Illusions perdues
Consignes données aux élèves: vous écrirez des extraits des textes qui ont inspiré Emma Bovary ou Fabrice Del Dongo dans leur vision déformée du réel, soit un roman sentimental pour Emma, soit un compte-rendu de hauts faits militaires pour Fabrice.
Tatiana A.
Le prince à la chevelure dorée
Elle était belle c'était la plus belle dans sa robe de soie. Elle n'était pas seulement belle c'était une princesse une princesse avec son prince. Il était beau car il avait les yeux bleu il était blond le soleil se reflétait dans sa chevelure dorée cela aveuglaient les oiseaux. La princesse et le prince se baladaient main dans la main, autour les arbres semblaient les saluer. Bien sûr le prince avait dans son autre main une rose, la rose de mademoiselle La Beauté. Le prince aimait lui déclamer des poèmes tout en faisant de grand gestes suivis d’une révérence tous cela en chantant, et bien sur il savait jouer du violon. Il l'a comparée à la lune car elles étaient tout deux d’une blancheur éclatante, il lui disait qu’elle sentait la rose puis il lui embrassait les mains. C’est alors qu’elle ricanait. Il est évident qu’une tel princesse soit amoureuse du prince. Leurs amour était parfait, à la cour on les enviaient. Il aimait ses cheveux blond il aimait tous son être, parfois il lui proposait d’aller danser, elle tournoyait sa robe virevoltait, son cœur battait. Il aimait aussi l’invitait à dîner près de la fontaine lors des nuits étoilés, avec plus de milles bougies autour d’eux, bien sûr le sol était jonché de pétale de rose, de rose rouge. Et ils s’admiraient de longues heures sans jamais se lasser, car on ne se lasse pas de l’ être aimé, surtout quand il semble parfait.
Elle était belle c'était la plus belle dans sa robe de soie. Elle n'était pas seulement belle c'était une princesse une princesse avec son prince. Il était beau car il avait les yeux bleu il était blond le soleil se reflétait dans sa chevelure dorée cela aveuglaient les oiseaux. La princesse et le prince se baladaient main dans la main, autour les arbres semblaient les saluer. Bien sûr le prince avait dans son autre main une rose, la rose de mademoiselle La Beauté. Le prince aimait lui déclamer des poèmes tout en faisant de grand gestes suivis d’une révérence tous cela en chantant, et bien sur il savait jouer du violon. Il l'a comparée à la lune car elles étaient tout deux d’une blancheur éclatante, il lui disait qu’elle sentait la rose puis il lui embrassait les mains. C’est alors qu’elle ricanait. Il est évident qu’une tel princesse soit amoureuse du prince. Leurs amour était parfait, à la cour on les enviaient. Il aimait ses cheveux blond il aimait tous son être, parfois il lui proposait d’aller danser, elle tournoyait sa robe virevoltait, son cœur battait. Il aimait aussi l’invitait à dîner près de la fontaine lors des nuits étoilés, avec plus de milles bougies autour d’eux, bien sûr le sol était jonché de pétale de rose, de rose rouge. Et ils s’admiraient de longues heures sans jamais se lasser, car on ne se lasse pas de l’ être aimé, surtout quand il semble parfait.
Lylou B.
Les nombreuses heures passées dans cette charrette m’avait engourdie les jambes au maximum. Je ne pouvais pas faire mauvaise impression au compte en me dandinant, répéter sans cesse des petits sauts pour ne plus souffrir.
-Mère, demande- leur de s’arrêter ! Je veux descendre et marcher quelque temps.
- Diana, ne faites pas l’enfant ! Vous allez froisser votre robe, ou pire la salir. Vous cherchez à avoir l’air ridicule devant tous les convives
- Je ne veux pas faire mauvaise impression devant le comte ! Dis-je en faisant remuer mes pieds pâles. S’il vous plaît !
La calèche s’arrêta en entendent mon cri. Je descendis élégamment sans prendre en compte les bourdonnements colériques émis par ma mère et commençais à faire des petits aller et retours sur les feuilles mortes quand je vis un renard me frôler en courant. Quel événement bien étrange. Une meute de chiens enragés s’engagea dans la même voie que le renard. Avec leurs pattes pleines de boue et leurs gueules ouvertes ils couraient vers moi. Je n'attendrais que ces petites formes floues salissent ma robe sans rien dire. Après tout ils devaient bien appartenir àquelqu'un ces chiens. Je ne voulais pas le froisser en les rejetant, même s'ils me réduisaient l'état de souillon. Je devint une statue de marbre blanc, les yeux fermés profitant ma peau blanche attirant le soleil et mes cheveux blonds, joliment coiffés par un diadème, qui retombaient en cascade sur mes épaules et mon dos couvert de ma plus belle robe, attendant le choc, entendant une masse bruyante avancer vers moi. Tout à coup, un sifflement et la masse informe s’arrêta à un mètre de moi. Je n’ouvris pas tout de suite les yeux, fermant fragilement mes doigts sur les paumes de mes mains qui restaient chaudes malgré la soie de mes gants. Je souhaitais disparaître et ne jamais voir le visage de l’homme qui venait de siffler. Car c’en était un, j’en suis sûre. Les chiens, petites boules mouvantes, se déplacèrent en aboyant vers ma gauche laissant place à une présence beaucoup plus grande qui s’avançait vers moi en faisant claquer ses sabots sur le sol dur. Quand l’animal fût à ma hauteur… un nouveau parfum, plus riche, plus sombre, masculin. Intriguée par cette fragrance j’ouvrais alors délicatement un œil. Le brusque changement de lumière me perturba et je duq ouvrir ma deuxième paupière afin de voir l’inconnu. Il semblait grand sur son cheval blanc, il était richement orné d’étoffes variant du bleu sombre au rouge carmin. Son visage était indéfinissable dans la puissante lumière du jour. Après un temps, ou une éternité, il descendit de sa monture pour me faire face. Il était jeune, ses longs cheveux bruns et ondulés étaient éparpillés sur sa veste. N’avait-il pas chaud ? Son visage était très pâle et plusieurs taches de rousseur parsemaient son visage lisse. Ses yeux vert profond semblaient regarder à l’intérieur de mon âme et deviner mes pensées les plus intimes. Je sus alors que je rougissais. Il sourit.
