Héros (... ou pas)
Consignes données aux élèves : vous choisirez un moment d'une absolue banalité de votre vie et vous le réécrirez pour en faire un récit épique dont vous êtes le héros.
Les élèves sont entièrement responsables de leur publication (fautes incluses!).
Les élèves sont entièrement responsables de leur publication (fautes incluses!).
Élodie A.
Comme tous les jours à l'heure du repas, ma mère m'appelait pour mettre la table ... Sauf que ce jour-là j'avais oublié de la mettre !
- Malheur! Tu n'as toujours pas mis la table ! me dit-elle anxieuse
- Oups ... j'ai oublié.
- Vite ,vite,vite!Dépêche-toi ! Le repas est presque prêt. Je ne vais pas pouvoir enmener le plat sur la table, i l n'y a même pas de dessous de plat. Comment vais-je faire ? C'est une catastrophe!
-Ne t'inquiète pas on va réussir.
Aussitôt dit , aussitôt fait. Je me précipitais pour aller chercher la nappe qui était à plus de 100 mètres de moi et la faisais glisser sur la table . Puis je me dirigeais telle une fusée vers le lave-vaisselle : il n'avait pas complètement fini son programme, tant pis ! J'ouvrais délicatement la porte et commençais à prendre les assiettes encore très chaudes. Aïe! Elles étaient brûlantes comme de la lave en fusion! Ma peau rougissait instantanément telle une tomate bien mûre à leur contact. Je pris aussi les fourchettes et les couteaux que j'empilais avec les verres par dessus les assiettes. Je me précipitais à nouveau vers la table, mais toutes ces choses pesaient tellement lourd que j'avais l'impression que mes bras allaient se détacher de mon corps. Je me dépêchais tout de même de les apporter. Entre temps, sur le chemin, mes diaboliques petits frères avaient laissé volontairement un tas de jouets pour me déstabiliser. Je devais faire très attention à ne pas marcher dessus, sinon je pouvais tomber et ma mission aurait échoué.
Et ça, hors de question!
J'avais à faire à une sorte de parcours du combattant. Une fois passée, je lançais les assiettes telles des frisbees et jetais le reste à une allure affolante . Je retournais au fin fond de la cuisine dont le sol était encore glissant à cause du lave vaisselle dont j'avais arrêté le programme pour aller puiser de l'eau bien fraiche .
Soudain ma mère cria.
-PLUS QU'UNE MINUTE.
J'entendais mes frères et ma soeur courir à toute allure avec des cris assourdissants d'affamés qui résonnaient ,dans toutes les pièces. Mince! Il me restait que très peu de temps! Alors, je demandais à ma soeur de l'aide.
- Amandine ! Lance-moi l'escabeau!
Une fois en place, je grimpais avec beaucoup de difficultés tout en haut du réfrigérateur pour attraper les yaourts. Je n'y arrivais pas, j'avais des gouttes de sueur qui perlaient sur le front. J'avais l'impression que ça faisait des heures que j'essayais d'atteindre le sommet. Ca y est ! j'y étais . Je pris les yaourts et jetais un coup d'oeil en bas .Tout le monde avait l'air minuscule de là où j'étais. Je redescendis en sautant. Le minuteur sonnait. Je m'empressais de tout bien arranger sur la gigantesque table en bois blanc avec la nappe brodée d'une couleur taupe.
- Je ne sais vraiment pas comment tu as fais, mais tu nous a tous sauvé! Nous allons enfin pouvoir manger disait ma mère émue ,Merci à toi, tu as réussi ta mission.
- Malheur! Tu n'as toujours pas mis la table ! me dit-elle anxieuse
- Oups ... j'ai oublié.
- Vite ,vite,vite!Dépêche-toi ! Le repas est presque prêt. Je ne vais pas pouvoir enmener le plat sur la table, i l n'y a même pas de dessous de plat. Comment vais-je faire ? C'est une catastrophe!
-Ne t'inquiète pas on va réussir.
Aussitôt dit , aussitôt fait. Je me précipitais pour aller chercher la nappe qui était à plus de 100 mètres de moi et la faisais glisser sur la table . Puis je me dirigeais telle une fusée vers le lave-vaisselle : il n'avait pas complètement fini son programme, tant pis ! J'ouvrais délicatement la porte et commençais à prendre les assiettes encore très chaudes. Aïe! Elles étaient brûlantes comme de la lave en fusion! Ma peau rougissait instantanément telle une tomate bien mûre à leur contact. Je pris aussi les fourchettes et les couteaux que j'empilais avec les verres par dessus les assiettes. Je me précipitais à nouveau vers la table, mais toutes ces choses pesaient tellement lourd que j'avais l'impression que mes bras allaient se détacher de mon corps. Je me dépêchais tout de même de les apporter. Entre temps, sur le chemin, mes diaboliques petits frères avaient laissé volontairement un tas de jouets pour me déstabiliser. Je devais faire très attention à ne pas marcher dessus, sinon je pouvais tomber et ma mission aurait échoué.
Et ça, hors de question!
J'avais à faire à une sorte de parcours du combattant. Une fois passée, je lançais les assiettes telles des frisbees et jetais le reste à une allure affolante . Je retournais au fin fond de la cuisine dont le sol était encore glissant à cause du lave vaisselle dont j'avais arrêté le programme pour aller puiser de l'eau bien fraiche .
Soudain ma mère cria.
-PLUS QU'UNE MINUTE.
J'entendais mes frères et ma soeur courir à toute allure avec des cris assourdissants d'affamés qui résonnaient ,dans toutes les pièces. Mince! Il me restait que très peu de temps! Alors, je demandais à ma soeur de l'aide.
- Amandine ! Lance-moi l'escabeau!
Une fois en place, je grimpais avec beaucoup de difficultés tout en haut du réfrigérateur pour attraper les yaourts. Je n'y arrivais pas, j'avais des gouttes de sueur qui perlaient sur le front. J'avais l'impression que ça faisait des heures que j'essayais d'atteindre le sommet. Ca y est ! j'y étais . Je pris les yaourts et jetais un coup d'oeil en bas .Tout le monde avait l'air minuscule de là où j'étais. Je redescendis en sautant. Le minuteur sonnait. Je m'empressais de tout bien arranger sur la gigantesque table en bois blanc avec la nappe brodée d'une couleur taupe.
- Je ne sais vraiment pas comment tu as fais, mais tu nous a tous sauvé! Nous allons enfin pouvoir manger disait ma mère émue ,Merci à toi, tu as réussi ta mission.
Romain B.
