certainement inévitable, mais les améliorations qu'il apporte ne sont pas forcément meilleures à celles des années, des siècles, et des millénaires précédents.
Salomé S.
Explications :
Le premier dessin représente la beauté de la nature, l'harmonie des êtres vivants. La joie de vivre et la bonne entente de tous, un respect commun de tous. Tout le monde peut vivre ensemble. Le secon dessin représente l'égalité entre tous les êtres vivants, dans un monde idéal, toujours dans la bonne humeur. Le troisième dessin est un peu différent, car il représente l'amour. L'amour en général, l'amour de l'autre, l'amour de la nature, l'amour de la vie. Quant au quatrième dessin il résume tout cela. Tout le monde vit ensemble dans le bonheur d'une si belle nature, avec seulement comme règle d'être heureux et de respecter l'autre. Il n y a pas de personne pour faire respecter la loi car tout le monde est atteint d'une sagesse hors norme.
Le premier dessin représente la beauté de la nature, l'harmonie des êtres vivants. La joie de vivre et la bonne entente de tous, un respect commun de tous. Tout le monde peut vivre ensemble. Le secon dessin représente l'égalité entre tous les êtres vivants, dans un monde idéal, toujours dans la bonne humeur. Le troisième dessin est un peu différent, car il représente l'amour. L'amour en général, l'amour de l'autre, l'amour de la nature, l'amour de la vie. Quant au quatrième dessin il résume tout cela. Tout le monde vit ensemble dans le bonheur d'une si belle nature, avec seulement comme règle d'être heureux et de respecter l'autre. Il n y a pas de personne pour faire respecter la loi car tout le monde est atteint d'une sagesse hors norme.
Laurent T.
Nous nous situons dans un monde a des années Lumière du notre. Je m'appelle Jack, enfin, c'est comme ca que l'on me nomait au début du siècle, en 2001, quand j'ai été mis en état de mort cérébral. J'ai été réveillé en 2056, 2 années auparavant que je commence a écrire mes mémoires. Malheuresement le monde dans lequel j'ai réssucité est un monde entièrement différent : la génétique a fait de telle progrès que les hommes sont desormais programmés avant d'être nés. Les personnes de ce monde ont instaurés une communauté socialement parfaite : tout le monde est de bon goût et tres sympatique, ainsi que bon vivant. Il n'y donc plus aucune maladies sur cette nouvelle terre, plus de phénomènes de sociétées comme la dépression, l'alcoolisme, le tabac, tous ces défauts ont été éradiqués. Un système politique unique a été voté et instauré,donnant du pouvoir a chaque citoyen de la terre car oui, nous sommes désormais des citoyens de la terre, les pays ayant été supprimés du fait de leur concuurence indirecte qui d'après ces hommes-nouveaux, serait néfaste pour la bonne entente des différents peuple. Et moi au milieu de tout ca.. une tache parmis,la société, un élément de l'ancien monde, considéré comme sous humain, et condamné à mort.. car oui la justice et les nouvelles lois sont indiscutables car elles sont desormais instaure par des hommes parfaits. D'un autre coté, ces hommes parfaits ne nous tuent pas, ils prennent possession de nos cerveaus, nous envoient dans des lieux entre la vie et la mort, réservé au « vétéran » comme moi, et l'on y est traité comme de vrai dieu : nourritture, boisson, rien ne manque, de plus, tous les être vivants de l'ancienne génération comme moi qui vivaient encore lors de la mise en place de cette nouvelle race d'humain, ont étés envoyés dans ces sortes de maison de retraite. J'espere sincerement pouvoir y retrouver de la famille ou mon entourage après tout ce temps.. On m'a asuré cependant que cela se produirait.
Yanis T.
Quelque part, nulle part.Un endroit, à l'envers, comme une bulle entre l'espace et le temps. Ni terre, ni mer, ni air, ni océan... un fond blanc. Perdu dans cette singularité, on ne voit ni bord, ni fin, ni début.