- Bonjour, je me présente, Dom Draven.
Je sentis l’air fuser entre mes côtes et ma tête partir en vue d’une exceptionnelle rencontre avec le sol. C’était donc… Lui ? Ma vue se brouilla. Mon destin fût alors entre les mains de ce beau comte.
-Mère, demande- leur de s’arrêter ! Je veux descendre et marcher quelque temps.
- Diana, ne faites pas l’enfant ! Vous allez froisser votre robe, ou pire la salir. Vous cherchez à avoir l’air ridicule devant tous les convives
- Je ne veux pas faire mauvaise impression devant le comte ! Dis-je en faisant remuer mes pieds pâles. S’il vous plaît !
La calèche s’arrêta en entendent mon cri. Je descendis élégamment sans prendre en compte les bourdonnements colériques émis par ma mère et commençais à faire des petits aller et retours sur les feuilles mortes quand je vis un renard me frôler en courant. Quel événement bien étrange. Une meute de chiens enragés s’engagea dans la même voie que le renard. Avec leurs pattes pleines de boue et leurs gueules ouvertes ils couraient vers moi. Je n'attendrais que ces petites formes floues salissent ma robe sans rien dire. Après tout ils devaient bien appartenir àquelqu'un ces chiens. Je ne voulais pas le froisser en les rejetant, même s'ils me réduisaient l'état de souillon. Je devint une statue de marbre blanc, les yeux fermés profitant ma peau blanche attirant le soleil et mes cheveux blonds, joliment coiffés par un diadème, qui retombaient en cascade sur mes épaules et mon dos couvert de ma plus belle robe, attendant le choc, entendant une masse bruyante avancer vers moi. Tout à coup, un sifflement et la masse informe s’arrêta à un mètre de moi. Je n’ouvris pas tout de suite les yeux, fermant fragilement mes doigts sur les paumes de mes mains qui restaient chaudes malgré la soie de mes gants. Je souhaitais disparaître et ne jamais voir le visage de l’homme qui venait de siffler. Car c’en était un, j’en suis sûre. Les chiens, petites boules mouvantes, se déplacèrent en aboyant vers ma gauche laissant place à une présence beaucoup plus grande qui s’avançait vers moi en faisant claquer ses sabots sur le sol dur. Quand l’animal fût à ma hauteur… un nouveau parfum, plus riche, plus sombre, masculin. Intriguée par cette fragrance j’ouvrais alors délicatement un œil. Le brusque changement de lumière me perturba et je duq ouvrir ma deuxième paupière afin de voir l’inconnu. Il semblait grand sur son cheval blanc, il était richement orné d’étoffes variant du bleu sombre au rouge carmin. Son visage était indéfinissable dans la puissante lumière du jour. Après un temps, ou une éternité, il descendit de sa monture pour me faire face. Il était jeune, ses longs cheveux bruns et ondulés étaient éparpillés sur sa veste. N’avait-il pas chaud ? Son visage était très pâle et plusieurs taches de rousseur parsemaient son visage lisse. Ses yeux vert profond semblaient regarder à l’intérieur de mon âme et deviner mes pensées les plus intimes. Je sus alors que je rougissais. Il sourit.
- Bonjour, je me présente, Dom Draven.
Je sentis l’air fuser entre mes côtes et ma tête partir en vue d’une exceptionnelle rencontre avec le sol. C’était donc… Lui ? Ma vue se brouilla. Mon destin fût alors entre les mains de ce beau comte.
Tomy G.
La forteresse d'Ishtar était le bastion des sangs bleu et en tout point elle était IMPRENABLE. Les plus fatales monstruosités que la terre eut permises d'enfanter s'y étaient même hasardées mais rien ne l'eut fait, elles n'eurent même pas franchi la première des plus grandes murailles, des plus robustes murailles font si ce n'est en pierre, de le plus dur d'entre elles, ce que les Originelles eut même appelés la plus dur des pierres parmi les plus robustes cailloux de ce monde. Enfin, revenons à lui ce héros identifiait cette terre, cette forteresse comme mère des vices et il avait en tête un projet, assainir de tous ces vices cette cité, il s'y attela un matin.
Il avait dans son emploi du temps décerné une place, une tranche horaire assez conséquente et pour cet homme qui n'avait pas une seconde à perdre c'était déjà un don du Ciel. L'horaire était donc fixé à l'aube avant qu'il eut pris son déjeuner mais après qu'il eutpris son petit-déjeuner, avant qu'il eut protégé la veuve et l'orphelin mais après qu'il eut sauvé le vieux et la vielle, avant qu'il eut faits sa sieste mais après qu'il eut nuité.
En est-il que l'heure fut arrivée est que la ville au moment du duel eut si peur que d'avance les murailles en furent fissurées et que ses fondations en furent altérées. C'est alors qu'il arriva lui et son armure en écaille de dragon argenté et légèrement usé par la conjuration du nom des morts, autant dire le plus puissant des sorts de la plus puissante des magies . Il s'approcha tel le plus pieux des croyants s'il en est et d'un léger soupir déclara : « au brave sourient toujours chance et succès mais aux hommes comme moi sourit aussi richesse et luxure »et sur cet élan de vigueur, il prit en main son imposant, éclatant, fidèle marteau de guerre et fit jaillir de tous les côtés avec force et honneur, les murailles de pacotille, s'ensuivit qu'elles se brisèrent jusqu’à poussière, arrivèrent le tour des soldats. Passage rapide mais néanmoins sanglant.