Il était 6h00 du matin. C'était un lundi et j'avais école. Je devais alors me lever de mon lit, lui qui était si confortable. Son oreillet reposait ma tête d'une manière si douce, je ressentais chaque plume qui sommeillait en lui et qui me faisait rêver chaque nuit. J'étais allongé sur cette grande étendue de bonheur que je ne voulais pas quitter, cette même surface qui définissait tout ce qu'il y avait de plus confortable dans ce monde. Triste j'aurais été s'il m'était advenu que je me sépare de cet être si cher à mes yeux, cet ami avec qui je passerai la moitié de ma vie, cette épaule sur qui je pourrai me reposer. Ce même ami qui m'avait vu naître, pleurer et rêver. Son traversin bleu, son oreillet turquoise ou encore ses somptueux draps blachâtres éveillaient en moi un vague sentiment de nostaglie. Je me rendais alors compte à quel point j'avais de la chance de l'avoir à mes côtés, enfin plutôt d'être dessus. Je me repassais en boucle tous les bons moments que j'avais eu avec lui, je me dit que je le reverrai bientôt et que la douceur de ses belles couvertures me manquait déjà. Alors d'un coup sec, je pris mon élan, j'ouvris un oeil puis un deuxième. C'est à ce moment précis que je me mis à regarder mon réveil, lui qui me rappelais chaque matin l'heure, puis je lis et là ce fut le drame ! Bref, il était 6h48 et j'étais en retard.
Thomas B.
C'était un lundi en début d'après-midi, il était aux environs de 13h40 et le cours de sport avait commencé depuis maintenant 35mn. Nous étions dans la partie escalade du gymnase, tout le monde était concentré par son ascension. Il faisait une chaleur insoutenable. Quant à moi, je m'apprêtais à faire ma montée.
Je pris soin de bien faire mon nœud en huit, une erreur m'était impossible. Je m'approchais doucement du mur d'escalade, droit dans mes chaussons, prêt à affronter mon destin. Je me retournais et mis les dernières choses au point avec mon assureur. Je commençais alors mon ascension dans le plus grand des calmes, tout se passait bien. Je montais les prises les unes après les autres, et cela sans encombre. Je m'efforçais de ne pas regarder vers le bas car je ressentais comme une sensation de vertige. Le mur me paraissait à la fois d'une taille normale et en même temps immense. L'ascension continua et devint de plus en plus complexe. Les prises s éloignaient de plus en plus les unes des autres.
Malgré tout, je m'efforçais de ne pas perdre mon sang froid afin d'éviter toutes catastrophes. Et là, un sentiment de joie intense, j'aperçus enfin «Le Saint Graal» : ma dernière prise… Ouf j'étais arrivé! La moitié du travail était fait : il fallait maintenant penser à la descente. Je me retournais une dernière fois vers mon principal assureur afin de lui demander s'il était prêt à entamer ce retour.
Je regardai les prises au niveau de mes mains, tout était prêt. Et là, l'ultime moment, je m’élançais en arrière à la conquête du sol! J'amorçais ma descente en rappel qui allait s'avérer être une véritable descente aux enfers. En effet, mon assureur eut un léger mouvement vers l'avant, ce qui eut pour effet de donner du mou à la corde et ainsi me faire pivoter sur le côté de manière instable. Je n'avais plus aucun repère et n'arrivais donc plus à voir les prises auxquelles me rattraper, mes jambes allaient dans tous les sens et finirent violemment par toucher le mur puis la prise fatidique. Un cri d'horreur et de douleur sortit de ma bouche en raisonnant à travers tout le gymnase. C'est alors que je pris conscience que quelque chose n'allait pas, je vis que ma rotule était déboîtée et que mon genou était luxé. Tout le monde stoppa net toute activité et accourut vers moi, me demandant ce qu'il s'était passé et si j'avais mal. Ce à quoi je répondis : « pas du tout ! Je suis un warrior ! ».
Je mis quand même un moment à récupérer ma respiration, et à réaliser. En fait, tout juste assez pour que quelques dizaines de minutes plus tard, les pompiers arrivent et m’emmènent aux urgences comme un héros de guerre blessé au combat que l'on félicite pour son courage !
Je pris soin de bien faire mon nœud en huit, une erreur m'était impossible. Je m'approchais doucement du mur d'escalade, droit dans mes chaussons, prêt à affronter mon destin. Je me retournais et mis les dernières choses au point avec mon assureur. Je commençais alors mon ascension dans le plus grand des calmes, tout se passait bien. Je montais les prises les unes après les autres, et cela sans encombre. Je m'efforçais de ne pas regarder vers le bas car je ressentais comme une sensation de vertige. Le mur me paraissait à la fois d'une taille normale et en même temps immense. L'ascension continua et devint de plus en plus complexe. Les prises s éloignaient de plus en plus les unes des autres.
Malgré tout, je m'efforçais de ne pas perdre mon sang froid afin d'éviter toutes catastrophes. Et là, un sentiment de joie intense, j'aperçus enfin «Le Saint Graal» : ma dernière prise… Ouf j'étais arrivé! La moitié du travail était fait : il fallait maintenant penser à la descente. Je me retournais une dernière fois vers mon principal assureur afin de lui demander s'il était prêt à entamer ce retour.
Je regardai les prises au niveau de mes mains, tout était prêt. Et là, l'ultime moment, je m’élançais en arrière à la conquête du sol! J'amorçais ma descente en rappel qui allait s'avérer être une véritable descente aux enfers. En effet, mon assureur eut un léger mouvement vers l'avant, ce qui eut pour effet de donner du mou à la corde et ainsi me faire pivoter sur le côté de manière instable. Je n'avais plus aucun repère et n'arrivais donc plus à voir les prises auxquelles me rattraper, mes jambes allaient dans tous les sens et finirent violemment par toucher le mur puis la prise fatidique. Un cri d'horreur et de douleur sortit de ma bouche en raisonnant à travers tout le gymnase. C'est alors que je pris conscience que quelque chose n'allait pas, je vis que ma rotule était déboîtée et que mon genou était luxé. Tout le monde stoppa net toute activité et accourut vers moi, me demandant ce qu'il s'était passé et si j'avais mal. Ce à quoi je répondis : « pas du tout ! Je suis un warrior ! ».
Je mis quand même un moment à récupérer ma respiration, et à réaliser. En fait, tout juste assez pour que quelques dizaines de minutes plus tard, les pompiers arrivent et m’emmènent aux urgences comme un héros de guerre blessé au combat que l'on félicite pour son courage !
Hugo C.
Comme chaque week-end, je me rendis à mon match de basket. Nos adversaires étaient tous immenses, comme si nous faisions face à des Cyclopes. Une fois le match commencé, notre équipe avait le ballon, mon co-équipier m’avait fait la passe et nous avançons tous ensembles tels des Spartiates avec une défense de fer. Nous nous confrontons pendant plusieurs minutes, les paniers s’enchaînent des deux côtés. Il ne reste que cinq petites minutes : les deux camps sont à égalité ! La tension monte, la fatigue se ressent des deux côtés. Nous reprenons le ballon sur un contre ! J’ai le ballon et je me précipite vers le panier tel Thésée fonçant sur le Minotaure. Un des adversaire se mit entre le panier et moi :
-Fais la passe ! Cria mon coach.
