Gifles, soufflets et paires de baffes
Consigne donnée aux élèves : vous écrirez une scène de gifle pour le théâtre. Votre travail prêtera attention à la mise en scène (didascalies) et au registre choisi. Vous pourrez choisir une situation contemporaine. Vous veillerez à ce que votre travail ne soit pas un appel à la violence ou à la haine.
Aurélia A.
La mégère non apprivoisée
Valérie et Mathieu sont mariés depuis deux ans. Exceptionnellement, ce jour-là, Valérie sort plus tôt de son travail. Elle est étonnée de voir la voiture de son mari devant sa maison car il lui avait dit qu’il avait une réunion de travail. Lorsqu’elle arrive chez elle, elle est surprise de voir une veste de femme accrochée au porte-manteau. Elle n’aperçoit personne dans la salle à manger. Elle s’avance fébrilement vers la chambre à coucher.
MATHIEU, très surpris
Chérie, ce n’est pas ce que tu crois.
VALÉRIE, en larmes
Mais… Comment oses-tu me faire ça et en plus, dans notre lit ?
MATHIEU
J’étais justement en train de me dire que tu me manquais et que j’allais tout arrêter.
Valérie, sidérée, sort de la chambre. Mathieu se lève et s’habille. Il dit à sa maîtresse de s’habiller également et de s’en aller. Mathieu et Valérie se retrouvent seuls.
MATHIEU
Je te promets que c’est la première fois que ça arrive.
VALÉRIE
Tu mens ! Je sentais bien que tu étais distant des derniers-temps.
MATHIEU
Mais…
VALÉRIE
Quoi ?
MATHIEU
Mais tu sais, en fait, elle nous a rendu service.
VALÉRIE se demandant si elle n’est pas en train de rêver
Comment ça ?
MATHIEU
Oui, je me suis rendu compte que j’avais de la chance de t’avoir.
Valérie s’avance vers lui et le gifle de toutes ses forces. Mathieu recule sous l’impact.
VALÉRIE
Et là, tu trouves toujours que tu as de la chance de m’avoir ?
Valérie et Mathieu sont mariés depuis deux ans. Exceptionnellement, ce jour-là, Valérie sort plus tôt de son travail. Elle est étonnée de voir la voiture de son mari devant sa maison car il lui avait dit qu’il avait une réunion de travail. Lorsqu’elle arrive chez elle, elle est surprise de voir une veste de femme accrochée au porte-manteau. Elle n’aperçoit personne dans la salle à manger. Elle s’avance fébrilement vers la chambre à coucher.
MATHIEU, très surpris
Chérie, ce n’est pas ce que tu crois.
VALÉRIE, en larmes
Mais… Comment oses-tu me faire ça et en plus, dans notre lit ?
MATHIEU
J’étais justement en train de me dire que tu me manquais et que j’allais tout arrêter.
Valérie, sidérée, sort de la chambre. Mathieu se lève et s’habille. Il dit à sa maîtresse de s’habiller également et de s’en aller. Mathieu et Valérie se retrouvent seuls.
MATHIEU
Je te promets que c’est la première fois que ça arrive.
VALÉRIE
Tu mens ! Je sentais bien que tu étais distant des derniers-temps.
MATHIEU
Mais…
VALÉRIE
Quoi ?
MATHIEU
Mais tu sais, en fait, elle nous a rendu service.
VALÉRIE se demandant si elle n’est pas en train de rêver
Comment ça ?
MATHIEU
Oui, je me suis rendu compte que j’avais de la chance de t’avoir.
Valérie s’avance vers lui et le gifle de toutes ses forces. Mathieu recule sous l’impact.
VALÉRIE
Et là, tu trouves toujours que tu as de la chance de m’avoir ?
Dhikra D.
Le serveur Rodrigue :
un monsieur DonDiegue qui réprimande son serveur d’avoir casser des assiettes chers.
Le serveur rentre dans la s’allonge devant son maître et sa fille, le serveur Rodrigue rentre en portant un gris sac dans les mains.