La guerre pouvait se résumer une maxime pour lui « Je n'ai toujours pas compris qui est né en premier : moi ou la victoire ? ». Cette cité avant celle de la peur n'était plus et cela en étonnamment une demi-journée, notre héros lui avait donc donné un air de vestige du passé mais il restait encore dans ce dédale de poussière, une taverne et par chance, il put commander une de ces boissons qu'apprécient tout particulièrement des héros tels Carl Sberg par exemple. M'enfin cette ambroisie, se nommait la bête, goût bestial...en soi son image de panthère dans l'obscurité et d'étoile dans les ténèbres.
Il avait dans son emploi du temps décerné une place, une tranche horaire assez conséquente et pour cet homme qui n'avait pas une seconde à perdre c'était déjà un don du Ciel. L'horaire était donc fixé à l'aube avant qu'il eut pris son déjeuner mais après qu'il eutpris son petit-déjeuner, avant qu'il eut protégé la veuve et l'orphelin mais après qu'il eut sauvé le vieux et la vielle, avant qu'il eut faits sa sieste mais après qu'il eut nuité.
En est-il que l'heure fut arrivée est que la ville au moment du duel eut si peur que d'avance les murailles en furent fissurées et que ses fondations en furent altérées. C'est alors qu'il arriva lui et son armure en écaille de dragon argenté et légèrement usé par la conjuration du nom des morts, autant dire le plus puissant des sorts de la plus puissante des magies . Il s'approcha tel le plus pieux des croyants s'il en est et d'un léger soupir déclara : « au brave sourient toujours chance et succès mais aux hommes comme moi sourit aussi richesse et luxure »et sur cet élan de vigueur, il prit en main son imposant, éclatant, fidèle marteau de guerre et fit jaillir de tous les côtés avec force et honneur, les murailles de pacotille, s'ensuivit qu'elles se brisèrent jusqu’à poussière, arrivèrent le tour des soldats. Passage rapide mais néanmoins sanglant.
La guerre pouvait se résumer une maxime pour lui « Je n'ai toujours pas compris qui est né en premier : moi ou la victoire ? ». Cette cité avant celle de la peur n'était plus et cela en étonnamment une demi-journée, notre héros lui avait donc donné un air de vestige du passé mais il restait encore dans ce dédale de poussière, une taverne et par chance, il put commander une de ces boissons qu'apprécient tout particulièrement des héros tels Carl Sberg par exemple. M'enfin cette ambroisie, se nommait la bête, goût bestial...en soi son image de panthère dans l'obscurité et d'étoile dans les ténèbres.
Naïma N.
Elle était belle, d'une beauté jalousée et rayonnante. Le genre de femme sur laquelle tous les hommes se retournait, même les plus humbles, et toutes les femmes, même les plus orgueilleuses. Elle paraissait réservée et excentrique à la fois, ce qui faisait son charme, et dégageait une atmosphère lourde de secrets. Tout le monde l'appelait "la Mystérieuse". Daniel, grand, brun, malheureux, luttait depuis deux ans pour ne pas se laisser abattre par la mort de son épouse, Eve. Depuis ce triste jour, il essayait de refouler son chagrin et de tourner la page, en vain. Il la voyait partout. A partir du meurtre d'Eve, chaque étincelle de mystère, d'énigme obscure qu'il croisait le poussait à agir sans tenir compte du danger, pour lever le voile du secret. Sa mort l'avait tellement bouleversé, qu'il se sentait mourir lui aussi, petit à petit. Il est devenu comme une coquille vide, que plus rien ni personne ne pourrait sauver, vivant sa vie par défaut plus que par envie.
Daniel et la Mystérieuse s'étaient rencontrés dans un restaurant, "La Tour d'Argent". Elle, éternellement belle, dînait avec une femme. Lui, superbement élégant, devait y retrouver un ami. Alors que leurs regards se croisaient, la tension devint palpable. C'était comme s'ils étaient connectés, un éclair invisible reliant leurs yeux océans. Le temps s'était arrêté. Plus rien ne comptait à part lui, et elle, les yeux dans les yeux. Ils étaient absorbés, sa robe rouge sang contrastant avec ses habits bleus et noirs, et tout autour d'eux plus personne n'existait, plus rien n'avait de saveur, de couleur, ni de valeur.
Brutalement, il se détacha d'elle.
Il se dirigea vers son ami, et s'assit en tournant le dos à cette femme. Ébranlée par ce changement aussi étrange qu'inattendu, elle se leva après un moment pour aller le rejoindre. "Excusez-moi, auriez-vous un instant à m'accorder?" Sa voix mélodieuse ne fit pas réagir Daniel immédiatement. Quand enfin il se tourna vers elle, tout ce qu'il répondit fut "Pourquoi?" Elle le regarda. "Autant ne pas faire semblant, vous l'avez ressenti comme moi. Vous, pourquoi vous avez fait ça?" C'était une sensation étrange, c'était comme s'il la connaissait depuis toujours, et qu'ils venaient de se retrouver après une longue séparation, pleine d'amertume et de regrets.
À la suite d'une courte discussion, elle leur proposa de dîner avec elle et son amie. Après une hésitation, enfin tout de même une femme qui invite deux hommes ça ne se fait pas, ils finirent par accepter. Le repas ne fut pas très riche en émotions. Entre autres, ils firent connaisance, Lilith avec Matthias, Lilith avec Daniel. La Mystérieuse, elle, ne parlait pas beaucoup, et son regard semblait lointain. Son surnom lui allait bien.
Alors qu'ils sortaient du restaurant, une grosse pluie commença à tomber. Le genre de pluie qui vous fait regretter d'être sortis. Ils se réfugièrent sous un porche. Les deux hommes avaient loué deux chambres dans un hotel non loin de là, et ils proposerent aux jeunes femmes d'y aller en attendant que la pluie passe. Daniel se dit que Matthias avait bien fait d'insister pour réserver deux chambres. Les deux amies acceptèrent. En chemin, ils parlèrent de tout et de rien, comme s'ils étaient amis depuis la nuit des temps, se racontant leur vie, leurs joies et leurs peines, tout... Juqu'à ce qu'il comprenne.