-Non je vais y arriver ! Lui dis-je.
Je étais déterminé à gagner ce duel. Le le passe, m’étais préparé à sauter et je fais un dunk digne de Michael Jordan. La foule se lève et crie mon nom. La fin du match sonne, toute mon équipe se rassemble et nous sommes acclamés par le public.
-Fais la passe ! Cria mon coach.
-Non je vais y arriver ! Lui dis-je.
Je étais déterminé à gagner ce duel. Le le passe, m’étais préparé à sauter et je fais un dunk digne de Michael Jordan. La foule se lève et crie mon nom. La fin du match sonne, toute mon équipe se rassemble et nous sommes acclamés par le public.
Loïc Da.
Comme tous les lundi soir, je partis au bowling pour 3h de jeu intense. Je fis équipe avec Héloïse, ma coéquipière.
Nous arrivons sur le dernier frame, je suis le dernier à jouer. On est à 20 points de retard, tout peut être décisif sur mon lancer, ayant un spare déjà comptabilisé sur le frame précédent. Je lançai ma première boule, et fis tombé 9 quilles. Ça y est, on est à 2 quilles de retard, si je fais tomber la quille on peut gagner facilement.
Héloïse me dis avant que je joue :
« Allez Loïc, si tu fais tomber cette quille, on gagne obligatoirement. »
Avec un air déterminé, je lui répondis : « Allez faut que j'y arrive. »
Je pris mon élan et je lançai ma boule, elle tourna et tourna jusqu'à toucher ma cible. La quille était sur le point de tombé, et finalement, elle tomba de très peu en tremblant.
Je repris mon souffle et vit le score qui était d'un écart de 1 pour eux. Il me reste encore une boule à jouer. Je repris mon esprit et parti faire le lancer de la victoire. Je pris ma boule, pris une grande respiration et je me mis en place. Mes jambes tremblaient de stress. Je voyais Héloïse en train de me regarder. Je lançai la boule. Cela m’a trouvé très long pour que la boule arriva aux quilles mais, je loupai les quilles. On perdit d'un point et je tombai par terre m'en voulant d'avoir fait perdre mon équipe. Héloïse m'aida à me relever en me disant :
« Allez c'est qu'un entraînement, on arrivera à les gagner la semaine prochaine. »
Et je répondis la tête baissée : « Oui et la prochaine fois, on gagne haut la main. »
Puis on se tapi la main, finissant la partie sur un score serré et bien sûr dans la joie du sport.
Nous arrivons sur le dernier frame, je suis le dernier à jouer. On est à 20 points de retard, tout peut être décisif sur mon lancer, ayant un spare déjà comptabilisé sur le frame précédent. Je lançai ma première boule, et fis tombé 9 quilles. Ça y est, on est à 2 quilles de retard, si je fais tomber la quille on peut gagner facilement.
Héloïse me dis avant que je joue :
« Allez Loïc, si tu fais tomber cette quille, on gagne obligatoirement. »
Avec un air déterminé, je lui répondis : « Allez faut que j'y arrive. »
Je pris mon élan et je lançai ma boule, elle tourna et tourna jusqu'à toucher ma cible. La quille était sur le point de tombé, et finalement, elle tomba de très peu en tremblant.
Je repris mon souffle et vit le score qui était d'un écart de 1 pour eux. Il me reste encore une boule à jouer. Je repris mon esprit et parti faire le lancer de la victoire. Je pris ma boule, pris une grande respiration et je me mis en place. Mes jambes tremblaient de stress. Je voyais Héloïse en train de me regarder. Je lançai la boule. Cela m’a trouvé très long pour que la boule arriva aux quilles mais, je loupai les quilles. On perdit d'un point et je tombai par terre m'en voulant d'avoir fait perdre mon équipe. Héloïse m'aida à me relever en me disant :
« Allez c'est qu'un entraînement, on arrivera à les gagner la semaine prochaine. »
Et je répondis la tête baissée : « Oui et la prochaine fois, on gagne haut la main. »
Puis on se tapi la main, finissant la partie sur un score serré et bien sûr dans la joie du sport.
Loïc De.
Comme tous les dimanches soirs c’était un véritable plaisir, une grave mission confié à tous les héros masculins et une grande responsabilité de sortir les poubelles. Au moment où j’ai soulevé le sac je me suis rendu compte que certains gaz toxiques et des vapeurs nauséabondes susceptibles d’empoisonner l’ensemble de la famille s’en échappaient
Ce sac avait l’apparence d’un sac plastique normal mais il était extra fin et se fissurait très facilement. Il ne faisait que se débattre car son objectif de méchant sac était de répandre tout le contenu qu’il possédait à l’intérieur et de le projeter dans le salon. J’ai donc décidé de le ceinturer avec la ficelle fournie puisque je suis ceinture noire premier.dan de Kung fu . Son contenu était assez horrible à voir. Il était visqueux, verdâtre et il avait une odeur de pourriture. Ma mission était d’aider ma famille à se débarrasser de cet horrible sac poubelle mais la destination entre la maison et le container était un vrai parcours du combattant.
Au moment où je suis arrivé dans le salon le tapis s’est interposé à mes pieds. Le sac poubelle m’a glissé des mains ! J’ai plongé comme un goal pour le rattraper avant qu’il n’explose sur le sol.
Lorsque je suis arrivé aux escaliers menant à l’extérieur, une tempête est arrivé . Je suis tombé et j’ai roulé dans les escaliers mais le sac a changé de direction . Il n’a pas voulu rentrer dans le container ! Il a roulé dans la direction inverse alors j’ai dù le plaquer comme un rugby man pour l’immobiliser. Après avoir passé le portail de chez moi , j’ai voulu faire un panier comme au basket mais celui-ci a atterri sur la tête de la voisine qui jetait ses poubelles aussi !
<<-Oups, désolé c’était le container que j’avais visé.
-Vous vous croyez où on est pas aux jeux olympiques ici !
Ce sac avait l’apparence d’un sac plastique normal mais il était extra fin et se fissurait très facilement. Il ne faisait que se débattre car son objectif de méchant sac était de répandre tout le contenu qu’il possédait à l’intérieur et de le projeter dans le salon. J’ai donc décidé de le ceinturer avec la ficelle fournie puisque je suis ceinture noire premier.dan de Kung fu . Son contenu était assez horrible à voir. Il était visqueux, verdâtre et il avait une odeur de pourriture. Ma mission était d’aider ma famille à se débarrasser de cet horrible sac poubelle mais la destination entre la maison et le container était un vrai parcours du combattant.
Au moment où je suis arrivé dans le salon le tapis s’est interposé à mes pieds. Le sac poubelle m’a glissé des mains ! J’ai plongé comme un goal pour le rattraper avant qu’il n’explose sur le sol.