Quoi? Où ça ? Comment ce fait-ce ... ? Qui suis-je ? Pourquoi ! Je ne comprends pas, mais toutes ces questions n'importent peu désormais, car il semble par une étrange magie, que tout autour de moi se dessine des formes, puis objets. Soudain l'un d'entre eux semble d'aspects humains, et s'anthropomorphise de plus en plus. Un docteur, je crois... du moins il en a la posture et le costume :
"- Qui suis-j...
- Bonjour, m'interrompt-il, qu'est-ce qui vous amène ?
- Pourquoi suis-j...
- ... je ici ? Et nous parlons dans le même temps.
- Que fais-...
- ... je ici ?" Tel un miroir nous sommes deux images identiques? Alors, je le regarde plus attentivement, jusqu'à ce qu'il disparaisse, je le vois encore, mais c'est comme si il n'existait plus... Je me demande qui est-ce, et pourquoi est-il ici, avec moi. Il ne me rappelle rien, cet endroit non plus. Alors je prends une grande inspiration tout à coup -de vide car il n'y a pas d'air-, et avec un soupçon d'effroi j'osa lui dire : " - Bonjour".
Ses yeux me fixèrent soudain, et il entrouvrit la bouche :
"- Songeons ensemble, déclame-t-il avec tant de calme.
- A propos...
- ... de quoi, m'interrompt-il encore, parlant dans le même temps.
-Mais pour...
- ...quoi". Je compris alors que ce serait notre conversation, mais à quoi devrions-nous songer ? Oh ! Je crois comprendre : "-D'accord" , et ce fut la parole la plus contrite que je n'eux jamais prononcé. Le Temps passe -ce qui est faux car il n'y a pas de temps-... Folâtrant toujours dans mes songes, allant et venant sur les fleurs de la pensée, il reprit soudain :
"- Reprenons.
Je compris que je ne devais m'égarer aux stupides questions qui m'interpellent d'habitude et brouillent l'horizon.
-D'accord, repris-je."
Tout à coup, un tourment externe semble avoir secoué cet envers, comme une légère secousse qui raisonne inaudiblement comme un Gong martial. L'homme toujours impassible ne sembla affecté par cette légère brise, je m'allonge sur un objet comparable à un canapé qui se trouvait là et détourna mon regard vers ce néant énigmatique. Dans cet obscur... ces obscures ombresmouvantes, on peut entrevoir certaines choses, mais rien en réalité. En réalité.... ce mot résonne soudain, et je me redemande où suis-je...
"- Vous êtes mort.
Comme s'il m'écoutait penser, et il déclama cela d'une manière si froide ! Mais si je suis ...
-Etre mort ne veut rien dire ici, reprit-il.
-Alors pourquoi employez-vous ce mot ?
-... Il ne sut répondre, puis il continua : car vous êtes un Homme."
Si je suis un Homme et qu'il emploi ce mot qui n'existe pas ici, alors ce mot tout comme...
"- ... oui ce mot n'a aucun sens ici également.
-Il n'en a guère non plus dans mon monde.
-Plait-il, demanda-t-il étonné.
Le Temps passe et je ne lui réponds pas -même si il n'y a pas de temps ici-.
-Pourquoi ne répondez-vous pas ?" me demanda-t-il soudain alors que je l'avais encore oublié.
En me retournant, je vois qu'il tient désormais entres ces mains une sorte de carnet où il y prend des notes, mais cela me semble de peu d'importance?
"-Et si je vous disais d'imaginer une petite place, un petit espace, où vous pourriez jouer ces petits hommes." Me proposa-til.