Rodrigue :baissant la tete :
Donner moi le reste de mon Salaire et laissez moi partir.
Don Diegue : étonné quels reste voudriez vous l’avoir .Et que Portez vous dans vos mains
Rodrigue :c’est mon sac à mains de voyage regarder le prix de ses assiettes et enlevez le prix de mon Salaire et donnez moi le reste.
Don Diegue :saviez vous le prix de ses assiettes que vous venez de casser.
Rodrigue :combien 10, 15 francs,et soustrait le prix de mon Salaire.
Don Diegue :cela coûte 13 mille francs.
Rodrigue :regardant son maitre : Soustrait ça de mon Salaire.
Don Diegue : pardon.
Rodrigue :c’est quoi qui coûte treses milles francs.
Don Diegue :la machine que vous venez de casser il ya meme pas trente minutes.
Rodrigue :vous mangez dans des assiettes à treses milles.
Don Diegue :saviez vous la marque de ses assiettes.
Rodrigue : pourquoi j’ai detruit un maison.
Don Diegue :elles sont signées
Rodrigue :signees !par qui ?
Don Diegue :Napoléon
Rodrigue :Napoleon ?Napoléon bonaparte !
Don Diegue : oui
Rodrigue :Il a laisser tomber le pouvoir,les francaises la Republique,et il a signe sur des assiettes. Moquez vous de moi encore plus en riant des assiettes à treses milles et signée par Napoleon.
La jeune fille : papa appel la police.
Rodrigue : mais moi je pense Qu’on doit tous savoir pardonner finalement.
Rodrigue s’avançaa vers la porte en essayant de s’en fuir. La jeune fille lui suit et lui reproche d’être voleur La jeune fille s’approche et donne un gifle à Rodrigue.
Don Diegue :ecoutez moi Rodrigue votre oncle travaillez chez nous depuis plus que vingt ans et il était toujours un homme fidèle à son travail jusqu’à la dernière minute et vous êtes un homme complaisant comme lui j’espère.
Rodrigue :non !
Don Diegue :je voudrais que vous signer.
Rodrigue :sur des assiettes.
Don Diegue :sur une papier.
Rodrigue :quelle papier.
Don Diegue : En résumé, il ya un homme qui va venir maintenant vous signer,après deux,trois jours il va revenir le même homme.
Rodrigue : oui !
Don Diegue : vous signer, et c’est parfait.
Rodrigue :c’est une devinette .
Don Diegue :qu’elle devinette ? En gros Rodrigue vous aller vous marrier avec ma fille.
Rodrigue : pardonnez moi ?quelle jeune fille.
Don Diegue : ma jeune fille celle qui est debout devant vous.
Rodrigue s’approche vers la jeune fille et tombe sans mêmme dire un seul mot
Margaux J.
Fratrie
Eugène et Caroline sont frère et sœur, souvent en dispute. Ils viennent de rentrer de l’école, Eugene décide de cacher la poupée favorite de sa sœur.
CAROLINE, paniquant
Mais ! Ou ma poupée est elle passer ?
EUGENE, l’air de rien
Tu l’avais posée sur la table ce matin avant de partir…
CAROLINE, perdue
Eugene, je te soupçonne de quelque chose !
EUGENE, ricannant
Moi ? Ton frère ? Je n’oserais pas voyons !
CAROLINE, haussant le ton
Petit menteur ! J’en étais sur ! Rend moi ma poupée !
EUGENE, gêné
Hum…non ! C’est faux, je n’est pas touché a ta stupide poupée.
CAROLINE-Elle commence à fouiller partout et vois la tête de sa poupée dépasser du coffre à jouets qui se trouve derrière son frère…
Bon, très bien, si ce n’est pas toi, je vais donc chercher papa pour qu’il puisse nous aider a régler le problème.
EUGENE, ayant peur de son père, panique !
Caroline ! Caroline ! Ma sœur, tant aimé ! Pourquoi appeler notre père ? Je vais te la redonner immédiatement…
CAROLINE, rentre dans le jeu de son frère
Mais bien sur, tout à fait ! Tu as raison, sage décision de ta part ! Rend-la moi, petit chenapan.