Daniel s'arrêta. Il se tourna vers la plus belle femme qu'il avait jamais vu, ne sachant que dire. Elle s'arrêta également. De nouveau, plus rien autour d'eux n'eût d'importance. Elle rit.
"- Vous avez enfin compris? Je m'appelle Éden."
Daniel et la Mystérieuse s'étaient rencontrés dans un restaurant, "La Tour d'Argent". Elle, éternellement belle, dînait avec une femme. Lui, superbement élégant, devait y retrouver un ami. Alors que leurs regards se croisaient, la tension devint palpable. C'était comme s'ils étaient connectés, un éclair invisible reliant leurs yeux océans. Le temps s'était arrêté. Plus rien ne comptait à part lui, et elle, les yeux dans les yeux. Ils étaient absorbés, sa robe rouge sang contrastant avec ses habits bleus et noirs, et tout autour d'eux plus personne n'existait, plus rien n'avait de saveur, de couleur, ni de valeur.
Brutalement, il se détacha d'elle.
Il se dirigea vers son ami, et s'assit en tournant le dos à cette femme. Ébranlée par ce changement aussi étrange qu'inattendu, elle se leva après un moment pour aller le rejoindre. "Excusez-moi, auriez-vous un instant à m'accorder?" Sa voix mélodieuse ne fit pas réagir Daniel immédiatement. Quand enfin il se tourna vers elle, tout ce qu'il répondit fut "Pourquoi?" Elle le regarda. "Autant ne pas faire semblant, vous l'avez ressenti comme moi. Vous, pourquoi vous avez fait ça?" C'était une sensation étrange, c'était comme s'il la connaissait depuis toujours, et qu'ils venaient de se retrouver après une longue séparation, pleine d'amertume et de regrets.
À la suite d'une courte discussion, elle leur proposa de dîner avec elle et son amie. Après une hésitation, enfin tout de même une femme qui invite deux hommes ça ne se fait pas, ils finirent par accepter. Le repas ne fut pas très riche en émotions. Entre autres, ils firent connaisance, Lilith avec Matthias, Lilith avec Daniel. La Mystérieuse, elle, ne parlait pas beaucoup, et son regard semblait lointain. Son surnom lui allait bien.
Alors qu'ils sortaient du restaurant, une grosse pluie commença à tomber. Le genre de pluie qui vous fait regretter d'être sortis. Ils se réfugièrent sous un porche. Les deux hommes avaient loué deux chambres dans un hotel non loin de là, et ils proposerent aux jeunes femmes d'y aller en attendant que la pluie passe. Daniel se dit que Matthias avait bien fait d'insister pour réserver deux chambres. Les deux amies acceptèrent. En chemin, ils parlèrent de tout et de rien, comme s'ils étaient amis depuis la nuit des temps, se racontant leur vie, leurs joies et leurs peines, tout... Juqu'à ce qu'il comprenne.
Daniel s'arrêta. Il se tourna vers la plus belle femme qu'il avait jamais vu, ne sachant que dire. Elle s'arrêta également. De nouveau, plus rien autour d'eux n'eût d'importance. Elle rit.
"- Vous avez enfin compris? Je m'appelle Éden."
Maëly R.
Le dilemme de l'amour
Paris, la capitale de la France, la capitale où tout rêve est réalisable.
Louise se promenait avec émerveillement dans la ville de Paris, un sentiment de fascination se propageait en elle. Un bonheur immense face à cette ville pleine d'imagination et de surprise. Un vent légé caressait son visage fin et faisait voler ses cheveux long et blond qui frôlait le bas de son dos. Le soleil dégageait une chaleur douce qui faisait ressortir ses yeux bleu ciel et ses joues roses d'enfant. C'était un samedi après-midi. Louise disait que c'était son jour de bonheur car elle pouvait se balader dans les rues de Paris, observer les bâtiments des allées les plus éblouissantes, rencontrer de nouvelles silhouettes. Mais son chemin préféré était Montmartre. La ruelle des artistes, ici elle admirait les majestueux tableaux de ses peintres préférés et elle en découvrait de nouveaux chaque samedi. Il y avait une place où tous les peintres s’asseyaient pour donner vie à des toiles, toutes les couleurs se mélangeaient entre-elles. Pour Louise, Paris était décidément sa ville de cœur, elle vivait jour pour jour avec.