Lorsque je suis arrivé aux escaliers menant à l’extérieur, une tempête est arrivé . Je suis tombé et j’ai roulé dans les escaliers mais le sac a changé de direction . Il n’a pas voulu rentrer dans le container ! Il a roulé dans la direction inverse alors j’ai dù le plaquer comme un rugby man pour l’immobiliser. Après avoir passé le portail de chez moi , j’ai voulu faire un panier comme au basket mais celui-ci a atterri sur la tête de la voisine qui jetait ses poubelles aussi !
<<-Oups, désolé c’était le container que j’avais visé.
-Vous vous croyez où on est pas aux jeux olympiques ici !
Benjamin D.
Un mardi après-midi pendant deux heures de pause, j’ai décidé de faire un duel de Yu-gi-oh avec un ami. J’avais pris mon Deck préféré, le guerrier éveillé, et lui son Heros élémentaires.
Je le laisse commencer car je ne m’attendais pas à quelque chose de très dangereux en premier tour. C’est à moi de jouer : je regarde ma main et m’apprêtais à mettre en œuvre tout mon talent pour gagner ce duel.
Je commence en activant « l’appel pendule », en envoyant une carte de ma main au cimetière je peux ajouter de mon Deck à ma main deux monstres pendules magiciens de nom différents. Mon adversaire aura du mal à s’en sortie après un tel coup de maître !
Mais je ne m’arrête pas et j’active les deux pendules que je viens de récupérer pour obtenir une échelle de 1 à 8 grâce à laquelle je peux invoquer spécialement depuis ma main mes deux « éther, le maléfique dragon éveilleur », ce coup magistral me permet de prendre largement l’avantage sur mon adversaire.
Cette stratégie relevant du génie me fait remporter le duel en 3 tours de jeu.
Je relève la têt et dis à mon ami :
« Bon, c’est pas grave ! Tu gagneras la prochaine fois.
- Oui, il faut que j’améliore mon Deck et après je gagnerai. »
J’acquiesçais tout en rangeant mes cartes.
Le prochain duel risque d’être plus difficile.
Je le laisse commencer car je ne m’attendais pas à quelque chose de très dangereux en premier tour. C’est à moi de jouer : je regarde ma main et m’apprêtais à mettre en œuvre tout mon talent pour gagner ce duel.
Je commence en activant « l’appel pendule », en envoyant une carte de ma main au cimetière je peux ajouter de mon Deck à ma main deux monstres pendules magiciens de nom différents. Mon adversaire aura du mal à s’en sortie après un tel coup de maître !
Mais je ne m’arrête pas et j’active les deux pendules que je viens de récupérer pour obtenir une échelle de 1 à 8 grâce à laquelle je peux invoquer spécialement depuis ma main mes deux « éther, le maléfique dragon éveilleur », ce coup magistral me permet de prendre largement l’avantage sur mon adversaire.
Cette stratégie relevant du génie me fait remporter le duel en 3 tours de jeu.
Je relève la têt et dis à mon ami :
« Bon, c’est pas grave ! Tu gagneras la prochaine fois.
- Oui, il faut que j’améliore mon Deck et après je gagnerai. »
J’acquiesçais tout en rangeant mes cartes.
Le prochain duel risque d’être plus difficile.
Explications :
L’échelle pendule est le petit numéro au milieu de la carte, lorsque j’active deux cartes pendules je peux invoquer depuis ma main des monstres dont le nombres d’étoiles, juste en dessous du nom, est compris entre les deux échelles pendules. Pour l’appel pendule ce que j’explique c’est juste son effet donc c’est rien de très épique. |
Brice D. S.
Voila arrivé le jour de mon match de foot , nous nous préparâmes pour aller sur le terrain . On s’échauffe et on se mit en place . Le commença . Je pris le ballon et j'avais dribblé tout les joueurs de l'équipe adverse et je marqué un but incroyable digne des plus grands joueurs de LEAGUE DES CHAMPIONS.
Quand tout à coup l’entraîneur me cria dessus :
« Mais qu'est ce que tu fais ? Replace toi et remet le ballon à sa place ! Le match va commencer .»
« Qu'est ce que tu raconte ? Il a déjà commencé ! Tu n'as pas vu mon but ? Il était magnifique . »
« Arrête un peu ! Regarde autour de toi ! Ça n’a pas commencé ! T’ont but ne compte pas ! Tu as fais tous ça pour rien . Et l'arbitre n'attend plus que toi pour commencer la rencontre . »
Je pris un instant pour réaliser ce que me disait l'entraîneur et là tout s’effondra
pour moi . J’étais déçut . Je pensais qu'avec ce but de grande classe j'allais devenir un grand joueur , mais c'était tout le contraire ! Le match n'avait pas commencé . Après cette erreur , je me suis repris en main et tenté de vraiment marquait le but que j'avais décrit , mais fois si pendant le match .
Quand tout à coup l’entraîneur me cria dessus :
« Mais qu'est ce que tu fais ? Replace toi et remet le ballon à sa place ! Le match va commencer .»
« Qu'est ce que tu raconte ? Il a déjà commencé ! Tu n'as pas vu mon but ? Il était magnifique . »
« Arrête un peu ! Regarde autour de toi ! Ça n’a pas commencé ! T’ont but ne compte pas ! Tu as fais tous ça pour rien . Et l'arbitre n'attend plus que toi pour commencer la rencontre . »
Je pris un instant pour réaliser ce que me disait l'entraîneur et là tout s’effondra
pour moi . J’étais déçut . Je pensais qu'avec ce but de grande classe j'allais devenir un grand joueur , mais c'était tout le contraire ! Le match n'avait pas commencé . Après cette erreur , je me suis repris en main et tenté de vraiment marquait le but que j'avais décrit , mais fois si pendant le match .
Bryan F.
Une journée de chasse
C’était l’été, il faisait beau, il faisait chaud, pourquoi restais enfermé à l'intérieur sur son ordinateur et rien faire de sa journée alors qu’on peut aller jouer a Pokemon Go dehors.
Je téléphonais à mon meilleur ami :
<< Hey salut ! ça te dirait de sortir chasser des pokémon
- Pourquoi pas ? ça serai cool !
- On se retrouve dans une heure à la place du village , n'oublie pas ta batterie externe
- Ok , à tout à l’heure ! >>
Je m'habiller, je pris mon téléphone, ma sacoche, ma bouteille d’eau, ma batterie externe est parti à l’aventure pokémon !
On décidai de s'éloigner du village pour chercher des Pokémon rare.
On était en campagne et la connexion n'était pas très bonne mais ça nous empêchera pas de chasser. Nous cherchons sans relâche . Nous trouvons de banale ratata et aspicot. Je m'arrêtai pour capturer 2 ptitard, et un sabelette, pokémon assez rare que je n’avais pas. Mon ami aussi a fait de belles trouvailles notamment grâce aux oeufs car il a pu enrichir son pokedex. On se balade tranquillement , notre objectif était de trouver soit des pokémons rares , très rares voir épiques ou mythiques et compléter notre pokédex. On tombe sur un spawn à caninos , on en profite pour en capturer 2 ou 3. La chasse commençait bien dis donc ! Nous continuons notre périple.