EUGENE, il continue de faire attendre sa sœur pensant qu’elle n’avait toujours pas compris son petit jeu
Oui, oui…on a le temps !
CAROLINE, agacée
Certes, mais je veux ma poupée !
EUGÈNE, il se décide enfin à lui donner, il marche vers le coffre à jouets
CAROLINE, se frottant les mains
Plus vite, aller !
Caroline et Eugene se dirigent tous les deux vers le coffre , Eugène se baisse pour attraper la poupée, il se relève , se retrouve face a sa sœur , qui elle , lui met une gifle si forte que son frère se retrouve par terre.
CAROLINE, rigolant
Ne t’avise plus de reprendre ma poupée ! Tu t’es prit a ton propre jeux gros malin.
Eugène et Caroline sont frère et sœur, souvent en dispute. Ils viennent de rentrer de l’école, Eugene décide de cacher la poupée favorite de sa sœur.
CAROLINE, paniquant
Mais ! Ou ma poupée est elle passer ?
EUGENE, l’air de rien
Tu l’avais posée sur la table ce matin avant de partir…
CAROLINE, perdue
Eugene, je te soupçonne de quelque chose !
EUGENE, ricannant
Moi ? Ton frère ? Je n’oserais pas voyons !
CAROLINE, haussant le ton
Petit menteur ! J’en étais sur ! Rend moi ma poupée !
EUGENE, gêné
Hum…non ! C’est faux, je n’est pas touché a ta stupide poupée.
CAROLINE-Elle commence à fouiller partout et vois la tête de sa poupée dépasser du coffre à jouets qui se trouve derrière son frère…
Bon, très bien, si ce n’est pas toi, je vais donc chercher papa pour qu’il puisse nous aider a régler le problème.
EUGENE, ayant peur de son père, panique !
Caroline ! Caroline ! Ma sœur, tant aimé ! Pourquoi appeler notre père ? Je vais te la redonner immédiatement…
CAROLINE, rentre dans le jeu de son frère
Mais bien sur, tout à fait ! Tu as raison, sage décision de ta part ! Rend-la moi, petit chenapan.
EUGENE, il continue de faire attendre sa sœur pensant qu’elle n’avait toujours pas compris son petit jeu
Oui, oui…on a le temps !
CAROLINE, agacée
Certes, mais je veux ma poupée !
EUGÈNE, il se décide enfin à lui donner, il marche vers le coffre à jouets
CAROLINE, se frottant les mains
Plus vite, aller !
Caroline et Eugene se dirigent tous les deux vers le coffre , Eugène se baisse pour attraper la poupée, il se relève , se retrouve face a sa sœur , qui elle , lui met une gifle si forte que son frère se retrouve par terre.
CAROLINE, rigolant
Ne t’avise plus de reprendre ma poupée ! Tu t’es prit a ton propre jeux gros malin.
Maëva J. et Lou-Ann L.
Mylène est en train de faire ses courses journalières au marché du village où elle habite, elle est accompagnée de sa nièce Nelly. Sur le chemin elle rencontre une vieille connaissance dénommée Françoise aux côtés de son mari et ses enfants …
Françoise, à son mari : Regarde ! Ce ne serait pas Mylène !
Le mari : Mais oui il me semble bien mais tes relations avec elles n’étaient pas quelque peu tendues dans votre jeunesse ?
Françoise, souriant à son mari : Chéri il n’est jamais trop tard pour régler des conflits.
Les deux époux arrivent vers la jeune femme
Françoise, sûre d’elle : Mylène ! Comment vas-tu depuis ce temps ?
Mylène : Je vais bien et vous ? La famille se porte bien à ce que je vois ?
Le Mari : Oui, très bien, merci. Nous vivons dans un petit patelin situé à quelques kilomètres du village. Montrant une direction .
Les enfants commencent à s’agiter
Françoise, à son mari : Chéri , pourrais-tu amener les enfants au parc ? Car ils commencent à être agités. Je te rejoindrai lorsque j’aurai terminé les courses, je voudrais parler un petit peu avec Mylène si tu veux bien ?
