Gaudé, La Mort du roi Tsongor
Consignes données aux élèves: en utilisant une focalisation interne ou un discours intérieur, vous écrirez la lamentation d'une femme ou d'un homme ordinaire de la cité qui la voit détruite à cause de la guerre.
Andréa B.
La bataille faisait rage entre les deux clans à Massaba. Un villageois de cette ancienne cité colorée se rememorait des jours lumineux qu’il avait vécu quelques semaines plus tôt et regardait son environnement se détruire de jour en jour. Il se souvenait des rires entendu dans les rues, le bruit du marché en bas de son habitation, le poissonnier avec qui il entretenait une amitié, avec le marchand de tissus aussi...Maintenant tout ce qu’il entendait étaient des cris de terreur, des pleures et des bombes. Pour ne plus l'écouter, seul il s'était mit dans sa chambre détruite par la guerre qui représentait sa vie et son coeur actuelle. Il fermait une dernière fois les yeux pour ne plus rien voir et pour comprendre ce qu’il ressentait. C'était un adolescent qui avait vécu dans la tristesse après avoir vu ses parents mourir, avec la peur de mourir peut-être lui aussi...Mais pendant ce moment de réflexion, il se demandait si ce n'était pas mieux finalement de ne plus vivre cet enfer et les rejoindre? Une délivrance, une liberté retrouvée après de longue semaines de calvaire. La souffrance envolée en quelques secondes. Oui, c'était cela qu’il souhaitait au plus profond de lui même. Il savait que le futur qu’il s'était imaginé ne se produirait jamais. Au début il ne voulait que voir le mariage de la princesse qu’il admirait en secret, voyager à travers le monde. Mais ce futur était un rêve et le serait toujours. Alors pour finir, il s’était allongé sur le matelas en mousse qui lui avait servit de lit et attendait. Il attendait quoi? De monter au ciel, et être heureux.
Dhikra D.
[Note de l'enseignante: Dhikra est une élève allophone. Son travail ayant été rendu tardivement, il ne m'a pas été possible de lui proposer un travail de correction ensemble. Il est donc mis en ligne tel quel.]
Un vieil homme appelé Nagoumi, habitant de la ville de Massaba s'apperçoi que sa ville est détruite. Lors de sa sortie pour voir la ville après l'horreur de cette guerre en se promenant "la guerre est non seulement ce qui brûle notre présent mais aussi ce qui continue même après avoir calmer les incendie." Nagoumi s'est approché de la grande statue symbolique de la ville de Massaba, au fond de lui s'éveille des sentiments opposés entre la pitié, tristesse ou nouvelle espoir car durant les années à venir il se souviendra toujours de cette guerre maudite. En pensant à cela une phrase lui sortie de la bouche "dans le temps passé, nous avons obéis aux rois et baissés la tête devant les empereurs, mais aujourd'hui nous ne suivons que la beauté et obéir seulement à l'amour". Un jeune homme toucha son épaule, Nagoumi se retourna vers lui et voit que le jeune homme lui offre une fleur fanée en lui disant "c'est merveilleux qu'un homme meurt pour son pays mais le plus merveilleux c'est de vivre pour lui" Nagoumi lui répond en souriant "pour un homme qui n'a pas plus de patrie, les souvenirs deviennent un endroit où vivre car cette guerre restera dans notre mémoire jusqu'à la fin de nos jours ."
Un vieil homme appelé Nagoumi, habitant de la ville de Massaba s'apperçoi que sa ville est détruite. Lors de sa sortie pour voir la ville après l'horreur de cette guerre en se promenant "la guerre est non seulement ce qui brûle notre présent mais aussi ce qui continue même après avoir calmer les incendie." Nagoumi s'est approché de la grande statue symbolique de la ville de Massaba, au fond de lui s'éveille des sentiments opposés entre la pitié, tristesse ou nouvelle espoir car durant les années à venir il se souviendra toujours de cette guerre maudite. En pensant à cela une phrase lui sortie de la bouche "dans le temps passé, nous avons obéis aux rois et baissés la tête devant les empereurs, mais aujourd'hui nous ne suivons que la beauté et obéir seulement à l'amour". Un jeune homme toucha son épaule, Nagoumi se retourna vers lui et voit que le jeune homme lui offre une fleur fanée en lui disant "c'est merveilleux qu'un homme meurt pour son pays mais le plus merveilleux c'est de vivre pour lui" Nagoumi lui répond en souriant "pour un homme qui n'a pas plus de patrie, les souvenirs deviennent un endroit où vivre car cette guerre restera dans notre mémoire jusqu'à la fin de nos jours ."