Il devait être treize-heures lorsqu'elle arriva à Montmartre. Sa longue robe couleur pourpre, assemblée de perles roses tout autour de sa taille avec du point d'Angleterre qui épousait ses pieds lorsqu'elle marchait. Louise, regardait d'un œil attentif tous les tableaux. C'était bientôt l'anniversaire de sa sœur, pour son cadeau elle voulait faire peindre son portrait par le plus admirable des peintres. Sa sœur était différente de Louise, elle avait les cheveux bruns et les yeux verts. Louise faisait tout le tour de cette grande place en scrutant chaque peintre jusqu'à ce qu'elle trouve le meilleur. Tout le monde la reconnaissait et la salué avec beaucoup de grâce et d'attention, elle faisait partie d'une très grande aristocratie, elle était reconnu pour être la plus belle et le plus riche des femmes de Paris. Elle était tout aussi connu pour être mariée avec l'un des plus grand aristocrate, il était aussi riche qu'un roi mais pour Louise son amour n'était qu'artifices et esthétique envers lui tout ça était arrangé et par son respect elle ne pouvait pas refuser. Louise faisait intégralement partie du grand monde où tout n'était que miroir, danses, dîners, longues robes aux perles d'or, aristocratie, distractions, loisirs, dépenses à folie, paillettes, sa vie n'était que bonheur, richesse, un paradis de beauté où elle se sentait vivre. Elle tournait en cherchant encore et encore, lorsqu'elle vu un petit peintre au milieu assis le dos courbé sur un tabouret, ses tableaux étaient magnifiques, son cœur s'accéléra tellement à presque lui en couper le souffle. Elle alla immédiatement le voir, elle lui donna une petite photo de sa sœur et s’essaya donc sur un autre tabouret à côté du peindre pour discuter et regarder la magie s'opérer. Les minutes passaient, les heures tournaient, elle plongea dans ses pensées, elle tournait sa tête de temps en temps à droite et à gauche, ses cheveux flottaient lorsqu'il y avait des petits coups de vent. Soudain elle tourna la tête vers la fontaine qui était en face d'elle, et là toute son âme se réveilla, ses mains commencèrent à devenir moites, son corps alterna entre le chaud et le froid, son cœur donna des coups de plus en plus fort, ses pupilles se dilatèrent, elle n’eut plus de conscience, elle vit l'homme le plus beau, le plus adorable, le plus gracieux. Elle ne vit plus que lui, le reste comme n'existant plus, même le peintre lui parlait elle ne l'entendait pas. Ses yeux étaient fixés, à l'extérieur elle ne bougeait plus mais à l'intérieure tout s’accéléra et bougeait dans tous les sens ; L'homme se senti observé, comme un sentiment d'attirance il posa les yeux sur elle, leur regard se croisèrent comme la foudre, électrocutés, un lien fort se créa, ils étaient comme liés ne pouvant plus s'en détourner. Elle était en adoration face à cet homme grand, musclé, ses yeux étaient verts claires, il avait des cheveux bruns, il était debout habillé d'un costume marron. Un air mystérieux se dégageait de lui comme inaccessible par une attitude ténébreuse et sensuel, mais pour Louise c'était l'amour fou d'un regard, un ange apparut du ciel, ses yeux en disaient qu'au fond il était sensible et attentionné plein d'amour. Elle en jugea qu'il était un artiste, sûrement un chanteur ou bien un peintre. Pour elle c'était la fin et le commencement, un amour perdu mais comment l'oublier. Une rencontre sans paroles mais qui veut tout dire, et malheureusement ils en avaient déjà trop dit sur l'un et l'autre. Ils se regardaient encore et encore comme deux enfants, mais le lien se rompu lorsqu'elle pensa à son mari, elle esquiva donc cet homme mais lui ne s'en détacha pas. Des tas de questions, de culpabilité lui tourmentait la tête en un rien de temps, comment pouvait elle aimer un inconnu alors qu'elle était marié. C'était une aristocrate ce n'était pas dans ses manières mais là c'était plus fort, plus intense que tout. Elle regarda son regard ténébreux encore une fois lorsque le peintre l'interpella, il lui fallu quelques secondes pour qu'elle revienne à la réalité ; Le peintre lui donna le tableau elle lui rendu l'argent en souriant mais cela se voyait qu'elle était tourmenté, tout ce qui lui importé était cet homme dont son cœur jugé irrésistible mais sa tête revenait à la raison et lui faisait penser à son mari. C'est une vie injuste pensa t-elle autant mieux ne pas vivre que de rester dans une amour impossible. Elle se leva et regarda vers la fontaine il n'était plus là , son cœur s'attrista pensant ne plus jamais le revoir, sa raison lui dit qu'il faut mieux. Elle se retourna pour partir l'âme sans vie, sans flamme lorsqu'elle vit soudain cet homme mystérieux au cœur sensible devant elle. Il l'attendait avec un sourire charmant « Voulez-vous peut-être passer du temps en ma compagnie, vous êtes magnifique.» lui demanda-t-il avec beaucoup de respect. Elle le regarda avec des yeux scintillant en ne savant pas quoi faire, le choix du cœur ou de la raison était dur. C'était un dilemme de vie ou de mort, soit elle le perdait à jamais soit elle vivrai une passion.
Paris, la capitale de la France, la capitale où tout rêve est réalisable.
Louise se promenait avec émerveillement dans la ville de Paris, un sentiment de fascination se propageait en elle. Un bonheur immense face à cette ville pleine d'imagination et de surprise. Un vent légé caressait son visage fin et faisait voler ses cheveux long et blond qui frôlait le bas de son dos. Le soleil dégageait une chaleur douce qui faisait ressortir ses yeux bleu ciel et ses joues roses d'enfant. C'était un samedi après-midi. Louise disait que c'était son jour de bonheur car elle pouvait se balader dans les rues de Paris, observer les bâtiments des allées les plus éblouissantes, rencontrer de nouvelles silhouettes. Mais son chemin préféré était Montmartre. La ruelle des artistes, ici elle admirait les majestueux tableaux de ses peintres préférés et elle en découvrait de nouveaux chaque samedi. Il y avait une place où tous les peintres s’asseyaient pour donner vie à des toiles, toutes les couleurs se mélangeaient entre-elles. Pour Louise, Paris était décidément sa ville de cœur, elle vivait jour pour jour avec.