Peut-être serait-ce un espace où ces hommes et femmes vivraient. Loin des conflits qui opposent leur nature à leur intelligence, leur désirs différents et propre à chacun. Où les Hommes auraient réussient à ne plus laisser leurs violence et haines guider leur action. Pourquoi ? Parce que ces derniers auraient compris qu'il n'y a guère de vérité, mais que des réalités différentes, que chacun appelle vérités et où les autres sont mensonges. Cette distinction deviendrait une considération de toutes ces réalités, sans leur avilition. Tous seraient pensants, tous penseraient, sans qu'aucune chimère vampirique ne freine leur esprit. Leur esprits... Ce dernier serait capable de merveille, non par sa capacité à produire quelque chose d'utile à ses congénères, mais rayonnerait de par sa pureté et son expression simple. L'art dira-t-on, serait une forme d'expression, clivante certes, mais dont chacun pourrait en apprécier la courbure, et les petits groupes y développer leur formes sans se sceller à un usage clandestin. Les hommes, les femmes, les enfants, les vents, les vagabonds ne sauraient se soumettre sous aucune forme de main animé d'une volonté quelconque. Seuls les lois du bon sens et de la morale universelle opéreraient à gérer le boulanger et l'artisan. Les processions glorieuses prônant un idéal seraient sujettes à moqueries, et lapidé du regard amusé des plus sages, dont ces regards seraient vaincu par la cécité? Les regards, oh ces regards qui feraient briller en leur essence non plus l'oeil discriminatoire, la pensée chimérique ou une quelconque sélection, mais bel et bien une flamme de joie et de d'amitié que tous se porteraient. Certains de mon monde ont pourtant tenter d'apporter cette flamme, mais ont été chimérisés. Ces regards ne traduiraient plus l'aspect mais seraient enjoués de voir comment chacuns de leur congénères s'amusent de leurs aspects et formes, en y exprimant leurs originalités et personnalités?
Puis je me retourne, tout disparaît soudain dans une aspiration troublante. J'ouvre les yeux... J'ai compris, ce fût .... mais peu importe. Mais où suis-je ? Je ne sais pas, cela semble être mon monde, je ne saurais dire pourquoi, je vois encore trouble. J'entends de faibles bruits, je ne sais pas ... Des bruit sourds intermittents, comme si on s'efforçait d'appeler quelqu'un, je vois à travers mes yeux troubles et éblouîs des formes étranges bouger. Où suis-je ? Qui suis-je ... et j'entends dans le même temps quelqu'un, je perçois à peine sa voix :"- Qui êtes vous ?". Mais je me rappelle, là, tout de suite, ce qui m'est arrivé... et je compris que ce docteur et ses notes n'étaient qu'allégorie. Allégorie de cette société non prête à changer et qui me faisait peur, elle qui jugeait, sans même la parole, quelqu'un pour ses idées.
Quoi? Où ça ? Comment ce fait-ce ... ? Qui suis-je ? Pourquoi ! Je ne comprends pas, mais toutes ces questions n'importent peu désormais, car il semble par une étrange magie, que tout autour de moi se dessine des formes, puis objets. Soudain l'un d'entre eux semble d'aspects humains, et s'anthropomorphise de plus en plus. Un docteur, je crois... du moins il en a la posture et le costume :
"- Qui suis-j...
- Bonjour, m'interrompt-il, qu'est-ce qui vous amène ?
- Pourquoi suis-j...
- ... je ici ? Et nous parlons dans le même temps.
- Que fais-...
- ... je ici ?" Tel un miroir nous sommes deux images identiques? Alors, je le regarde plus attentivement, jusqu'à ce qu'il disparaisse, je le vois encore, mais c'est comme si il n'existait plus... Je me demande qui est-ce, et pourquoi est-il ici, avec moi. Il ne me rappelle rien, cet endroit non plus. Alors je prends une grande inspiration tout à coup -de vide car il n'y a pas d'air-, et avec un soupçon d'effroi j'osa lui dire : " - Bonjour".
Ses yeux me fixèrent soudain, et il entrouvrit la bouche :
"- Songeons ensemble, déclame-t-il avec tant de calme.