Mylène soupire discrètement un peu excédée
Le mari : Bien sûr j’y vais, on se voit plus tard. A Mylène : Au revoir, ce fut un plaisir.
Mylène, au mari : De même bonne journée.
Françoise : Alors parle-moi un peu de toi cela fait tellement longtemps que l’on ne s’est pas vues nous avons forcement des choses intéressantes à nous raconter.
Mylène, un peu gênée : Et bien…
Françoise, coupant la parole a Mylène : Alors ne sois pas si timide, tu ne vas pas me dire que tu es restée aussi vieux-jeu depuis tout ce temps… tu ne m’as pas présenté ta petite, elle est adorable tout comme sa mère.
Mylène, confuse : Mais ce n’est…
Françoise, coupant la parole : Oh mais où est le père ? Ne me dit pas que c’est Charlie ? Je n’ai jamais compris pourquoi vous vous êtes mis ensemble tous les deux !
Mylène, commençant à s’énerver : Mais !
Françoise : En tous cas elle a ses yeux d’un bleu éclatant… C’est le moins qu’il puisse faire étant donné le personnage qu’il est... Si j’avais été à ta place, jamais au grand jamais je n’aurais tenté une relation avec cette homme ... C’est vrai tu connaissais sa réputation non ?
Mylène, prenant sur elle : Je ne permettrais pas que tu parles de lui devant ma nièce et non ce n’est pas ma fille, ma sœur me l’a confiée pour la journée. Diminuant la distance qui les sépare. Maintenant je te souhaite une bonne journée et te prie de me laisser finir ce pour quoi je suis venue…
Françoise, coupant la parole à Mylène en regardant son ventre : Oh ! Excuse moi je pensais que c’était ta fille ainée. Et dis-moi, pour quand est prévu ce bébé ?
Mylène, débordée par les émotions : Euh non je ne suis pas en…
Françoise, ricanant : Mais… Corrige-moi si je me trompe tu n’étais pas en surpoids dans notre jeunesse ?
Mylène, elle la soufflette et crée un mouvement de stupéfaction autour d’elle, souriant à Françoise : Je ne suis pas enceinte, je suis ronde et heureuse.
Elle part en direction de sa maison.
Françoise, à son mari : Regarde ! Ce ne serait pas Mylène !
Le mari : Mais oui il me semble bien mais tes relations avec elles n’étaient pas quelque peu tendues dans votre jeunesse ?
Françoise, souriant à son mari : Chéri il n’est jamais trop tard pour régler des conflits.
Les deux époux arrivent vers la jeune femme
Françoise, sûre d’elle : Mylène ! Comment vas-tu depuis ce temps ?
Mylène : Je vais bien et vous ? La famille se porte bien à ce que je vois ?
Le Mari : Oui, très bien, merci. Nous vivons dans un petit patelin situé à quelques kilomètres du village. Montrant une direction .
Les enfants commencent à s’agiter
Françoise, à son mari : Chéri , pourrais-tu amener les enfants au parc ? Car ils commencent à être agités. Je te rejoindrai lorsque j’aurai terminé les courses, je voudrais parler un petit peu avec Mylène si tu veux bien ?
Mylène soupire discrètement un peu excédée
Le mari : Bien sûr j’y vais, on se voit plus tard. A Mylène : Au revoir, ce fut un plaisir.
Mylène, au mari : De même bonne journée.
Françoise : Alors parle-moi un peu de toi cela fait tellement longtemps que l’on ne s’est pas vues nous avons forcement des choses intéressantes à nous raconter.
Mylène, un peu gênée : Et bien…
Françoise, coupant la parole a Mylène : Alors ne sois pas si timide, tu ne vas pas me dire que tu es restée aussi vieux-jeu depuis tout ce temps… tu ne m’as pas présenté ta petite, elle est adorable tout comme sa mère.