Il devait être treize-heures lorsqu'elle arriva à Montmartre. Sa longue robe couleur pourpre, assemblée de perles roses tout autour de sa taille avec du point d'Angleterre qui épousait ses pieds lorsqu'elle marchait. Louise, regardait d'un œil attentif tous les tableaux. C'était bientôt l'anniversaire de sa sœur, pour son cadeau elle voulait faire peindre son portrait par le plus admirable des peintres. Sa sœur était différente de Louise, elle avait les cheveux bruns et les yeux verts. Louise faisait tout le tour de cette grande place en scrutant chaque peintre jusqu'à ce qu'elle trouve le meilleur. Tout le monde la reconnaissait et la salué avec beaucoup de grâce et d'attention, elle faisait partie d'une très grande aristocratie, elle était reconnu pour être la plus belle et le plus riche des femmes de Paris. Elle était tout aussi connu pour être mariée avec l'un des plus grand aristocrate, il était aussi riche qu'un roi mais pour Louise son amour n'était qu'artifices et esthétique envers lui tout ça était arrangé et par son respect elle ne pouvait pas refuser. Louise faisait intégralement partie du grand monde où tout n'était que miroir, danses, dîners, longues robes aux perles d'or, aristocratie, distractions, loisirs, dépenses à folie, paillettes, sa vie n'était que bonheur, richesse, un paradis de beauté où elle se sentait vivre. Elle tournait en cherchant encore et encore, lorsqu'elle vu un petit peintre au milieu assis le dos courbé sur un tabouret, ses tableaux étaient magnifiques, son cœur s'accéléra tellement à presque lui en couper le souffle. Elle alla immédiatement le voir, elle lui donna une petite photo de sa sœur et s’essaya donc sur un autre tabouret à côté du peindre pour discuter et regarder la magie s'opérer. Les minutes passaient, les heures tournaient, elle plongea dans ses pensées, elle tournait sa tête de temps en temps à droite et à gauche, ses cheveux flottaient lorsqu'il y avait des petits coups de vent. Soudain elle tourna la tête vers la fontaine qui était en face d'elle, et là toute son âme se réveilla, ses mains commencèrent à devenir moites, son corps alterna entre le chaud et le froid, son cœur donna des coups de plus en plus fort, ses pupilles se dilatèrent, elle n’eut plus de conscience, elle vit l'homme le plus beau, le plus adorable, le plus gracieux. Elle ne vit plus que lui, le reste comme n'existant plus, même le peintre lui parlait elle ne l'entendait pas. Ses yeux étaient fixés, à l'extérieur elle ne bougeait plus mais à l'intérieure tout s’accéléra et bougeait dans tous les sens ; L'homme se senti observé, comme un sentiment d'attirance il posa les yeux sur elle, leur regard se croisèrent comme la foudre, électrocutés, un lien fort se créa, ils étaient comme liés ne pouvant plus s'en détourner. Elle était en adoration face à cet homme grand, musclé, ses yeux étaient verts claires, il avait des cheveux bruns, il était debout habillé d'un costume marron. Un air mystérieux se dégageait de lui comme inaccessible par une attitude ténébreuse et sensuel, mais pour Louise c'était l'amour fou d'un regard, un ange apparut du ciel, ses yeux en disaient qu'au fond il était sensible et attentionné plein d'amour. Elle en jugea qu'il était un artiste, sûrement un chanteur ou bien un peintre. Pour elle c'était la fin et le commencement, un amour perdu mais comment l'oublier. Une rencontre sans paroles mais qui veut tout dire, et malheureusement ils en avaient déjà trop dit sur l'un et l'autre. Ils se regardaient encore et encore comme deux enfants, mais le lien se rompu lorsqu'elle pensa à son mari, elle esquiva donc cet homme mais lui ne s'en détacha pas. Des tas de questions, de culpabilité lui tourmentait la tête en un rien de temps, comment pouvait elle aimer un inconnu alors qu'elle était marié. C'était une aristocrate ce n'était pas dans ses manières mais là c'était plus fort, plus intense que tout. Elle regarda son regard ténébreux encore une fois lorsque le peintre l'interpella, il lui fallu quelques secondes pour qu'elle revienne à la réalité ; Le peintre lui donna le tableau elle lui rendu l'argent en souriant mais cela se voyait qu'elle était tourmenté, tout ce qui lui importé était cet homme dont son cœur jugé irrésistible mais sa tête revenait à la raison et lui faisait penser à son mari. C'est une vie injuste pensa t-elle autant mieux ne pas vivre que de rester dans une amour impossible. Elle se leva et regarda vers la fontaine il n'était plus là , son cœur s'attrista pensant ne plus jamais le revoir, sa raison lui dit qu'il faut mieux. Elle se retourna pour partir l'âme sans vie, sans flamme lorsqu'elle vit soudain cet homme mystérieux au cœur sensible devant elle. Il l'attendait avec un sourire charmant « Voulez-vous peut-être passer du temps en ma compagnie, vous êtes magnifique.» lui demanda-t-il avec beaucoup de respect. Elle le regarda avec des yeux scintillant en ne savant pas quoi faire, le choix du cœur ou de la raison était dur. C'était un dilemme de vie ou de mort, soit elle le perdait à jamais soit elle vivrai une passion.
Tiffany R.
Il se trouvait là, juste devant moi. Il était d'une beauté inouïe, bien qu'il ne m'offrait que la vue de son dos, que j'observais se mouvoir à chacun de ses gestes lents et gracieux. La distance entre lui et moi m'empêchait de pouvoir entendre le son si mélodieux de sa voix mais je la devinait profonde, envoûtante. Alors que je m'apprêtais à poser mon regard sur mon amie qui venait de m'adresser quelques mots, auxquels je ne prêtais aucune attention, il se retournait enfin pour regarder je ne sais quoi, en ma direction. Tout ce que je regardais était la clarté de ses yeux que je pouvais percevoir, ainsi que ses petites fossettes qui se creusaient dans ses joues lorsqu'il souriait. Et je jurais qu'à chaque fois qu'il souriait, je tombais un peu plus amoureuse, si bien que le monde autour de moi me semblait si inconnu et lointain. Je réalisais alors que je le regardais, ou plutôt le fixais, depuis si longtemps que cela devenait gênant. Mais je n'arrêtais pas pour autant, je n'en n'étais pas capable. Alors que mon regard le transperçait, le sien vint à la rencontre du mien et je cru voir un de ses yeux se plisser rapidement pour m'offrir l'un des plus beaux clin d'œil que j'ai jamais vu. Il n'existait désormais plus personne autour de moi, mais je devinais que mon amie était en train de râler parce qu'elle n'obtenait aucune réponse de ma part, j'étais bien trop occupée à admirer cette douce créature. Contre ma volonté, la sonnerie de l'établissement retentissait et je resserrais l'emprise que j'exerçais sur ma pile de livre, fermement tenue entre mes bras parce que je refusais de quitter les lieux. Cependant, je savais que tout recommencerait demain ainsi que les jours suivants parce que nous étions faits l'un pour l'autre, c'était une évidence.