- A propos...
- ... de quoi, m'interrompt-il encore, parlant dans le même temps.
-Mais pour...
- ...quoi". Je compris alors que ce serait notre conversation, mais à quoi devrions-nous songer ? Oh ! Je crois comprendre : "-D'accord" , et ce fut la parole la plus contrite que je n'eux jamais prononcé. Le Temps passe -ce qui est faux car il n'y a pas de temps-... Folâtrant toujours dans mes songes, allant et venant sur les fleurs de la pensée, il reprit soudain :
"- Reprenons.
Je compris que je ne devais m'égarer aux stupides questions qui m'interpellent d'habitude et brouillent l'horizon.
-D'accord, repris-je."
Tout à coup, un tourment externe semble avoir secoué cet envers, comme une légère secousse qui raisonne inaudiblement comme un Gong martial. L'homme toujours impassible ne sembla affecté par cette légère brise, je m'allonge sur un objet comparable à un canapé qui se trouvait là et détourna mon regard vers ce néant énigmatique. Dans cet obscur... ces obscures ombresmouvantes, on peut entrevoir certaines choses, mais rien en réalité. En réalité.... ce mot résonne soudain, et je me redemande où suis-je...
"- Vous êtes mort.
Comme s'il m'écoutait penser, et il déclama cela d'une manière si froide ! Mais si je suis ...
-Etre mort ne veut rien dire ici, reprit-il.
-Alors pourquoi employez-vous ce mot ?
-... Il ne sut répondre, puis il continua : car vous êtes un Homme."
Si je suis un Homme et qu'il emploi ce mot qui n'existe pas ici, alors ce mot tout comme...
"- ... oui ce mot n'a aucun sens ici également.
-Il n'en a guère non plus dans mon monde.
-Plait-il, demanda-t-il étonné.
Le Temps passe et je ne lui réponds pas -même si il n'y a pas de temps ici-.
-Pourquoi ne répondez-vous pas ?" me demanda-t-il soudain alors que je l'avais encore oublié.
En me retournant, je vois qu'il tient désormais entres ces mains une sorte de carnet où il y prend des notes, mais cela me semble de peu d'importance?
"-Et si je vous disais d'imaginer une petite place, un petit espace, où vous pourriez jouer ces petits hommes." Me proposa-til.
Peut-être serait-ce un espace où ces hommes et femmes vivraient. Loin des conflits qui opposent leur nature à leur intelligence, leur désirs différents et propre à chacun. Où les Hommes auraient réussient à ne plus laisser leurs violence et haines guider leur action. Pourquoi ? Parce que ces derniers auraient compris qu'il n'y a guère de vérité, mais que des réalités différentes, que chacun appelle vérités et où les autres sont mensonges. Cette distinction deviendrait une considération de toutes ces réalités, sans leur avilition. Tous seraient pensants, tous penseraient, sans qu'aucune chimère vampirique ne freine leur esprit. Leur esprits... Ce dernier serait capable de merveille, non par sa capacité à produire quelque chose d'utile à ses congénères, mais rayonnerait de par sa pureté et son expression simple. L'art dira-t-on, serait une forme d'expression, clivante certes, mais dont chacun pourrait en apprécier la courbure, et les petits groupes y développer leur formes sans se sceller à un usage clandestin. Les hommes, les femmes, les enfants, les vents, les vagabonds ne sauraient se soumettre sous aucune forme de main animé d'une volonté quelconque. Seuls les lois du bon sens et de la morale universelle opéreraient à gérer le boulanger et l'artisan. Les processions glorieuses prônant un idéal seraient sujettes à moqueries, et lapidé du regard amusé des plus sages, dont ces regards seraient vaincu par la cécité? Les regards, oh ces regards qui feraient briller en leur essence non plus l'oeil discriminatoire, la pensée chimérique ou une quelconque sélection, mais bel et bien une flamme de joie et de d'amitié que tous se porteraient. Certains de mon monde ont pourtant tenter d'apporter cette flamme, mais ont été chimérisés. Ces regards ne traduiraient plus l'aspect mais seraient enjoués de voir comment chacuns de leur congénères s'amusent de leurs aspects et formes, en y exprimant leurs originalités et personnalités?