Mylène, confuse : Mais ce n’est…
Françoise, coupant la parole : Oh mais où est le père ? Ne me dit pas que c’est Charlie ? Je n’ai jamais compris pourquoi vous vous êtes mis ensemble tous les deux !
Mylène, commençant à s’énerver : Mais !
Françoise : En tous cas elle a ses yeux d’un bleu éclatant… C’est le moins qu’il puisse faire étant donné le personnage qu’il est... Si j’avais été à ta place, jamais au grand jamais je n’aurais tenté une relation avec cette homme ... C’est vrai tu connaissais sa réputation non ?
Mylène, prenant sur elle : Je ne permettrais pas que tu parles de lui devant ma nièce et non ce n’est pas ma fille, ma sœur me l’a confiée pour la journée. Diminuant la distance qui les sépare. Maintenant je te souhaite une bonne journée et te prie de me laisser finir ce pour quoi je suis venue…
Françoise, coupant la parole à Mylène en regardant son ventre : Oh ! Excuse moi je pensais que c’était ta fille ainée. Et dis-moi, pour quand est prévu ce bébé ?
Mylène, débordée par les émotions : Euh non je ne suis pas en…
Françoise, ricanant : Mais… Corrige-moi si je me trompe tu n’étais pas en surpoids dans notre jeunesse ?
Mylène, elle la soufflette et crée un mouvement de stupéfaction autour d’elle, souriant à Françoise : Je ne suis pas enceinte, je suis ronde et heureuse.
Elle part en direction de sa maison.
Lucille L.
Depuis maintenant 36ans Sophie, est une star, elle est connue dans le monde entier. C'est une comédienne qui a joué dans plusieurs films français.Comme chaque début de mois donne des interviews où elle raconte son parcours de comédienne et comment se passe sa vie de star.
JOURNALISTE
bonjour, Sophie ! Nous sommes aujourd'hui à Paris pour une nouvelle interview concernant votre carrière cinématographique et votre vie personnelle.
SOPHIE, contente
Bonjour ! Je suis très contente d’être parmi vous aujourd'hui. Je vais essayer de répondre à toutes vos questions.
JOURNALISTE
Pourquoi avez- vous choisi d’être comédienne?
SOPHIE, émue
c'est tout simplement un rêve d'enfance. A l'age de 14ans, j'ai eu l’opportunité de passer des castings. Mes parents m'ont beaucoup soutenus dans mes projets. J'ai pu réaliser mon rêve d’enfance.
JOURNALISTE
En faisant ce métier, pouvez-vous avoir une vie de famille?
SOPHIE
j'ai deux merveilleux enfants qui sont très heureux, ils ne manquent de rien. Certes j'ai due souvent m'absenter à étranger tourner des films, mais ils ont un père qui a toujours été présent. Donc, oui, on peut avoir une vie de famille.
JOURNALISTE, Bien décidé à piéger Sophie.
Et quelles études avez-vous faite?
SOPHIE, répliqua
Je n'ai pas vraiment fait d'études comme je vous l'ai dit, je suis devenue comédienne à l'âge de 14ans.
JOURNALISTE, provoquant.
Vous n'avez pas honte de ne pas avoir fait d'études? Vous êtes censé être un modèle pour vos fans et surtout vos enfants.
SOPHIE, en colère.
Les études ne m’intéressaient pas ! J'ai préféré me tourner vers une voie où j' ai pu tourner avec des grands acteurs. Mes enfants ont toujours approuvé mes choix.
JOURNALISTE, d'un air désabusé.
Combien gagnez-vous par mois?
SOPHIE
6 millions d'euro par mois. Mais ce n'est pas l'argent qui ma forcé à faire ce métier.
JOURNALISTE, Bien décidé a injurier Sophie.
Mais comment pouvez-vous gagner une telle somme d'argent sans avoir fait d’études alors que des personnes ont sacrifiés leurs vies dans les études et n'ont pas réussi financièrement? Vous êtes la honte du cinéma français ! Je trouve ça injuste de gagner sa vie comme ça, juste en étant dénudées dans ses films.
SOPHIE, le soufflette.