Tout à coup , une grosse silhouette apparut sur le radar. Un ronflex n'était pas loin d’une forêt , on décida d’y aller. Le pokémon était tout prêt , par précaution, je décide d'enclencher un encens , il n'apparaît pas , on avance plus profondément dans la forêt , la lumière du jour passait à peine à travers les feuillages , il faisait sombre. Il y a une grotte au bout , après réflexion , on décidait d’y aller. Le ronflex était toujours sur le radar , il n’y avait aucun bruit , juste nos respiration. D’un coup , un bruit casse ce silence : le ronflex apparait sur nos cartes ! C’est un pokémon classé comme “ mythique “, il ne faut pas le rater ! Il sera à nous ! Je décide de lui donner 2 baies framby pour éviter qu’il ne s’échappe. Je stressais, ma main tremblait, je lançais des pokéball mais le pokémon sortait toujours, une baie framby par précaution et je continuais à l'assommer de pokeball : je ne voulais pas qu’il s’échappe. Mon ami a réussi à capturer le sien et m'indique qu’il n’y en a plus sur le radar , ça doit être donc le dernier. Il me reste plus que 2 pokéball, c’est bientôt la fin ? Je stressais, le portable est tout mouillé , je n’arrive même plus à cliquer , je suis en sueur , je jette ma dernière pokéball , elle tournait … elle tournait … elle tournait … et je l’ai attrapé !
Très content de cette capture , et de notre belle journée de chasse , on alla boire un bon coca et nous rentrions chez nous.
C’était l’été, il faisait beau, il faisait chaud, pourquoi restais enfermé à l'intérieur sur son ordinateur et rien faire de sa journée alors qu’on peut aller jouer a Pokemon Go dehors.
Je téléphonais à mon meilleur ami :
<< Hey salut ! ça te dirait de sortir chasser des pokémon
- Pourquoi pas ? ça serai cool !
- On se retrouve dans une heure à la place du village , n'oublie pas ta batterie externe
- Ok , à tout à l’heure ! >>
Je m'habiller, je pris mon téléphone, ma sacoche, ma bouteille d’eau, ma batterie externe est parti à l’aventure pokémon !
On décidai de s'éloigner du village pour chercher des Pokémon rare.
On était en campagne et la connexion n'était pas très bonne mais ça nous empêchera pas de chasser. Nous cherchons sans relâche . Nous trouvons de banale ratata et aspicot. Je m'arrêtai pour capturer 2 ptitard, et un sabelette, pokémon assez rare que je n’avais pas. Mon ami aussi a fait de belles trouvailles notamment grâce aux oeufs car il a pu enrichir son pokedex. On se balade tranquillement , notre objectif était de trouver soit des pokémons rares , très rares voir épiques ou mythiques et compléter notre pokédex. On tombe sur un spawn à caninos , on en profite pour en capturer 2 ou 3. La chasse commençait bien dis donc ! Nous continuons notre périple.
Tout à coup , une grosse silhouette apparut sur le radar. Un ronflex n'était pas loin d’une forêt , on décida d’y aller. Le pokémon était tout prêt , par précaution, je décide d'enclencher un encens , il n'apparaît pas , on avance plus profondément dans la forêt , la lumière du jour passait à peine à travers les feuillages , il faisait sombre. Il y a une grotte au bout , après réflexion , on décidait d’y aller. Le ronflex était toujours sur le radar , il n’y avait aucun bruit , juste nos respiration. D’un coup , un bruit casse ce silence : le ronflex apparait sur nos cartes ! C’est un pokémon classé comme “ mythique “, il ne faut pas le rater ! Il sera à nous ! Je décide de lui donner 2 baies framby pour éviter qu’il ne s’échappe. Je stressais, ma main tremblait, je lançais des pokéball mais le pokémon sortait toujours, une baie framby par précaution et je continuais à l'assommer de pokeball : je ne voulais pas qu’il s’échappe. Mon ami a réussi à capturer le sien et m'indique qu’il n’y en a plus sur le radar , ça doit être donc le dernier. Il me reste plus que 2 pokéball, c’est bientôt la fin ? Je stressais, le portable est tout mouillé , je n’arrive même plus à cliquer , je suis en sueur , je jette ma dernière pokéball , elle tournait … elle tournait … elle tournait … et je l’ai attrapé !
Très content de cette capture , et de notre belle journée de chasse , on alla boire un bon coca et nous rentrions chez nous.
Antoine G.
Je pensais que mon année scolaire de STI2D allait être marqué par plein d’activités informatiques. Mais durant mon premier cours, mon professeur principal donner a la classe comme première infirmation que des nouvelles poubelles pour les papiers. Elles sont placées à côté des poubelles banales. Les nouvelles poubelles sont toutes bleus et de la même taille que les banals. Pendant ce cours, j’ai remarqué une boule de papier qui trainait dans ma trousse. N’ayant pas envie de me lever pour aller à la poubelle, je décidas de lancer la boule dans la poubelle à travers la classe. Lorsque la boule était en l’air, tout le monde la regarda voler, au moins 10 seconde avant le moment où elle atterrissait dans la poubelle. A ce moment-là une alarme retenti fort ! Tellement fort que toute la classe, avait les tympans en sang ! La salle était éclairée par une lumière rouge éblouissante. Puis un compte à rebours apparu sur le tableau… Arrivé a « 0 » la poubelle explosa ! Si fort que toute la Terre à trembler, comme une explosion nucléaire créant une faille spatiale temporelle, faisant apparaitre un trou noire aspirant toute la Terre.
Raphaël G.
Un lundi matin, comme à mon habitude, je me préparais pour aller en cours. je vis qu'il fît pas beau. Enfin prêt ! je pars de la maison, j'empruntais le chemin qui mène à la gare quand tout à coup un inconnu m'aborde.
"Toi ! donne moi ton téléphone et vite !"
"Non ! je ne te le donnerai pas ! va t'en je ne vais pas te le dire deux fois..!"
Mais il insista : "Donne le!"