Puis je me retourne, tout disparaît soudain dans une aspiration troublante. J'ouvre les yeux... J'ai compris, ce fût .... mais peu importe. Mais où suis-je ? Je ne sais pas, cela semble être mon monde, je ne saurais dire pourquoi, je vois encore trouble. J'entends de faibles bruits, je ne sais pas ... Des bruit sourds intermittents, comme si on s'efforçait d'appeler quelqu'un, je vois à travers mes yeux troubles et éblouîs des formes étranges bouger. Où suis-je ? Qui suis-je ... et j'entends dans le même temps quelqu'un, je perçois à peine sa voix :"- Qui êtes vous ?". Mais je me rappelle, là, tout de suite, ce qui m'est arrivé... et je compris que ce docteur et ses notes n'étaient qu'allégorie. Allégorie de cette société non prête à changer et qui me faisait peur, elle qui jugeait, sans même la parole, quelqu'un pour ses idées.
Pierre W.
Nous étions à peine arriver en ce lieu qu'il me fasciner déjà. Ma vue se troublait par tant de splendeurs. Cette île était comme je n'en avais jamais vue auparavant. Le moment de la rencontre avec les locaux avait été un moment spécial pour nous mais aussi pour eux, la peur se liser sur tous les visages, nous étions les premiers navigateurs à débarquer en ce lieu.
Cela faisait désormais plusieurs jours que nous vivions dans cette ville, et je ne cessais d'aller de découvertes en découvertes qui ne faisaient que conforter mon sentiment selon lequel ce lieu était parfait. Depuis l'instant de mon arrivée, les personnes que je rencontrais nous apportaient tout l'aide qu'ils pouvaient avec une grande gentillesse, cela pouvait aller de fruits pour se nourrir à un ébergement pour l'équipage entier sans rien attendre en retour. C'était ici une façon de penser, de vivre, tout le monde s'entraider. Ils avaient une vision du monde et de la vie en société diamétralement opposer à celle que nous observions sur le continent, eux que nous considérions à notre arrivée comme une civilisation sous développer, s'avérait au contraire être en avance sur leur époque et donc sur nous. Ils possédaient un système économique révolutionnaire dans lequel l'argent n'à pas de réel importance étant donner que nous nous trouvions en un lieu où tout le monde en posséder suffisamment afin de vivre très convenablement durant plusieurs générations , plus de pauvres, plus de démunis et plus de sans abris, les distinctions sociales qui étaient constamment faites par la possession de biens sur le continent avaient disparues. Cela entraîner suite à toutes ces richesses, le fait que personne ne travailler, il n'était produit que le strict minimum nécessaire à la vie dans des secteurs tel que l'artisanat, l'agriculture ou encore dans les nouvelles technologies, et cela n'était fait que par des locaux passionner désireux de participer au développement de leur communauté et tout gratuitement. Au niveau du gouvernement, ce coin de paradis était encore une fois à l'opposer de notre fonctionnement, il n'y avait pas de dirigeant élu par la population, mais c'était plutôt le peuple qui décider de ce qui était le mieux pour le bien être de tous. Chaque mois, ce tenait sur la place principale de l'île, une grande réunion où tout le monde était convier afin de voter les propositions qui avaient été faites par les citoyens au cour du mois. Toutes personnes résidant sur l'île pouvait voté, et c'est sur ce point que nous étions agréablement surpris, étant donner que contrairement à la mentalité présente sur le continent, nous observions que tous les habitants de l'île, étaient parfaitement égaux, par de différenciassions, pas de racisme, pas de discrimination. Tous les mots tel que le racisme, le mensonge, la trahison, la cupidité, la pauvreté ou l'égoïsme étaient comme inexistants, inconnus aux yeux de toutes ces personnes.