C'est vous qui devrez avoir honte de parler a une femme de cette façon !
Sophie quitte l'interview déçue d’être tombée dans le piège.
JOURNALISTE
bonjour, Sophie ! Nous sommes aujourd'hui à Paris pour une nouvelle interview concernant votre carrière cinématographique et votre vie personnelle.
SOPHIE, contente
Bonjour ! Je suis très contente d’être parmi vous aujourd'hui. Je vais essayer de répondre à toutes vos questions.
JOURNALISTE
Pourquoi avez- vous choisi d’être comédienne?
SOPHIE, émue
c'est tout simplement un rêve d'enfance. A l'age de 14ans, j'ai eu l’opportunité de passer des castings. Mes parents m'ont beaucoup soutenus dans mes projets. J'ai pu réaliser mon rêve d’enfance.
JOURNALISTE
En faisant ce métier, pouvez-vous avoir une vie de famille?
SOPHIE
j'ai deux merveilleux enfants qui sont très heureux, ils ne manquent de rien. Certes j'ai due souvent m'absenter à étranger tourner des films, mais ils ont un père qui a toujours été présent. Donc, oui, on peut avoir une vie de famille.
JOURNALISTE, Bien décidé à piéger Sophie.
Et quelles études avez-vous faite?
SOPHIE, répliqua
Je n'ai pas vraiment fait d'études comme je vous l'ai dit, je suis devenue comédienne à l'âge de 14ans.
JOURNALISTE, provoquant.
Vous n'avez pas honte de ne pas avoir fait d'études? Vous êtes censé être un modèle pour vos fans et surtout vos enfants.
SOPHIE, en colère.
Les études ne m’intéressaient pas ! J'ai préféré me tourner vers une voie où j' ai pu tourner avec des grands acteurs. Mes enfants ont toujours approuvé mes choix.
JOURNALISTE, d'un air désabusé.
Combien gagnez-vous par mois?
SOPHIE
6 millions d'euro par mois. Mais ce n'est pas l'argent qui ma forcé à faire ce métier.
JOURNALISTE, Bien décidé a injurier Sophie.
Mais comment pouvez-vous gagner une telle somme d'argent sans avoir fait d’études alors que des personnes ont sacrifiés leurs vies dans les études et n'ont pas réussi financièrement? Vous êtes la honte du cinéma français ! Je trouve ça injuste de gagner sa vie comme ça, juste en étant dénudées dans ses films.
SOPHIE, le soufflette.
C'est vous qui devrez avoir honte de parler a une femme de cette façon !
Sophie quitte l'interview déçue d’être tombée dans le piège.
Éléonore P.
Léontine, fille de Marcus richissime homme d'affaire , est amoureuse de Tobias un soldat de l'armée Américaine. Marcus refuse que sa fille fréquente Tobias et demande à celui-ci de mettre fin à leur relation ou bien il aura recours à la force pour les séparer.
TOBIAS, gêné
Léontine il faut que nous parlons…
LEONTINE ,S'assied en portant la main à son ventre
Moi aussi, j'ai quelque chose à t'annoncer !
TOBIAS (regarde fixement la main sur le ventre de Léontine)
Je pense que nous allons nous séparer. Je pars bientôt dans une missions dangereuse et je ne veux pas que tu souffres à cause de moi.
LEONTINE, véhément
Ce n'était pas à ça que je pensais ! Tu ne peux pas nous faire ça !
TOBIAS, surpris
Comment ça nous ? Tu veux dire que … Tu es …
Je ne veux pas savoir ! Nous ne pouvons pas rester ensemble.
LEONTINE, irritée
Oui ! Je suis enceinte de toi ! Et toi, tu m'abandonne par peur de me blessée ? Sache une chose : la plus grande blessure que tu puisses m'infliger serait de m'abandonner.
TOBIAS , la gorge serrée
Au revoir, Léontine.
LEONTINE, elle le soufflette et explose en sanglot
Lâche !