Je fis contraint, par ces mots d'une violence extrêmement crue, de le lui confier... je l'ai quand-même mis en garde que si il y à une trop forte pression sur le téléphone il se produira quelque chose de grave, mais ce simplet n'a rien voulu savoir et me là pris de force et s'est enfui avec. Donc je courus derrière lui lui pour essayer de le rattraper mais en vain. Désespéré, je repris le chemin de la gare. Arrivé sur le quai, je vis qu'il n'y avais personne, je regarde alors le panneau d'affichage mais il m'indiqua que le train était déjà passé, je l'avais donc raté ! Etant contraint de ne pas aller en cours, je rebroussais chemin. Sur mon chemin je me rendis compte qu'il y avais un accident énorme de voiture parce-que un taureau enragé avais surgis sur la route. Etant un bon citoyen, je me suis dévoué pour sauver toutes ces personnes en prenant le taureau par les cornes. Je fis des tours et des tours jusqu'à en balancer le taureau dans les airs, sa trajectoire et sa vitesse furent assez rapide puisqu'il a atterri de tout son poids sur une maison qui je ne sais comment, a explosé et pris feu. Ne sachant que faire je me suis enfui, puis me vint a l'idée que je devais téléphoner au lycée pour les prévenir de mon absence mais je me trouvais bien bête lorsque je me rappelai que mon téléphone a été pris de force dans une embuscade dont j'étais la victime. Etant peiné de cette situation, je décide d'aller demander conseil à une voyante, elle sera peut-être m'aider. J'ouvre le rideau de son tipi et je m'assis à sa table. Je n'eus même pas le temps de poser ma question qu'elle me dit avec un accent espagnol :
"Si c'est ton téléphone que tu cherches tu devras parcourir les cendres" Sur le coup, je n'ai pas compris ce qu'elle voulait dire.
"En réalité, il y avait un couple qui vivait dans la maison qui a brûlé, celui t'a volé était leur fils. Il voulait offrir à sa mère un cadeau pour son anniversaire". Je repartis bredouille, mais en sortant de son sanctuaire je vis la nuit tomber, j'ai donc décidé de rentrer à la maison.
Le lendemain comme à mon habitude je repartis sur le chemin de la gare. Cette fois-ci c'était calme. Arrivé au lycée mon prof d'histoire m'interpella. "Où étais tu passé ?! il y avais contrôle ! tu as retardé tout le monde, j'espère que tu as une bonne excuse !"
"Oui monsieur. En fait, c'est très simple : quand le fils du copain de sa femme de la maison en feu ma privé de mon téléphone alors que j'avais sauvé toute une population d'un taureau enragé la voyante ma fait comprendre qu'il était trop tard pour aller au lycée". Le prof me fit un large sourire et annonça : "Ok, je t'exclus seulement trois jours, j'aurais pu mettre plus, mais comme tu as une bonne imagination je vais être sympa".
Conclusion : ne jamais sortir de chez soi quand il ne fait pas beau.
"Toi ! donne moi ton téléphone et vite !"
"Non ! je ne te le donnerai pas ! va t'en je ne vais pas te le dire deux fois..!"
Mais il insista : "Donne le!"
Je fis contraint, par ces mots d'une violence extrêmement crue, de le lui confier... je l'ai quand-même mis en garde que si il y à une trop forte pression sur le téléphone il se produira quelque chose de grave, mais ce simplet n'a rien voulu savoir et me là pris de force et s'est enfui avec. Donc je courus derrière lui lui pour essayer de le rattraper mais en vain. Désespéré, je repris le chemin de la gare. Arrivé sur le quai, je vis qu'il n'y avais personne, je regarde alors le panneau d'affichage mais il m'indiqua que le train était déjà passé, je l'avais donc raté ! Etant contraint de ne pas aller en cours, je rebroussais chemin. Sur mon chemin je me rendis compte qu'il y avais un accident énorme de voiture parce-que un taureau enragé avais surgis sur la route. Etant un bon citoyen, je me suis dévoué pour sauver toutes ces personnes en prenant le taureau par les cornes. Je fis des tours et des tours jusqu'à en balancer le taureau dans les airs, sa trajectoire et sa vitesse furent assez rapide puisqu'il a atterri de tout son poids sur une maison qui je ne sais comment, a explosé et pris feu. Ne sachant que faire je me suis enfui, puis me vint a l'idée que je devais téléphoner au lycée pour les prévenir de mon absence mais je me trouvais bien bête lorsque je me rappelai que mon téléphone a été pris de force dans une embuscade dont j'étais la victime. Etant peiné de cette situation, je décide d'aller demander conseil à une voyante, elle sera peut-être m'aider. J'ouvre le rideau de son tipi et je m'assis à sa table. Je n'eus même pas le temps de poser ma question qu'elle me dit avec un accent espagnol :
"Si c'est ton téléphone que tu cherches tu devras parcourir les cendres" Sur le coup, je n'ai pas compris ce qu'elle voulait dire.
"En réalité, il y avait un couple qui vivait dans la maison qui a brûlé, celui t'a volé était leur fils. Il voulait offrir à sa mère un cadeau pour son anniversaire". Je repartis bredouille, mais en sortant de son sanctuaire je vis la nuit tomber, j'ai donc décidé de rentrer à la maison.
Le lendemain comme à mon habitude je repartis sur le chemin de la gare. Cette fois-ci c'était calme. Arrivé au lycée mon prof d'histoire m'interpella. "Où étais tu passé ?! il y avais contrôle ! tu as retardé tout le monde, j'espère que tu as une bonne excuse !"
"Oui monsieur. En fait, c'est très simple : quand le fils du copain de sa femme de la maison en feu ma privé de mon téléphone alors que j'avais sauvé toute une population d'un taureau enragé la voyante ma fait comprendre qu'il était trop tard pour aller au lycée". Le prof me fit un large sourire et annonça : "Ok, je t'exclus seulement trois jours, j'aurais pu mettre plus, mais comme tu as une bonne imagination je vais être sympa".
Conclusion : ne jamais sortir de chez soi quand il ne fait pas beau.
Luc H.
La passerelle était gelée, glissante, des rafales de vents me faisait trembler. Ma peur de tomber dans la rivière glaciale me terrifiait. Enfin, je sortis de cette maudite passerelle ! Mes collègues me rejoignirent. Nous décidâmes de nous reposer sur un muret. Nous étions cinq. Cinq à affronter du mieux que nous pouvions les éléments. Au loin, nous apercevions notre objectif à travers ce brouillard. Il fallait avancer, le sol glissant, givré ne nous rassurait pas. Tout d’un coup, un ami me tira le bras me faisant presque tomber au sol et je vis un très gros rocher débouler à l’ endroit où je me trouvais 2 secondes plus tôt. « Merci » lui dis-je. « Fais attention toi, les rochers sont de plus en plus fous par ici ! » me dit-il. Ce n’était pas passé loin ! Heureusement qu’il était là ! Nous nous rapprochâmes de plus en plus de notre objectif, il était de plus en plus clair. Il fallut continuer….. plus qu’une dizaine de mètres ! Enfin, nous y étions, une dernière petite montée, une ligne droite, un tournant à droite...
Et nous sommes enfin arrivés, assis, au chaud. On est quand même bien dans le bus.
Et nous sommes enfin arrivés, assis, au chaud. On est quand même bien dans le bus.
Yann H.