Lucille L.
Quelle catastrophe!
Jamais je n'aurais pensé assister à un tel désastre l'église ou je suis me suis marié est complètement détruite, j'aperçois au milieu des décombres les chaises sur lesquelles nous avons dit "oui"
quelle tristesse ! J'aurais beaucoup de mal à m'en remettre tellement que j'ai de peine. Cette si belle ville qui m'a vu naître et grandir est qui n'est aujourd'hui plus qu'un tas de gravats. Maudite soit la guerre ! J'espère de tout cœur que cette ville soit reconstruite comme elle était et que mes enfants pourront la voir renaître et vivre comme je l'ai vécu dans la jeunesse.
Mathieu S.
Une vieille femme assise sur un petit muret de pierre, le regard hagard se lamente.
O Dieu ! Qu’avons-nous fait pour mériter un tel châtiment ?
Est-ce l’arrogance des hommes à toujours vouloir montrer leur supériorité qui nous a conduits à cela ?
Ou cette jeunesse fougueuse toujours en quête d’un nouveau pouvoir ?
O quelle tristesse !
De cette ville où je suis née il ne reste rien !
Toutes ces maisons détruites, ces familles hantées par la mort d’un proche, tout cela juste pour un simple conflit.
Les cris de joie des enfants d’autrefois se sont transformés en d’atroces sonorités de souffrance et de peine.
Nos valeureux combattants agonisent maintenant dans les décombres et la poussière.
Que n’ai-je vécu tout se temps pour assister à de telle horreur !
O Dieu ! Qu’avons-nous fait pour mériter un tel châtiment ?
Est-ce l’arrogance des hommes à toujours vouloir montrer leur supériorité qui nous a conduits à cela ?
Ou cette jeunesse fougueuse toujours en quête d’un nouveau pouvoir ?
O quelle tristesse !
De cette ville où je suis née il ne reste rien !
Toutes ces maisons détruites, ces familles hantées par la mort d’un proche, tout cela juste pour un simple conflit.
Les cris de joie des enfants d’autrefois se sont transformés en d’atroces sonorités de souffrance et de peine.
Nos valeureux combattants agonisent maintenant dans les décombres et la poussière.
Que n’ai-je vécu tout se temps pour assister à de telle horreur !
Noa Z.
Un soir d’hiver, Aurore fut réveillée par les cris des habitants de la cité. Elle sursauta et se leva aussitôt, son cœur se mit à battre très fort, elle était paniquée. Aurore comprit très rapidement que la guerre avait éclaté. Sa cité où elle avait grandi était en train de prendre feu, tout ça pour que les Splutens deviennent plus puissant en prenant la cité de Teims. Aurore voulait fuir le massacre, elle devait faire vite avant que les flammes ne recouvrent sa maison. En sortant elle vit une fillette pleuré car dans l’agitation des habitants elle avait perdu sa maman, sans attendre elle prit la fillette dans ses bras. Elle se dirigea vers l’écurie, prit son cheval et s’en alla le plus loin possible de l’horreur qui était en train d’être commise. Aurore voulait rejoindre la montagne qui se trouvait a 1jours a pied de chez elle, là-bas elle s’avait qu’elle allait pouvoir être hébergé par ses parents. Loin du drame, Aurore se retourna et regarda le drame, elle serra très fort la fillette dans ses bras, car maintenant c’est tout ce qu’il lui reste.
Quelques mois plus tard, Aurore avait repris le gout de la vie chez ses parents, elle éduqua la fillette comme si c’était sa fille mais elle avait peur, peur qu’un jour la guerre recommence.
Quelques mois plus tard, Aurore avait repris le gout de la vie chez ses parents, elle éduqua la fillette comme si c’était sa fille mais elle avait peur, peur qu’un jour la guerre recommence.