Après avoir rejoins ma salle de classe, je m'étais assise près de la fenêtre pour me permettre une petite évasion. J'entendais un bruit de fond, qui devait certainement être le professeur qui parlait mais ses paroles n'étaient qu'un murmure qui parvenait faiblement à mes oreilles et qui retenait guère mon attention. Mon regard était dirigé vers la fenêtre qui me séparait de l'air naturel et j'observais la nature vivre, un peu rêveuse. Une sonnerie familière me sortit brusquement de mes pensées et je me précipitais hors de la salle quand la fin du cours fût annoncée. Sans vraiment savoir pourquoi, mes yeux le cherchaient du regard, je marchais dans les couloirs en direction de la sortie mais je ne le voyais nul part. Cette déception m'affligeait un léger pincement au cœur car j'espérais le voir avant de rejoindre mon domicile. En poussant les grandes portes de la sortie, le vent s'engouffrait dans mes cheveux pour les faire voler et mes yeux se posaient rapidement sur une silhouette, celle que je cherchais précédemment. Je ne pouvais retenir ce sourire qui faisait trembler mes lèvres lorsque son visage pivotait vers moi. Je pensais alors qu'il l'avait fait car j'avais probablement ouvert les portes un peu trop fort et surtout parce que j'étais la première à sortir mais je chassais ces idées de ma tête afin de me concentrer sur ce que je voyais. En réalisant que j'étais restée plantée devant les portes, je commençais à marcher sur le parvis dans le but de rejoindre mon amie, qui m'attendait dans son véhicule tandis qu'il hantait encore et toujours mon esprit. J'avais finalement rejoins mon amie et en bouclant ma ceinture, je lui lançais un dernier regard avant que la distance entre lui et moi ne devienne de plus en plus grande.
Après avoir rejoins ma salle de classe, je m'étais assise près de la fenêtre pour me permettre une petite évasion. J'entendais un bruit de fond, qui devait certainement être le professeur qui parlait mais ses paroles n'étaient qu'un murmure qui parvenait faiblement à mes oreilles et qui retenait guère mon attention. Mon regard était dirigé vers la fenêtre qui me séparait de l'air naturel et j'observais la nature vivre, un peu rêveuse. Une sonnerie familière me sortit brusquement de mes pensées et je me précipitais hors de la salle quand la fin du cours fût annoncée. Sans vraiment savoir pourquoi, mes yeux le cherchaient du regard, je marchais dans les couloirs en direction de la sortie mais je ne le voyais nul part. Cette déception m'affligeait un léger pincement au cœur car j'espérais le voir avant de rejoindre mon domicile. En poussant les grandes portes de la sortie, le vent s'engouffrait dans mes cheveux pour les faire voler et mes yeux se posaient rapidement sur une silhouette, celle que je cherchais précédemment. Je ne pouvais retenir ce sourire qui faisait trembler mes lèvres lorsque son visage pivotait vers moi. Je pensais alors qu'il l'avait fait car j'avais probablement ouvert les portes un peu trop fort et surtout parce que j'étais la première à sortir mais je chassais ces idées de ma tête afin de me concentrer sur ce que je voyais. En réalisant que j'étais restée plantée devant les portes, je commençais à marcher sur le parvis dans le but de rejoindre mon amie, qui m'attendait dans son véhicule tandis qu'il hantait encore et toujours mon esprit. J'avais finalement rejoins mon amie et en bouclant ma ceinture, je lui lançais un dernier regard avant que la distance entre lui et moi ne devienne de plus en plus grande.
Chloé R.
Deux aristocrates anglais, Katharina et Dorian Jones, sont en visite à Paris. Katharina qui se sent prisonnière de son quotidien entraîne son mari dans un bal mondain, espérant trouver en ces lieux un nouveau moyen de faire battre son coeur qui se meurt d'ennui.
La lune commençait à illuminer la ville endormie, il était temps pour les deux aristocrates de rejoindre le lieu de réception du bal. Après quelques ajustements faits à sa robe, Katharina prit le bras de son époux et descendit les escaliers qui menaient à la salle principale. A peine descendue quelques marches, chaque regard était sur elle, chaque discussion prônait son élégance naturelle. Sa robe de mousseline brodée de perles dorées glissait sur les escaliers de marbre, ses cheveux de blé brillaient à chaque rayon lumineux qui la touchait et dans ses yeux couleur océan, s'y noyait quiconque les regardait. Son apparence divine illuminait la salle. Cherchant désespérément une nouvelle attraction dans son entourage, Katharina observait chaque personne qui était présente, espérant trouver de nouveaux sentiments, une nouvelle sensation qui pour une nuit, saurait la délivrer de son fardeau quotidien. Lors d'une danse partagée avec son mari, elle croisa le regard d'un jeune homme, il était différent des hommes présents, il était serveur. Le temps s'était comme arrêté, figé dans un moment de passion, Katharina se demandait si ce n'était pas son imagination qui lui faisait voir ce qu'elle cherchait depuis si longtemps. La danse finie, la foule de fortunés s'empressa de convoiter les meilleurs partis présent. Katharina, elle, cherchait en chaque recoin, l'homme qu'elle avait aperçu. Après quelques minutes, désespérée de ne point l'avoir trouvé, elle se réfugia près du buffet. Le serveur fit plusieurs tours, à droite et à gauche, puis il marcha vers elle. Pensant qu'elle l'avait perdu pour toujours, elle imaginait sa vie se terminant, décédant pour cause d'une vie remplie d'ennui, car, une seule nuit avec cet homme lui aurait redonné goût à la vie. Elle gardait la même attitude, l'homme n'avait jamais vu pareille beauté, son coeur palpitait à chaque fois qu'il l'a regardait, il était subjugué. Le jeune serveur heurta Dorian avec son plateau, Katharina retourna à la réalité et se retourna tout de suite vers son mari. Lorsque soudain, sa main effleura celle du jeune serveur qui avait été distrait par l'immense beauté de Katharina et qui renversa son plateau sur le jeune aristocrate. Tout resta figé, les gens, le temps, Paris, tout était devenu silencieux. Les deux âmes-soeurs avaient été comme foudroyées sur place. Après un instant qui parût une éternité, tous se relevèrent. Dorian excédé de cette situation, rejoignit la buanderie pour revêtir de nouveaux habits.