Un Samedi en me levant, je posa un pied par terre. Sauf qu'il devient chaud au fur et à mesure que j'avance. Il chauffe à un point qu'on dirait de la lave. J'ai l'impression d'être en train de marcher sur des braises. Rare sont les personnes pouvant le faire. Je commence à descendre les escaliers, mais ils ne sont pas normaux. Ils se mette soudainement à bouger. Ils basculent de droite à gauche, certains s'effondrent. Il faut un courage exceptionnel pour essayer de passer. Je commence à vouloir descendre, je posa un pied sur la première marche. Je sens qu'elle commence a s’effriter à ce moment là, la peur vient naturellement sauf que moi j'éclate de rire et continue à descend les escaliers en faisant des petits sauts comme si je jouais à un jeu. J'arrive devant mon ordinateur, je m'assois sur mon fauteuil qui était très froid, comme un iceberg. Lorsque je m'assois, j'ai l'impression de devenir un glaçon. Même les super héros aurait du mal à rester assis. Je me mis à vouloir appuyer sur mon ordinateur, plus je m'approchait du bouton, plus mon doigt s'éloigner de moi. Il était en train de lutter contre la gravité, on aurait dit que le bouton était en train de reculé pour m'éviter. Je commençait a suer à force de la gravité. J’arrivai enfin a toucher le bouton sauf que je n'avait plus assez de force pour appuyer. Une force m'est venu, une force surhumaine et j’arrivai enfin a accéder a mon ordinateur. Mais l'écran était éteint il ne voulait plus s'allumer j’abandonnai l'idée d'aller sur mon ordinateur. Je restai assis et de fatigue je me suis rendormi. Je me suis réveiller quelque heure plus tard et je remarqua que c'était à cause de la bouteille de Jack Daniel que j'avais bu hier soir que j'ai vécu cette aventure épique.
Lucas L. R.
J'étais en pleine partie de counter strike, c'était la manche décisive: mes coéquipiers étant morts, j'étais le dernier en vie, et il restait cinq ennemies en vie. J'avançais, je me promenais, quand tout à coup je tombai face à face avec un ennemi. Surpris, je sautai de peur et commençais à tirer. Les balles qui partaient n'importe où. Je retomba au sol et lui mettais une balle en plein tête, il était de dos. Je continuais avec la pression de mes coéquipiers qui m'encourageais. Je vis deux ennemis au loin et accouru vers eux. J'étais juste derrière une porte, à quelque pas. J'hésitais à passer la porte. Puis je me lança: je passe la porte et tombe face a eux. Je tire, ils ripostèrent. Je me mis à couvert puis fis demi-tour et les contournes. J'arrivai derrière eux et les tues. Je ramacais un sniper que l’un d’entre eux aver et je commençai à chercher les deux derniers. Je me mis à courir et tombe nez à nez avec un ennemi et tire par réflexe sans même viser. Il n'en restais qu'un. Mes coéquipiers se mettais à crier, m’encourager et me dise que je peux le faire. Je me mis à la chercher du dernier quand mon père entre dans ma chambre et me dit :
"Petit con viens on va manger !
-Non ! attend ! je peu pas là !
-Tu n’as qu’a mettre en pause !
-Tu sais très bien que je ne peu pas !"
Énervé mon père cria « allé bouge ! ça va être froid » . Ne pouvant pas quitter la partie, je décidaire de continuer, mais mon père insista « Lucas !! » Stressé de plus en plus je commençai à trembler avec la pressionde mon père et de mes coéquipiers. J’étais toujours à la recherche du dernier en vie jusqu’au moment ou je vis le dernier ennemi qui passer tel une biche qui se promenée dans la forêt. Il avait l’air joyeux, il sautillai, je m’approchai tel un lion qui va sauter sur sa proie. Au même moment ou je sortais de ma cachette en tirant, une main se posa sur mon épaule. Surpris je sautai et lache mon claier. J'eus peine le temps de reprendre mon clavier qu'il était déjà trop tard, et mon père à côté de moi me di « c’est bon tu es mort ! allé viens manger !».
"Petit con viens on va manger !
-Non ! attend ! je peu pas là !
-Tu n’as qu’a mettre en pause !
-Tu sais très bien que je ne peu pas !"
Énervé mon père cria « allé bouge ! ça va être froid » . Ne pouvant pas quitter la partie, je décidaire de continuer, mais mon père insista « Lucas !! » Stressé de plus en plus je commençai à trembler avec la pressionde mon père et de mes coéquipiers. J’étais toujours à la recherche du dernier en vie jusqu’au moment ou je vis le dernier ennemi qui passer tel une biche qui se promenée dans la forêt. Il avait l’air joyeux, il sautillai, je m’approchai tel un lion qui va sauter sur sa proie. Au même moment ou je sortais de ma cachette en tirant, une main se posa sur mon épaule. Surpris je sautai et lache mon claier. J'eus peine le temps de reprendre mon clavier qu'il était déjà trop tard, et mon père à côté de moi me di « c’est bon tu es mort ! allé viens manger !».
Alexandre M.
Un jour de juillet devant le tour de France, sous une chaleur incroyable. Soudain le ventilateur s’arrêta sans aucune raison me dis-je, il était branche, allumer mais ne marchais pas. Pour éviter d’avoir trop chaud je décide de faire un effort colossal pour aller chercher à boire, je me suis levé de mon canapé quand soudainement un bruit se fit entendre. Je sorti de chez moi, c’était enfaite mes oiseaux qui ont fait tomber leurs bassine d’eau une fois ceci vu je retourna voir le tour mais au moment de fermer ma porte, la poignet m’avait bruler la main mais je résiste en pensant la chaleur qui pourrait s’introduire si je ne fermais pas ma porte. Je me retourna et derrière moi la porte de la pièce pour la boisson mais cette fois ci je ne pouvais pas toucher la poignet car il y avait comme un champs de force que personne ne peut briser sauf une personne avec une idée très forte et c’était mon cas. Je brise le champs , j’ouvre mon réfrigérateur et pris ma boisson puis je retourne regarder le tour.
Valentin M.