Nous partons de ce lieu changer, nous avons compris que ce n'était pas eux le peuple barbare et sous développer mais bien nous. Ces gens qui vivent là si heureux nous ont montré que le monde parfait était bien atteignable mais qu'à l'allure à laquelle nous allons nous sommes très loin de l'atteindre et nous sommes voir même en train de s'en éloigner.
Cela faisait désormais plusieurs jours que nous vivions dans cette ville, et je ne cessais d'aller de découvertes en découvertes qui ne faisaient que conforter mon sentiment selon lequel ce lieu était parfait. Depuis l'instant de mon arrivée, les personnes que je rencontrais nous apportaient tout l'aide qu'ils pouvaient avec une grande gentillesse, cela pouvait aller de fruits pour se nourrir à un ébergement pour l'équipage entier sans rien attendre en retour. C'était ici une façon de penser, de vivre, tout le monde s'entraider. Ils avaient une vision du monde et de la vie en société diamétralement opposer à celle que nous observions sur le continent, eux que nous considérions à notre arrivée comme une civilisation sous développer, s'avérait au contraire être en avance sur leur époque et donc sur nous. Ils possédaient un système économique révolutionnaire dans lequel l'argent n'à pas de réel importance étant donner que nous nous trouvions en un lieu où tout le monde en posséder suffisamment afin de vivre très convenablement durant plusieurs générations , plus de pauvres, plus de démunis et plus de sans abris, les distinctions sociales qui étaient constamment faites par la possession de biens sur le continent avaient disparues. Cela entraîner suite à toutes ces richesses, le fait que personne ne travailler, il n'était produit que le strict minimum nécessaire à la vie dans des secteurs tel que l'artisanat, l'agriculture ou encore dans les nouvelles technologies, et cela n'était fait que par des locaux passionner désireux de participer au développement de leur communauté et tout gratuitement. Au niveau du gouvernement, ce coin de paradis était encore une fois à l'opposer de notre fonctionnement, il n'y avait pas de dirigeant élu par la population, mais c'était plutôt le peuple qui décider de ce qui était le mieux pour le bien être de tous. Chaque mois, ce tenait sur la place principale de l'île, une grande réunion où tout le monde était convier afin de voter les propositions qui avaient été faites par les citoyens au cour du mois. Toutes personnes résidant sur l'île pouvait voté, et c'est sur ce point que nous étions agréablement surpris, étant donner que contrairement à la mentalité présente sur le continent, nous observions que tous les habitants de l'île, étaient parfaitement égaux, par de différenciassions, pas de racisme, pas de discrimination. Tous les mots tel que le racisme, le mensonge, la trahison, la cupidité, la pauvreté ou l'égoïsme étaient comme inexistants, inconnus aux yeux de toutes ces personnes.
Nous partons de ce lieu changer, nous avons compris que ce n'était pas eux le peuple barbare et sous développer mais bien nous. Ces gens qui vivent là si heureux nous ont montré que le monde parfait était bien atteignable mais qu'à l'allure à laquelle nous allons nous sommes très loin de l'atteindre et nous sommes voir même en train de s'en éloigner.
Saïd Z.
Selon moi
l'utopie est un mot qui veut dire l'impossible si on se réfère à un monde il
serai harmonieux, sans problème ,sans haut et bas. Ce monde serai abondant et
on ne manquerai se rien, tous le monde serai respectueux de l'autre et personne
ne se disputerai, un monde où il n'y a aucun soucis, où on pourrai atteindre
ce que l'on veut, où la politique n'aurait pas sa place. Selon moi ce monde
utopique est le reflet de ce que je voudrai qu'il y a dans le monde réel.