Les deux amants se retrouvèrent à l'étage:
"-Quand je lève les yeux vers vous on dirait que le monde tremble, dit le jeune serveur.
-Comment vous appelez-vous ? Dit Katherina d'une voix tremblante.
-Armand, Armand Warhol, Madame."Dit le jeune homme.
Les deux amants étaient immobiles, pétrifés par les sentiments qui commençaient à envahir leurs coeurs. Armand voulait ressentir la chaleur de son corps et savourait le goût de ses baiser. Ils étaient en symbiose, ils suivaient le même rythme, leurs souffles, leurs corps, leurs coeurs, leurs sentiments étaient les mêmes. Leur amour leur était interdit, cela importait peu à Katharina, c'était la première fois depuis longtemps qu'elle se sentait vivante. Armand lui faisait se sentir libre, unique et aimée.Une fois avec lui, toutes les règles, toute la logique de la vie quotidienne, toutes ces choses si importantes, tout ça disparaîssait.Tout ce qu'elle ressentait, c'était le rythme auquel battait son coeur à chaque fois qu'elle croisait son regard. Après une nuit à assouvir des plaisirs interdits en compagnie de la jeune femme, Armand se glissa hors du lit laissant des draps froids et vides de son amour, laissant comme seule preuve de son existence, les souvenirs d'une nuit de passion.
La lune commençait à illuminer la ville endormie, il était temps pour les deux aristocrates de rejoindre le lieu de réception du bal. Après quelques ajustements faits à sa robe, Katharina prit le bras de son époux et descendit les escaliers qui menaient à la salle principale. A peine descendue quelques marches, chaque regard était sur elle, chaque discussion prônait son élégance naturelle. Sa robe de mousseline brodée de perles dorées glissait sur les escaliers de marbre, ses cheveux de blé brillaient à chaque rayon lumineux qui la touchait et dans ses yeux couleur océan, s'y noyait quiconque les regardait. Son apparence divine illuminait la salle. Cherchant désespérément une nouvelle attraction dans son entourage, Katharina observait chaque personne qui était présente, espérant trouver de nouveaux sentiments, une nouvelle sensation qui pour une nuit, saurait la délivrer de son fardeau quotidien. Lors d'une danse partagée avec son mari, elle croisa le regard d'un jeune homme, il était différent des hommes présents, il était serveur. Le temps s'était comme arrêté, figé dans un moment de passion, Katharina se demandait si ce n'était pas son imagination qui lui faisait voir ce qu'elle cherchait depuis si longtemps. La danse finie, la foule de fortunés s'empressa de convoiter les meilleurs partis présent. Katharina, elle, cherchait en chaque recoin, l'homme qu'elle avait aperçu. Après quelques minutes, désespérée de ne point l'avoir trouvé, elle se réfugia près du buffet. Le serveur fit plusieurs tours, à droite et à gauche, puis il marcha vers elle. Pensant qu'elle l'avait perdu pour toujours, elle imaginait sa vie se terminant, décédant pour cause d'une vie remplie d'ennui, car, une seule nuit avec cet homme lui aurait redonné goût à la vie. Elle gardait la même attitude, l'homme n'avait jamais vu pareille beauté, son coeur palpitait à chaque fois qu'il l'a regardait, il était subjugué. Le jeune serveur heurta Dorian avec son plateau, Katharina retourna à la réalité et se retourna tout de suite vers son mari. Lorsque soudain, sa main effleura celle du jeune serveur qui avait été distrait par l'immense beauté de Katharina et qui renversa son plateau sur le jeune aristocrate. Tout resta figé, les gens, le temps, Paris, tout était devenu silencieux. Les deux âmes-soeurs avaient été comme foudroyées sur place. Après un instant qui parût une éternité, tous se relevèrent. Dorian excédé de cette situation, rejoignit la buanderie pour revêtir de nouveaux habits.
Les deux amants se retrouvèrent à l'étage:
"-Quand je lève les yeux vers vous on dirait que le monde tremble, dit le jeune serveur.
-Comment vous appelez-vous ? Dit Katherina d'une voix tremblante.
-Armand, Armand Warhol, Madame."Dit le jeune homme.
Les deux amants étaient immobiles, pétrifés par les sentiments qui commençaient à envahir leurs coeurs. Armand voulait ressentir la chaleur de son corps et savourait le goût de ses baiser. Ils étaient en symbiose, ils suivaient le même rythme, leurs souffles, leurs corps, leurs coeurs, leurs sentiments étaient les mêmes. Leur amour leur était interdit, cela importait peu à Katharina, c'était la première fois depuis longtemps qu'elle se sentait vivante. Armand lui faisait se sentir libre, unique et aimée.Une fois avec lui, toutes les règles, toute la logique de la vie quotidienne, toutes ces choses si importantes, tout ça disparaîssait.Tout ce qu'elle ressentait, c'était le rythme auquel battait son coeur à chaque fois qu'elle croisait son regard. Après une nuit à assouvir des plaisirs interdits en compagnie de la jeune femme, Armand se glissa hors du lit laissant des draps froids et vides de son amour, laissant comme seule preuve de son existence, les souvenirs d'une nuit de passion.