TOBIAS, gêné
Léontine il faut que nous parlons…
LEONTINE ,S'assied en portant la main à son ventre
Moi aussi, j'ai quelque chose à t'annoncer !
TOBIAS (regarde fixement la main sur le ventre de Léontine)
Je pense que nous allons nous séparer. Je pars bientôt dans une missions dangereuse et je ne veux pas que tu souffres à cause de moi.
LEONTINE, véhément
Ce n'était pas à ça que je pensais ! Tu ne peux pas nous faire ça !
TOBIAS, surpris
Comment ça nous ? Tu veux dire que … Tu es …
Je ne veux pas savoir ! Nous ne pouvons pas rester ensemble.
LEONTINE, irritée
Oui ! Je suis enceinte de toi ! Et toi, tu m'abandonne par peur de me blessée ? Sache une chose : la plus grande blessure que tu puisses m'infliger serait de m'abandonner.
TOBIAS , la gorge serrée
Au revoir, Léontine.
LEONTINE, elle le soufflette et explose en sanglot
Lâche !
Noa Z.
Le sac à main
Jeannette, vieille dame ayant la maladie d’Alzheimer, sort de son supermarché préféré et se fait voler son sac à main…
JEANNETTE, surprise
Hé ! Mon sac ! Au voleur !
Brice, un témoin a vu ce qu’il s’est passé.
BRICE, d’un ton certain
Ne vous inquiétez pas, madame ! Je vais vous rendre votre sac à main !
Brice quitte la scène. Jeannette va s’assoir sur un banc en attendant le retour de Brice.
JEANNETTE, triste et en pleurant
Bouhouhou… mon…mon…mon sac…à…à main je…je ne le verrai…plus…bouhouhou !
JEANNETTE, toujours en pleurant
Bouhouhou…pourquoi moi ? Un temps Mais ? Qu’est-ce-que je fais sur ce banc moi ?
Jeannette va pour quitter la pièce mais Brice revient en courant avec le sac à main.
BRICE, essoufflé
Hé ! Madame ! Tenez, madame ! Ne pleurez plus ! Je vous rend votre sac.
En tendant le sac
JEANNETTE, heureuse et surprise prend le sac que Brice lui tend.
Merci, merci jeune homme…mais…mais vous êtes le voleur ! Petit filou !
BRICE, choqué
Mais… (Jeannette frappe Brice) Aie ! Mais, madame…
JEANNETTE, en colère
Vous n’avez pas honte de voler le sac d’une mamie ?
Jeannette quitte la scène
BRICE, toujours choqué
Je n’ai pas compris…
Brice quitte la scène
Jeannette, vieille dame ayant la maladie d’Alzheimer, sort de son supermarché préféré et se fait voler son sac à main…
JEANNETTE, surprise
Hé ! Mon sac ! Au voleur !
Brice, un témoin a vu ce qu’il s’est passé.
BRICE, d’un ton certain
Ne vous inquiétez pas, madame ! Je vais vous rendre votre sac à main !
Brice quitte la scène. Jeannette va s’assoir sur un banc en attendant le retour de Brice.
JEANNETTE, triste et en pleurant
Bouhouhou… mon…mon…mon sac…à…à main je…je ne le verrai…plus…bouhouhou !
JEANNETTE, toujours en pleurant
Bouhouhou…pourquoi moi ? Un temps Mais ? Qu’est-ce-que je fais sur ce banc moi ?
Jeannette va pour quitter la pièce mais Brice revient en courant avec le sac à main.
BRICE, essoufflé
Hé ! Madame ! Tenez, madame ! Ne pleurez plus ! Je vous rend votre sac.
En tendant le sac
JEANNETTE, heureuse et surprise prend le sac que Brice lui tend.
Merci, merci jeune homme…mais…mais vous êtes le voleur ! Petit filou !
BRICE, choqué
Mais… (Jeannette frappe Brice) Aie ! Mais, madame…
JEANNETTE, en colère
Vous n’avez pas honte de voler le sac d’une mamie ?
Jeannette quitte la scène
BRICE, toujours choqué
Je n’ai pas compris…
Brice quitte la scène