Après une journée de cours bien chargée, je décidais d'allumer ma console et de jouer à un jeux de foot avec des voiture appelle: "Rocket League".Mon ami et moi lançons une partie en 2 contre 2, la partie est bien entamée, mon ami doit quitter: je me retrouve donc seul face à deux adversaires qui ont la rage de vaincre et je suis mené au score de 3 buts. Je me demande alors comment faire pour revenir au score et peut être même gagner ce match. Je décide alors d'Honorer ma patrie en gagnant ce match. Je mets un premier but: le score diminue donc à 3-1. Je suis survolté, j'inscris un autre but ce qui fait donc 3-2! Les adversaires ne savent plus ou donner de la tête, et dans un sursaut d'orgueil, il me mettent un but ce qui fait donc 4-2. Il me reste plus qu'une minute pour égaliser. Je mets un troisième buts. Puis un quatrième. Je suis à égalité avec mes adversaires! Puis vient la prolongation: Je suis toujours seul, les adversaires n'arrêtent pas de tirer dans mes cages. Tel un grand gardien, j'arrête tous
les buts et sur leur dernière frappe je l'arrête a nouveau et part en contre attaque. La foule crie mon nom! Je me sens pousser des ailles. Je tente à mon tour la frappe et le ballon partit en plain lucrane! Sur d'avoir gagné, je retourne dans mon camp... Je me retourne et vois que l'adversaire a arrêté mon tir. Je n'avais plus d'arme pour attaquer. Je ne savais pas comment faire pour gagner ce match. Toutes les solution me passent par la tête. Mais une retient mon attention... Il faut marquer! l'adversaire tente une frappe du milieu de terrain: je parviens à l'arrêter.Je pars en contre attaque, frappe dans le ballon et le ballon part au fond des filets adverses. Je suis sur un petit nuage je me demande encore comment j'ai fait pour gagner ce match sans mon ami. La foule scande mon nom de plus en plus fort.
les buts et sur leur dernière frappe je l'arrête a nouveau et part en contre attaque. La foule crie mon nom! Je me sens pousser des ailles. Je tente à mon tour la frappe et le ballon partit en plain lucrane! Sur d'avoir gagné, je retourne dans mon camp... Je me retourne et vois que l'adversaire a arrêté mon tir. Je n'avais plus d'arme pour attaquer. Je ne savais pas comment faire pour gagner ce match. Toutes les solution me passent par la tête. Mais une retient mon attention... Il faut marquer! l'adversaire tente une frappe du milieu de terrain: je parviens à l'arrêter.Je pars en contre attaque, frappe dans le ballon et le ballon part au fond des filets adverses. Je suis sur un petit nuage je me demande encore comment j'ai fait pour gagner ce match sans mon ami. La foule scande mon nom de plus en plus fort.
José S.
Je me venais de terminer mon devoir sur mon ordinateur et je pris l’initiative de prendre une clé de stockage informatique afin de transférer mon devoir et de pouvoir le rendre à mon professeur d’histoire géographie. C’est alors que je ne trouvais plus ma clé et c‘est à ce moment que la panique vint à moi et mon esprit. Je cherchais à tous les endroits possibles : mon sac à dos, dans ma chambre, dans les pots à crayons, dans mes poches, sur mon bureau, sous mon lit … Je ne parvenais pas à trouver une clé de stockage informatique. C’est alors que je pris mon courage à deux mains afin de me rendre au magasin spécialisé le plus proche de chez moi alors qu’il ne faisait pas moins de -5 degrés dehors. Je sortais, courrais vers le magasin, bravant le froid et la neige poudreuse d’une épaisseur d’environ 80 centimètres de haut, marchant en descente environ 8 kilomètres, tout en pensant que je devrai faire ces mêmes 8 kilomètres en montée au retour, achetais une clé trois à quatre fois plus cher que le prix traditionnel, faisant la queue pendant une demi-heure et rentrais enfin chez moi. Je revins enfin devant mon devoir, pris cette nouvelle clé, j’enlevais avec délicatesse l’emballage plastique, la pris et la brancha en douceur afin de ne pas la casser. Et c’est à ce moment que je me suis rendu compte que a clé que je cherchais étais en réalité déjà branchée sur un des ports de mon ordinateur.
Baptiste T.
C’était un samedi et ma mère me demanda, de façon énergique: « Au lieu de jouer à ta console , va chercher du pain ». Je décide de mettre ma veste pour affronter le vent glacé et mes chaussures pour lutter contre le monstrueux sol goudronné, pour braver les dangers et accomplir ma mission : « aller chercher du pain ». Et je commença à partir pour l’aventure que je m’apprêtait a vivre .
Pour aller plus vite, je courais, courageusement, sans me préoccuper des dangers environnants et arrivais enfin à ma destination : la boulangerie. Juste avant d’entrer,un vieil homme m’attrapa par le bras et me dis : « Ne rentre pas, la mort t’y attend » d’un air effrayé.Je lui rétorqua « Je n’ai pas peur de la mort ».
Une fois dans la boulangerie,j’arrivais devant le boulanger et lui lançai dans un un dernier élan de courage l’argent me permettant d’obtenir mon précieux: une baguette de pain.
Pour aller plus vite, je courais, courageusement, sans me préoccuper des dangers environnants et arrivais enfin à ma destination : la boulangerie. Juste avant d’entrer,un vieil homme m’attrapa par le bras et me dis : « Ne rentre pas, la mort t’y attend » d’un air effrayé.Je lui rétorqua « Je n’ai pas peur de la mort ».
Une fois dans la boulangerie,j’arrivais devant le boulanger et lui lançai dans un un dernier élan de courage l’argent me permettant d’obtenir mon précieux: une baguette de pain.
Dorian T.
Enfin vint le jour des courses ! Quel bonheur, vous n’imaginez pas ! L’incroyable homme au micro présente les pilotes caddies dont, le sublime Dorian, cet homme si élégant, si gracieux… Attendez, ah oui, c’est moi ! Trois, deux, un, GO ! Les pilotes se lancent tous sur la piste. Rayon vêtement, le majestueux Dorian fut ralentit par un piège des plus horrible, sa Mère ! Moult vêtements achetés plus tard, il put enfin repartir, avec un seul objectif : la victoire. Plus rapide que jamais il passa tous les rayons, et tout ça, avec une grâce surhumaine. Quand soudainement, il perdit quelque chose de son caddie de compétition : c’était son petit frère qui avait sauter du caddie pour le rayon jouet :
« Pas le temps de l’attendre ! On doit foncer, s’écria Dorian.
Elle le regarda mal.
- Non ! Attendons le ! Répondit Maman.
-Pas le temps ! » Ajouta-t-il sans rancunes.
Il continua aussi rapide que la lumière. Des petits détours rayon charcuterie, goutter ou encore électronique, puis, il fut bon pour continuer . Il vit la lumière, la ligne d’arrivée. L’homme au micro rendait la foule en délire, ou alors, c’était ma beauté inégalable. Bref, nous somme enfin arrivée, au rayon fromage où l’homme au micro avait annoncé une promotion sur les derniers morceaux de Cheddar à -30% .
« Pas le temps de l’attendre ! On doit foncer, s’écria Dorian.
Elle le regarda mal.
- Non ! Attendons le ! Répondit Maman.
-Pas le temps ! » Ajouta-t-il sans rancunes.
Il continua aussi rapide que la lumière. Des petits détours rayon charcuterie, goutter ou encore électronique, puis, il fut bon pour continuer . Il vit la lumière, la ligne d’arrivée. L’homme au micro rendait la foule en délire, ou alors, c’était ma beauté inégalable. Bref, nous somme enfin arrivée, au rayon fromage où l’homme au micro avait annoncé une promotion sur les derniers morceaux de Cheddar à -30% .